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OVNIs : Un ancien des Services Secrets témoigne

Par Le 29/03/2015

OVNIs : Un ancien des Services Secrets témoigne - MAJ 03-2015

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Témoignage de Robert Orel DEAN

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Robert Orel Dean, né le 2 mars 1929 fut analyste du Renseignement militaire au Haut Commandement de l'OTAN. Actuellement agé de 83 ans, avait été affecté au QG du Shape près de Paris de 1963 à 1967 avec la plus haute habilitation "Cosmic Top Secret". Un document dont il n'existait que 15 exemplaires en anglais, français et allemand, est arrivé entre ses mains, et sa lecture en 1964 "a transformé sa vie". Il raconte à Lou Gentile (décédé en 2009) :

"J'étais affecté à la Salle des Opérations. Une nuit, à 2 heures du matin, un Colonel de l'Air Force pensant que je m'ennuyais, a sorti ce rapport du coffre et me l'a donné à lire : "Tiens, tu disposes de l'accréditation nécessaire, lis ça, ça va te réveiller..." C'était titré : "An Assessment" ("Une Évaluation"), sous-titré : 'Évaluation d'une possible Menace militaire contre les Forces armées en Europe'.
Ce rapport devait initialement déterminer si les soviétiques étaient impliqués dans ces phénomènes inconnus qui étaient observés dans l'espace européen, en pleine guerre froide."

Après trois années d'études, il concluait que d'immenses objets cylindriques et métalliques, manifestement pilotés par des formes d'intelligence, ne pouvaient en aucun cas être d'origine terrestre.
Ce rapport déclarait :
- qu'au moins quatre races différentes d'aliens étaient impliquées. Parce que des occupants de ces machines avaient été vus au sol,
- qu'ils étaient là depuis des centaines d'années,
- qu'ils n'étaient pas hostiles, parce qu'en raison de leurs capacités, l'affaire aurait été déjà réglée...
- qu'au moins une espèce était une manifestation inter-dimensionnelle.

Après 27 ans de service actif, Robert Dean a travaillé 14 ans avec la FEMA après sa retraite de l'armée comme Commandant Sergent-Major, mais il disposait toujours de son habilitation. Il a poursuivi son enquête en examinant les dossiers dans les bureaux de ses collègues toujours en service. Au fil des années, il s'est vu confirmer que certains de ces E.T.s venaient d'autres dimensions.

Robert Dean explique qu'à leurs yeux nous sommes des peuples primitifs, barbares, ce qui doit embarrasser particulièrement tout gouvernement confronté à l'attente d'une Divulgation. Après avoir encouragé le Dr Steven Greer pendant des années, et passé deux mois à harceler les membres du Congrès à Washington pour obtenir que soient organisées des audiences publiques, il est maintenant assez désabusé. Il parle de la Divulgation comme d'une "Dynamite politique", et dénonce la complicité des propriétaires des grands médias, toujours déterminés à décrédibiliser les témoins.

"Les Représentants élus ne sont déjà pas en mesure de questionner l'affectation des budgets secrets... Le citoyen pense qu'il connait les hommes en place, ceux qui semblent gouverner. Mais derrière eux se cache le véritable gouvernement de ce pays.
Le fait pour les citoyens d'apprendre que nous ne sommes pas seuls, doit entraîner une expansion de conscience dans la société..."

Mais il pense que les gouvernements successifs restent sur leurs position en raison des conclusions du Rapport de l'Institut Brookins en 1961 (qui conseillait à la NASA de cacher des informations concernant les découvertes aliènes éventuelles lors des missions spatiales, en raison du choc culturel). Il rend hommage à des travaux et publications comme ceux de Peter Sturrock, professeur de physique appliquée à l'université de Stanford, qui représentent selon lui une forme de Divulgation progressive, et se demande si ce serait ou non encouragé par le gouvernement US, dans la mesure où Sturrock a été financé par Laurance Rockefeller.

Dean ne manque pas de rappeler le dernier discours de Eisenhower, avertissant le peuple des dangers du lobby militaro-industriel en place. Et il se demande : "Pourquoi les militaires renonceraient-ils à leurs super-bénéfices dans le cadre de programmes secrets, d'ailleurs en partie basés sur la rétro-conception ?"

Même constat pour les solutions énergétiques qui nous permettraient de nous passer du pétrole : "Croyez-vous que les pétroliers seraient prêts à renoncer ?" "A ce propos", demande-t-il innocemment : "...Savez-vous qui occupe actuellement la Maison-Blanche ?"... (YH : Bush/Texas... à l'époque...)

"Mais un autre problème se pose : comment révéler au public que tous les E.T.s ne sont pas bienveillants ?"

Robert Dean fait référence au Professeur Michio Kaku, physicien New-Yorkais et consultant de la série "Star Trek", pour lequel il existe 10 dimensions distinctes, et nous serions dans la 3ème. Dean rapporte également des témoignages de militaires de la Navy qu'il a rencontrés, affectés à la surveillance de sous-marins soviétiques, témoins de manifestations d'objets aussi grands que des porte-avions, se déplaçant sous l'eau à plus de 180 km/heure. Le même phénomène a été observé au large des côtes écossaises.
D'où encore une fois, l'impossibilité de dévoiler la vérité au public, puisque nos moyens actuels n'offriraient aucune protection efficace contre des technologies aussi avancées...

Robert Dean montre un intérêt particulier pour les bases aliens sur la Lune. Il fait référence à Maurice Chatelain, responsable pour la Mission Apollo du programme de communication. Le français avait été le premier à entendre les commentaires (coupés avant leur diffusion au public) des astronautes Armstrong et Aldrin, décrivant deux engins posés au bord d'un cratère, qui semblaient les attendre. D'où l'interruption du programme lunaire, malgré tous les projets annoncés d'établir une base permanente sur notre satellite. Toujours à propos des constructions lunaires, Robert Dean affirme avoir vu des clichés qui ont été pris par la sonde Clementine, lancée par le Département de la Défense, qui a orbité environ 300 fois autour de la Lune au printemps de 1994, et transmis deux millions d'images, dont seulement une infime partie ont été publiées.

Pour finir, il affirme que l'un de ses contacts au Laboratoire de Fort Alamos lui a révélé qu'ils ont réalisé depuis 25 ans la fusion contrôlée. Selon une autre source, des expériences ont établi que le temps était manipulable. C'est ainsi qu'il explique la notion de Temps manquant dans les récits d'abductions.

En conclusion, et pondérant son scepticisme sur le bon vouloir des Autorités, Robert Dean estime finalement que l'effet de masse critique dans l'opinion pourrait changer la donne à tout moment.

"An Assessment" ("Une Evaluation"), sous-titré : 'Evaluation d'une possible Menace militaire contre les Forces armées en Europe' avait été tiré à 15 exemplaires. Le Sergent Major Robert O Dean a raconté à l'enquêteur Leonard H. Stringfield :

"L'étude fut dirigée par l'Air Marshall, Sir Thomas Pike (British), qui était Adjoint du SACEUR (Supreme Allied Commander Europe). Pike était Adjoint du Général Lyman Lemnitzer, U.S. Army, qui avait un rang équivalent au grade de cinq étoiles.

Le gouvernement français (Charles De Gaulle) a retiré la France de l'OTAN, et nous avons du déplacer le SHAPE de Roquencourt (juste à côté de Paris) à Casteau (près de Bruxelles) en 1967. Par la suite on demanda aux français de restituer la copie française du rapport "The ASSESSMENT". Nous étions pratiquement certains qu'ils en avaient fait une copie, parce que peu après, ils ont lancé leur G.E.P.A.N. sous le contrôle de la gendarmerie. Il nous a été récemment confirmé par une source militaire française que le Colonel Jean Fauvre était au courant pour "The ASSESSMENT". (YH : et des militaires ont collaboré au "Rapport Cometa" donné au gouvernement français...)

Ici une conférence de Robert O. DEAN au Congrès International sur la Présence Extraterrestre, Madrid (Espagne) 26-27 juin 2010.

Partie 1

Partie 2

".....les aliens existent mais ce sont des êtres trans-dimensionnels, ils peuplaient la terre bien avant l'homme et certains dirigeant se sont alliés avec ces forces obscures en échange de pouvoirs et de promesses qui ne seront pas tenues. "

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2012/02/01/23405210.html#trackbacks

MAJ 03-2015 : Ces photos ont été dévoilées par la suite, montrées lors des conférences de Mr Dean, provenant de la NASA et de l'agence spatiale japonaise :

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Yves Herbo, S, F, H, 02/2012, 03-2015

Petrospheres europe moyen orient

Les pages des anomalies scientifiques - 1

Par Le 26/03/2015

Les pages des anomalies scientifiques - 1

Petrospheres europe moyen orient

petrosphères-Europe-Moyen-Orient

Cette nouvelle rubrique qui devrait comporter plusieurs pages (qui seront regroupées par la suite et après leur publication) va recenser certaines petites publications ou nouvelles brèves du passé sur des découvertes annoncées discrètement par certains professionnels ou scientifiques. Cela vient évidemment en complément du déjà large travail de compilation de données lisibles sur ce site. Ces annonces sont en principes toutes référencées et réelles et elles concernent toutes des "anomalies" par rapport aux normes, dogmes ou "establishment" scientifiques ou historiques. Il y a rarement des illustrations ou photos et l'annonce est parfois très brève. On se rapproche en quelque sorte un peu du "Livre des Damnés" de Charles Fort, mais plus récent et c'est voulu car ces données existent, même si elles ne sont pas très connues et explorées elles-mêmes... Je n'ai pas trouvé d'ordre préférentiel pour l'instant, un classement par continent par exemple pourrait être fait par la suite. Vous allez comprendre très vite de quoi il s'agit, je met le texte original quand dispo et la traduction française en-dessous :


 

Ancient Iberian Jars Recovered Off Maine Coast

While skindiving in the Bay of Castine in 1971, Norman Bakeman discovered two peculiar ceramic storage jars in 12 meters of water. These jars were recovered and have since been compared to Portugese "anforetas" used during the Roman period for the storage of wine, oil, honey, etc. A similar anforeta as also been recovered in Jonesboro, Maine. The clay paste and grit of the Maine jars closely resemble those used in Iberia almost 2,000 years ago. The possibility that these containers might be Spanish olive jars circa 1800 is also discussed.

(Whittall, James P., II; "Anforetas Recovered in Maine," Early Sites Research Society, Bulletin, 5:1, 1977.) "

" Alors qu'il faisait de la plongée sous-marine dans la baie de Castine, Maine, USA, en 1971, Norman Bakeman a découvert deux jarres en céramique particulières sous 12 mètres d'eau. Ces pots ont été récupérés et ont depuis été comparés à des "anforetas portugaises" utilisées pendant la période romaine, pour le stockage de vin, d'huile, miel, etc. Une anforeta similaire a également été récupérée à Jonesboro, dans le Maine. La pâte d'argile et de sable des pots du Maine ressemblent beaucoup à ceux utilisés dans la péninsule ibérique il y a près de 2000 ans. La possibilité que ces conteneurs puissent être des bocaux d'olives espagnoles vers 1800 est aussi discutée... "

Anforetas maine 1971Anforetas romaines, Maine, USA

(Whittall, James P., II; "Anforetas Récupéré dans le Maine," Early Research Society Sites, Bulletin, 5: 1, 1977.)


 

" First writing may have been three-dimensional

Archeologists have long been puzzled by large numbers of small, fired-clay objects found in the Middle East. Denise Schmandt-Besserat, University of Texas at Austin, believes that these small geometrical shapes (cones, spheres, disks, etc.) were actually symbols used in commerce to indicate numbers and types of commodities (sheep, oil, etc.). Generally less than an inch in size, the clay objects were apparently sealed in hollow clay spheres to make bills of lading as early as 8,500 B.C. This is 5,000 years before two-dimensional clay tablets were introduced for writing.

These clay symbols might be related to the painted pebbles and small carved stone balls found in Europe.

(Anonymous; "From Reckoning to Writing," Scientific American, p. 58, August 1977.)

" Les premiers écrits pourraient avoir été en trois dimensions

Les archéologues ont longtemps été intrigués par un grand nombre de petits objets d'argile cuite trouvés au Moyen-Orient. Denise Schmandt-Besserat, de l'Université du Texas à Austin, estime que ces petites formes géométriques (cônes, sphères, disques, etc.) étaient en fait des symboles utilisés dans le commerce pour indiquer le nombre et les types de produits (mouton, huile, etc.). De généralement moins d'un pouce en taille (2.5 cm), les objets en argile ont apparemment été scellés dans des sphères creuses en argile pour faire office d'étiquettes de stockage ou de fret (bills of lading) dès 8.500 Avant JC. C'est 5.000 années avant que les tablettes d'argile en deux dimensions soient inventées pour l'écriture... Ces symboles d'argile pourraient être liés à des galets peints et des petites boules de pierre sculptées trouvées en Europe.

Ecriture3d logos 8500bcdes logos d'argile de 8.500 ans...

Petrosphere ecosse

This Carved Stone Ball (Petrosphere) was found at Jock's Thorn farm in Kilmaurs, East Ayrshire, Scotland. (Ecosse)

(Anonymous; "From Reckoning to Writing," Scientific American, p. 58, August 1977.- Denise Schmandt-Besserat, de l'Université du Texas à Austin)


 

" The Stone Enigmas Of New England

Beginning with the maze of walls, courtyards, and chambers that characterize New Hampshire's Mystery Hill site, M.F. Doran and B.H. Kunnecke review the various types of anomalous stone structures found in northeastern North America. Three major classes are recognized:

Covered passageways up to 25 feet in length and analogous to Cornish fogous.
Beehive chambers, such as the 10-foot-high chamber at Upton, Massachusetts.
Dolmen-like constructions, as exemplified by the 60-ton "balancing boulder at North Salem, New York. Termed a "glacial erratic" by most, the North Salem stone seems distinctly unlike most erratics and more like some European dolmens.
Noting that radiocarbon dates from Mystery Hill go back to more than 1,000 B.C., Doran and Kunnecke feels that these stone enigmas should receive professional attention in the context of world distributions of blood groups and other evidence of early, frequent transoceanic contacts.

(Doran, Michael F., and Kunnecke, Bernd H.; "The Stone Enigmas of New England," Anthropological Journal of Canada, 15:17, No. 2: January 1978) "

" Les énigmatiques pierres de la Nouvelle-Angleterre

En commençant par le dédale de murs, de cours, et de chambres qui caractérisent le site "Mystère Hill" du New Hampshire, MF Doran et B.H. Künnecke passent en revue les différents types de structures de pierre anormales trouvées dans l'Amérique du Nord-Est. Trois grands types sont reconnus :

- des passages couverts jusqu'à 25 pieds de longueur et analogue à Cornish fogous. (YH : des galeries recouvertes)
- des chambres en alcove, comme la salle de 10 pieds (+3 mètres) de haut à Upton, Massachusetts.
- des constructions ressemblant à des Dolmens, comme en témoignent les 60 tonnes du rochers en équilibre à North Salem, New York. Qualifiée de " erratique glaciaire " par la plupart, la pierre de Salem Nord semble nettement contraire à la plupart des blocs erratiques et plus comme certains dolmens européens.
Notant que les datations au radiocarbone de "Mystery Hill" remontent à plus de 1000 Avant JC, Doran et Künnecke estiment que ces énigmes de pierre devraient recevoir une attention professionnelle dans le cadre de migrations mondiales de groupes sanguins et d'autres évidences antiques, de contacts fréquents transocéaniques.

Mysteryhill newhampshire

(Doran, Michael F., et Künnecke, Bernd H .; "Les Enigmatiques pierres de la Nouvelle-Angleterre," Anthropological Journal du Canada, 15h17, n ° 2: Janvier 1978)

Note de Yves Herbo : cette découverte est toujours à l'étude de nos jours, même si des tentatives pour cacher certains faits ont eu lieu depuis les années 1970, des chercheurs se battent toujours pour que la vérité se fasse sur cet endroit, l'un des plus mystérieux du continent nord-américain :

https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/des-tumulus-prehistoriques-de-5000-ans-etudies-en-nouvelle-angleterre-usa.html


 

" Giant Ball Lightning

June 8, 1977, Fishguard, Dyfed, West Wales. A brilliant, yellow green, trans-parent ball, the size of a bus with a fuzzy outline, floated down a hillside. Slowly rotating, it seemed to bounce off projections on the ground. It flickered out after 3 seconds.

(Jones, Ian; "Giant Ball Lightning," Journal of Meteorology U.K., 2:271, 1977.)

" Foudre Géante en Boule (YH : ou OVNI/apparition autre dimension/machine temporelle... ?)

8 juin 1977, Fishguard, Dyfed, Galles de l'Ouest. Une boule transparente, vert-jaune brillante, de la taille d'un bus avec un contour flou, flotta sur une colline. Tournant lentement, elle a semblé rebondir sur des aspérités sur le sol. Elle s'éteignit après 3 secondes.

(Jones, Ian; "Foudre Géante en Boule" Journal de la météorologie du Royaume-Uni, 2: 271, 1977.)


 

" Ghostly White Disk And Light Beam In Sky

June 22, 1976. 2113 GMT, position 24°N, 09'W. Officers aboard the s.s. Osaka Bay observed a pale orange glow coming from a cumulus bank to the west. At 2115, a ghostly white disk appeared above the cloud bank and began expanding. Ten minutes later, the disk had grown to the point where the lower edge touched the horizon and the upper edge reached an elevation of 24° 30'. As the disk sank below the horizon a searchlight-like beam emerged from the clouds. The disk disappeared completely by 2140, but the light beam remained another five minutes.

(Moore, R.; "Unidentified Phenomenon," Marine Observer, 47:66, 1977.) "

" Un disque blanc fantomatique et un faisceau lumineux dans le ciel "

" 22 juin 1976. 21h13 GMT, position 24 ° N, 09°O. Des officiers à bord du S.S. Osaka Bay ont observé une lueur orange pâle provenant d'un banc de cumulus à l'ouest. A 21h15, un disque blanc fantomatique est apparu au-dessus du banc de nuages et a commencé à s'élargir. Dix minutes plus tard, le disque avait grandi au point où le bord inférieur touchait l'horizon et le bord supérieur atteignait une altitude de 24 ° 30 '. Pendant que le disque coulait sous l'horizon, un faisceau de projecteur a comme émergé des nuages. Le disque a complètement disparu vers 21h40, mais le faisceau lumineux est resté cinq minutes encore. "

(Moore, R .; "Phénomène non identifié», Marine Observer, 47:66, 1977.)

(Yves Herbo : il semble improbable que des officiers de marine confondent un coucher de soleil ou des rayons de ce dernier passant à travers des nuages... alors, qu'était-ce ?)


 

" Stone Circles In Saudi Arabia

Enigmatic circular stone formations reminiscent of those in Europe are found on remote hilltops and valleys throughout Saudi Arabia. The rings are 5 to 100 meters in diameter and are surrounded by stone walls a foot or two tall. Some of the rings have "tails" that stretch out for hundreds of meters. From the air, the patterns have a striking resemblance to designs etched in Peru's Nazca plateau. Little is known about the circles and virtually nothing about their purpose.

(Anonymous; "Saudis Seek Experts to Solve a Desert Mystery," Kayhan International, p. 7, January 1, 1978.)

" Des cercles mégalithiques en Arabie Saoudite "

" Des énigmatiques formations circulaires en pierre qui rappellent celles de l'Europe se trouvent sur des collines et des vallées reculées à travers l'Arabie Saoudite. Les anneaux ont de 5 à 100 mètres de diamètre et sont entourés par des murs en pierre d'un pied ou deux (30 à 60 cm) de hauteur. Certains des anneaux ont des «queues» qui s'étendent sur des centaines de mètres. Du ciel, les modèles ont une ressemblance frappante avec des dessins gravés dans le plateau de Nazca au Pérou. On connaît peu ces cercles et pratiquement rien sur leur but.

(Anonyme;. "Les Saoudiens recherchent des experts pour résoudre un mystère du désert," Kayhan International, p 7 1 Janvier, 1978.)

(Yves Herbo : j'ai parlé de ces découvertes encore assez récemment : cet article prouve que leur découverte date de plusieurs décennies ! - le plateau de Nasca au Pérou aurait-t-il vraiment un rapport avec le Moyen-Orient ? on a trouvé aussi un énorme cercle et des structures en Syrie : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/les-cercles-et-le-tumulus-de-rogem-hiri-en-syrie.html)


 

" Scientifically Acceptable Fossil Footprints "

" Mary Leakey has announced the discovery of fossil footprints made by prehuman ancestors more than 3.5 million years ago at Laetolil, 25 miles southwest of Olduvai Gorge in Tanzania. The hominoid had apparently walked across slightly moist sand, and the prints were soon filled with volcanic ash. The prints were made by feet shorter and wider than those of modern humans; but the big toe definitely points forward and is not splayed as in apes. "

(Anonymous; "Footprints in the Sands of Time," New Scientist, 77:483, 1978.)

" Des empreintes fossiles scientifiquement acceptables "

" Mary Leakey a annoncé la découverte d'empreintes fossiles faites par des ancêtres pré-humains il y a plus de 3,5 millions années au Laetolil, à 25 miles au sud-ouest de la gorge d'Olduvai en Tanzanie. L'humanoïde a apparemment marché dans le sable légèrement humide, et les traces ont été rapidement remplies de cendres volcaniques. Les empreintes ont été faites par des pieds courts et plus larges que ceux de l'homme moderne, mais le gros orteil pointe définitivement vers l'avant et n'est pas vers le côté comme ceux des singes ".

(Anonyme, "Empreintes de pas dans les Sables du Temps," New Scientist, 77: 483, 1978.)


 

" Radio Signals From The Stars "

" Curious signals have been picked up from 12 stars by the 300-foot radio telescope at Green Bank, WV. The signals took the form of strong bursts at a wavelength of 21 cm, one of the wave-lengths characteristic of the hydrogen molecule. Unfortunately, the signals were so short that their information content, if any, could not be recorded. Since the bursts were not repeated (except for a second burst from Barnard's Star), some natural phenomenon may be at work rather than intelligent communicators, who would presumably be more persistent. The peculiar signals, which have never been recorded before, were discovered as part of Project Ozma II, in which radio astronomers have been listening to 21-cm radio waves from hundreds of nearby stars.

(Anonymous; "Possible Messages from Space Reported," Baltimore Sun, January 29, 1978.) "

" Des signaux radio des étoiles "

De curieux signaux ont été enregistrés à partir de 12 étoiles par le radiotélescope de 300 pieds de Green Bank, Virginie-Occidentale. Les signaux ont pris la forme de salves fortes sur une longueur d'onde de 21 cm, une des caractéristiques des longueurs d'onde de la molécule d'hydrogène. Malheureusement, les signaux étaient si courts que le contenu de leur information, le cas échéant, pourrait ne pas être enregistré. Depuis, les rafales ne se sont pas répétées (sauf pour une seconde salve de l'étoile de Barnard), un phénomène naturel peut être au travail plutôt que des communicateurs intelligents, qui seraient sans doute plus persistants (?). Les signaux particuliers, qui n'ont jamais été enregistrés auparavant, ont été découverts dans le cadre du Projet Ozma II, durant lequel les radioastronomes ont écouté les ondes radio de 21 cm à partir de centaines d'étoiles à proximité.

(Anonyme, "Messages possibles de l'espace enregistrés," Baltimore Sun, 29 Janvier 1978.)


 

"Marsh gas or the planet venus ? "

" October 16, 1976. Aboard the m.t. Farnelia, Barents Sea fishing grounds. Observers, Skipper H. Powdrell and Mr. G. Christmas, Radio Officer.

"At 2307 GMT while I was visiting the wheelhouse, the Skipper pointed out to me an object flying across the sky. It had already been in view for some five minutes or more and was first observed on a bearing of 140°T heading due North. I first sighted it on a bearing of 050°T.
"Observation was constantly kept by myself and the Skipper with the aid of binoculars from the time I first sighted the object. It could be described as being a brilliant light travelling at a very high altitude, leaving a bright Vshaped trail of rays which could be likened to the sun's rays as they would appear from behind a cloud. However, they were very much smaller due to the height and were also horizontal. The object followed a course from south to north to be astern of us at 2308. It then commenced to come back along its course while losing altitude. I would point out here that there was no visual evidence of the object actually turning back but rather as though it had been put into reverse.

"The appearance and shape of the object was now changed, becoming totally circular in shape, still losing height and coming closer. The outer edge of the circle I would describe as glowing and within that was another circular object, more intense, and within that was a brilliant pulsating white light as when the object was first sighted. The object reached its closest point to us by 2317 on a bearing of 040°T.

"The object stayed in this position for approx. two minutes and then vanished within the outer glow, this glow finally fading from our sight also. At 2320 nothing was left to be seen of either the object or the glow.

"I have tried to reproduce what the Skipper and I saw in sketch form. The object was also seen by several other vessels who were fishing in the area with us. The night was fine with a small amount of low cloud, a quarter moon and an average number of stars. Position of ship: 69° 56'N, 33° 46'E."

(Powdrell, H.; "UFO," Marine Observer, 47:177, 1977.)

" Gaz des marais ou la planète Vénus ? "

16 octobre 1976. À proximité du M.T. Farnelia, lieux de pêche en mer de Barents. Les observateurs, le skipper H. Powdrell et M. G. Noël, agent de Radio.

"A 23h07 GMT alors que je visitais la timonerie, le Skipper m'a fait remarquer un objet volant dans le ciel. Il avait déjà été en vu pendant environ cinq minutes ou plus et a d'abord été observé sur un relèvement à 140 ° T cap plein nord en premier. je l'ai aperçu sur un relèvement à 050 ° T.

"L'observation a été constamment faite par moi-même et le Skipper à l'aide de jumelles à partir du moment où j'ai d'abord aperçu l'objet. Il pourrait être décrit comme étant une lumière brillante se déplaçant à une très haute altitude, laissant une traînée lumineuse en forme de V et des rayons qui pourraient être comparés aux rayons du soleil, comme s'ils apparaîtraient par derrière un nuage. Cependant, ils étaient beaucoup plus petits en raison de la hauteur et étaient également horizontaux. L'objet a suivi une trajectoire du sud au nord pour être derrière nous à 23h08. Il a ensuite commencé à revenir sur son parcours tout en perdant de l'altitude. J'aimerais souligner ici qu'il n'y avait aucune preuve visuelle que l'objet ait fait un demi-tour, mais plutôt comme si il avait été mis en marche arrière."

"L'apparition et la forme de l'objet ont changé, devenant totalement de forme circulaire, en perdant encore de l'altitude et en se rapprochant. Je décrirais le bord extérieur du cercle comme incandescent et avec un autre objet qui était circulaire, plus intense et, avec une lumière blanche pulsante brillante, comme quand l'objet a été aperçu la première fois. L'objet a atteint son point le plus proche de nous vers 23h17 sur un relèvement de 040 ° T."

"L'objet est resté dans cette position pendant environ deux minutes puis a disparut dans une luminosité externe, cette lueur a finalement disparue de notre vue également. A 23h20, rien n'était plus visible, que ce soit l'objet ou la lueur.

«J'ai essayé de reproduire ce que le Skipper et ce que j'ai vu sous forme de croquis. L'objet a également été vu par plusieurs autres navires qui pêchaient dans la zone avec nous. La nuit était très belle avec une petite quantité de nuages ​​bas, un quartier de lune et un nombre moyen d'étoiles sur la position du navire:. 69 ° 56'N, 33 ° 46'E ".

(Powdrell, H .; "OVNI», Marine Observer, 47: 177, 1977.)

Ufo marins merdebarents


 

" Extraterrestrial Influences On Chemical And Biological Systems "

Conventional science shows little interest in the subject indicated by the title, except for some work that is done on circadian rhythms. However, readers of the journals Cycles and the Journal of Interdisciplinary Cycle Research are treated regularly to a wide variety of purported correlations of biological systems with solar and other extraterres-trial influences. The present paper suggests that extraterrestrial forces influence the earth's weather which, in turn controls physiological processes. The physiological processes studied include blood precipitation rate and blood hemoglobin values. Also mentioned are Piccardi's precipitation-rate experiments that seem to show a highly variable behavior of simple chemical systems that bear no obvious relationship to weather conditions. Tromp concludes from these data that unknown forces, probably extraterrestrial in nature, act upon the earth and its inhabitants.

(Tromp, Solco W.; "Study of Possibly Extraterrestrial Influences on Colloidal Systems and Living Processes on Earth," Cycles, 28:34, 1977.)

" Influences extraterrestres sur les systèmes chimiques et biologiques "

" La science conventionnelle montre peu d'intérêt pour le sujet indiqué par le titre, sauf pour certains travaux qui se font sur les rythmes circadiens. Toutefois, les lecteurs des revues Cycles et la Revue de recherche interdisciplinaire de Cycles sont informés régulièrement sur une grande variété de corrélations prétendues des systèmes biologiques avec des influences solaires et d'autres raisons extraterrestres. Le présent document suggère que des forces extraterrestres influencent la météo de la terre qui, à son tour, contrôle des processus physiologiques. Les processus physiologiques étudiés comprennent le taux de précipitation du sang et les valeurs d'hémoglobine dans le sang. Sont également mentionnées les expériences de précipitations aux taux de Piccardi qui semblent montrer un comportement très variable des systèmes chimiques simples qui n'ont aucun rapport évident avec les conditions météorologiques. Tromp conclut de ces données que des forces inconnues, probablement de nature extraterrestre, agissent sur la Terre et ses habitants. "

(Tromp, Solco W .; "étude des influences extraterrestres éventuelles sur les systèmes colloïdaux et les processus vivants sur Terre," Cycles, 28:34, 1977.)


 

A suivre pour d'autres pages...

 

Yves Herbo Traductions, Sciences, Faits, Histoires, 26-03-2015

 

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Gros impact sur l'hémisphère nord il y a 12 900 ans

Par Le 25/03/2015

Gros impact sur l'hémisphère nord il y a 12 900 ans - MAJ 03-2015

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Une équipe de chercheurs internationale composée de 18 membres a découvert de nouvelles preuves passionnantes qui soutiennent la théorie selon laquelle un impact extraterrestre a eu lieu il y presque 13 000 ans. Preuves en sont les matériaux découverts dans une fine couche de pierre sédimentaire en Pennsylvanie et en Caroline du Sud aux États-Unis et en Syrie. Nous pouvons distinguer ces matériaux car à l'époque où ils ont été créés, ils ne pouvaient être formés qu'à une température de 1 700 à 2 200 degrés Celsius suite à l'impact d'un corps cosmique sur la Terre. Tout ces éléments soutiennent l'hypothèse controversée du Dryas récent (YDB, Younger Dryas Boundary). L'enquête a été publiée au Royaume-Uni, dans la revue PNAS.

Selon l'hypothèse du Dryas récent, également connue sous l'appellation de l'hypothèse de la comète de Clovis, une grande explosion ou un impact sur Terre d'un ou de multiples objets de l'espace aurait marqué le début de la période froide du Dryas récent il y a quelque 12 900 ans. L'événement correspondrait plus ou moins à l'extinction majeure de la mégafaune nord-américaine, y compris les mammouths et les primates géants, et la disparition de la culture préhistorique et celle de Clovis largement diffuse. Cette théorie n'a pas porté beaucoup de fruits; une des raisons était le manque de données de confirmation. Cette nouvelle découverte, toutefois, semble soutenir fortement l'hypothèse controversée du Dryas récent.

« Ces scientifiques ont identifié trois niveaux contemporains il y a plus de 12 000 ans, sur deux continents produisant des objets siliceux ressemblant à des scories (SLO, scoria-like objects)», affirme H. Richard Lane, directeur de programme de la section des Sciences de la Terre de la National Science Foundation américaine, qui a financé la recherche. « Les SLO indiquent des explosions/impacts cosmiques à haute énergie, qui soutiennent l'avis selon lequel ces événements ont constitué le commencement du Dryas récent. Cette époque a été un départ majeur dans l'histoire biotique, humaine et climatologique.»

La confirmation de ce fait est étayée par le fait que le quartz fondu apporte des preuves morphologiques et géochimiques, qui indiquent que le matériau n'est ni cosmique, volcanique ni d'origine anthropique. « Les températures très élevées de quartz fondu semblent identiques à celles produites lors d’événements d'impact cosmique connus tels que le cratère de météorite en Arizona, et le champ de tectite australasien», affirme James Kennett, professeur des sciences de la Terre à l'université de Santa Barbara (Californie) aux États-Unis.

«Le matériau fondu concorde également avec le quartz fondu à l'issue de l'explosion nucléaire en 1945 à Socorro, au Nouveau Mexique», poursuit-il. «Les températures extrêmes requises sont égales à celles d'une explosion de bombe atomique, suffisamment élevées pour faire fondre et bouillir du sable

D'après les chercheurs, les preuves matérielles soutenant l'hypothèse de l'impact cosmique du Dryas récent touchent trois continents, couvrant presque un tiers de la planète, depuis la Californie à l'Europe de l'Ouest, et au Moyen-Orient. La découverte étend la gamme de preuves en Allemagne et en Syrie, le point le plus à l'Est jamais identifié dans l'hémisphère nord. Les chercheurs ont désormais identifié une limite au champ de débris de l'impact.

«Étant donné que ces trois sites en Amérique du Nord et au Moyen-Orient sont séparés de 1 000 à 10 000 kilomètres, il y avait probablement 3 ou plus épicentres majeurs d'impact/explosion pour l’événement d'impact du Dryas récent, probablement causé par un ensemble d'objets cosmiques qui étaient des fragments soit de météorite soit de comète », affirmait le professeur Kennett.

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Moissan est né à Paris en 1852, doctorat de chimie en 1880, il découvrit aussi le Carbure de Silicium(Carborundum) la Moissanite. Il avait découvert en 1904 ce nouveau minerai à l état naturel en analysant une météorite du Canyon Diablo en Arizona. A cet endroit, il y a environ 49500 ans, une plaine parfaite s'étendait, venant de l espace à une vitesse de 70000Km/h une météorite de Nickel et de fer qui pesait des millions de tonnes, frappa le sol dans un bruit infernal et une lumière aveuglante. Pire qu'une explosion nucléaire, l'explosion créa dans un premier temps un champignon qui s'éleva jusqu'a la stratosphère, et qui déclencha une pluie de débris du météore et de la terre mélangés. Rien ne put survivre aux alentours, ce qui explique l'aspect désertique de la région. Le cratère culmine à l'heure actuelle, malgré l'érosion, à 50 mètres au dessus du sol, le fond se situe à -175 mètres, la circonférence du cratère est de 5 kilomètres environ. :

Suite :

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Egypte : l'Etrange à Nazlet

Par Le 24/03/2015

Egypte : l'Etrange à Nazlet

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Encore et toujours l'Egypte diront certains ! Et oui, j'y reviens tôt ou tard car c'est évidemment l'un des endroits où le Mystère est né. Tout y est présent, du mystère de la création au mystère de l'éternité en passant par celui de la quête de l'éternelle jeunesse... les ingrédients sont multiples, encore ressentis dans l'ombre des pyramides et les souterrains du Sphinx, des cryptes et tombes géantes des Osiris à Saqqara aux chapelles de Dandérah... Les grands savants égyptiens, comme Imhotep ou Amenhotep, ont-ils laissé en héritage un savoir millénaire lié à la non-mort, à l'immortalité et la source de jouvence ? Il ne peut y avoir de hasard dans le pays qui a été arpenté par l'Eternel lui-même, ses nuées et ses anges-messagers ou guerriers, et tous ces rois et pharaons en quête de l'ultime savoir,de la liqueur divine, et Nemrod, Antioche, Alexandre le Grand, et des Grecs aux Romains en passant par les Perces. Même les Papes et Templiers ont pris le relais de la quête, ensuite...

Mais cette fois, nous allons nous intéresser à un endroit précis et peu connu du public. C'est pourtant un endroit où de grandes découvertes - et mystères - se sont produits en Egypte. Un endroit probablement important, sinon pour l'humanité, tout au moins pour une probable entité qui y a demeuré et dont on trouvait encore récemment des traces. Des traces que l'être humain a peut-être préféré effacer de lui-même, par crainte, par bêtise ou par inconscience... Mais voyons où tout ça nous mène, même si ça nous approche beaucoup des limites de la conscience...

Nazlet khater

Nazlet Khater est une série de huit sites archéologiques ayant eu des occupations humaines aux Paléolithique moyen et supérieur, situés en Egypte, au bord du désert et au bord de la vallée du Nil, près du village de Nazlet Khater. La plupart des sites sont associés à des activités minières intermittentes commençant il y a 40.000 ans. Le plus largement déclaré des huit sont Nazlet Khater 2 (NK2), une sépulture d'un être humain moderne des débuts datée par résonance de spin électronique à il y a 38000 années, et NK4, une carrière de chert (calcédoine de quartz) datée du Paléolithique supérieur d'il y a 30,000-33,000 année rcybp (soit 35,000 -40 000 ans calibrés avant maintenant).

NK2: Tombe du Paléolithique supérieur

NK2 est l'enterrement délibéré d'un homme adulte en position couchée, trouvé au sommet d'une colline à environ 250 mètres (825 pieds) de la carrière la plus proche. Le squelette est presque complet, bien que la partie inférieure de son corps ne soit pas aussi bien conservé que la partie supérieure. La résonance de spin électronique sur l'émail des dents date cette sépulture à 38.000 ans avant maintenant, et certaines preuves associent directement cette sépulture aux activités minières à NK4. Une importance particulière est le crâne bien conservé, qui présente des caractéristiques morphologiques suggérant une relation proche avec des squelettes européens du Paléolithique supérieur, comme à Pestera cu Oase en Roumanie.

L'examen des os du squelette dans les années 1980 a indiqué qu'il n'était pas un homme de Neandertal, mais plutôt un homme moderne d'environ 165 centimètres (65 pouces) de hauteur et avait des bras très forts. L'examen a également conclu que l'homme avait subi des dommages considérables à ses vertèbres tout au long de sa vie, suggérant aux chercheurs qu'il avait travaillé dans les mines pour la plupart de sa vie. A son oreille droite a été placée une herminette Nazlet Khater, semblable à celles utilisées dans les mines du Paléolithique supérieur, au NK4. Certains chercheurs ont fait valoir que l'herminette était intrusive, plutôt qu'un ustensile de carrière, bien que les dates de la mine de silex soient contemporaines de l'enterrement. La fosse de la tombe a été creusée sur environ 60 cm (23 po) sous la surface et le corps était recouvert de plusieurs blocs, et remblayée avec du sable éolien. NK2 est le plus ancien humain moderne adulte entièrement complet, identifié en Afrique du Nord à ce jour. En tant qu'un individu du Paléolithique supérieur, et compte tenu de la relation à Pestera cu Oase, l'individu NK2 représente un indice important sur la migration de l'homme hors de l'Afrique et en Europe.

NK4: Mines au Nazlet Khater

NK4 est un site de carrières du Paléolithique supérieur, où les gens ont exploité du chert, la matière première pour la production d'une industrie de l'outillage en pierre de la lame. Les fouilles ont identifié plusieurs méthodes d'extraction utilisées pour le silex minier, y compris les fossés, les puits verticaux et des galeries souterraines. Les outils utilisés pour extraire le minerai étaient des cornes de bubales et des corne de gazelles, des pioches et des herminettes lithiques (en pierre) bifaces (le type Nazlet Khater, dont l'une a été découverte près de la sépulture NK2). Des restes de foyers dans la région ainsi que du charbon de bois dispersé dans les fouilles des mines ont produit des datations au radiocarbone comprises entre 30,400-35,100 ans avant maintenant.

Preuve de l'exploitation minière

Le silex a été extrait d'un dépôt de relique de canal de gravier de la rivière du Nil, situé à la base de quelques 1-2 mètres (3-7 pieds) de sable éolien. Au sommet du dépôt de gravier se trouve 10 cm (4 po) d'épaisseur de couche de calcrete. Trois travaux miniers ont été identifiés et associés à l'occupation du Paléolithique supérieur : des tranchées, des puits verticaux et des galeries souterraines. Une tranchée mesurant 9x2 m (30x7 foot) a été excavée à 1,5 m (5 pi) dans l'oued. Des puits verticaux ont été creusés jusqu'au décalage du canal et s'élargissaient en forme de cloche à la base. La couche de calcrete a permis l'excavation relativement sûr de courtes galeries menant vers l'extérieur à partir des deux fosses en forme de cloche et la tranchée. Un sol utilisé au NK4 a donné de nombreux fragments d'os et un grand assemblage d'outils de pierre, de noyaux, de flocons et de copeaux. L'industrie est typiquement une industrie de la lame prismatique, avec quatre techniques de réduction identifiées sur la base de la forme plate et de la taille. Le débitage qui pourrait être attribué à la technique Levallois était présent dans l'assemblage de pierres, mais ne représente qu'une infime partie des matériaux lithiques. Les lithiques ont été reliés typologiquement à Haua Fteah en Libye et Boker Tachtit en Israël. " Plusieurs éléments permettent de penser que ces sites miniers possédaient des fonctions spécifiques et qu’ils n’étaient pas seulement utilisés de manière opportuniste, mais qu’une réelle organisation socio-économique favorisait leur exploitation " (Van Peer & Vermeersch, 2000).

Archéologie à Nazlet Khater

Les huit sites de Nazlet Khater ont été excavés entre les années 1970 et 1980 par le Projet préhistorique belge de la Moyenne Egypte de l'Université de Louvain sous la direction du Professeur M Vermeersch. Des recherches supplémentaires sur les artefacts et les restes humains ont continué depuis ce temps.

Sources : Bouchneb L, and Crevecoeur I. 2009. The inner ear of Nazlet Khater 2 (Upper Paleolithic, Egypt). Journal of Human Evolution 56(3):257-262. Crevecoeur I, and Trinkaus E. 2004. From the Nile to the Danube: a comparison of the Nazlet Khater 2 and Oase 1 Early Modern Human mandibles. Anthropologie 62(3):203-213. Hublin J-J, and Klein RG. 2011. Northern Africa could also have housed the source population for living humans. Proceedings of the National Academy of Sciences 108(28):E277. Leplongeon A, and Pleurdeau D. 2011. The Upper Palaeolithic Lithic Industry of Nazlet Khater 4 (Egypt): Implications for the Stone Age/Palaeolithic of Northeastern Africa. African Archaeological Review 28(3):213-236. Pinhasi R, and Semal P. 2000. The position of the Nazlet Khater specimen among prehistoric and modern African and Levantine populations. Journal of Human Evolution 39(3):269-288. Thoma A. 1984. Morphology and affinities of the Nazlet Khater man. Journal of Human Evolution 13(3):287-296. Vermeersch PM, Gijselings G, and Paulissen E. 1984. Discovery of the Nazlet Khater man, Upper Egypt. Journal of Human Evolution 13(3):281-286. Vermeersch PM, Paulissen E, Gijselings G, Otte M, Thoma A, Van Peer P, and Lauwers R. 1984. 33,000-yr old chert mining site and related Homo in the Egyptian Nile Valley. Nature 309(5967):342-344.

Nazlet man

" La position chronologique de ce spécimen le place au centre d'un hiatus de près de 35 000 ans pour lequel aucun reste humain n'a été exhumé dans la vallée du Nil et en fait le plus ancien homme moderne adulte de l’OIS 3 au nord de l’Afrique. Pour la première moitié de cette période, et à notre connaissance, c’est également le seul squelette d’adulte moderne sub-complet de tout le continent africain, voire de l’ancien monde. Seuls les restes partiels immatures de l’enfant de Taramsa (Vermeersch et al. 1998) sont plus anciens. "

" Agé entre 20 et 29 ans à sa mort. L’étude des atteintes pathologiques du rachis et des membres de Nazlet Khater 2 témoigne, considérant l’âge au décès de cet individu, d’activités physiques intenses et spécialisées (port de charges lourdes, mouvements répétitifs du membre supérieur,…) En outre, toutes les lésions que présente ce squelette sont compatibles avec l’hypothèse archéologique de pratiques minières intensives et spécialisées au début du Paléolithique supérieur dans la vallée du Nil. Ces résultats paléopathologiques sont en corrélation avec les observations morphométriques réalisées sur le membre supérieur et inférieur. Elles suggèrent une résistance du membre supérieur à des contraintes biomécaniques fortes dans tous les plans et une adaptation morphologique de certaines parties pour favoriser des mouvements de grande amplitude. Le membre inférieur refléterait lui une baisse de la mobilité. Toutes ces observations vont dans le sens de l’existence de pratiques spécialisées et par conséquent d’une organisation sociale complexe permettant une telle répartition des tâches. L’étude des restes humains de Nazlet Khater 2 confirme la complexité morphologique des hommes modernes du stade isotopique 3. Cet individu présente une mosaïque de traits dérivés et archaïques dont la combinaison n’est exprimée par aucun des échantillons modernes, actuels ou passés, que nous avons étudiés. "

Géologie de la Vallée du Nil (extraits)

Au Miocène final, la mer Rouge n’était qu’une étroite dépression longitudinale et les plateaux équatoriaux d’Afrique de l’est étaient élevés et sans lac. Le drainage de ces plateaux se faisait principalement vers le Bassin du Congo ou l'océan Indien, mais aussi vers le grand lac Sudd qui occupait une importante partie du Bassin du Nil actuel. A cette époque, le Nil ancestral, l’Eonil, s’écoulait selon un axe voisin de celui du fleuve moderne (Said, 1993). Il mit un certain temps pour tracer son cours à travers les hauts massifs nubiens qui séparaient l'Égypte de l’Afrique sub-saharienne et pour rejoindre le bassin méditerranéen (Butzer, 1980 ; Said, 1990).

Le creusement rapide de la vallée du Nil en Égypte s’est produit en réponse à un évènement unique au Miocène final (8 – 5 Ma) : l’assèchement de la Méditerranée suite à l’élévation du détroit de Gibraltar (Hsü et al., 1973) (YH : et qui a duré dans sa phase maximale au moins 600.000 ans !). Ce phénomène entraîna un creusement très important des vallées des rivières qui s’y jetaient. Dans le cas de l’Eonil, la profondeur du chenal atteignit jusqu’à 4 km de profondeur dans la partie nord de son cours (Butzer, 1980 ; Said, 1993). Au début du Pliocène (5 Ma), la mer Méditerranée fut à nouveau connectée à l'Atlantique et le canyon nilotique néoformé fut rempli par les eaux montantes et converti en golfe jusqu’à Assouan (Butzer, 1980). Une nouvelle rivière, le Paléonil, se fraya un chemin dans le golfe et le remplit de sédiments de sorte que ce dernier fut progressivement converti en estuaire puis en véritable chenal (Said, 1990 & 1993). Cette phase pendant laquelle le Nil devint un système de rivières intégrées avec des conditions hydrographiques proches, mais différentes du modèle actuel, a perduré jusqu’au Pléistocène moyen (de Heinzelin & Paepe, 1964 ; Butzer & Hansen, 1968 ; Said, 1993).

Les dépôts de l’Eonil et du Paléonil sont connus seulement en profondeur. Ceux de l’Eonil sont constitués d’une couche de sable grossier provenant de l’érosion des roches du Crétacé et de l’Eocène d'Égypte et d’une couche supérieure d’évaporites corrélée à l’assèchement de la Méditerranée (Said, 1990). Les lits du Paléonil, datés du Pliocène final, comprennent des couches inter-stratifiées d’argile, de silt laminaire et de sable fin. Leur composition minéralogique et lithologique indiquent des conditions de forte humidité en Égypte due à la présence d’une couverture végétale importante (Said, 1990).

Le début du Pléistocène (1,8 Ma) est marqué par une période de grande aridité qui transforma l'Égypte en véritable désert et le Paléonil s’arrêta complètement de fonctionner. Cet épisode d’aridité fut interrompu par l’intrusion d’une rivière très compétente, le Protonil. Ses dépôts sont constitués de galets et graviers en quartz (formation d'Idfu) qui dérivent de sources locales (Said, 1990). Un peu plus tard pendant le Pléistocène inférieur, un court épisode pluvial se produisit. Il vit le dépôt des conglomérats de la formation d’Armant (Said, 1990).

L’événement le plus important dans l’histoire du Nil s’est produit vers 800 – 700 Ka au début du Pléistocène moyen. La réactivation de la grande Vallée du Rift africain provoqua un remodelage montagneux qui eut pour conséquence de rediriger le drainage des plateaux équatoriaux et éthiopiens vers le Nil. Ces mouvements terrestres ont également entraîné le développement du lac Tana, du principal Rift éthiopien ainsi que l’apparition du lac Victoria. Cet événement permit la création d’une nouvelle rivière, le Prénil, qui fut la première à posséder une connexion en Afrique sub-saharienne (Williams & Williams, 1980 ; Said, 1993). Les études des pollens, minéraux lourds et sédiments des alluvions du Nil suggèrent que la connexion entre le Nil Blanc, le Nil Bleu, l’Atbara (affluent majeur du Nil principal, au nord de Khartoum) et le Nil égyptien était bien établie au Pléistocène moyen (Rossignol, 1962 ; Bartolini et al., 1975 ; Hassan, 1976). Le Prénil charriait une énorme quantité de sables et de graviers et est à l’origine du paysage actuel de la vallée et du delta du Nil (Butzer, 1980; Said, 1993). Ses dépôts sont le résultat d'inter-stratifications massives de sables d’origine fluviatile et éolienne et constituent la formation de Qena (Said, 1990).

De 400 Ka à nos jours, le Néonil prit le relais du Prénil et sa connexion avec les sources africaines devint plus ténue et sporadique (Said, 1993). La transition entre le Prénil et le Néonil est marquée par une discordance et une longue régression au niveau sédimentaire (Said, 1990). Le Prénil et son flot vigoureux furent remplacés, suite à une détérioration climatique liée à la glaciation de Mindel en Europe, par des rivières éphémères se nourrissant des précipitations locales (Said, 1993). En effet, en période glaciaire, le déplacement du front polaire vers le sud conditionne en grande partie le degré d’humidité en Afrique du nord. Il semble que durant cette période plus froide et sèche, le mouvement vers le sud fut très important et le front des pluies tropicales n’atteignait plus les plateaux éthiopiens. La conséquence directe fut la perte de la connexion africaine du Nil et sa transformation en une rivière beaucoup moins vigoureuse (Said, 1993). Le Néonil, qui perdure toujours actuellement, présente un intérêt particulier puisqu’il a été contemporain des vestiges les plus nombreux de l’occupation humaine en Égypte et en Nubie. Les dépôts de cette rivière sont caractérisés par 4 épisodes principaux d’aggradation séparés par des phases de récession (Said, 1990).

Le premier épisode (entre 400 et 200 Ka) est associé aux phases humides d’Abbassia I et II et à la crise de Dandara qui s’y intercale. C’est durant cette crise que le Nil égyptien reprit sa connexion avec l'Éthiopie entraînant une rivière, l’α-Néonil ou la Dandara. Cette crise ne dura pas longtemps et l’α-Néonil fut remplacé à nouveau par des rivières éphémères au cours de l’Abbassia II (Paulissen & Vermeersch, 1987 ; Said, 1993). Les sédiments transportés par le Nil durant la crise de Dandara sont de granulométrie fine et contrastent avec les conglomérats, dérivés de la Mer Rouge, déposés par les rivières éphémères des phases humides d'Abbassia I et II (Paulissen & Vermeersch, 1987).

L’aggradation liée à la crise de Dandara est séparée des suivantes par une longue période de récession et une discordance marquée. Les dépôts de cette période de récession sont ceux de la formation de Korosko. Ils sont entrecoupés par deux périodes plus humides appelées Sahara I et II corrélées d’après Said (1990) aux stades isotopiques de l’oxygène (OIS) 6 et 5. Durant ces intervalles, des pluies d’hivers locales enrichirent le flot des rivières erratiques. Le débit du Néonil devint alors beaucoup plus régulier (Said, 1993). Les phases humides de Sahara sont corrélées avec la glaciation rissienne en Europe qui semble avoir modifié (tout comme celle de Mindel) le modèle de précipitations pour tout le continent africain (Said, 1993). Dans le désert, l’étude des lacs de Bir Sahara-Tarfawi (Wendorf et al., 1987 & 1990) a montré que les phases Sahara étaient beaucoup plus complexes qu’on ne l’imaginait avec au moins 5 sous-maxima.

Le troisième événement (de 70 à 10 ka) a commencé avec la dernière période glaciaire et s’est prolongé jusqu’au retrait des calottes glaciaires à l’Holocène. La glaciation a entraîné une diminution des précipitations en Afrique équatoriale, une aridification de la région du Sudd et l’obstruction du Nil Blanc par les dunes. Durant le stade isotopique 4 (vers 60 Ka), les lacs Pléistocène du Sahara disparaissent et les conditions climatiques pour l’homme deviennent très difficiles. Le désert, fréquenté durant les phases humides, est abandonné (Wendorf et al., 1993). Durant cette période, au moins deux rivières séparées par une phase de récession sont présentes, le β-Néonil (70 à 20 Ka) et le γ-Néonil (20 à 12 Ka). Elles prenaient leur source dans les massifs éthiopiens et leur débit était fortement lié à la mousson. Ces deux rivières saisonnières étaient sans doute sèches en hiver (Said, 1993). En effet, la présence très importante d’évaporites datées entre 40-25 ka le long du Nil Blanc suggère que les contributions des lacs d’Afrique de l’est ont dû être rares durant le Pléistocène final (Adamson & Williams, 1980). A la fin de la période glaciaire, l’augmentation des pluies sur les massifs éthiopiens, le nord du Soudan et le sud de l'Égypte a causé de grands changements dans la végétation. Cette nouvelle phase humide est appelée le Nabtien. Vers 12 Ka, les pluies sur les régions des lacs des plateaux équatoriaux ont impliqué, pour la première fois, la contribution des lacs Victoria et Albert dans le système de drainage du Nil (Adamson & Williams, 1980). Ce front de pluies a duré jusqu’il y a 6,5 ka et la nouvelle rivière, δ-Néonil, est devenue pérenne avec un régime similaire au Nil d’aujourd’hui (Said, 1993).

YH : Il ne s'agit ici que d'extraits de cette très intéressante étude/thèse de doctorat anthropologique de 2006, regroupant plusieurs êtres humains de la période du paléolithique supérieur découverts sur le site de Nazlet Khater en Egypte par Isabelle Crevecoeur (Isabelle Crevecoeur. ETUDE ANTHROPOLOGIQUE DES RESTES HUMAINS DE NAZLET KHATER (PALEOLITHIQUE SUPERIEUR, EGYPTE). Humanities and Social Sciences. Universite Sciences et Technologies - Bordeaux I, 2006-2008. French., disponible sur internet à ce lien :

https://tel.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/266294/filename/CREVECOEUR_ISABELLE_2006_1_.pdf

On ne peut s'empêcher de constater qu'en lisant la majorité des études anthropologiques concernant les premiers Homo Sapiens Sapiens et les derniers Hommes "archaïques", on retrouve le même point commun : tous nos ancêtres semblent affligés de maladies du développement ou des anomalies génétiques ou d'environnement, des pathologies diverses... de maladies (ou associées de nos jours comme telles) liées aux apparences physiques ou aux membres, à la posture et à la croissance (pour parler simplement)... cette étude de déroge pas à cette sorte de "règle" et constat mais on ne trouve pas par contre d'étude tentant d'expliquer cette uniformité, ce tronc commun des maladies ou anomalies parmi tous nos ancêtres liés à certaines périodes. La deuxième constatation est cette preuve liée à l'importance du travail minier pour les hommes préhistoriques du paléolithique, au point de le faire passer par-dessus l'intérêt de l'individu même (et sa santé, sa durée de vie). Et on le constate dans tous types de mines et en de multiples endroits. On peut concevoir que la fabrication des centaines d'outils retrouvés, pour chasser, se nourrir, se vêtir, était prioritaire pour les êtres humains de l'époque... mais plus que de vivre et d'être en santé ? Assez contradictoire. Ce qui surprend aussi, c'est le nombre élevé d'outils par rapport au nombre peu élevé d'ossements et de tombes retrouvés... cette "frénésie" minière est-elle a comparée avec les affirmations de certains traducteurs d'anciens textes sumériens sur l'esclavagisme des "anunakis" sur nos ancêtres, les forçant à extraire les ressources pour eux ? Ce n'est qu'une question incongrue pour certains, mais beaucoup de découvertes semblent aller dans ce sens... y compris les affirmations de manipulations génétiques de l'être humain, voir même de sa création artificielle. Comme le disent toutes ses études anthropologiques, la variété et différenciation de l'homme préhistorique était beaucoup plus grande et importante que celle de nos jours... n'est-ce pas une conséquence reconnue de manipulations génétiques ?

Mais le site de Nazlet Khater n'est pas seulement unique pour sa préhistoire et ses mines très anciennes (moins anciennes que celles d'Afrique du Sud tout de même, mais parmi les plus anciennes d'Egypte !), c'est bien pour ça que je vous en parle aujourd'hui :

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Nouvelle-Zélande : un mur trop agé ?

Par Le 23/03/2015

Nouvelle-Zélande : un mur trop âgé ?

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Cet article contribue et est en lien avec d'autres visibles sur ce site et qui concernent pareillement des "anomalies" situées dans le Pacifique, en Nouvelle-Zélande et en Australie, avec (entre autres) :

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/une-decouverte-archeologique-tenue-secrete-en-nouvelle-zelande-jusqu-en-2063.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-trouvailles-qui-genent.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/peche-en-haute-mer-il-y-a-42-000-ans.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/australie-l-empreinte-des-ancetres.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-egyptiens-anciens-en-australie-part-3.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/decouverte-de-l-entree-d-un-tunnel-antique-en-australie.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/les-mysteres-australiens-la-pyramide-gympie.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/le-dernier-age-de-glace-a-bien-failli-eliminer-tous-les-natifs-australiens.html

 

Qui a construit le mur de Kaimanawa ?

A quelques 30 kilomètres au sud du lac Taupo, en Nouvelle-Zélande, se dresse un site énigmatique de blocs de pierre. C'est visiblement un mur. Un mur construit par l'homme. Il est également visiblement très vieux; peut-être âgé de plus de 2000 années selon certains. Qui l'a construit ? Les passions sont fortes en Nouvelle-Zélande, où trois hypothèses sont avancées :

- Le mur aurait été construit il y a 2000 ans par les premiers colons de la Nouvelle-Zélande, les Waitahas, qui ont ensuite été presque exterminés par les Maoris, qui sont arrivés il y a seulement 800 ans. Il y a des problèmes politiques avec cette théorie, car les Maoris insistent sur le fait qu'ils sont les Néo-Zélandais d'origine, les premiers donc, et sont donc, pour cette raison, indemnisés aujourd'hui pour leurs terres expropriées par les Européens ultérieurs.

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- Le mur est simplement ce qu'il reste d'une ancienne scierie (hypothétique) construite il y a seulement 50 ans environ.

- Le mur est tout simplement une formation rocheuse naturelle qui s'est rarement formée en divisant soigneusement le roc en blocs rectangulaires - comme ces dalles de roches de plage qui composent la controversée "route" de Bimini dans les Bahamas...

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L'argument d'une formation "naturelle" n'est soutenue que par le fait que ces roches volcaniques ne dateraient que de 330.000 ans environ... ce qui ne veut pas dire grand chose car une découpe artificielle ne peut être datée précisément de toute façon... (03-05-1996-NZ Herald)

B. Brailsford, de Christchurch, a été l'enquêteur en chef sur la paroi de Kaimanawa, aidé par l'Americain DH Childress, et d'autres. Les pierres qui composent le mur sont des blocs de 4 tonnes de ignimbrite, une roche volcanique tendre qui auraient pu être facilement travaillée avec des outils de pierre. Le mur est surmonté d'un hêtre rouge de 2,9 mètres de circonférence et de plus d'un mètre d'humus accumulé. Selon Brailsford, qui a été interviewé par le Listener :

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Investigating New Zealand's Kaimanawa wall. The stone blocks do seem to be too regular to be a natural formation. B. Brailsford (above), D. H. Childress (below). (Crédit photo T. Brown)

" Il ne fait aucun doute que les pierres ont été découpées. Les quatre pierres apparentes ressortant à l'avant de la paroi sont uniformes, de 1,6 mètres de haut et 1 mètre de large. Dans un endroit où il pouvait insérer son bras dans une cavité de racine montante on peut toucher la face arrière d'un bloc, et la face avant d'une rangée suivante (une double rangée donc, la deuxième invisible).  Les faces étaient étrangement lisses, sans marques de scie ou d'herminettes. Les interstices où les blocs se joignent étaient minces comme une lame de couteau... Plus haut sur la colline, les sommets des autres pierres dépassent, suggérant qu'une structure plus vaste a été enterrée dans la colline."

Soutenant la thèse selon laquelle un peuple pré-Maoris vivaient en Nouvelle-Zélande, existent les os de kiore, un type de rat étranger à la Nouvelle-Zélande (originaire de l'Asie du Sud-Est), qui a probablement été introduit par les premiers colons. Certains os de kiore ont été datés comme étant âgés de plus de 2000 années - des siècles avant que les premiers Maoris soient arrivés.

Inutile de le dire, les archéologues et les anthropologues de Nouvelle-Zélande ne sont pas désireux de réviser radicalement leur paradigme fondamental attribuant la découverte et la colonisation de la Nouvelle-Zélande aux Maoris. Mais Brailsford et Childress sont encore plus iconoclastes : Ils suggèrent des liens vers une culture pré-polynésienne ; une culture qui a laissé des structures mégalithiques similaires ailleurs dans le Pacifique et le long de la côte ouest de l'Amérique du Sud...

RéférencesChapple, Geoff; "Megalith Mystery," Listener, p. 28, May 4, 1996. Anonymous; "Kaimanawa Wall a Natural Volcanic Rock Formation," New Zealand Herald, May 4, 1996. Wellwood, Elinore; "Experts Argue over Wall's Origins," Waikato Times, May 8, 1996. Cr. T. Brown; Science Frontiers #107, SEP-OCT 1996, William R. Corliss

Bon, comme d'habitude, il est difficile d'affirmer à 100% que ce mur est artificiel ou naturel, et les géologues le reconnaissent volontiers car ils savent que des erreurs ont été commises dans le passé dans un sens ou dans l'autre : la pierre est une matière naturelle qui peut aussi bien être façonnée par la nature que par l'homme, et on sait que ce dernier a souvent accentué ou accompagné un premier "travail" effectué par la nature... il n'est donc pas impossible du tout qu'une paroi en partie naturelle ait été retravaillée et continuée par l'homme quand il est arrivé sur place... Il est avéré que d'autres découvertes archéologiques en Nouvelle-Zélande jettent le doute sur les réelles dates d'arrivée de l'homme dans la région, et le réel secret et dates de divulgation de certaines découvertes sur 80 années dans le futur n'ont pas été démenties par le gouvernement...

 

Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 23-03-2015 

Denderah ampoule

Les Lampes de Denderah

Par Le 22/03/2015

Les Lampes de Dendérah

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Les lampes de Dendérah sont ce qu'on pourrait définir comme de parfaits OOParts réels, à savoir un ou plusieurs objets historiques, archéologiques ou paléontologiques trouvés dans une période historique totalement étrangère aux objets eux-mêmes. Le terme a été inventé par le cryptozoologue Ivan T. Sanderson et depuis lors, il est souvent utilisé par ceux qui tentent d'expliquer des théories officielles historiques - c'est devenu un terme scientifique reconnu. On peut immédiatement et sans tarder faire un rapport très étroit avec d'autres artefacts OOParts découverts autour de l'ancienne Bagdad, en Irak, et aussi des vases de 5200 ans d'âge, en cuivre plaqués avec de l'argent à Sumer, c'est à dire des amphores contenant un système ingénieux les transformant en véritables PILES électriques (testées), permettant entre autres la galvanoplastie, c'est à dire le placage d'argent ou d'or sur une autre matière (à l'aide d'un bain de "sels d'or ou d'argent" déjà connus des savants chimistes ou alchimistes anciens comme Imhotep ou Amenhotep) ... mais un système d'éclairage (ou de "lampe-torches") n'est pas à exclure... voir ci-dessous...

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Notez bien que les graveurs ont bien pris soin de bien marquer la délimitation du verre de l'ampoule géante, y compris sur le grand personnage principal, et en prenant également soin de rendre la transparence du verre : on voit le personnage en transparence. De plus, sur cet exemplaire, le "dieu air" supporte bien cette ampoule, qui n'a aucune apparence de fleur de lotus d'ailleurs. Seul le bout "conducteur" de l'ampoule est joliment travaillé en forme de fleur de lotus (on peut d' ailleurs trouver un genre de lampe de chevet avec embout en forme de fleur de lotus de nos jours !). Quant au serpent, tout le monde peut admettre qu'il pourrait tout aussi bien s'agir du fil à incandescence (par exemple) au milieu de l'ampoule... ou de l'arme !

AmpouleegypteLe système égyptien a été construit et testé avec succès...

Les lampes de Dendérah sont exactement semblables à des lampes , mais figurent dans un bas-relief du temple d'Hathor à Dendérah (Egypte), datant de la quatrième dynastie, qui est à plus de 4500 ans d'aujourd'hui. Le mur a été découvert dans une petite crypte du Temple. Certains prêtres sont représentés dans la gravure, avec l'intention d'arbitrer une cérémonie autour des objets qui ont été définis par des fleurs de lotus par l'archéologie officielle (sic), avec dans le centre un serpent qui vient représenter un mythe antique égyptien lié au dieu Osiris. Mais comme nous le voyons dans l'image ci-dessous cette conception se prête à de nombreuses interprétations :

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Des théories alternatives proposent une interprétation tout à fait différente de l'interprétation officielle, et qui est devenue célèbre comme la théorie des " Lampes Dendérah " , mais qu'est-ce qui a conduit à penser à cela ?

Les partisans de la théorie alternative croient que la tige de la fleur de lotus pourrait être une sorte de câble électrique, le type de soutien qui est supposé être une représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris serait plutôt la première représentation d'un isolant électrique, tandis que la ligne ondulée qu'on voit à l'intérieur serait une sorte de fil d'un métal conducteur semblable à celui trouvé aujourd'hui dans les ampoules modernes, avec autour du verre. Ci-dessous la théorie reportée sur le papier qui nous permet de mieux observer les différents éléments :

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En effet, si nous regardons bien à examiner le schéma dans l'ensemble, cela semble montrer deux instruments utilisés pour une sorte de fonction. Beaucoup de conjectures ont été faites sur la technologie des anciens Égyptiens, mais auraient-ils également découvert l'électricité ? Arrêtons-nous sur les détails, comme nous l'avons déclaré, le soutien serait la représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris, est très similaire à un isolant électrique qui peut être vu quotidiennement sur des lignes électriques aériennes, et qui servent à isoler les colonnes du " câble à Haute tension ", dans la photo ci-dessus nous voyons la comparaison, et comme vous pouvez le voir, ils sont très similaires.

Cet ensemble de fil-serpent à l'intérieur de l'ampoule est ce qui tape le plus à l’œil en particulier, mais si vous avez vraiment envie de voir si c'est possible, regardez les dessins et les diagrammes ci-joint, dans lesquels vous pourrez trouver plus de détails liés à des signes avant-coureurs d'un véritable système électrique.

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1 -Prêtre 
2 -vapeur ionisée 
3 -une décharge électrique (Serpent) 
4 -douille de lampe (fleur de lotus) 
5  -câble (la tige de la fleur de lotus) 
6 -Dieu d'air 
7 -isolant 
8 -symbole du danger [Thot avec des couteaux] 
9 -symbole de l'actuel 
10 -symbole de la polarité opposée 
11 -outil pour la conservation de l'énergie (batterie?)

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Plusieurs chercheurs (Peter Krassa, Reinhard Habeck...) soutiennent cette hypothèse, ils notent également que la tige d'une fleur de lotus de pousse pas à l'horizontal sur le sol comme sur la gravure mais que dans la plupart des cas la tige de fleur de lotus n'est pas visible du tout puisque la fleur est immergée dans l'eau en principe. En outre, une fleur de lotus n'a jamais été reproduite avec ce genre de boule de verre ailleurs, et que même si le concept était de représenter le serpent né du lotus, ce ne serait pas logique de faire une telle chose. Une autre chose qui a provoqué beaucoup de discussions est le fait que le Dieu Thot est présent avec des couteaux à la main, ce que les Égyptiens avaient l'habitude d'utiliser comme symbole de grand danger. Une simple fleur de lotus qui ne pourrait jamais produire un tel danger ? 

Mais les coïncidences ne s'arrêtent pas là : peu de temps après la découverte du Temple de Dendérah (en 1857), le scientifique britannique Sir William Crookes se met à construire une lampe qui émet des rayons X, appelée "tube de Crookes", dans laquelle nous pouvoir voir de nombreuses similitudes avec la lampe de Dendérah dans ses principes :

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Un câble qui part de l’extrémité du tube de Crookes atteint un isolant à haut voltage, la prétendue Egypte ancienne était représentée par un symbole appelé ZED. Le même objet que l'on retrouve à l'intérieur de la grande pyramide de Gizeh, toujours présumé catalyseur d'énergie, est visible dans de nombreuses autres représentations et dispersé dans toute l'Egypte. Dans l'image ci-dessous nous pouvons voir l'intérieur de la pyramide ZED.

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A l'intérieur du tube de Crookes, la lumière est diffusée à travers une bobine lumineuse qui serpente et curieusement, c'est la même chose dans le bas-relief à DendérahNous savons que les anciens Égyptiens appelaient le serpent né du lotus comme "Seref", qui signifie «lumière», juste une coïncidence ? Peut-être que le mythe du serpent né de la fleur de lotus peut être retracé dans le sens où il figure la lumière qui provient d'une ampoule...

Mais alors, les Égyptiens avaient vraiment découvert l'utilisation de l'électricité 4000 ans avant Benjamin Franklin et les piles avant Volta ? Sur cette idée, il y a eu beaucoup d'études et des découvertes, nous savons que le phénomène de l'électricité a également été étudié par les anciens Grecs et les Babyloniens (les Piles de Bagdad sont visibles par tous (ou étaient) au Musée de la ville, les preuves de plaquages d'or et d'argent antiques existent, et les découvertes chimiques sont attestées (les particules et poudres d'or et d'argent)), et que par conséquent, ces peuples anciens étaient au moins au courant de la possibilité d'exploiter cet élément naturel

De plus, le Temple de Dendérah est aussi controversé parce qu'il contient un zodiac. A priori il a été construit sous Ptolémée, alors que les anciens Grecs envahissaient l'Egypte. La conclusion a été que le zodiac a été un apport des anciens Grecs aux Égyptiens, à travers lequel de panthéon des dieux grecs a rejoint celui des égyptiens. L'autre argument est que le zodiac de Dendérah prouve que les égyptiens connaissaient les étoiles et que leurs dieux étaient identiques à ceux des grecs. Après tout, on sait aussi que beaucoup d'érudits grecs sont venus étudier en Egypte, une éducation dont peu se sont vantés dans leurs écrits célèbres...

Si tout ceci est toujours un mystère ou tout simplement une hypothèse, nous savons tous que les grands anciens peuples égyptiens étaient capables de choses étonnantes...

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Yves Herbo, Sciences,F., Histoires, 07-08-2012, 22-03-2015

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