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Roumanie, les mystères des Montagnes Bucegi

Par Le 09/11/2014

Roumanie, les mystères des Monts Bucegi

 

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I. Introduction

À l'été de 2003, dans une région inexplorée des monts Bucegi, Roumanie, une équipe du Département Zéro (une section de top secret du Service roumain de renseignements - SRI), avait fait une découverte archéologique qui pourrait complètement changer le destin de l'humanité.

Les Etats-Unis d'Amérique ont exercé une pression diplomatique colossale sur le gouvernement roumain, qui désirait divulguer les résultats au monde entier.

Les implications sont devenues beaucoup plus complexes en raison de l'ingérence brutale de l'Ordre des Illuminati, qui a cherché à prendre le contrôle à la fois du lieu de la découverte et de l'expédition commune roumano-américaine.

L'expert en phénomènes étranges, et aussi le chef des opérations pour l'Etat roumain, Cezar Brad, est le «héros» des événements choquants survenus dans les monts Bucegi. Il a également eu deux réunions mémorables avec l'un des principaux représentant des Illuminati, et haut membre de Bilderberg.

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II . Une étrange visite du membre le plus puissant des Bilderberg

En mai 2003, Cezar a été visité par un personnage très important. La demande de la réunion est venue du SRI, à la suite de l'intervention du gouvernement. La personne était un étranger, mais qui parlait très bien la langue roumaine. Il était également familier avec le pays. Cezar a informé le SRI que le visiteur était un membre de haut rang d'une loge maçonnique très importante d'Italie, il était un noble, et a eu une très forte influence financière en Roumanie.

Son influence politique était également très élevée, car il a réussi à pénétrer dans le bouclier des agents du SRI et à atteindre le DZ (Division Zero).

Cezar a ressenti une pression élevée et un poids lourd autour de cette personne. Il était entouré par un nuage puissant de rayonnements désagréables qui cachait ses véritables intentions. Pour cette réunion, Cezar s'était préparé minutieusement, s'isolant dans une chambre et tombant dans un état de méditation profonde, pour en savoir plus sur la personne.

Un hélicoptère du SRI a amené cet arrogant grand monsieur, vêtu d'un costume noir. Il avait une canne à manche d'ivoire et avec des incrustations d'or. Son visage exprimait la dureté et ses yeux verts ont eu un effet étrange, rayonnant une froideur inhabituelle. Il s'est présenté comme Monsieur Massini (probablement pas son vrai nom). Il était très sûr de sa puissance et a créé l'impression d'une personne qui a été fait pour donner des ordres.

Il était le chef d'une des loges maçonniques les plus importantes d'Europe et aussi de l'une des organisations maçonniques les plus influentes dans le monde : le Groupe de Bilderberg.

Massini a été très direct et a déclaré que les êtres humains sont de deux sortes : ceux qui peuvent être manipulés et gouvernés (ceux-ci forment la majorité), et ceux qui ont certaines vertues et des fortes personnalités. Il a dit que son groupe fait partie de l'ordre maçonnique le plus élevé et est très intéressé de l'issue de la discussion.

Monsieur Massini a expliqué que le Groupe de Bilderberg n'est pas une loge maçonnique, et qu'il pense être beaucoup plus que cela. Il a dit que les loges ne sont que des façades et le pouvoir réel est beaucoup plus élevé que le trente-troisième niveau hiérarchique. Massini a invité Cezar à se joindre au groupe, lui faisant comprendre qu'il aura de nombreux avantages.

Selon Cezar, Massini était à la fois physiquement et psychique fort, ce qui contrastait avec son âge. Malheureusement pour lui, son pouvoir était centré sur un égo énorme, l'arrogance et le sentiment de supériorité sur le reste.

Massini a informé Cezar qu'il lui a demandé personnellement, en utilisant son influence politique, parce qu'il a été impressionné par la puissance psychique de Cezar.

III. Les espions du Pentagone avec des satellites

Un satellite géodésique d'espionnage du Pentagone, basé sur la technologie bionique et les définitions de formes, a découvert en 2002 une singularité distincte dans une région spécifique des montagnes Bucegi. L'espace vide à l'intérieur de la montagne n'avait pas de correspondance avec l'extérieur, et semblait avoir été sculpté de l'intérieur, par des êtres intelligents. Ce n'était certainement pas une grotte.

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Le scan par satellite de la montagne a révélé deux grands blocs énergétiques. Ces obstacles ont été fabriqués avec de l'énergie artificielle. Le premier était comme un mur énergique, bloquant l'accès au tunnel, tandis que le second était en forme de dôme (ou hémisphère), et était situé à l'extrémité opposée du tunnel, près du centre de la montagne.

Massini était sûr qu'à l'intérieur du dôme, ils allaient découvrir quelque chose de très important.

Lire la suite ci-dessous :

Dans OVNI/UFO
1966 dexter michigan usa march 24 ovni ufo

OVNIs : atterrissage avec traces vers Lens le 31-12-1973

Par Le 09/11/2014

OVNIs : atterrissage avec traces vers Lens le 31-12-1973

Ovni hulluch 31 12 1973 photoHulluch-31-12-1973

Je continue avec la publication d'affaires OVNIs intéressantes qui se sont produites durant la grande vague de témoignages en France (et dans le monde) durant les années 1973 à 1975. Vous avez peut-être lu mon propre témoignage, qui concerne une sphère lumineuse blanche à peu de distance, survenue plutôt vers 1969 d'après ma mémoire, mais on a pu déjà voir que les formes prises par ces objets non identifiés (qui volent souvent, il est vrai, mais pas toujours, puisqu'on en a vu sur le sol et aussi sur/dans l'eau) sont très diverses, y compris en ce qui concerne les témoignages très anciens et historiques - je suis d'accord personnellement avec certains auteurs qui pensent que, rien que dans la Bible et des textes sacrés similaires, il est exactement question de ce type de témoignages. Mais je ne saurais prendre une décision ferme sur leur origine réelle, tant le phénomène semble être "intégré" dans l'histoire de notre planète, et depuis longtemps, voir toujours (y compris dans le monde animal selon beaucoup de témoignages...)... mes diverses expériences, bien réelles même si peu de gens seraient enclins à y croire - et je ne peux le leur reprocher, sauf d'être aveugles devant tant de coïncidences prouvables - m'amènent plutôt à considérer le phénomène OVNI très proche de ce que les physiciens appelleraient un monde "parallèle" ou "dimensionnel", c'est à dire un phénomène pouvant intervenir dans notre univers matériel en 3 dimensions... sans pour autant en faire partie obligatoirement. Je suppose que les religieux appellent ça "le monde éthérique de Dieu ou des Anges" et que pour les médiums ou spirites, chamans, il s'agit "du monde des fantômes, des entités ou des ancêtres"... je pense qu'ils parlent tous de la même chose avec des "étiquettes" différentes... et, également à mon avis, la simple hypothèse "extra-terrestre" (ou même d'ailleurs "intra-terrestre" pour n'oublier personne !) est contenue dans ces appellations diverses, car une civilisation évoluée (comme la nôtre devrait l'être un jour si elle ne s'auto-détruit pas avant) fait, à mon sens, tôt ou tard sa propre incursion (pour se déplacer sur d'énormes distances, entre autres, tout simplement) dans un tel univers dimensionnel... autre que le nôtre. D'autant plus que, comme l'a dit l'astronome Hynek, de telles civilisations (nées ou non dans notre propre univers) sont en avance sur l'ensemble des panels scientifiques et spirituels que nous connaissons (et d'autres que nous ne connaissons même pas)... et peuvent donc posséder une durée de vie, d'existence matérielle, qui peuvent s'étaler sur des milliers d'années (sans parler d'immortalité... quoique - les Textes des Hébreux nous parlent bien d'une entité se faisant appeler l'Eternel, toujours visiblement accompagné de "nuées"... un indice ? !)... 

Mais revenons à cette affaire étonnante, avec empreintes et près d'une aérodrome de surcroît, qui est arrivée à une personne réputée très sérieuse d'ailleurs :

" Il est courant d'admettre, dans les milieux des "soucoupistes" que les OVNI sont particulièrement attirés par les aérodromes. On ne compte plus les observations d'engins inconnus enregistrés sur les radars des bases aériennes et l'on va jusqu'à parler, sous le sceau du secret, d'atterrissages sur des terrains d'aviation : une escadrille de cinq soucoupes aurait atterri à Edward Air Force, une base des USA ; une autre soucoupe se serait posée sur une base américaine d'hélicoptères.

Il existe par bonheur, des observations plus précises qui démontrent la prédilection des OVNI pour les aérodromes.

Un matin de mai 1967, Marcel Bretin, un ouvrier agricole, relève dans un champ de trèfle, sur la commune de Marlieux (YH : après enquête, il s'agit d'une erreur - ce n'est pas Marlieux dans l'Ain qu'il faut lire mais bien Marliens en Côte d'Or...), des traces suspectes. La végétation semble avoir brûlé sur plus de 30m². Au centre de cette plaque dénudée, on distingue une cuvette d'un mètre de diamètre. De là partent six sillons. Sur chacun d' eux, on remarque un trou profond de 15 à 40 cm. Ces trous ressemblent à ceux qu'aurait laissés un gigantesque trépied. Or, ils n'ont pu être creusés que par l'atterrissage d'un engin et qui plus est, d'un engin inconnu. C'est à cette déduction qu'arriveront Emile Maillotte,  (YH : ou Camille suivant les versions - voir les liens plus bas sur cette affaire !), propriétaire du champs et maire du village, puis les gendarmes de Genlis et surtout les policiers de l'Air de la base aérienne de Longevie, près de Dijon ; car l'éarodrome militaire de Dijon est tout proche de ce champs où s'est produit l'atterrissage clandestin. Pourtant, malgré la vitrification du sol et l'absence de toutes traces dans le trèfle qu'aurait immanquablement laissées un véhicule sur roue venant des routes voisines, les irréductibles continuent à douter.

Or, les empreintes que vient de laisser un OVNI dans le sol du nord de la France, à proximité de l'aéroport de Lens (Pas-de-Calais), et l'observation faite par un témoin, risquent de venir à bout de leur septicisme. Ces traces, elles viennent à peine de s'effacer, puisque l'affaire s'est déroulée le 31 décembre 1973...

Ce matin-là, vers 7 heures, Jean Liefooghe, l'épicier de Haisnes, roule vers Lens au volant de sa 404 commerciale.

La Nationale qu'il emprunte est en ligne droite. La visibilité est bonne. Soudain, en arrivant sur le territoire de Hulluch, l'épicier aperçoit deux phares immobiles sur la droite de la route. Instinctivement, il freine au moment où il ressent l'impression que ces deux globes lumineux viennent à sa rencontre.

" J'ai alors supposé qu'il s'agissait d'une auto, nous a-t-il déclaré. Mais soudain, à une vitesse fantastique, les deux lumières traversèrent la route devant moi. J'ai cru que le véhicule avait emprunté une route sur ma gauche. Mais j'ai eu beau ralentir et écarquiller les yeux, il n'y avait plus rien à l'horizon. "

A peine remis de son étonnement, Jean Liefooghe poursuit sa route. Il ne va guère plus loin.

" Je n'avais pas fait 200 mètres, raconte-t-il, que j'ai aperçu sur ma gauche, dans un champ, une énorme lueur. Stupéfait, j'ai stoppé, sans toutefois couper mon moteur. C'est à ce moment que j'ai nettement distingué les contours de cette source lumineuse. C'était une sorte d'énorme cigare, posé sur le sol à la verticale. Il pouvait mesurer 30 mètres de haut et 4 ou 5 mètres de diamètre. Je me suis d'abord cru frappé d'hallucination, puis j'ai pensé qu'il pouvait s'agir des lumières d'un grand magasin situé dans ces parages et que je n'aurais jamais remarquées ; mais tout à coup, l'engin s'est embrasé comme s'il crachait, tout autour de lui, des flammes rouges ou orange. Puis, sans aucun bruit, il a basculé sur lui-même et s'est élevé vers le ciel à une vitesse fantastique. Il a très vite disparu... "

Contrairement à ce qui se produit couramment lorsqu'une auto se trouve à proximité d'un OVNI, le moteur de la 404 n'accusa pas la moindre défaillance.

" Quant à moi, poursuit l'épicier, tout au long de la route, je me demandais si je n'avais pas rêvé. Aussi, sur le chemin du retour, je me suis arrêté à la hauteur de l'endroit où j'avais vu le cigare."

Après s'être avancé d'environ 300 mètres dans un champ, il relève d'abord des empreintes de pas.

" Elles ressemblaient à celles du pied d'un enfant de dix ans, mais dont la plante était moins large que celle d'un pied humain. Plus loin, à l'emplacement de l'engin, j'ai relevé 3 trous d'environ 10 cm de diamètre. Ils formaient entre eux un triangle. "

Les gendarmes de Pont à Vendin, prévenus par le témoin, vinrent aussitôt relever ces traces avec soin (YH : soit environ 3 heures après l'observation d'après d'autres rapports). Le plus grand côté du triangle formé par les trois trous mesure 8,80 m ; les deux autres, 4,10 m. (voir photo - mais il y est marqué 4,70m).

" Les empreintes correspondaient en tous points aux descriptions que nous en avaient faites M. Liefooghe, nous ont-ils déclaré. Elles étaient gelées et par conséquent assez nettes. Mais, si nous sommes tenus d'enquêter lorsqu'on nous signale des observations de ce genre, nous devons nous garder d'en tirer la moindre déduction. "

" Quant à moi, m'a dit Jean Liefooghe, je suis persuadé qu'il y avait deux appareils, un qui était en patrouille, et l'engin-mère qui l'attendait pour décoller. "

C'est une hypothèse profondément plausible. Elle est de plus émise par un témoin intelligent et sérieux. Car l'épicier de Haisnes est, aux yeux de tous ses compatriotes, un homme fort sensé et de plus équilibré.

" Moi, m'a dit Arlette Liefooghe, je n'ai eu qu'à regarder les yeux de mon mari quand il est rentré de Lens ce matin-là, pour acquérir la certitude qu'il avait bien contemplé quelque chose d'anormal. En effet, ses yeux pleuraient et ses paupières étaient cerclées de rouge, comme s'il était atteint de conjonctivite. "

On allait bientôt relever un autre indice qui prouvait que l'épicier n'a ni rêvé, ni menti : des spécialistes de la recherche des OVNI (du CFRU de Lille), à l'aide d'appareils spéciaux devaient relever "la présence d'ions" dans les trous qui avaient très probablement été creusés par le train d'atterrissage de l'engin. Pour toutes ces raisons, l'atterrissage de Hulluch, vient d'apporter de nouvelles et solides preuves de l'existence des OVNI.

Yves Herbo Archives, Article de journal inconnu de début 1974 (Nord-Matin, La Voix du Nord ? Lumières Dans la Nuit ?)...

Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (https://www.sciences-faits-histoires.com/ et https://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.

Ovni hulluch 31 12 1973

 

 

 

Dans la presse : 

1973, 31 décembre FRANCE,
Haisnes - Hulluch "La Tonne de Goudron" (Pas de Calais) Le commerçant Liefooghe à 6 h du matin, sur un trajet qu'il fait chaque jour ouvrable, voit posé dans un champ, à 100 m: une fusée de 30 à 50 m de haut. A son arrivée elle a basculé, a irradié du rouge-orange vers le blanc et a disparu dans le ciel à une vitesse incroyable. Gendarmerie alertée et traces au sol constatées.
(J.C. BOURRET: "La nouvelle vague des S.V." - France Empire 1975, p.78 à 82)
... le témoin prévint la gendarmerie qui, moins de 3 heures plus tard, était sur les lieux. Elle découvrit, non seulement, des traces nettes laissées par le cigare, mais aussi des empreintes de petits pieds qui mesuraient 17 cm de long.
(Erich ZUCHER: "Les apparitions d'humanoïdes" - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 105)
Vers 7 heures, par temps couvert et brumeux, M. Liefooghe voit devant lui la forme d'une voiture DS Citroën, avec deux phares jaune-orangé dirigés vers lui. Il trouve curieux qu'une voiture soit garée en contresens, mais continue d'avancer à vitesse moyenne. A 50 m du lieu de stationnement de "la chose" il voit soudain un engin qui quitte le bas-côté de la route et parvenu au milieu de la chaussée, effectue une sorte de demi-tour. Cette "voiture" ne possède pas de feux arrière ni de réflecteurs. 400 m plus loin il voit une lueur orangée devant lui sur la gauche. Il voit alors un cigare de grande dimension posé dans un champ à 100 m de lui. Aucune superstructure n'est visible (!). Rapidement la luminosité du cigare augmente d'intensité, il s'incline rapidement à 20* degrés sur son axe propre. La luminosité est à ce moment si forte qu'elle estompe partiellement les contours jusque là nets. Les champs alentour sont éclairés par une lumière jaune-orangé et le témoin y voit comme en plein jour. L'illumination ne varie pas pendant l'ascension de l'objet, mais elle cesse brusquement au bouts de quelques instants. Traces au sol: empreintes de l'engin et traces de petits pieds.

(M. FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, Premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 435, 436) (Charles GARREAU : "Alerte dans le ciel : le dossier des enlèvements" éd. Alain Lefeuvre 1981, p.253, qui dit «29 décembre»)

2 janvier 1974 Haisnes-lés-la-Bassée Pas de Calais france
Journal « Var-Matin République ».

Encore des « soucoupes volantes.
Un commerçant d'Haisnes-lés-la-Bassée (Pas de Calais), M. Jean Liefooghe, affirme avoir vu lundi une soucoupe volante.
« Je roulais, a-t-il expliqué ; en direction de Lens, quand, dans la traversée d'Hulluch (Pas de Calais) sur ma gauche, à 500 mètres environ, j'ai perçu des appels de phares intermittents dans l'obscurité.
Alors que je me trouvais à deux cent mètres environ j'ai vu une sorte de fusée en forme de cigare, haute de dix mètre environ, disparaître à une grande vitesse et sans bruit vers l'ouest en laissant durant dix secondes un sillage de couleur orange derrière elle. »
A son retour de Lens, le commerçant s'arrête sur les lieux mêmes de cette inquiétante apparition et remarque sur le sol d'un champ non labouré, des empreintes de pas et surtout les traces de support d'un engin tripode.
Les gendarmes ont relevé des traces de pieds de petite pointure, et surtout, trois marques assez profondes dans le sol délimitant un triangle rectangle de 8,80 m de base et 4,70 m de côté. Mais ils n'ont trouvé aucune trace de combustion.
(VMR du 02 janvier 1974)

http://ufo-logic.xooit.com/t129-ARCHIVES-DE-PRESSE.htm

Yves Herbo : je possède aussi le livre de Charles Garreau et Raymond Lavier "Face aux extra-terrestres - 200 témoignages d'atterrissages"- avec la carte de France les montrant tous, et ce cas en fait partie, pages 128 à 130.

Voici le texte des pages en question, extrait du livre, quelques infos supplémentaires :

Hulluch (Pas-de-Calais), le 31-12-1973, vers 7 heures. Références : Coupures de presse, dossiers personnels.

Un épicier de Haisnes, Jean Liefooghe, âgé de trente-six ans, se rend au marché de Lens, au volant de sa 404 commerciale. Il roule sur la RN 347. Il fait encore nuit, mais la visibilité est bonne : ni brume ni brouillard. Jean Liefooghe n'est plus qu'à quelques centaines de mètres de l'aérodrome de Lens-Bénifontaine lorsqu'il fait une première rencontre insolite :

" J'ai aperçu en face de moi ce qui m'a semblé être les deux phares d'une automobile en stationnement sur le bas-côté droit de la route. Ca m'a un peu étonné qu'une voiture soit arrêtée en sens contraire de la circulation. Mais, comme j'en arrivais à une centaine de mètres - je roulais à environ 70 kilomètres à l'heure - cette chose a brusquement démarré, traversé la route comme en effectuant un virage et a soudain disparu, comme volatilisée. J'en écarquillais encore les yeux quand, 200 mètres plus loin, et sur ma gauche cette fois, une énorme lueur est apparue dans un champ. Alors, là, j'ai stoppé, mais sans arrêter mon moteur. J'ai baissé la vitre de ma portière pour mieux voir. J'ai distingué très nettement les contours de cette source lumineuse : un énorme " cigare " posé verticalement. Une trentaine de mètres de haut et une dizaine de mètres de diamètre dans sa partie la plus renflée. J'en avais le souffle coupé. Tout à coup, l'engin a paru s'embraser. Une lumière intense, orangée, l'a enveloppé. Sans aucun bruit, il s'est incliné. J'ai cru qu'il allait s'effondrer au sol. Mais après s'être penché d'une vingtaine de degrés, il a décollé et s'est élevé vers le ciel à une vitesse de plus en plus élevée. "

Jean Liefooghe, qui commence à ressentir de forts picotements aux yeux, va faire son marché. Mais, ce matin-là, il n'a pas la tête à ses achats : " Je ne pensais qu'à ce truc que j'avais vu s'envoler. C'est pourquoi, au retour, je me suis arrêté à l'endroit où je me trouvais lors de mon observation. J'ai garé ma voiture dans un petit chemin, et je me suis mis à rechercher systématiquement des traces, en quadrillant le terrain. J'ai ainsi avancé d'environ 300 mètres à travers champs. Et je suis tombé sur des empreintes de pas. Toutes drôles. De la taille des chaussures d'un enfant de dix ans. Mais avec une plante des pieds extrêmement étroite. Ces empreintes venaient de nulle part. Elles apparaissaient brusquement sur le sol, et disparaissaient de même. J'ai poursuivi mes investigations, en progressant dans la direction où j'avais vu l'engin. Au bout d'un quart d'heure, j'ai découvert trois trous d'environ 10 centimètres de diamètre. Ils formaient un triangle. Les gendarmes sont venus prendre des mesures. Ils ont trouvé que le plus grand côté du triangle avait 8,80 m de long, les deux petits côtés 4,10 m. "

Pour expliquer les deux observations successives, Jean Liefooghe avance une hypothèse : 

" ce que j'ai vu en premier était peut-être un petit engin de reconnaissance, qui s'est empressé de rejoindre le gros cigare, qui l'attendait pour décoller. " Une explication qui a le mérite de "coller" avec les faits.

Quant à Jean Liefooghe, il a soufert pendant plusieurs jours d'une conjonctivite. Comme bien d'autres témoins de telles observations.

1965 ovni ufo buenos aires argentina july 171966 dexter michigan usa march 24 ovni ufo

17-07-1965 Buenos Aires, Argentine - 24-03-1966 Dexter Michigan USA - des cigares assez semblables de celui décrit à Hulluch-Lens en 1973 ?

MAJ du 09-11-2014 : Retrouvé dans mes archives, un autre document parue dans le magazine minier du Nord-Pas-de-Calais Relais de février 1974 et parlant de cet atterrissage à Hulluch/Lens le 31-12-1973, avec d'autres photos et schémas, le voici scanné, cliquer sur la photo pour mieux lire :

Hulluch relais 31 12 73 b

Le cas cité en premier de mai 1967 à Marliens, enquête :

Un jour de la 1ère semaine de mai 1967, au lieu-dit "Le Champ Terraillot", près de Marliens (Côte d'Or, près de Dijon,France), entre 550 et 800 m de la route Genlis-Longecourt, Camille Maillotte Phénomènes Spatiaux n° 13, p. 13 Lagarde, F. "Traces à Marliens", Mystérieuses soucoupes volantes, pp. 75-76 découvre dans un champ de trèfle appartenant à son père (Emile Maillotte, cultivateur, maire de Marliens) une trace étrange de 30 menviron. Aucun ovni n'a été observé. Vallée 1969, 179 - YH : on note ici que le découvreur n'est pas le même que dans l'article de journal en ma possession (Marcel Bretin cité).

Dans la soirée du 6 mai, après avoir déblayé des mottes de terre, on découvre d'étranges empreintes d'autant plus intriguantes qu'aucune trace de véhicule n'est visible alentour.

Vers l'est, une fissure reconnue naturelle par les géologues de l'Institut agronomique de Dijon, qui existait antérieurement aux traces, pénètre de 10 m dans un champ d'orge à proximité.

La cuvette


Dans la cuvette, on trouve des silex brisés, des vers de terre écrasés et quelques feuilles de trèfle séchées. Des racines semblent végéter encore.
Au centre, une dépression très nette de 1,30 m de diamètre, qui semble avoir subi une forte pression : la terre y est dure, tassée Il faudra utiliser un marteau pour en extraire un échantillon, comme déshydratée. En son milieu on relève la présence d'un trou de 40 cm de diamètre, profond de 30 cm. Il est traversé sur 85 cm selon un axe est-ouest par une empreinte cylindrique de 12 cm de diamètre et profonde de 10 cm, coudée en son centre.

Les sillons

De la cuvette centrale partent 6 boursouflures de terrain qui, une fois ouvertes rèvelent des sillons creusés en demi-lune, aux parois dures mais moins que celles de l'empreinte centrale, dans lesquels la terre éclatée superficiellement était retombée. Autour, l'herbe, le trèfle et l'orge du champ avoisinant ne semblent pas avoir souffert du feu ou de la chaleur. Cependant toute trace d'humidité à disparu dans un rayon de 8 m. Chaque sillon est de longueur variable, d'une largeur moyenne de 12 cm et d'une profondeur moyenne de 25 cm. Leurs parois sont recouvertes d'une poudre gris-mauve.

Les trous

 

Marliens planche76

Schéma décrivant les trous présents dans les sillons


Dans presque chaque sillon (il y a 1 grand sillon où on en trouve 2, et 2 petits sillon qui s'en partagent 1 seul) on trouve un trou quasi-cylindrique (légèrement conique) de 12 cm de diamètre, à la profondeur variable (de 15 à 40 cm). Au fond de chacun d'entre eux partent 2 autres trous plus petits (4 cm de diamètre), inclinés à 45 °, aux profondeurs également variables (20 cm à 1 m). Chacun de ces trous s'arrête sur une pierre plate, recouverte de la même poudre gris-mauve.

Marliens

Vue d'ensemble de l'empreinte, présentant le trou central, les différents sillons, et les trous qui s'y trouvent Procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis

Enquêtes

 

Un enquêteur du CSERU arrive sur les lieux. Par la suite le 10, la brigade de gendarmerie de Genlis (à 5 km de Marliens) est avisée et vient faire des relevés. Arrive l'adjudant Geslain, commandant de la brigade, accompagné des gendarmes Journaux, Mercier et Guilbert. Ils ne relèvent aucune trace de véhicule ni de pas. Aucune radioactivité n'est détectée.

La poudre

 

Marliens poudre

L'analyse de la poudre gris-mauve, confiée au laboratoire municipal de Paris, conclut à la présence d'un oxyde réfractaire, silice ou aluminium, qui aurait subit une fusion partielle. Il semble en fait qu'il s'agisse de petits cristaux de silice, genre quartz, dont les arêtes sont arrondies, ce qui fait effectivement penser à un début de fusion (qui aurait nécessité une température minimale de 1500 °C). Une analyse par la faculté des Sciences de Dijon, par spectrographie aux rayons X, arrive aux mêmes conclusions.

Détection radar... trop tard

 

Le 11, M. Bois (ingénieur de la navigation aérienne, chef de la division D5 de la direction de la région aéronautique nord) appelle Charles Garreau pour lui demander de lui communiquer des renseignements sur les traces d'un ovni observé dans la région de Genlis, un écho non-identifié ayant été détecté par le radar militaire de CreilGarreau en déduit que l'objet détecté est l'ovni ayant laissé la trace de Marliens, dont il date l'atterrissage au 10 mai - Garreau, C. Soucoupes volantes, 25 ans d'enquêtes, pp. 28 et 34. Cette date est cependant en contradiction avec les enquêtes de Roger Mignot Ouranos n° 33, pp. 3-5 qui rapporte la date de découverte du 5 mai, confirmée par l'enquête de la SVEPS Approche n° 12, pp. 6 à 10 (documents photographiques fournis par l'enquêteur du CSERU qui a pu se trouver sur les lieux avant l'arrivée de la gendarmerie) et surtout avec l'arrivée de la gendarmerie ce même 10 mai pour examiner les traces.

L'affaire commence à être traitée par la presse le 12 mai France Soir, 12 mai 1967Cercles, JeanLa Nouvelle République, 12 mai 1967 Le cas est rapporté la même année dans la FSR.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une poudre laissée par la foudre à Huntsville, semblable à celle de Marliens Lamb, Daniel: "Lightning+Sand=Glass... Fact or Fiction???"


 

Explication ?

 

L'ensemble des éléments amène à expliquer la trace par la foudre, d'autant qu'un orage a effectivement frappé la région le 5 mai. Mais Camille Maillotte déclare se souvenir avoir découvert la trace avant l'orage du 5 mai. On s'étonne aussi que la végétation environnante ne comporte pas de trace de brûlures, pas plus que le sol, comme le confirmera le commandant Gerlach, directeur départemental de la lutte contre l'incendie.

En 1968 le rapport Condon cite le cas Craig, R. "Parts of UFOs, or UFO Equipment" in "Direct Physical Evidence", Scientific Study of Unidentified Flying Objects, 1969. En 1971 le capitaine Kervendal cite également ce cas, avec l'autre cas de trace de Valensole, comme significatif d'un problème réel et sérieux.

Figuet, M. et Ruchon, Jean-LouisOVNI: Le 1er dossier des rencontres rapprochées en France, Connaissance de l'étrange, Alain Lefeuvre, 1979, pp. 269-271 Vachon, PatriceMarliens, mai 1967 - Les dossiers du CNEGU, HS, 63 pp.

Marliens ovni 1967

Documents originaux du procès-verbal de la brigade de gendarmerie de Genlis
 
 
 
 
Yves Herbo Archives, Sciences, Faits, Histoires, 31-10-2014, 09-11-2014
 
Dans OVNI/UFO
Ovni 07 11 2013

Un OVNI très rapide bouscule un nuage

Par Le 08/11/2014

Un OVNI très rapide "bouscule" un nuage

Ovni 07 11 2013 mini

Cette vidéo, apparue le 07-11-2013 sur la toile, n'est pas truquée à priori et montre un disque inconnu traversant et déformant de part sa vitesse un nuage... le caméraman était proche d'un aéroport et filmait l'approche d'un avion quand il a pu filmer cette scène. Regardez bien le nuage à droite de l'avion, il bouge tout seul d'un seul coup... Un coup de chance extraordinaire quand on voit la rapidité de l'objet, à peine visible à l'oeil nu, il n'a dû s'en rendre compte qu'en visualisant plus tard ses tournages... on ne remarque en fait que le nuage qui se déforme au passage rapide de cet engin. Des ralentis et entourages pour bien montrer l'objet sont effectués dans la suite de la vidéo... 

Drone ou engin provenant d'un monde parallèle, extra-terrestre ou du futur ? La vitesse constatée n'est pas sans rapeller une autre vidéo prise près d'un autre aéroport... voir ci-dessous :

Preuve ou non ? Toujours difficile bien sûr de décider, c'est à vous bien sûr, comme toujours, de décider et d'avoir votre propre opinion...

Yves Herbo, Sciences, F. H, 08-11-2014

Earth nightlights 2012

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire 5

Par Le 07/11/2014

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire Part 5

 

Pulsarx

Partie 1 ici

Partie 2 ici

Partie 3 ici

Partie 4 ici

Reconstruire les civilisations lointaines et rencontrer des cultures étrangères extra-terrestres par Douglas A. Vakoch - NASA - (Extraits choisis traduits) : Partie 5

Chapitre 8

Anthropologie à distance
SETI et la production de connaissances dans la rencontre avec un Extraterrestre Différent
par John W. Traphagan

Pendant une bonne partie de son histoire, l'anthropologie a explicitement porté son regard intellectuel sur la compréhension des autres, apparemment "Etrangers" (alien), dont les langues, les croyances, les modes de vie et les structures sociales ont été considérés comme éloignés des sociétés de l'industrie de l'Ouest - l'Angleterre, la France, l'Allemagne et les États-Unis, où la discipline s'est développée. Dans les années de l'invention de l'anthropologie, les ethnographes n'ont pas eu normalement la capacité d'être en contact direct avec les autres personnes qui ont fait l'objet de leurs études. En effet, les premiers anthropologues "fauteuil" du 19ème siècle, tels que James Frazer, EB Tylor, et Lewis Henry Morgan (bien que Morgan effectuera aussi une certaine collecte directe de données chez les Iroquois en plus du fauteuil comme variété de la recherche), ont travaillé dans des conditions pas tout à fait différentes de ceux des chercheurs du SETI aujourd'hui; les limitations de la technologie (en particulier les transports et technologies de communications) ont considérablement limité les types d'interaction accessibles aux chercheurs en sciences sociales, intéressés à communiquer et à comprendre un autre (être) lointain. La communication a été lente, nécessitant des semaines ou des mois pour les anthropologues aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, pour demander et recevoir des informations de personnes (souvent des missionnaires religieux) vivant dans des endroits éloignés alors. Lorsque les données ont été finalement reçues, telles que les données de parenté recueillies par Morgan au milieu du 19e siècle de nombreuses parties du monde, l'interprétation était fondée en grande partie sur les cadres théoriques et les hypothèses qui avaient décidément une teinte spécifiquement occidentale, le darwinisme social et l'évolution culturelle d'une variété de Spenceristes, avec leurs fondements théologicaux ouvertement associés à des progrès. Ces cadres et hypothèses étaient difficiles à tester en utilisant les méthodes de contact direct et l'observation participante qui deviendront plus tard la fondation de la recherche ethnographique.

Bien que le style de l'anthropologie fauteuil du 19ème siècle a été remplacé par une enquête ethnographique au début du 20e siècle, les instances de l'anthropologie à distance ont continué à se produire, avec la tentative la plus notable étant celle de Ruth Benedict de développer une compréhension de l'apparence - aux yeux américains - des extrêmement étrangers japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, menée sous les auspices du gouvernement américain et publiée en 1946 comme le Chrysanthème et le Sabre.

Dans ce chapitre, j'explore une voie par laquelle l'anthropologie et, plus particulièrement, la sous-discipline de l'anthropologie culturelle ou sociale peut contribuer à la recherche SETI. Michael AG Michaud a noté que les sciences sociales sont un domaine de la recherche intellectuelle qui n'a pas été suffisamment exploité en référence à SETI. Ici, je voudrais suggérer que l'un des moyens les plus puissants des sciences sociales en général et de l'anthropologie en particulier, peuvent contribuer à SETI est par l'analogie, en utilisant une analyse de sa propre histoire de l'anthropologie du contact comme un cadre de réflexion sur le contact potentiel avec une civilisation extraterrestre. Bien qu'il soit extrêmement important de concevoir un modèle et le type de contenu du message interstellaire que nous pourrions construire, il est tout aussi important de considérer le contexte de l'interprétation dans lequel un tel message sera transmis et interprété, ainsi que la façon dont toute réponse pourrait être interprétée par les scientifiques et les autres sur la planète Terre. Plutôt qu'un simple un acte de découverte, le premier contact avec toute intelligence extraterrestre permettra également de créer un nouveau contexte dans lequel la connaissance est générée et comprise. Le contexte de premier contact sera formé sur la base de données très limitées et, inévitablement, interprétées à travers le prisme de nos propres cultures et des cadres théoriques qui sont en vogue parmi les intellectuels et autres au contact à ce moment.

D'abord pour expliquer ce point, je vais considérer le type de «l'anthropologie à une distance" évidente au début et, dans une moindre mesure, à un âge moyen de la discipline, en se concentrant sur le travail de Ruth Benedict pendant la Seconde Guerre mondiale comme un exemple de la façon dont l'interaction complexe entre les hypothèses, les données et les interprétations erronées peuvent parvenir à établir une connaissance reconnue et la compréhension d'une civilisation extraterrestre. Le point central de ce chapitre est que le Japon, en tant que culture et civilisation, n'a pas été simplement révélé par Benedict; c'était à bien des égards créé à partir de cette interaction, au moins autant que le point de vue américain est concerné (et, bien que pas particulièrement pertinent dans cet article, dans une certaine mesure, le point de vue japonais aussi). Je ferai valoir que le premier contact et interaction ultérieure entre les extraterrestres et les humains (y compris les chercheurs de SETI, des politiciens, des universitaires à l'extérieur du SETI, et le grand public) impliquera une production similaire de la connaissance de l'autre étranger. La conscience de ce risque et la capacité de penser par réflexe sur notre propre rôle dans la construction d'une culture étrangère, en particulier lorsque de grandes distances et des retards sont insurmontables avec la technologie actuelle, sont d'une importance fondamentale pour réduire le risque de malentendus et de mauvaises interprétations.

Ruth Benedict et l'invention de la culture japonaise

L'anthropologue Marvin Harris a noté que les débuts de l'anthropologie se trouvent dans l'inspiration des sciences naturelles et de la méthode scientifique. Lors de la fondation de l'anthropologie il y a eu une hypothèse disant que les processus socioculturels sont régis par des «principes légitimes» qui peuvent être compris en termes de causalité et qui sont détectables par un observateur. Les premières formulations sur la culture sont nées de la recherche de chercheurs qui ont vu des cultures distinctes comme des entités relativement bornées, et ils ont postulé la culture comme largement déterministe, façonnant fondamentalement les comportements et les habitudes des personnes habitant un contexte particulier. Beaucoup de travail récent tend à voir la culture comme fluide avec des limites très perméables (si on peut vraiment penser en termes de frontières sur tout), le conceptualise comme un processus d'invention dans lequel notamment les «cultures» découlent d'une dialectique intersubjective entre l'individu et son environnement social, l'anthropologue n'est pas éloigné de ce processus, mais, au contraire, peut prendre une part active dans l'invention d'une culture particulière, comprise comme une catégorie d'analyse ainsi que dans un encadrement populaire d'un groupe social particulier par la traduction, l'interprétation et en écrivant sur ce qu'il observe, ainsi que par l'interaction quotidienne associée à l'activité de terrain.

Nulle part, peut-être, se trouve la question la plus évidente de l'anthropologue lui-même comme instrument de recherche que dans les études que Ruth Benedict a mené pendant la Seconde Guerre mondiale sur la culture japonaise. Pour commencer, le travail de Benedict est, si ce n'est pas exactement de l'anthropologie dans un fauteuil, une expression des derniers jours dit «l'anthropologie à distance». Comme la plupart des anthropologues et autres chercheurs qui travaillent sur le Japon le savent, Benedict a reçu une commande au début des années 1940 par le gouvernement des Etats-Unis pour fournir un rapport qui pourrait expliquer le comportement japonais et pourrait donc être utilisé pour prédire les réponses de l'ennemi au cours de ce qui était, en 1944, l'Invasion anticipée du Japon. En d'autres termes, son travail consistait à être un guide explicatif du projet d'ingénierie sociale qui allait devenir l'occupation du Japon.

Considérablement moins connu du grand public, et même auprès de certains chercheurs ayant des intérêts dans la culture japonaise, est de savoir comment la recherche de Benedict a été faite. Tout d'abord, Benedict n'a pas procédé à une étude de la culture ou de la société japonaise à travers des méthodes ethnographiques traditionnelles de l'observation participante; à la place, en raison de la guerre, elle a été forcée de se tourner vers ce qui semblait être la meilleure chose - les Américains d'origine japonaise qui ont été internés dans des camps d'internement dans le désert du sud-ouest. Évidemment, avec le recul, ceci devrait soulever des drapeaux rouges sur l'étude de Benedict. Comme Eiko Ikegami l'a récemment souligné, les sujets de recherche de Benedict, face à une figure d'autorité représentant le même gouvernement qui les avait enlevés de leurs maisons et les avait emprisonnés dans les camps, étaient «passifs et prudents dans leurs réponses à ses questions." Intéressante, cette question n'a pas été abordée par la plupart des chercheurs qui ont examiné le livre de Benedict; quelques-uns ont noté le problème, mais en général, il a été négligé ou ignoré. C'est seulement récemment que la discussion ouverte a résulté sur la façon dont la recherche de Benedict contient des conclusions erronées en partie parce que les conditions de sa collecte de données ont été limitées par son incapacité à établir un contact direct avec des personnes dans un contexte culturel japonais.

Pour mes fins ici, il est important de ne pas entrer dans les détails sur les erreurs d'interprétation et empiriques qui existent dans le chrysanthème et le sabre. Ryang note de nombreux problèmes et démontre que le développement de Benedict sur des données linguistiques du japonais n'est pas pris en charge soit par des données sociologiques ou historiques. Elle a tendance à choisir des mots de ses informateurs et de la littérature sans contexte avec les termes ou la compréhension de la façon dont ils sont utilisés par la conception japonaise, mais dans son travail, ces termes ont tendance à devenir des mots-clés pour représenter et comprendre la culture et le comportement japonais. Plus important que les erreurs spécifiques à la recherche de Benedict est le fait qu'elle adopte une approche totalisante pour représenter le Japon : des mots spécifiques, des idées ou des concepts évidents dans des sources telles que la littérature japonaise sont utilisés pour expliquer largement, souvent en un seul coup de pinceau, tout ou la plupart des éléments du comportement japonais. Dans le cadre de cette approche il y a une conséquence du cadre théorique que Benedict utilise, ainsi qu'un manque général de données empiriques détaillées sur le Japon, sur lequel fonder ses conclusions.

Alors les défauts de l'étude sont importants, un point plus saillant est que le chrysanthème et le sabre devient, comme le note Ryang, " paradigmatique, joue un rôle crucial dans les discours de l'après-guerre des sciences sociales sur le Japon " à la fois entre les études japonaises et les non-japonaises, en effet, si complète a été l'hypothèse que Benedict avait présentée avec précision la culture japonaise qu'il a été rarement noté que sa recherche n'avait pas porté sur des Japonais. Les attitudes à l'égard du Le chrysanthème et le sabre au moment de sa publication sont résumées dans une revue de 1947 écrite par John Embree, lui-même anthropologue bien connu du Japon, dans lequel il déclare : "Le Dr. Benedict, avec les mots doux d'un esprit rusé, entraîne le lecteur dans la forêt du Japon et avant qu'il le sache, elle l'a ensorcelée en lui faisant croire qu'il comprend et connaît chaque racine et branche de la culture japonaise".

Quand j'ai lu ce commentaire, je pensais que c'était peut-être sarcastique, mais tout au long de l'examen, seule la critique du livre de Benedict par Embree montre ses réelles préoccupations sur son incapacité à reconnaître que le Japon est une vieille culture tandis que les Etats-Unis en est une nouvelle, faisant elle-même plutôt une observation douteuse depuis que le Japon a subi une transformation sociale radicale dans la deuxième moitié du 19e siècle. Il poursuit en déclarant, « Le frontalier et le nomade sont plus susceptibles d'être des fanfarons individualistes que le paysan lié à un village qui doit faire face à son même voisin jour après jour... Un homme d'une ancienne culture paysanne comme les Japonais est susceptible d'être plus méticuleux dans son étiquette et le sens du devoir de réciprocité. » De l'avis de Embree, Benedict  nous a permis de gagner l'entrée dans une presque impénétrable " forêt " culturelle très différente de la nôtre, car c'était une société «paysanne» sur la base de l'organisation sociale du village (je ne suis pas tout à fait sûr de savoir où Tokyo et Osaka entrent dans cette forêt) par opposition à l'organisation sociale américaine individualistique urbaine. Et elle l'a fait tout en traitant avec des limitations considérables, qui étaient inévitables au moment de sa recherche.

Intéressant encore, dans un autre commentaire, où il compare le livre de Benedict à un livre par Andrew W. Lind sur les communautés japonaises à Hawai'i, Embree prend pour accordé l'idée que Benedict n'a, en fait, qu'explicité les modèles culturels japonais et les comportements par le biais de son étude. En effet, Benedict, en identifiant bien clairement son travail de terrain local, représente en fin de compte son travail comme si il était sur le japonais plutôt que sur le peuple japonais-américain et ses valeurs culturelles, et, ainsi qu'il ressort de l'examen de Embree et ceux des autres Chercheurs de l'époque, cette représentation a été largement incontestée, bien que John Morris dans sa revue de 1947, souligne que « dans des circonstances normales, aucun ne songerait à écrire un livre sérieux sans passer d'abord un temps considérable à observer de première main le comportement réel des personnes concernées ". Morris met rapidement ce problème de côté et salue le chrysanthème et le sabre comme « le livre contemporain le plus important jamais encore écrit sur le Japon. Ici, pour la première fois, est une tentative sérieuse pour expliquer pourquoi les Japonais se comportent comme ils le font. "

Ces exemples démontrent clairement que le chrysanthème et le sabre est devenu, comme il est indiqué ci-dessus, la pierre angulaire de l'ethnographie, et non ethnographique, le corpus de l'érudition occidentale sur le Japon, malgré son manque de données empiriques fiables. Les contemporains de Benedict ont en grande partie pris son travail à la valeur nominale et ont accepté comme une donnée l'idée qu'elle avait réalisé une étude de la culture japonaise. Les problèmes inhérents à avoir à faire de l' "anthropologie à distance " ont été négligés par les collègues de Benedict et par beaucoup de ceux qui se sont intéressés à la culture japonaise; au lieu d'être remis en question, son livre a façonné les grandes questions qui se posent et les études produites par les "Japanologistes", plus particulièrement l'accent sur la psyché japonaise ou de la personnalité (ego) qui a dominé la recherche sur le Japon dans les années 1990 et continue à présent. Depuis les années 1980, les anthropologues ont commencé à se déplacer loin de la construction de Benedict sur la culture japonaise, mais son travail a été cité des centaines de fois et continu à être cité, en particulier dans les études psychologiques interculturelles, non pas comme un livre sur les Américains d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi un livre sur les Japonais et leur essence culturelle.

Essentiellement, la publication du chrysanthème et le sabre a lancé un processus par lequel le concept occidental de la culture japonaise a été inventé. Le travail de Benedict a identifié ce qui pourrait être considéré comme directement ou indirectement les éléments de base et les valeurs fondamentales associées à la culture japonaise et la psyché japonaise pour les années à venir, et une grande partie de la recherche produite pendant cette période a supporté les conclusions de Benedict. Comme les gens lisaient et ont suivi son travail pendant d'autres recherches, l'analyse, et la publication, sur un sens de la culture japonaise et du comportement japonais étant précise et complètement représentée dans les idées basiques formulées par Benedict ont prévalu dans les communautés de chercheurs travaillant dans des domaines tels que la psychologie culturelles croisée et la communication interculturelle, ainsi que dans la communauté plus large de non chercheurs qui étaient tout simplement intéressés par le Japon. En bref, la "prise à distance" de Benedict sur le Japon est devenu le Japon lui-même, pour beaucoup, et peut-être la majorité des Américains dans la plus grande partie de la deuxième moitié du 20e siècle. Cette influence ne peut pas être surestimée: le travail de Benedict était au centre de l'approche du gouvernement américain pour la réorganisation et l'ingénierie de la société japonaise après la guerre et a été largement lu par un public Américain intéressé à comprendre l'ennemi qu'ils venaient de conquérir et donc le pays qu'ils occupaient maintenant.

Biensûr, ce qui a été créé n'était pas une véritable compréhension du Japon, si une telle compréhension de toute culture est effectivement possible. Plutôt, ce qui a été créé est une notion de la culture japonaise qui reflète les valeurs et les orientations psychologiques, en mettant l'accent sur le concept de la honte qui semblait important pour Benedict. En effet, le livre est une application des théories qu'elle a développé dans un ouvrage antérieur, les modes de culture, dans laquelle elle avait l'habitude d'idiomes psychologiques (mais pas freudiens dans leur nature) comme un moyen de créer des configurations ou des catégories de types culturels qui, à leur tour, ont été imprimées dans les esprits de ceux qui vivent dans un milieu culturel particulier. En d'autres termes, la compréhension de Benedict sur la façon dont la culture fonctionne et comment la culture doit être considérée comme une conséquence directe du contexte académique, avec son intérêt dans la psychologie, dans laquelle elle a été formée à Columbia dans les années 1920, et qui a continué à être importante à concentrer dans sa carrière développée.

Conséquences de l'anthropologie à distance pour SETI

Cette incursion dans l'histoire de l'anthropologie a une incidence directe sur la façon dont nous pourrions penser à une rencontre avec une civilisation technologique extraterrestre. Les conditions de guerre en vertu de laquelle Benedict a mené ses recherches ont éliminé la possibilité de faire une vraie ethnographie sous la forme de l'observation participante et sur le terrain à long terme. En effet, peu de données qu'elle a invoqué ont été effectivement perçus par elle; à la place, elle a emprunté des données collationnées par l'anthropologue psychologique Geoffrey Gorer sur des Américains d'origine japonaise internés dans les camps de relocalisation pendant la guerre ainsi que les données recueillies par un autre anthropologue psychologique, Weston La Barre, bien qu'elle recueille certaines données d'entrevues de ses proches.

Comme noté ci-dessus, étant donné le manque de données empiriques et les ressources scientifiques limitées disponibles sur la culture japonaise et leur comportement, ainsi que sa tendance générale à souligner (orienté psychologiquement) une théorie sur les données, Benedict a essentiellement pris le peu qu'elle avait et a travaillé dans le théorique cadre qu'elle avait développé dans son livre précédent, les modes de culture, qui catégorisait les cultures amérindiennes sur la base de traits de personnalité associés à un groupe particulier de personnes. L'étude de Benedict du Japon, de loin, a mis en mouvement une conceptualisation du Japon et du peuple japonais qui a influencé la recherche et l'élaboration des politiques liées à la société jusqu'à nos jours. Et une grande partie de ce qu'elle a écrit est avéré être une représentation / explication très simpliste de la culture japonaise ou fondamentalement inexact; mais son travail continue d'être encore influent.

Si nous nous tournons vers un peu de spéculation au sujet de notre rencontre initiale avec une intelligence extraterrestre, il est difficile d'imaginer qu'un processus analogue se produise. Les premiers scientifiques à rencontrer un signal d'une intelligence extraterrestre seraient susceptibles de recevoir une quantité limitée de données. Si nous capturons simplement un signal qui ne vise pas directement à attirer l'attention d'une civilisation étrangère (comme la nôtre), alors il peut être extrêmement difficile de développer une idée claire de ce que nous regardons. Ce n'est pas simplement une question de traduction; même si nous pouvons trouver des significations spécifiques à des constructions linguistiques qui correspondent à quelque chose dans notre propre langue, nous n'aurons pas de cadre culturel pour interpréter la façon dont ces significations sont applicables à une société étrangère. Même les mathématiques, le langage de la science, ne sont pas sans leurs propres difficultés en termes d’interprétation. Dans le cas de Benedict, qui savait qu'elle avait affaire à une autre société humaine qui avait les mêmes structures de base (bien que différentes dans leurs manifestations) que la société américaine - les systèmes liés à la religion, la parenté, le gouvernement, etc., un manque de données suffisantes et une tendance inhérente à adapter une culture étrangère dans un cadre qui fait sens pour un esprit américain ont entraîné une vision de la culture japonaise le long de lignes particulières qui ont eu beaucoup de flux.

Les choses font que, sans une compréhension d'une culture extraterrestre, l'une dérivant de données pures rigoureusement analysées - nous interpréterons ce que nous trouvons en termes de valeurs, de structures et de modèles de comportement associés à notre propre culture (cela-même est une idée problématique car il n'y a pas qu'une culture humaine sur Terre). À certains égards, nous avons déjà commencé ce processus dans notre tentative raisonnable de penser sur la nature des ETI - la notion d'une asymétrie de l'âge entre les ETI et nous-mêmes est basée sur l'hypothèse que le taux du progrès sur Terre devrait être assez standard ailleurs. Toutefois, étant donné les différences qui existent entre les cultures humaines en termes de comment nous percevons interprétons et classons notre environnement, il est raisonnable de penser qu'une société véritablement étrangère consisterait en des êtres qui font ces choses de façon contraires à celles de l'homme. Peut-être que ces différences, lorsqu'elles sont combinées avec une biologie distincte, conduisent à des taux de développement beaucoup plus rapides, ou beaucoup plus lents, que cela n'a été le cas sur Terre. La capacité de «faire» la culture d'une manière relativement uniforme entre les êtres humains, même avec toutes les différences que nous trouvons dans comment la culture est faite spécifiquement, est fortement tributaire d'un ensemble commun sur les organes des sens. Les études neurologiques ont montré que des expériences différentes et des formes de stimulation au cours du processus de développement façonnent les connexions entre les neurones et influent donc sur la construction des réseaux de neurones qui sont à la base du comportement humain et de la pensée. A quoi une "culture" ressemble lorsqu'elle est appliquée à un être avec des organes différents des sens et, éventuellement, un environnement naturel et social très différent du nôtre ?

Si le premier message que nous rencontrons se trouve être une tentative délibérée de la part d'une civilisation extraterrestre de contacter une autre espèce intelligente, alors il est raisonnable de penser qu'un tel message sera limité dans le contenu. Douglas Vakoch note que les peu de messages que les humains ont déjà envoyés dans l'espace ont été plutôt limités, et un peu déformés, en termes de représentation de notre propre civilisation, montrant principalement les côtés lumineux de l'humanité et en ignorant les problèmes sociaux tels que la guerre et la pauvreté. Même si les extraterrestres tentent de se représenter d'une manière objective eux-mêmes, tout message intentionnel que nous recevrons aura presque certainement des qualités subjectives et représentera une civilisation extraterrestre d'une manière qui va influencer la façon dont nous construisons une compréhension de leurs messages et, au-delà, de leur civilisation.

En regardant le type de communication reçu, nous, les humains, serons plus incroyants de pouvoir recevoir un message et simplement le prenons à sa valeur nominale sans spéculer sur la nature de ceux qui l'ont envoyé. Benedict, comme les anthropologues de fauteuil avant elle, était une interprète qualifiée et théoricienne de la culture et du comportement, mais avec les conditions de sa recherche sur le Japon et son manque de compréhension de la langue japonaise, il était difficile pour elle de se faire une image précise de la culture et des personnes sur lesquelles elle a écrit. En outre, ses intérêts subjectifs dans un cadre théorique particulier ont influencé sa gestion des données qu'elle a pu obtenir et l'ont amenée à organiser sa compréhension du Japon d'une manière qui corresponde à ses hypothèses sur la façon dont fonctionnent les cultures. Cela est compréhensible, surtout quand on a affaire à des données limitées. Toutefois, ce processus ne sera pas limité à quelques chercheurs et décideurs, et progressivement libéré au public.

Au lieu de cela, comme Seth Shostak le souligne, lorsque le contact se produira, la connaissance de l'événement deviendra rapidement évidente à un large public, probablement bien avant que les scientifiques du SETI soient même certains que le signal est vraiment venu d'un contact d'une intelligence extraterrestre intelligence. Cela deviendra largement connu et réfléchi par les experts des médias bien avant que les anthropologues et autres scientifiques, dont l'expertise est l'interprétation de différentes cultures, soient en mesure de comprendre et d'analyser le contenu qui pourrait exister dans un signal. En bref, l'invention d'une culture étrangère commencera presque à l'instant où le contact est fait.

Si jamais nous recevons un message d'une intelligence extraterrestre, nous serons confrontés au même problème que Benedict et les anthropologues antérieures du travail à distance ont rencontré : des données limitées. En outre, nous allons faire face au problème d'un décalage dans le temps, mais pas un décalage de plusieurs mois vécus par les anthropologues en fauteuil du 19ème siècle. Au lieu de cela, nous allons faire face à des décalages d'années, de décennies, de siècles ou de millénaires entre le message et la réponse. Si nous pensons à l'étude du Japon, qui a été si fortement influencée par le travail de Benedict, même si l'accès à de nouvelles données a été facilement disponible au cours des 60 dernières années, il est facile d'imaginer comment de longues périodes avec peu ou pas de données pourraient conduire les humains à créer une image d'une civilisation extraterrestre basée en grande partie sur nos propres théories et expectations sur la façon dont la culture et le comportement agissent. Michaud note que les scientifiques "ne doivent pas laisser la croyance ou la préférence triompher sur des preuves", mais dans le cas des extraterrestres, ce sera un défi difficile. En effet, la grande majorité de ce que nous allons "connaître" des ET, si le contact se produit, sera nos propres inventions fondées sur des données très limitées et qui seront ensuite élaborées au cours des longues périodes d'attente entre les contacts. (p141)

Dans Actualité
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Escroqueries dans la Gestion immobilière

Par Le 06/11/2014

Escroqueries dans la Gestion immobilière - MAJ 7

dsc-0004.jpgLe 1 allée des marronniers au premier plan, le 2 derrière. Il y avait des marronniers sur tous les espaces verts derrière les petites barrières.

Cet article est un appel à l'aide et à la justice. Tous ces faits sont réels et il y a de nombreuses preuves l'attestant. Nous avons eu confiance envers le système judiciaire civil français pour réaliser et contrer ces utilisations frauduleuses de lois douteuses passées à l'aide de jurisprudences ou décrets (hors Parlement) par des détenteurs douteux de pouvoirs anormaux. Nous avons eu tord. Il est évident qu'il est impossible d'avoir confiance en une justice gangrénée par la mafia et les politiques, les intérêts individuels et les fausses valeurs (l'argent et la notion de profit). 

Il faut bien préciser ici que moi et ma famille ne sommes pas les seuls concernés par cette même escroquerie plus ou moins accompagnée (en fermant les yeux ?) par les administrations de deux communes parisiennes, et par la "justice". Il s'agit d'une résidence de trois tours de 10 et 11 étages (le dernier étage était à l'origine réservé à des séchoirs individuels) et ce grave problème que je dénonce aujourd'hui concerne donc plusieurs centaines de personnes (4 appartements de 3 ou 4 pièces par étage).

C'est une assez longue histoire, et complexe. Il est probable qu'une majorité d'intervenants dans ses différents volets n'ait pas fait l'effort de vraiment la comprendre et de réaliser les origines et manipulations orchestrées dans cette affaire. Je vous demande donc de la patience devant cette longue suite de faits, même devant parfois des détails à priori sans intérêt : c'est un tout et l'ensemble de ce qu'il se passe dans cette petite résidence est, j'en ai bien peur, le reflet de ce qu'il se passe très souvent au niveau de la gestion de ces parcs immobiliers gérés par des entreprises (subventionnées par l'Etat et donc aussi par les mêmes locataires, en plus !) bien souvent liées à des pratiques anti-sociales, voir mafieuses... et qui utilisent de "bonnes" lois et jurisprudences pour faire monter artificiellement (et sans arrêt) le prix du mètre carré...

Voilà donc les faits dans leur intégralité, ils sont le reflet de l'entière vérité, et je ne suis pas le seul à pouvoir en témoigner. Nous avons pu également obtenir un bon nombre de preuves et de documents évidents, qui ont été ignorés par la "justice". Tous ces preuves (avec les noms ou données identitaires cachés pour respecter les droits) sont disponibles et j'en afficherai en cours ou à la fin de cet article (qui n'a pas encore de fin d'ailleurs étant donné que le problème n'est absolument pas résolu), mais le temps pour y enlever les noms propres de gens que je ne peux citer publiquement est long. Ces documents sont en tout cas consultables chez moi (plusieurs quittances de loyers et copies de jugements prouvant mes dires sur la manipulation des juges par l'OGIF et ses défenseurs, preuve de la tentative de corruption par proposition de paiement d'équipement au noir, témoin de manœuvres douteuses et de non augmentations de certains loyers au même endroit, preuves de non mises au normes électriques et au gaz et des dégâts occasionnés par les travaux et sa vétusté dans l'appartement, preuves des accusés de réception de l'OGIF de mes recommandés auxquels ils n'ont jamais répondu... témoin direct aussi de plusieurs évènements : Mr Godron n'était pas de ma famille avant cette année 2013 (mariage cet été avec ma fille) et a été témoin dès 2002 des troubles occasionnés...). Je n'ai personnellement rien à cacher à part une protection minimum de ma vie privée.

Pour retracer l'ensemble de cette affaire, je suis obligé de partir du tout début : mon arrivée au Plessis-Robinson, avec ma femme (à l'époque) et ma fille Delphine (8 ans à l'époque) en août 1992. Contexte : je travaillais depuis 1982, comme employé puis cadre-maison, pour le compte de Thomson-CSF et différentes filiales (Airsys Bagneux, SODETEG), devenue de nos jours Thales, et comme plusieurs dizaines d'employés par an dans ce groupe, j'ai fait appel aux 1% social logements de l'entreprise Sodeteg où je m'étais fait muté en 1990, pour obtenir ce logement. Je précise tout de suite que la tâche de gestion du 1% logement était dévolue à l'époque à la secrétaire principale de notre PDG, Mme L. Le parc immobilier de Thomson-CSF était très important évidemment (énorme entreprise internationale, leader sur plusieurs marchés (armement entre autres)) et j'ai vu des petits pavillons avec jardin partir pour des ingénieurs/cadres avec plus de moyens que ma famille, bien entendu. Mon choix se portait donc sur un assez bel appartement bien clair, situé au 9ème étage d'une de ces trois tours. L'école pour Delphine n'était pas très loin et c'était un plus, ainsi que la meilleure proximité du centre Thomson/Sodeteg où je travaillais à l'époque (Clamart, La Boursidière, et Meudon la Forêt) mais c'est en fait la vue très belle en hauteur sur toute la banlieue sud-est qui a emporté le choix final, l'appartement en question étant tout de même vieux et refait qu'à moitié...

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Notez qu'à l'époque (1992), ce sont des francs et non des euros...

Autre particularité importante et non sans conséquences : la résidence est coupée en deux entre deux communes, Chatenay-Malabry avec une tour et Le Plessis-Robinson avec 2 tours. Une voie privée nommée allée des marronniers, à cause à l'évidence des nombreux arbres de ce type qui en font en grande partie le tour (barrée et accessible uniquement pour aménager/déménager et pour les pompiers) fait le tour de la résidence et ne délivre que ces trois tours et cette résidence, les box. Il n'y a donc que 3 adresses possibles pour l'allée des marronniers, le 1, le 2 et le 4 (à Chatenay-Malabry la dernière).

- Lors de notre première visite, l'appartement n'était pas fini d'être rénové. Trois ou quatre ouvriers s'évertuaient alors à reboucher avec du plâtre une grosse fissure transversale dans le mur de soutien (pourtant en béton armé) de la cuisine/salon. Je m'en inquiétais auprès de Mr R., gardien de l'OGIF à l'époque, et celui-ci me rassurait en affirmant que cela ne se verrait plus et que n'importe comment, il n'y avait pas de séismes à Paris en plaisantant. Plus tard, lors de l'état des lieux, le représentant de l'Immobilière Familiale (pas d'OGIF à l'époque) mentionne bien que plusieurs pièces, tapisseries et peintures sont jugées en bon état malgré les 20 ans passés et non refaites, alors que les refaites sont mentionnées en très bon état. Une fenêtre de la chambre principale ne ferme pas mais Mr R. refuse de la mentionner en affirmant qu'elle devrait fermer en insistant (mais un collant d'emballage empêche son ouverture), que des travaux pour les fenêtres et d'autres sont prévus pour 1998 et qu'il y a une garantie décennale à respecter, etc... il mentionne juste des volets cassés à remplacer (qui ne le seront pas avant longtemps !) et un meuble-sous-évier de cuisine vieux de 20 ans mais en bon état (hum !), bien qu'il y manque des planches et un système de fermeture (qui n'a jamais été fourni)...

Pris par le réaménagement qui dure assez longtemps (assez pris aussi par mon travail à Sodeteg en pleine réorganisation), et dans la mesure où les double-rideaux que nous avions posés devant la fenêtre mal fermée me l'ont faite oublier, nous sommes encore dans quelques cartons en décembre quand il commence à faire un peu frais dans notre chambre et que je tente de fermer cette fenêtre pour de bon. J'enlève donc cette bande de scotch d'emballage endurcie et enroulée sur elle-même pour coincer le supérieur gauche de la fenêtre un peu entrouvert. Et je remarque immédiatement que c'est plutôt le bois de la fenêtre qui s'est tordu sur son pourtour supérieur gauche (infiltration d'eau ?)... et que j'ai beau essayer, il n'y a rien à faire pour refermer la fenêtre correctement... Prévenu, le gardien, Mr R., viendra innocemment vérifier la chose (mais je ne peux que supposer qu'il était au courant, d'où sa manœuvre pour que cela ne soit pas marqué dans l'état des lieux) mais se contentera de me prévenir qu'il faudrait sûrement que je patiente pour les changements de fenêtres car il a déjà prévenu son siège de plusieurs problèmes de fermetures de fenêtres et de volets, que c'était prévu (?) mais sans date précise...

Je ne me souviens plus à quelle date au juste, mais je sais avoir mentionné des choses concernant ces problèmes anormaux dans le livre des réclamations disponible alors à la loge du gardien... sans aucune réponse d'ailleurs avant le changement des fenêtres... en 2003 !... 11 ans donc avec une fenêtre de chambre principale qui ferme mal... que j'ai pu recolmater comme j'ai pu bien sûr, mais je ne peux vraiment pas dire que Mr R. ait été le gardien préféré que j'ai connu dans ma vie...

J'écris et mentionne de nombreuses anomalies dans le livre de réclamations du gardien, dont la loge est située à l'époque au 4 allée des marronniers à Chatenay, dont la grosse fissure vite réapparue et les problèmes aux volets et fenêtre... jamais eu de réponses malgré plusieurs visites au gardien représentant de l'Immobilière Familiale à l'époque... sourd et muet... J'ai téléphoné plusieurs fois à l'époque mais j'ai eu à chaque fois une interlocutrice différente qui affirmait s'en occuper... mais non. Je précise ici tout de suite que j'ai commencé à avoir des problèmes de santé peu après la coupe du monde de football et que des soucis supplémentaires personnels se sont ajoutés.

- Années 1996-1998 : la commune de Chatenay-Malabry est en faillite et les impôts locaux des habitants du 4 allée des marronniers sont augmentés à l'extrême (rediminueront par la suite, MAIS PAS LES LOYERS, pourtant obligatoirement impactés par ces hausses anormales de taxes locales...). L'immobilier enchaine puisque c'est lié et les propriétaires de logements, ainsi que tous bailleurs font monter les prix pour payer leurs propres impôts et taxes qui ont augmenté (au détriment bien sûr de ceux qui n'ont rien à faire monter pour eux à part des dettes...)

http://www.liberation.fr/libe-3-metro/1996/10/07/-_184747

- Année 1999, je suis en procédure de divorce à l'amiable d'avec ma femme et le jugement accorde la séparation : dès 1999 mon ex-femme part donc à son nouveau domicile à B et donne un avis de départ (jugement de domiciliation) au gardien représentant l'Immobilière Familiale (Mr DS à priori) comme nous l'avons toujours fait (loyer, correspondances pour le bailleur), et je reste avec ma fille à garde dans le 4 pièces. Séparation confirmée légalement en 2000.

- Pas très sûr de la date (voir avec facture retrouvée récemment) mais en 1999, nous avons été obligés de changer par nous-mêmes le système complet de fermeture d'une fenêtre d'une chambre : le système, trop vétuste, s'était brisé, et c'était en plus la fenêtre où le système de blocage des volets n'existait plus (ces derniers étaient liés par des ficelles)...

- Divorce définitif en 2001 et là j'avoue n'avoir pas fait attention si un changement de bail avait été fait entre temps ou pas : L'Immobilière Familiale a subitement disparue entre temps et aucun travaux n'a été fait contrairement aux promesses et elle n'a pas changé le bail, le prolongeant tacitement bien que mon ex-épouse ne soit plus là.

- vers 2000-2001, c'est donc l'OGIF qui reprend le relais de l'Immobilière Familiale, alors que l'état de ces immeubles et l'environnement (les grosses résidences en face avec des tours identiques sont devenues HLM...) auraient dû inciter à une destruction ou une réhabilitation vers des logements sociaux du type HLM. Surtout que la population est essentiellement composée d'employés et petits cadres d'entreprises et qu'il n'y a pas de professions libérales ou de "docteurs" implantés dans la résidence... et que le Plessis-Robinson est censé être un modèle en matière de logements sociaux puisque c'est une ville-test !... mais l'OGIF est plutôt incitée par ses intérêts situés à Chatenay-Malabry à priori car elle gère aussi l'ensemble de l'immeuble situé juste à côté, Ave de Robinson et d'autres logements dans cette ville...

A la même période, mes problèmes de santé s'accentuent et, à l'indication d'un ami assez proche (à l'époque), je vois discrètement un professeur en Belgique. Discrètement car je suis en plein divorce, que le travail a une grosse pointe (rachat/fusion d'une grosse société et déménagement !) et que ma fille est dans ses années de bac. Mais c'est une autre histoire personnelle, qui a bien sûr détourné également mon attention, temps et réactions pendant longtemps, mais qui ne concerne pas notre sujet principal.

- 2001 : La ville de Chatenay-Malabry est l'une des plus endettées de France et les choses ne peuvent qu'empirer : elle prend au fil du temps des emprunts très toxiques des banques américaines JP MORGAN, GOLDMAN SACHS et BANK OF AMERICA (entre autres) pour un montant total de 16 864 000 €, avec un surcoût de 15.67% en moyenne, remboursables avant 2026, 2029, etc... ! (2 642 000 € qui augmentent sans arrêt, les taux varient de 8.56% à 23,23% suivant les crédits !)... au même moment, les augmentations d'impôts locaux (rabaissés légèrement suite à ces emprunts) ont entraîné et entraînent toujours des augmentations de loyers par ricochet car les bailleurs et propriétaires répercutent toujours les augmentations de taxes sur les mêmes locataires (augmentations de loyers qui, je le rappelle ici, font par retour réaugmenter les impôts locaux (au bénéfice de la mairie donc et surtout de ses banquiers) puisque la valeur du mètre carré augmente automatiquement avec les loyers... regardez vos quittances d'impôts locaux, le détail indique la valeur de votre logement en mètres carrés, servant comme une base de calcul (qui augmente donc chaque année avec les augmentations automatiques de loyers au 1er janvier...). Et oui, voilà une réalité dont on ne parle surtout pas quand on parle de liberté, d'égalité, de fraternité : quand les pouvoirs affirment décréter une taxe pour tous, les propriétaires de biens et les actionnaires les font en réalité payer à leurs moutons, quand les pouvoirs autorisent les propriétaires et bailleurs à augmenter chaque année les loyers et charges automatiquement d'un côté, non seulement elle ne s'assure pas du tout que les citoyens puissent obtenir cette même augmentation (négociables éventuellement chaque année et par corporations bien séparées), mais en plus elle accorde aux plus pauvres et démunies des aides moindres que ces-mêmes augmentations aux propriétaires et bailleurs... et en plus, ces augmentations de salaires, de loyers et de taxes reviennent de toute façon en grande partie (y compris les "aides" diverses et subventions) dans les caisses de l'Etat via les TVA et taxes diversifiées de plus en plus...

Le Plessis-Robinson, curieusement et alors qu'il ne me semble pas qu'il y ait eut mention d'un besoin urgent d'argent, tombe dans les bras de la peu scrupuleuse banque de GOLDMAN SACHS en... 2001 pour un emprunt de 1 364 000 € remboursable en 2016 avec un surcoût estimé de 83 000 € à l'époque...

Preuves, regardez les emprunts toxiques (encore récemment 2010) de la commune de Chatenay-Malabry, et ceux du Plessis-Robinson en zoomant sur la carte sur la banlieue sud : http://labs.liberation.fr/maps/carte-emprunts-toxiques/#Communes-0071962

http://h16free.com/2012/12/19/19604-prets-toxique-et-incompetence-crasse-des-politiciens

http://sylviedelaune.wordpress.com/2013/02/14/une-explosion-de-la-dette-chtenaisienne-sous-lre-siffredi/

Juste pour info et affirmation : ce genre de bidouilles potico-financières sur le dos du peuple sans distinction est criminel en soit et mène inévitablement à ce qui se multiplie dans une société menée par l'argent : http://www.leparisien.fr/reactions/informations/chatenay-malabry-menace-d-expulsion-il-se-retranche-chez-lui-11-07-2013-0.php

- Fin 2001 : Ma fille Delphine rencontre Mathieu Godron, jeune technicien vivant à l'époque dans les Yvelines et leur affinité fera qu'il finira par passer plus de temps chez moi, pour venir s'y installer définitivement en 2003 suite à des différents avec sa famille à l'époque.

- Mi 2002 : je quitte définitivement le groupe Thalès, en licenciement économique pour refus de mutation en province officiellement, pour tenter de me soigner d'après les indications du spécialiste (qui décède lui-même plus tard dans un accident). Très peu d'IRM et de techniques de haute pointe disponible à mon niveau en Europe, ce qu'on m'indique à Houston au Texas semble adapté à ce que je veux dans tous les cas : détection éventuelle et destruction immédiate si nécessaire, sans soins destructeurs chimiques ou radiatifs. Je ne pourrai aller aux USA et à Houston que plus tard (le 1er février 2003, une date tragique d'ailleurs !), à cause de la logistique financière et du temps d'absence qui ne peut être trop long (ma fille ne peut pas payer de loyer ou signer en mon absence...).

- 2003 : deux ouvriers d'entretien sonnent à la porte, envoyés par l'OGIF et son gardien (pas de nom à l'époque, nous avons juste un "chef des gardiens", Mr L. au niveau OGIF, mais localement, il s'agit déjà de Mr P. et de sa femme). Ils sont venus faire l'entretien courant des joints et robinets (contrairement d'ailleurs à ce qui est marqué dans mon bail) et j'en profite pour signaler une petite fuite provenant du joint du robinet d'eau chaude de la cuisine. Il s'agit d'un jeune apprenti et d'un ouvrier vétéran. Je les laisse quelques minutes car j'ai la visite d'un ami (T. H.) mais quand je reviens les voir, je surprend l'apprenti, à quatre pattes sous l'évier avec une pince monseigneur, en train de resserrer violemment la bague au-dessus du siphon de l'évier. On entend un gros crac mais rien ne se passe et les deux ouvriers s'en vont assez précipitamment... j'essaie aussitôt le robinet en principe réparé mais dès que j'ouvre l'eau au grand, une grosse fuite se déclare juste au-dessus du siphon dont le tuyau vient d'être brisé... et je n'arrive pas à rattraper les ouvriers évidemment... Je me souviens maintenant avoir eu au téléphone Mme P. immédiatement pour qu'elle intervienne. Le plombier remontera me voir, un homme du type maghrebin, qui niera que quiconque ait touché en-dessous du lavabo (me disant même qu'il n'a pas le droit - alors que c'est le contraire légalement !)... ce crime (car il en s'agit bien d'un) a entraîné des conséquences encore existantes en 2013 ! et nous sommes restés de mars à juin 2003 sans évier de cuisine du tout à cause de la mauvaise foi de la part de l'OGIF (aucune réponse à mon recommandé !) et de ses représentants gardiens... ce sera le chef des gardiens, Mr L. à l'époque, qui prendra l'initiative de faire réparer et changer (avec du plastique) une partie de la vieille plomberie en ruine... à cause de mes appels répétés et après une intervention du Maire du Plessis-Robinson auquel j'avais dû écrire pour avoir un petit appui... a ce jour en avril 2013, le meuble en bois qui date de 40 ans n'a pas supporté cette fuite de 2003 et ses pieds s'évasent, vermoulus et le meuble s'écroule (plus de joint possible entre lui et le mur) mais l'OGIF contacté il y a 3 ans refuse de répondre par écrit (toujours) : les gardiens m'ont proposé un partage du coût au noir de leur propre meuble (qui fait parti du bail !) (600€ par moitié) sur un post-it manuscrit avec un autre courrier de l'OGIF, réponse a une demande d'info pour le gaz (preuve donnée aux avocats et aux débats (en principe mais nous n'avons jamais pu voir un écrit de ces débats !) mais ignorée).

- Fin 2003 : les fenêtres sont enfin changées après 11 ans de promesses... mais les fissures s'élargissent un peu partout dans tous les appartements... surtout en hauteur. Ma voisine d'en face à l'époque (le mari travaille chez Bouygues) devient folle à cause des multiples fissures qui émaillent son appartement... ils partiront d'ailleurs avant même les travaux. Important : les volets déroulants sont enfermés dans un gros coffre en plastique (moche) qui fait la largeur des double-fenêtres et 20 cm de largeur : ils ont tous été montés A L'INTERIEUR des logements, enlevant autant de M2 utilisables (mais toujours payés en loyer et impôts locaux depuis !) à chaque logement (7 fenêtres avec ces coffres pour le mien)...

- Autrement dit, la valeur de cet ensemble et de ces logements aurait dû diminuer avec évidence en l'absence de tout travaux et en application de la vétusté et leurs loyers avec... ce qui n'a jamais été le cas bien évidemment... il semble bien que les juges sont toujours prêts à accorder une augmentation des valeurs (même fausse) dans l'immobilier plutôt que l'inverse, sans aucune réalité et en contradiction totale avec les lois de la nature et de la physique... les choses sont laissées à l'abandon et en ruine mais ne diminuent pas de valeur mais par contre, il suffit de mettre une "rustine" à l'immobilier pour qu'il augmente de 50 %... : c'est de l'abus et de l'escroquerie de base, tout simplement, et il y a trop de décisionnaires qui sont à la fois juges et parties... combien de juges et politiques sont locataires ????

- En 2003, le Maire du Plessis-Robinson, Mr Pemezec a adressé un courrier à l’Ogif l’intimant d’effectuer les travaux en retard (en précisant qu’il l’avait déjà réclamé à l’Immobilière Familiale) - j’en ai une copie.

Les travaux principaux n’ont commencé qu’en 2005, avec comme premier objectif pour l’OGIF d’éliminer certains services inclus dans les baux de l’époque : disparition des vides-ordures, non remplacement puis finalement disparition des jeux et jardins pour enfants (le 1er au niveau du « bac à sable » (avec sable non prévu et inchangé) actuel a vu ses jeux disparaître par non remplacement bien avant que l’OGIF ne supprime officiellement les jardins d’enfants. La plupart des marronniers de la cité (qui ont donné son nom à l’allée) ont été enlevés par l’OGIF et non remplacés…j’ai un courrier de l’OGIF, signé du chef des gardiens de l’époque, qui affirme que les disparitions de ces services (inclus dans les loyers et charges), vont engendrer une diminution de charges… personnellement, je n’ai vu qu’une augmentation régulière des charges au niveau de la quittance de loyer et une diminution des ajustements annuels de charges, toujours en ma défaveur…

Octobre 2003 : L’OGIF prévient enfin qu’elle va entamer une partie des travaux (une partie seulement sur tout ce qu’il y a de retard d’après la loi), dans les 6 prochains mois (2004 donc). (pièce 10). Dans ce courrier, il est aussi fait mention de la disparition des vides-ordures, afin de réduire les charges. Ce qui est faux car les charges n’ont pas cessé d’augmenter considérablement (voir les pièces sur les ajustements annuels de charges).

2004 : ravalement, changement (enfin !) des fenêtres et volets. Malgré le ravalement, on constatera après un affaiblissement au niveau du balcon, ainsi que la détérioration de la pierre au-dessus du balcon. (pièce 11).

2005 : travaux de peintures des halls et cages d’escaliers (parties communes - hors appartements).

L’OGIF a enfin procédé (ou fait semblant ?) en 2005-2006 à des travaux d’étanchéité du toit du parking souterrain, derrière le 2 marronniers, qui présentait de larges fuites d’infiltration d’eau et de calcaire sur les voitures y stationnant (y compris la mienne)… Travaux non finis en 2013 ! : il y a encore à l’heure actuelle des fuites d’eau et de calcaire sur les toits de certaines voitures (l’OGIF, suite à plainte à mon assureur a fait poser en 2006, comme à d’autres, des plaques de tôles (en principe provisoires) sur les plafonds au-dessus des voitures, sans procéder à de réelles réparations définitives de ce parking… d’ailleurs l’eau et le calcaire commencent à s’écouler des tôles (j’ai à nouveau quelques tâches blanches sur la peinture arrière de ma voiture) et je pense qu’avec les intempéries qui ne vont pas manquer de venir, ça ne va pas arranger les choses…

- 2005 : je repréviens moi-même (écrit et signé sur une quittance de loyer si ma mémoire est bonne) du fait que je suis divorcé depuis 2001 et que le fiancé de ma fille, Mathieu Godron, vit chez moi à titre gratuit question logement. En 2006, le nom de mon ex-femme est enfin enlevé des quittances de loyers (preuve apportée lors des débats) mais l'OGIF ne propose pas de nouveau bail et feint d'ignorer les choses à ce sujet, et n'a jamais voulu répondre à mon courrier de 2003... (copie apportée lors des débats)...

Pour finir, l’OGIF a accéléré son programme d’augmentation générale des loyers de la résidence sans aucune justification réelle, à part le contexte que voici : La commune de Chatenay-Malabry a été mise en redressement suite à sa faillite il y a quelques années (les habitants de Chatenay pourront me confirmer l’année, que je pense être 1997-1998 - au moment des décisions d'attributions de plans de logements sociaux). Les conséquences ont été rapides pour les habitants de Chatenay-Malabry : augmentations énormes des taxes locales, des loyers et charges… L’OGIF en a donc profité dès 2008 je pense (ou 2005-2006 et les lois Sarkozy citées par l'OGIF qui ont, en quelque sorte, invalidé les protections sociales liées aux 1% patronaux et à mon appartement et des autres ?) pour tenter et réussir par tricheries à aligner les loyers de toute sa résidence (qu’ils appellent « Chatenay », alors qu’il n’y a qu’une tour (celle du gardien et des transmetteurs Bouygues sur son toit) à Chatenay, les deux autres étant au Plessis-Robinson, sur les loyers pratiqués à Chatenay-Malabry.

Contre toute logique (mais il y a des doutes parfaitement exprimés, y compris dans la presse et sur internet, sur l’intégrité de certains juges du Tribunal d’Antony…), l’OGIF a présenté des références de loyers pratiqués essentiellement à Chatenay-Malabry, alors que dans la résidence même, se trouvaient obligatoirement un nombre conséquent de loyers aux même prix que ceux contestés par l’OGIF, et les tribunaux ont tous été en faveur de ce dernier, essentiellement à cause de ces fausses informations, ces tricheries mafieuses, voir des complicités politiques ou d'entreprises liées au bâtiment…

2008 : mise aux normes électriques (très en retard). Un encadrement en carreaux de la baignoire dans la Salle de bains empêche la mise à la terre de la baignoire. Cet encadrement ne m’appartient pas, je ne suis pas demandeur des travaux, ni propriétaire : je dis au travailleur de voir avec l’OGIF (seul maître d’œuvre), mais il déclare avoir des délais et ne pas avoir le temps. Je refuse de signer la fiche qu'il me tend. C'est un très grand personnage et très puissant et il se met presqu'en colère mais part devant ma détermination. Il reviendra plus tard (je n'arrive plus à me souvenir si c'était le même jour ou un autre), accompagné de tous les ouvriers, d'un contrôleur de Véritas et d'un représentant de l'OGIF (le responsable des travaux ?). Grosse pression donc de la part de 7 personnes (de mémoire) qui me demandent de signer et de laisser faire les travaux. Je demande juste à l'assemblée que quelqu'un m'amène un papier signé par l'OGIF autorisant cette destruction pour l'autoriser, mais on me répond que non. Point. Je déclare donc que je ne peux signer ou accepter quoique ce soit au niveau de la baignoire et de son coffrage qui ne m'appartiennent pas puisque en même temps, j'en prendrais la responsabilité, et moi seul... Devant mon refus réitéré, le grand technicien (qui fait le plombier et tous les métiers du bâtiment puisqu'il est d'ailleurs toujours présent dans les divers travaux de la résidence) se met en colère et me met sa fiche dans les mains, un stylo et me crie dessus de signer sa fiche, que la baignoire soit faite ou pas. Devant la menace et l'immobilité du groupe, je prends sa fiche et gribouille une signature sur le mur vertical, et j'ajoute en-dessous le texte  "NON MIS AUX NORMES". Il se met encore plus en colère et froisse le papier que je lui ai tendu. Quelqu'un le calmera je pense et je ne me souviens plus trop de la fin de cette entrevue qui m'a fortement surpris à l'époque. Ils partiront et, malgré mes remarques aux mêmes représentants ou fournisseurs de l'OGIF et aux gardiens, je n'en entendrais plus parler avant que je le fasse (en vain et dans l'indifférence) auprès de mes avocats et de la court civile... Les normes électriques ne sont toujours pas appliquées à ce jour (09-2013) dans la Salle de Bain... je précise qu'on m'a toujours déconseiller de faire mention de cette scène dans la mesure où j'étais absolument seul contre sept "ennemis", mais dans la mesure où les détails ont fini par ce préciser à force de faire appel à ma mémoire et où je suis certain de la vérité, et que j'ose espérer qu'au moins un employé travaillant pour Véritas ne soit pas un "ennemi" avec intérêt (quoique Véritas a intérêt a donner éventuellement de bons contrôles pour être rémunéré...), je ne vois pas de raison de ne pas en parler ici.

- en 2008 et 2009, quelques voisins (dont le mien à gauche, Mr Rt) viennent me voir pour tenter de comparer leurs loyers au mien devant leur réception de nouveaux baux avec augmentations très conséquentes (peu sont augmentés de 50 € par mois question salaire alors que la loi autorise de le faire aux bailleurs (alors qu’ils bénéficient déjà d’augmentations annuelles automatiques sans rien faire - scandaleux) ! C'est d'ailleurs criminel en soi d'autoriser des augmentations supérieures à l'inflation et aux augmentations des minimas sociaux, surtout en période de crises incessantes... point...). Mais il s'agit d'un trois pièces et il ne peut le comparer trop avec notre quatre pièces (bien qu'il soit évident qu'il n'y ait pas plus de 30 à 50 € de plus en loyer pour cette pièces en plus, et que tous les loyers des trois pièces sont identiques, comme tous ceux des quatre pièces, à l'époque...). D'ailleurs, curieusement, nous ne recevons rien du tout de notre côté (ni les 4 pièces apparemment) car d'autres personnes ayant un trois pièces (au 6ième étage *) nous demande également le service de comparer leurs loyers au notre (ce que nous faisons en vain puisqu'ils ont un trois pièces - du même prix que celui de Mr. R.* d'ailleurs, notre voisin, mais il s'est apparemment enfui vers la même époque, laissant ses meubles, devant les augmentations de loyers excessives pour un retraité seul... Nous n'avons plus aucune nouvelle de notre côté de cette histoire, un peu isolés peut-être en haut de la tour... et par les plans machiavéliques de l'OGIF qui "dispatche" discrètement les augmentations de loyers entre les trois tours et les 3 pièces/4 pièces...

* = Nous avons récupéré comme preuve formelle les montants exacts des loyers de ces deux familles habitant dans notre tour des logements identiques (avec d'autres), via les pièces apportées aux débats lors des jugements civils

Début 2009, je préviens les gardiens que le meuble sous-évier, ainsi que l’évier de cuisine et la plomberie liée, sont vétustes et que le meuble s’affaisse  de plus en plus, menaçant d’entraîner le lourd double-évier dans sa chute. J’ai même la représentante de l’OGIF sur la résidence au téléphone à ce sujet, et je lui parle des dégâts occasionnés par l’apprenti, non réparés pour ma part. Elle me dit qu’elle ne connaît pas le chef des gardiens de l’époque qui a réparé (donc reconnu les tords de l'OGIF), qu’il n’y a pas eu plainte à l’époque et que donc pour elle, ça n’a pas existé (Mr le Maire du Plessis-Robinson qui était intervenu, appréciera…). Pour finir, l’OGIF, consciente de sa responsabilité mais ne voulant pas payer le remplacement d'un objet inclus pourtant dans le bail (et restant dans l'appartement) et vétuste de 40 ans, propose un arrangement discret et sans factures par l’entremise des gardiens. (pièce 12).

Autres travaux en 2009 :  suppression du bac à sable et des jeux pour enfants (pour économiser des charges ! pour qui ?). Subite maladie des marronniers (hum) et abattage de la majorité des marronniers et arbres de la résidence (sans remplacement) en face des deux tours situées au Plessis-Robinson (un hasard ?) et le parking du 2. Installation de portes d’entrées d’immeuble avec interphone et clé magnétique (non demandée par les résidents). été 2009 : Installation de barrières aux 2 entrées principales de la résidence : ce matériel a dû coûter très cher… et n’a jamais été mit en fonction jusqu’à présent (+ d'un an : septembre 2010 !). Pour info, je n'arrive plus, ou avec beaucoup de difficultés, à ouvrir cette barrière avec la clé magnétique en juillet. Je ne suis pas le seul car un ouvrier tente de régler l'ouverture de la barrière et c'est lui qui me l'ouvre d'ailleurs : j'en profite donc pour faire changer la pile à une mercerie de Chatenay proche et elle ouvre au quart de tour quand je reviens... mais, la semaine d'avant le 15 août 2013, je suis bloqué un moment devant la barrière par le même ouvrier, en train de creuser au marteau-piqueur devant, Mr P. le gardien à ses côtés... je pense que la barrière est à nouveau en panne, bien qu'avec mon changement de pile, celle-ci s'ouvrait même de loin encore récemment... on m'ouvre... mais à mon retour, ma clé magnétique avec sa pile neuve ne fonctionne plus... ou presque plus : il faut que j’insiste 10 minutes et que je place ma voiture à un seul endroit 'lisible" maintenant pour ouvrir la barrière... je me suis absenté seulement deux jours cet été pour aller voir mon père en province : je pars la semaine d'après le mercredi matin, en mettant encore 10 minutes pour réussir à ouvrir la barrière "automatique" (impossible a manœuvrer à la main), avec de la chance apparemment (pour une fois !)... quand je reviens jeudi soir, plus de barrière du tout ! Celle-ci a été apparemment arrachée ou découpée à raz par des gens voulant rentrer chez eux, mais le gardien a choisi de faire ses travaux de barrière juste avant de s'absenter lui-même...

Du 31/08/2009 au 06/01/2010 : remplacement des 3 ascenseurs des tours : notre tour au 1 marronniers (9 étages) est totalement privée d’ascenseur pendant près de 3 mois ! Aucune déduction des charges n’a été effectuée pour cette période, en infraction avec l’article 1724 du code civil. (que j’ai mentionné en vain lors du 1er jugement).

L’OGIF a enfin commencé à remplacer les vieux gros radiateurs (mais qui fonctionnaient très bien chez moi : il fait + froid maintenant !), après avoir remplacé les chaudières au fuel par des chaudières au gaz de ville. Mais ces remplacements ont curieusement été très étalés dans le temps : la majorité sont fait seulement à l’occasion d’un changement de locataire. Commencés dès 2005 en nombre calculé (11 par an de provisionné seulement - j’ai les chiffres transmis par l’OGIF lors des procès) ces changements de radiateurs duraient encore en 2011 ! L’OGIF m’a envoyé une assignation en mai 2010 car il trouvait mon loyer sous-évalué (c’est un comble quand on pense qu’ils osent comparer ces vieux logements a des logements neufs ou refaits à neuf, alors que le mien, en 1992 quand j’y suis entré, n’a vu que deux de ses pièces repeintes et retapissées (les + petites) et la peinture de la cuisine refaite pour masquer principalement une grande fissure qui traverse un mur porteur (fissure qui est réapparue seulement deux ans après mon entrée !). La plupart de mes voisins à l’époque se sont plaints également de ces fissures récurrentes dans les étages supérieurs des tours, ainsi qu’en extérieur sur le balcon… personnellement, je les ai toujours, y compris sur le balcon (une fissure est réapparue récemment sur un morceau du balcon, réparé lors des derniers travaux, mais l’immeuble n’est pas très récent…). J’ai le mur mitoyen du salon et de la cuisine qui présente une fissure (non pas de la peinture, mais bien du mur), un mur qui se déforme (il gonfle) entre deux chambres et des fissures aux plafonds des chambres.

- en mai 2010 donc, l'OGIF m'envoie un courrier avec un nouveau bail (comportant le nom de mon ex-femme !) et surtout une proposition d'augmentation de loyer assez énorme pour mes pauvres moyens : aucune réelle augmentation du pouvoir d'achat depuis 10 ans mais plutôt une diminution constante, alors qu'à l'inverse, tout doit augmenter selon le cercle destructeur de cette société décadente...

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- En août 2010, les gardiens affolés et "gênés" appellent pour m'informer que mes radiateurs doivent être changés. Estimant ne pouvoir interdire des travaux du bailleur, plusieurs ouvriers sont donc attachés à changer en catastrophe et en une journée l'ensemble de mes radiateurs. Sur ce fait, ils sont d'ailleurs assez brutaux et des trous assez importants sont agrandis entre certaines cloisons (photos) mais les radiateurs sont changés. Je signe donc une réception des radiateurs à l'un des ouvriers, daté d'août 2010 et je remarque que le nom de l'entreprise de la fiche sur laquelle je signe comporte l'adresse du 4 allée des marronniers : l'adresse de l'immeuble de l'appartement du gardien (la loge a elle été déménagée entre-temps dans une résidence attenante à la notre et aussi gérée par l'OGIF (50 Avenue de Robinson) !!

Début septembre 2010, je reçois une convocation officielle à une Commission de Conciliation qui se tient dans une semaine et à l'autre bout du département (Nanterre) ! Je ne suis pas en très bonne forme physique à l'époque (j'ai eu le pied droit en partie écrasé par un accident domestique stupide (comme toujours) et j'ai du mal parfois à rester debout ou marcher) mais je pars donc (un peu juste en temps et après une nuit blanche à ressasser le sujet), et tente, devant la forte circulation de l'A86, de rejoindre Nanterre directement par le sud et l'A14 je pense, qui passe par un tunnel où il y a personne car il est payant... mais c'est complètement immobilisé bien avant et je suis coincé un moment... plus tard, je me retrouve sans trop le savoir sur la route menant au tunnel payant, que je paye donc (comme si j'étais riche : encore des "aides" récupérées automatiquement par l'Etat...) et j'arrive en vue du plateau de Nanterre lorsque je me faits prendre en léger excès de vitesse (- de 10) aux jumelles par un gendarme (et re-pas de chance ou hasard douteux !), alors que je sortais de l'autoroute à 110 km/heure et que j'ai bien freiné en voyant un subit panneau à 90 et 70 plus loin... il a dû me prendre pile sur le panneau ou était mal positionné par rapport à moi (je rappelle que Thomson où j'ai travaillé (Bagneux) fabrique et à fabriqué beaucoup de radars de toutes sortes, y compris pour la police, et que je pourrai en redire sur la fiabilité des radars...dont je n'ai reçu aucune preuve d'ailleurs). Je recevrai donc une petite amende (allez-y, je suis riche...) en plus de cette visite à la Préfecture, un voyage de 1h30... je trouvais difficilement dans ce dédale le parking et, en plus de mon déjà retard, les contrôles intensifs et la queue à l'entrée de la préfecture n'arrangeaient pas les choses : quand je trouvais enfin la bonne salle dans le dédale de la préfecture, la secrétaire de la Commission m'empêchait d'entrer (pourtant il s'agissait bien d'une affaire de l'OGIF qui était aussi conciliée là, je l'ai entendu (d'ailleurs, ce 9 septembre 2010, il y avait plusieurs personnes attaquées par l'OGIF aux commissions) car mon tour était dépassé et que les représentants de l'OGIF pour mon cas étaient déjà repartis... malgré mes protestations et mon dossier avec photos, le fait que mon ex-femme divorcée soit encore sur ce nouveau bail, rien n'y fait et la secrétaire accepte de noter ma présence (donc mon excuse) et me dit que la commission n'a pu dire que l'augmentation de 40% de loyer indiquée au minimum était trop élevée à leur avis... point final.

Vers novembre 2010, de mémoire, quelqu'un sonne à la sonnette de l'appartement, le temps que j'aille ouvrir, personne, l'ascenseur se referme déjà... plus tard, je découvre un pli dans ma boîte aux lettres mentionnant qu'un huissier est venu et a déposé en mon absence (!!) une assignation à aller retirer à l'office des huissiers, à Montrouge ! Avec un coût assorti de 80 € de mémoire (voir sur le document)... la suite est au niveau des "jugements"...

Nous irons tous les trois, ma fille, Mathieu Godron et moi-même dans l'agence de la Matmut à Antony pour convenir d'une assistance juridique, dans la mesure où je cotise à cette aide avec l'assurance de l'appartement et voiture fin 2010 pour obtenir un avocat nommé par la Matmut. Le jugement sera repoussé à la demande de la défense de l'OGIF jusqu'au 15-12-2011.

L’adversaire a été (le 13 octobre 2011) obligé de donner certaines pièces intéressantes pour appuyer sa plaidoirie pour le (1er) jugement du 15 décembre 2011. Ces pièces supplémentaires (des jugements précédents de personnes ayant comme moi refusé cette escroquerie déguisée et qui n’auraient pas dû perdre !) m’ont apporté confirmation de ce que je soupçonnais et avait déjà trouvé : La grande majorité des logements de la résidence (beaucoup de 1% logement d’entreprises) étaient exactement dans les mêmes prix question loyers et charges (qui sont en principe réparties) jusqu’en 2008… jusqu’à ce que l’OGIF, ne respectant pas l’esprit de la loi de 1989 mais son seul intérêt, profite des augmentations de loyers à Chatenay-Malabry (dûes essentiellement à la hausse des taxes locales envers les propriétaires et bailleurs (sic)) pour faire augmenter individuellement les loyers (et en en proposant des plus chers aux nouveaux entrants, que les travaux extérieurs soient finis ou non). L’OGIF a notamment triché en ne proposant comme références comparatives aucun ou peu de loyers comparables de la résidence ou même au Plessis (alors majoritaires !), mais essentiellement des loyers de Chatenay-Malabry (plus chers, on sait pourquoi), dans des logements d’immeubles de 4 étages refaits à neufs ou d'entrées récentes… Il y avait effectivement, dans la résidence de trois tours et pendant ces assignations, des logements parfaitement comparables, y compris en loyers ! - je ne dirai bien sûr pas les noms des personnes concernées, mais j’ai bien trouvé dans les jugements de quelques personnes ayant perdu (injustement) face à l’OGIF et à un tribunal abusé par de fausses informations, des loyers de : 551,23 € aux 1 et 4 allée des marronniers, des loyers de 558,98 € au 1 allée des marronniers et 1 loyer à 550,85 € au 4 allée des marronniers… et grâce au dossier d'un autre voisin, nous en avons encore d' autres... il s'agit bien de plus de 100 appartements (donc familles) qui ont vu leur valeur augmenter complètement artificiellement et sans aucune justification réelle à l'aide de logements cités systématiquement depuis 2008 - et encore en 2013 dans mon jugement avec les mêmes lieux !) comme étant comparables alors que la preuve a été faite qu'ils ne l'étaient pas : moins de 4 étages pour 100% dès logements "comparatifs", tous dans le secteur huppé et classé de la Vallée aux Loups et à + d'un km, refaits à neufs ou ne correspondant pas sur l'ancienneté d'occupation... les textes ne sont pas respectés par les juges dans leur intégralité, bien volontairement...

- Nous avons perdu le premier jugement (alors qu'il a été fait mention d'une erreur de date et donc d'une erreur de procédure flagrante, qui a entraîné à notre connaissance, et exactement pour le même motif, des annulations pures et simples des procédures identiques lors de précédents jugements ou lors de conciliations). Nous avons également apporté les preuves (avec photos datées) et expertises, que les travaux attestés par l'OGIF n'avaient pas été faits dans les temps, ni même finalisés (toujours pas aux normes électriques et de gaz en avril 2013 !), et avaient occasionné des dégâts. Et également que les soi-disant loyers apportés par l'OGIF via l'OLAP (des références mentionnant des logements tous en Bon Etat - il y a plusieurs références suivant les états proposés par l'OLAP et elles ne sont pas toujours comparables légalement, mais les tribunaux n'en tiennent même pas compte !) sont pour la plupart distants de plus d'1,5 km et sans comparaisons visibles et constatées (photos datées, témoins) par rapports aux textes de loi (il n'y a pas que le prix du m² qui compte, surtout quand ce prix a été monté par tricheries ou erreurs/complicités !). Et ce n'est pas parce que un bailleur ou un propriétaire rattrape enfin son retard en travaux OBLIGATOIRES que la valeur d'une habitation doit automatiquement augmenter (alors qu'elle n'a pas diminué avant !)... une défense jeune et complètement laxiste de la part de mon assureur qui n'a même pas défendu les photos et preuves d'une manipulation sur plusieurs logements voisins par rapport à des logements lointains.

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OVNIs : ODH interviews 58

Par Le 05/11/2014

OVNIs : ODH interviews 58

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La 58ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.

Les invités sont Rémy Fauchereau, Frédéric Lecocq et David T. qui vous parlent des moqueries que reçoivent les ufologues, passionnés d'ufologie venant de leur entourage ou de la société française d'aujourd'hui.

Tout ceci est malheureusement extrêmement vrai et je le rencontre même souvent dans mon entourage... et dans le milieu de la culture aussi... autant l'archéologie mystérieuse, la spiritualité de l'esprit humain et une approche avancée et futuriste des techniques humaines engrangent souvent de la sympathie ou de la curiosité, autant le phénomène OVNI en rebute ou fait sourire, grimacer plus d'un... et pourtant, il y a beaucoup plus de témoignages que n'importe quel fait historique, proche ou lointain... beaucoup plus que n'importe laquelle des affaires policières, résolue ou pas... beaucoup plus que n'importe quel fait religieux rapporté souvent que par des témoins... et pourtant, encore de nos jours, des gens s'entretuent pour ces quelques faits religieux ayant beaucoup moins de témoins que le phénomène OVNI, des gens sont condamnés avec quelques témoignages et on sait que les faits historiques sont bien souvent détournés par les vainqueurs, ou tout simplement par les seuls qui savaient écrire à certaines époques... allez comprendre les humains ! Il n'est peut-être finalement pas très étonnant que ceux qui sont à l'origine de ce phénomène, depuis si longtemps, ne veulent pas trop se faire connaître d'un être humain aussi peu logique dans les faits !

Et il en est presque de même en ce qui concerne d'ailleurs le simple fait d'écrire de la Science-Fiction ou de l'Anticipation en France, un genre littéraire "mis à l'écart" et réservé pour beaucoup d'"adultes" peu évolués mentalement comme relevant de l'enfantillage et les ado... C'est bien pourtant à mon avis LE genre littéraire le plus important de nos jours, le seul qui a prouvé à maintes reprises depuis Jules Verne, qu'il est bien le seul à pouvoir annoncer et prévoir où se dirige la société humaine, vers quel avenir nous mènent la bêtise humaine et les politiques (très "terre à terre" souvent, aussi... Yves Herbo

L'émission est en collaboration avec :

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http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
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http://ovnis-direct.com/


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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H-05-11-2014

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