Articles de yvesh

Récentes Découvertes Historiques
Récentes Découvertes bouleversant l'Histoire des Manuels... MAJ 2014 en bas
Dans la rubrique Preuves d'Une Autre Histoire, voilà des découvertes récentes qui renforcent à nouveau les preuves que les idées que nous nous faisons de la préhistoire et même antiquité sont très érronnées, et encore faussées par des données issues des 19° et 20° siècles. Notamment des preuves formelles en Crète que les Homo Erectus, les Homo Heidelbergensis, et d’autant plus les Néanderthaliens et les premiers Homo sapiens plus tard, étaient beaucoup plus avancés techniquement, et plus rapidement qu’on ne le pensait. Des traces de géoglyphes visibles seulement du ciel comme à Nazca, mais au Moyen-Orient (re)découvertes par satellites. De la Syrie à l’Arabie Saoudite, ces centaines de dessins ou traces circulaires sont situées à l’endroit indiqué sur la Pierre du Monde découverte en Equateur, là où un œil en quartz rayonne (1)… Un mur de 220 km de long, en arc de cercle, découvert aussi en Syrie cet été. Une structure sous-marine étrange découverte au large de la Suède, en Mer Baltique...
Il y aussi bien sûr cette récupération inattendue de manuscrits datant du 1er siècle après J.C. et contenant des informations sur les derniers jours de Jésus… toujours à l’étude et en vérifications à l’heure actuelle, mais j’aurai personnellement préféré un témoignage plus « indépendant » de cette période que des manuscrits écrits par les premiers chrétiens (persécutés encore à l’époque) et donc des écrits intéressés avec parti pris et non objectifs. Ce qui n’enlève rien à leurs éventuels valeurs et intérêts, et permettront peut-être de mieux découvrir ainsi l’évolution des Ecrits, leur réécriture ou même de nouveaux textes inédits ou complétant les anciens…
Commençons par les preuves trouvées par les fouilles effectuées entre 2008 et 2009 sur le littoral sud de la Crète entre Plakias et Agios Pavlos et confirmée récemment par le ministère grec de la Culture et du Tourisme après étude par les scientifiques. De très nombreux outils ont été découverts sur des terrasses marines datées de 130 000 ans avant maintenant au minimum. Tous ces outils peuvent être associés à l'Homo Erectus ou l'Homo Heidelbergensis et s'étalent en datation de - 700 000 ans à - 130 000 ans. Cette découverte implique que ces lointaines races d'Homo possédaient déjà l'art de naviguer puisque la Crète est une île depuis au moins 5 millions d'années et qu'une grande partie de ces outils taillés dans la pierre ont été déterrés sur des anciennes plateformes maritîmes (elles-mêmes taillées ?) datées de - 130 000 ans minimum... C'est la plus ancienne naviguation au monde attestée à ce jour. Il serait intéressant de découvrir un traçage sur la provenance de ces ancêtres au fil des âges, via des fossiles de pollen ou autres techniques... Et cela accélère d'autant la propagation tôt du genre Homo partout dans le monde, surtout là où il n'y a pas ou peu de glace.
C'est une équipe gréco-américaine multi-disciplinaire dirigée par Thomas Strasser (American School of études classiques à Athènes), qui a mis au jour ces pierres taillées paléolithiques, principalement des haches, dans les vestiges de plateformes marines. Mais les implications sur leur présence (alors que les plus anciennes traces découvertes en Crète remontaient à seulement - 9 000 ans jusqu'à présent !) attestent en plus de capacités cognitives et techniques supérieures à celles attribuées jusqu'à présent aux premières espèces humaines. Selon Thomas Strasser et la grecque Eléni Panagopoulou, ces fouilles jettent une nouvelle lumière sur l’histoire «de la colonisation de l’Europe par des hominidés venus d’Afrique», jusque-là considérée comme s’étant faite à pied.
“L’approche d’un peuplement de l’Europe seulement par la terre doit clairement être repensée (…) il y a peut-être eu des routes maritimes empruntées par des navigateurs sur de longues distances” écrivent ces chercheurs dans un article publié par Hespéria, le bulletin de l’Ecole américaine d’archéologie d’Athènes (que vous pouvez retrouvez sur le site : http://www.ascsa.edu.gr). Ils relèvent par contre ne pas pouvoir en l’état déterminer d’où venaient les hôtes paléolithiques de Crète, “une origine africaine ou proche-orientale étant aussi probable qu’une provenance d’Anatolie ou de Grèce continentale”, et n’ont n’a pas pu établir encore les raisons pour lesquelles nos ancêtres sont venus en Crète; ni quand ils sont arrivés exactement…
L’équipe d’archéologues a demandé l’autorisation de mener des fouilles plus approfondies dans la zone de la découverte.
Dessin d'un bateau gravé sur pierre trouvé dans une grotte en Crète
Concrètement, cette découverte amène à penser que l'Humanité a évolué (et s'est emparée du monde) beaucoup plus rapidement et intelligemment qu'on ne le pense généralement, et que la probabilité de l'existence de civilisations également plus évoluées qu'on ne le pense techniquement et moralement ont pu exister et disparaître par accidents catastrophiques ou même guerres sans pratiquement laisser de traces : la glaciation intense, les montées des eaux et volcanismes associés ont pu considérablement ralentir, et même anéantir de telles civilisations... dont certains commencent seulement à entrevoir la possible réalité. Ma propre reflexion (assez longue et au vu d'autres documents) m'amène à penser malgré tout que le peu d'évolution et différences des outils de pierre ici cités (entre - 700 000 et - 300 000 ans) et ailleurs, est significatif d'une culture "bloquée" techniquement qui utilise des outils apportés mais non inventés et évolutifs : comme des esclaves incapables ou forcés d'utiliser indéfiniment les mêmes outils pendant une durée immense pour la vie humaine. D'ailleurs, ils les aimaient tellement, leurs haches ou pics, qu'ils les réparaient et retaillaient régulièrement, au lieu d'en faire des neufs avec pourtant la profusion de silex disponible.
découverte d'un mur de 220 kilomètres de longs en arc de cercle
En ce qui concerne la Syrie et le Moyen-Orient, il y a eu en août 2011 cette découverte d'un mur de 220 kilomètres de longs en arc de cercle qui parcourt la steppe syrienne de nord en sud. Ce mur de pierre sèche de 1 mètre de large relie les ruines d'une forteresse à l'une des lignes de crète de l'Anti-Liban, une chaîne montagneuse. Le type de céramique trouvé dans la forteresse et à certaines ruines proches du mur suggère son utilisation entre 2400 et 2200 avant JC, mais on ne connaît pas encore avec certitude le peuple qui a construit ces édifices, même si les cités mésopotamiennes d'Ebla, ou Hama et Homs sont avancées comme probable origine.
Photo : Long de 220 kilomètres, ce mur en pierres sèches parcourt la steppe syrienne du nord au sud. il aurait été édifié entre 2400 et 2200 av. J.-C. pour marquer la limite entre des agriculteurs sédentaires et des éleveurs nomades. © Bernard Geyer
Centaines de géoglyphes visibles du ciel au Moyen-Orient
Mais ce sont les centaines de géoglyphes visibles du ciel dont je vais parler maintenant. Il s'agit de structures de pierres très anciennes réparties de la Syrie à l'Arabie Saoudite dont on ne soupçonne pas facilement l'existence quand on est a leur pied. C'est grâce aux nouvelles technologies de cartographie par satellites et à un programme de photographies aérienne parti de Jordanie que les structures ont été révélées, et on en dénombre maintenant un bon millier...
Désignées par les archéologues comme des «roues», ces structures en pierre séche ont une grande variété de modèles, avec, comme base commune, un cercle avec des rayons à l'intérieur. Les chercheurs estiment qu'elles remontent à l'Antiquité, il y a au moins 2.000 ans. Ces structures se retrouvent souvent dans des champs de lave et vont de 25 mètres à 70 mètres de diamètre.
"Rien qu'en Jordanie nous avons des structures en pierre qui sont beaucoup plus nombreuses que les lignes de Nazca, sur une zone bien plus vaste", a déclaré David Kennedy, un professeur de lettres classiques et d'histoire ancienne de l'Université d'Australie occidentale. Ses dernières recherches révèlent que ces roues font partie d'une variété de paysages de pierres que l'on peut définir en 3 catégories:
- Les cerfs-volants (structures de pierre utilisées pour canaliser et tuer des animaux: voyez à ce sujet ce lien)
- Les pendentifs (lignes de cairns qui partent des sépultures),
- Les murs, les mystérieuses structures qui serpentent à travers le paysage jusqu'à plusieurs centaines de mètres et qui n'ont pas d'utilisation pratique apparente.
Kennedy et ses collègues sont perplexes quant à l'explication de l'utilité de ces structures et quant à leur signification.
D'abord spécialisé en archéologie romaine, Kennedy a été fasciné par ces structures lorsque, en tant qu'étudiant, il a lu les comptes rendus des pilotes de la Royal Air Force survolant ces régions dans les années 1920. En effet, en 1927, le Lieutenant Percy Maitland publie un compte rendu sur les ruines dans le journal Antiquity. Il a rapporté les rencontrer plus souvent dans les "pays de lave" et a ajouté que les structures de pierre sont connues des bédouins comme les «œuvres des hommes vieux».
Kennedy et son équipe ont étudié les structures à l'aide de photographies aériennes et Google Earth , car ces "roues" sont difficiles à distinguer au niveau du sol. Les dessins on sûrement dû être plus clair lors de leur construction: "Les gens ont sans doute marché dessus pendant des siècles, des millénaires, sans avoir idée de ce que la forme avait pu être."
Les "roues" et "lignes de murs"
Quel était leur utilité ? Jusqu'ici, aucune des roues n'a fait l'objet de fouilles, ce qui rend leur datation, et la compréhension de leur but, difficile.
Les archéologues qui les avaient étudié avant l'ère Google Earth ont supposé qu'elles pouvaient être les vestiges de maisons ou de cimetières. Mais Kennedy pense qu'aucune de ces explications n'est plausible: "Il semble y avoir une certaine continuité culturelle globale dans cette zone; ici les gens sentaient qu'il y avait un besoin de construire des structures qui étaient circulaires."
Certaines de ces roues ont été retrouvées isolées tandis que d'autres sont regroupées. À un endroit, près de l'oasis d'Azraq, des centaines d'entre elles peuvent être trouvées et rassemblées dans une douzaine de groupes. "Certaines de ces collections autour d'Azraq sont vraiment remarquables", ajoute Kennedy.
En Arabie saoudite, l'équipe a trouvé des styles de roues qui sont assez différentes: certaines structures sont même rectangulaires; d'autres sont circulaires, mais contiennent deux rayons formant une barre souvent alignée dans la direction du soleil levant et couchant.
En Jordanie et en Syrie, ces structures présentent des rayons plus nombreux et ne semblent pas être alignés sur des phénomènes astronomiques. "En regardant un grand nombre d'entre eux, sur un certain nombre d'années, je n'ai pas été frappé par un motif se répétant dans la manière dont les rayons ont été aménagés", explique Kennedy.
Les chercheurs ont remarqué que les roues se retrouvent souvent au-dessus des structures en "cerfs-volants", qui peuvent remonter jusqu'à 9000 ans, mais jamais l'inverse. Pour Kennedy, "Cela suggère que les roues sont plus récentes que les cerfs-volants" .
Des roues ? non, des géoglyphes...
Amelia Sparavigna, professeur de physique au Politecnico di Torino en Italie, pense que ces structures peuvent être appelées géoglyphes de la même manière que les lignes de Nazca du Pérou. «Si nous définissons un géoglyphe «comme un large signe sur le sol d'origine artificielle, les cercles de pierres sont donc des géoglyphes».
La fonction des roues peut aussi être mise en parallèle avec les dessins énigmatiques dans le désert de Nazca. "Si l'on considère, plus généralement, les cercles de pierres comme des lieux de culte des ancêtres, ou des lieux pour des rituels liés à des événements astronomiques ou saisonniers, ils pourraient avoir la même fonction que les géoglyphes d'Amérique du Sud. La conception est différente, mais la fonction pourrait être le même, " ajoute-t-elle.
(1) Il existe assez probablement également un lien avec la Pierre du Monde découverte en Equateur dont je parle dans cet article :
Extrait et photos : "La Pierre du Monde" a été également trouvée ensevelie au fond d'un sous-terrain antique par des chercheurs d'or et permet de se poser d'étonnantes questions sur les connaissances de l'homme qui l'a gravée il y a plusieurs millénaires : les deux Amériques, l'Europe, le nord de l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Asie y sont parfaitement reconnaissables. On y voit même les traces au sud-est de l'Asie d'une grande péninsule, que l'on sait avoir existé il y a encore 12000 ans, formant avec les actuelles Philippines et Malaisie un ancien continent englouti (peut-être Mu, qui aurait étendu son empire du Japon à l'Australie en allant jusqu'à l'ïle de Pâques qui était à l'époque une montagne surplombant une île grande comme Madagascar au large de l'Amérique du Sud d'après cette carte et peut-être l'Amérique du Sud, d'où la probable provenance océanienne de certaines peuplades naviguant très tôt, peut-être même avant ceux qui sont passés par le Nord à pied via le Détroit de Béring glacé). L'Atlantide serait représentée par le grand cercle au large de la Floride, du côté des Bermudes, là où de violents phénomènes magnétiques, gazeux (poches de méthane sortant du sous-sol) et biologiques (le tapis végétal d'algues des Sargasses est réputé pour son épaisseur et infranchissabilité) protège peut-être un grand secret... Quoiqu'il en soit, elle est incrustée d'une ligne de quartz qui semble dessiner une ligne équatoriale, sauf que sur cette ligne apparaît un "croissant" (fertile ?) plus épais avec au centre un oeil luminescent. Cet oeil se trouve au Moyen-Orient, entre la Mésopotamie et l'Arabie Saoudite. La ligne continue et fait le tour de la pierre, mais s'incurve subitement vers le Nord, alors qu'une plus légère semble vouloir continuer la "ligne équatoriale". Cet endroit où la ligne s'incurve au-dessus de l'Amérique du Sud est précisément l'endroit où la Pierre du Monde à été trouvée !
Autre trouvaille en Arabie Saoudite :
http://www.20minutes.fr/ledirect/774776/arabie-saoudite-traces-civilisation-vieille-9000-ans
Arabie saoudite: Traces d'une civilisation vieille de 9.000 ans le 24.08.11
Des fouilles sur un site archéologique en Arabie saoudite montrent que le cheval était probablement déjà domestiqué il y a 9.000 ans. La découverte de cette «civilisation d'al Makar», d'après le nom du site, devrait remettre en cause la théorie selon laquelle la domestication des animaux a eu lieu il y a 5.500 ans en Asie centrale, a déclaré Ali al Ghabban, vice-président des Antiquités et des Musées à la Commission saoudienne pour le Tourisme et les Antiquités. Une découverte qui bouleverse les connaissances «Cette découverte va bouleverser nos connaissances sur la domestication du cheval et l'évolution de la culture à la fin du néolithique», a dit l'expert lors d'une conférence de presse organisée à Djeddah.«La civilisation Makar est une civilisation très avancée du néolithique. Ce site nous montre clairement que les origines de la domestication du cheval remonte à 9.000 ans.»Le site abrite également des restes de squelettes momifiés, des pointes de flèches, des grattoirs, des meules à grains, des outils à filer et à tisser, ainsi que d'autres accessoires. Reuters
L'incroyable découverte de plusieurs explorateurs suédois
L'équipe d'Ocean Explorer a mené une expédition dans la mer de Botnie (nord de la mer Baltique) entre le 11 et le 19 juin 2011 en collaboration avec Franskabolaget.com dans la perspective de fouiller des épaves et y remonter leurs trésors concernant des boissons alcoolisées comme du Champagne, du vin ou encore du Cognac. Il se situait dans la cale d’un navire suédois coulé par les Allemands durant la première guerre mondiale.
Toutefois, le 19 juin, une anomalie très étrange est retrouvée lors d'une étude sonar du plancher océanique. Peter Lindberg, l'initiateur de l’expédition, affirme qu'il n’a jamais rien vu de pareil. Il a alors passé des centaines d'heures à regarder et regarder encore les images prises par le sonar pour finir par prendre la décision de révéler leur découverte : « C'est au reste du monde d’en juger». « La découverte n'est pas dans de notre intérêt et descendre pour explorer cet objet n’est pas dans nos moyens ni matériels ni financiers » poursuit-il, et de finir par l’incroyable : Il pourrait s’agir d’un nouveau Stonehenge ! »
Ghisham Doyle pour WikiStrike
Pour finir (provisoirement) avec les annonces de découvertes archéologiques récentes, il y a l'étrange voyage d'une quarantaine d'antiques manuscrits, à priori écrits par les premiers chétiens persécutés après l'an zéro, et qui pourrait recéler des témoignages sur les derniers jours de Jésus...
"Ces livres et manuscrits auraient été utilisés par les premiers chrétiens venus en Jordanie, fuyant la persécution par les Romains". "L'information initiale est très encourageante et il semble que nous nous penchons sur une découverte très importante et significative. Peut-être la découverte la plus importante dans l'histoire de l'archéologie", explique t-il.
Mais voila, les précieux livres se sont évaporés dans la nature, Mr Al-Saad le confirmait officiellement ce dimanche lors d'une conférence de presse à Amman, que les pièces d’exception avaient été repérées en Israël où elles sont entrées en contrebande.
"Elles ont été découvertes au nord de la Jordanie il y a plusieurs années, lors de fouilles illégales dans des grottes, et ont été introduites en contrebande en Israël, où elles se trouvent entre les mains d'un commerçant israélien qui les a expertisées en Grande-Bretagne", précise t-il.
"Ces pièces sont un trésor d'une importance historique cruciale, car ils apportent de nouvelles informations sur les origines du christianisme, surtout que les manuscrits de cette époque sont rares", a ajouté M. Al-Saad.
Selon le département des antiquités (DoA), les tests au carbone détermineront bien vite l'authenticité des ouvrages métalliques scellés au plomb. Le directeur du DoA, Ziad Saad, a déclaré au quotidien The Jordan Times, très enthousiaste : « Nous croyons vraiment obtenir les preuves de cette analyse et ainsi révéler l’authenticité des matériaux. »
Les premiers essais effectués dans les laboratoires de la Royal Scientific Society, indiquent que les textes remontent au premier siècle de notre ère, à une époque où les chrétiens, persécutés, s’étaient réfugiés sur la rive est du Jourdain. Les Codex, qui ont été récupérés au marché noir par les services de sécurité jordaniens, le mois dernier, sont remontés jusqu’à une cache où plus de 70 livres scellés au plomb dormaient. Les livres seraient arrivés en contrebande d’Israël par la rivière du Jourdain.
La plupart des textes sont actuellement en la possession de Hassan Saeda, un fermier bédouin israéliens, qui prétend que les livres, content les derniers jours de Jésus Christ, ni plus ni moins, et qu’ils auraient été découvert par son grand-père, berger, il y a 90 ans.
Les autorités jordaniennes, cependant, croient plutôt que les codex ont été découvert il y a quatre ans dans une grotte près du village du Nord de Sarhan et seraient la propriété du Royaume hachémite.
Ces textes ont fait les manchettes internationales en mars, lorsque les autorités jordaniennes et l’auteur britannique David Elkington ont annoncé leur existence dans le but de lancer une campagne de rapatriement des précieux livres.
Les efforts de rapatriement des textes d'Israël sont pour l’heure en attente des résultats définitifs de la datation au carbone, actuellement en cours à l'Université du Nouveau Mexique, le Getty Conservation Institute et l'Université de Sheffield. L’extraordinaire découverte de ces 70 livres est évidemment une affaire à suivre. James Fergusson pour WikiStrike
Yves Herbo et Sources :
http://www.wikistrike.com/article-ilal-67158557.html
Visible Only From Above, Mystifying 'Nazca Lines' Discovered in Mideast
http://decouvertes-archeologiques.blogspot.com/2011/09/moyen-orient-comme-nazca-des-centaines.html
Article sur Nazca intéressant :
Theorie: les lignes de nazca... une carte des sources souterraines ?
Yves Herbo, SFH 10-2011
MAJ du 11-03-2014 sur les fameux 70 manuscrits de Jordanie :
" La BBC a fait savoir que cette découverte inestimable pourrait modifier notre vision de la crucifixion et de la naissance du christianisme. Or, Steve Caruso, un expert indépendant spécialiste des textes araméens, et Peter Thonemann, professeur d'histoire ancienne au Wadham College à Oxford, ont étudié les inscriptions de près et ont conclu que la relique est une contrefaçon.
L'histoire de ce codex est édifiante de contradictions. La première version n'est pas sans rappeler celle des manuscrits de la mer morte, la dernière découverte archéologique sensationnelle du genre. Le petit codex (dont la taille est comparable à une carte de crédit) aurait été découvert, il a cinq-six ans, par un Bédouin, dans une grotte située près du village de Saham au nord de la Jordanie, soit à moins de 160 km de Qumran. Selon Ziad al-Saad, porte parole du gouvernement jordanien et directeur du département des antiquités, la précieuse relique aurait été fabriquée par les disciples de Jésus, quelques décennies après la crucifixion. Elle aurait été mise à jour grâce à une inondation survenue il y a quelques années et qui aurait fait émerger deux niches jusque là invisibles.
Des variantes de l'histoire racontent que le codex appartenait à la famille du bédouin depuis au moins un siècle ou que le père du nomade l'aurait trouvée au nord de l’Égypte. Les journalistes du Daily Mail, qui ont mené leur petite enquête, révèlent eux que le soi-disant Bédouin s'appellerait Hassan Saida et qu'il vivrait dans le village israelo-arabe d'Umm al-Ghanim, près du mont Tabor, en Israël. Il serait en réalité propriétaire d'une entreprise de camions et considéré comme un homme fortuné dans son village.
En dépit de ces zones d'ombre, les chercheurs s'enthousiasment pour ce parchemin relié avec des anneaux en métal composés de cuivre et plomb. Rédigé en hébreu ancien, il présente des symboles et des références chrétiennes qui ont convaincus d'aucuns que cette découverte pouvait être plus importante que celle des manuscrits de la mer morte. L'une des images les plus frappantes est une représentation des murs de Jérusalem avec une croix de style romain et une tombe au premier plan. Une autre gravure montre une ménorah (chandelier à sept branches des Hébreux) dont la représentation était strictement interdite chez les juifs du premier siècle. Lors d'une interview accordée à la BBC, Phillip Davies, de l'Université de Sheffield, a expliqué qu'il s'agissait d'une représentation de la crucifixion, à l’extérieur de la ville. Cette scène vous rappelle-t-elle quelque chose ? Par ailleurs, le trésor jordanien compterait le premier portrait de Jésus, connu à ce jour. Certains pensent qu'il aurait pu être réalisé par des proches du Christ.
Un certain nombre d'universitaires se sont empressés de faire remarqué que la relique avait été découverte près du lieu où les Chrétiens persécutés et chassés de Jérusalem avaient disparu. Delà à conclure que le codex aurait été en possession des premiers martyrs Chrétiens, il n'y avait qu'un pas à franchir.
Margaret Barker, l'ancienne présidente de la Society of Old Testament Study, a été contacté par David Elkington, sur une recommandation de l'archevêque de Canterbury, pour authentifier la relique. Ceux-ci ont d'abord pensé que le codex pour être originaire d'Alexandrie et dater du début du premier millénaire. Peter Thonemann défend une théorie toute différente. En effet, sur l'un des feuillets, les chercheurs auraient repéré plusieurs lignes d'inscriptions en lettres grecques, autour d'un dessin représentant un palmier, une ville fortifiées, des crocodiles et un surprenant portrait d'Alexandre le Grand. Il s'avèrerait que cette phrase énigmatique en grec (« ...sans douleur, Adieu ! Abgar, également connu sous le nom d'Eision... ». Il n'a guère fallu plus d'une demi-heure de recherche en bibliothèque pour résoudre l'énigme. Il s'agit d'une retranscription d'une épitaphe. L'inscription funéraire provient d' une tombe romaine ordinaire, située à Madaba, à 30 km au sud d'Amman, la capitale jordanienne. Elle est datée de 108/109 après J.C. Et se trouve actuellement au Musée d'Amman. Sa transcription complète est la suivante : « Pour Selaman, un excellent homme, sans douleur, Adieu ! Abgar, également connu sous le nom d'Eision, fils de Monoath, qui a construit cette tombe pour son excellent fils, dans la troisième année de la province ». Ainsi, les lignes ornant les pages du codex ne sont-elles pas de mystérieux symboles kabbalistiques comme l'avait suggéré David Elkington, mais une copie mécanique d'inscriptions funéraires.
Selon le professeur Thonemann, le codex serait une contrefaçon moderne, réalisée dans les 50 dernières années et proviendrait plutôt de la région Amman. On trouve d'ailleurs ce type d'objet dans les boutiques de la capitale jordanienne. Ces faux s'inspirent souvent des gravures que l'on trouve sur les anciennes pièces de monnaie, originaires de Grèce ou de Judée. Ces pseudos symboles judéo-chrétiens sont généralement entrecoupés d'un charabia, maladroitement adapté de textes anciens. Enfin, M. Thonemann a repéré dans le codex de plomb plusieurs images anachroniques, dont un christ en croix. Il s'agit en fait du dieu Hélios, la personnification du soleil dans la mythologie grecque. Ce dessin s'inspire d'une gravure provenant d'une pièce de monnaie originaire de l'île de Rhodes.
Steve Caruso est arrivé au même verdict que son collègue en étudiant les photos du texte disponibles dans les médias. Il a noté que des inscriptions araméennes, vieilles de 2 500 ans, étaient mélangées à des caractères plus récents. Il a donc regardé de plus près et identifié des scripts nabatéens et palmyréens, datant des 2ème et 3ème siècle avant J.C. Le codex ne peut donc pas avoir été rédigé à l'aube du christianisme. Par ailleurs, les caractères plus anciens sont extrêmement malhabiles et présentent de nombreuses incohérences. En réalité, ils semblent avoir été recopiés à la hâte.
Kimberley Bowes, une archéologue de l'Université de Pennsylvanie, fait de son coté remarquer qu'à aucun moment les médias n'ont remis en cause les compétences de David Elkington. Celui-ci n'est pas du tout archéologue, contrairement à ce qui a été écrit dans les journaux. Il n'occupe aucun poste officiel ni position académique. De plus, les théories qu'il a défendues dans ses précédents articles sont réfutées par la plupart des historiens. Comment expliqué alors l'empressement des médias à donner un écho assourdissant de la pseudo découverte de M. Elkington ? Selon Steve Caruso, il a été motivé par la volonté de créer le buzz ou la nécessité de trouver un sujet fédérateur pour les fêtes de Pâques. Ainsi que l'explique le Dr Bowes, les fausses reliques religieuses sont extrêmement communes. Beaucoup de nos contemporains éprouvent en effet le besoin de dénicher des indices matériels prouvant que la Chrétienté était déjà solide aux deux premiers siècles de notre ère. Or, on sait que le nombre de Chrétiens était très réduit à cette époque, soit probablement moins de 7000 individus aux alentours de 100 après J.C. Par ailleurs, ils se distinguaient peu de leurs frères juifs.
Sources : Live Science, Times Online et blog de Daniel O. McClellan
Yves Herbo, Sciences-Faits-Histoires, 11-03-2014

OVNIs : émission Matin OVNI du 10-03-2014
OVNIs : émission Matin OVNI du 10-03-2014
Matin OVNI du 10-03-2014 vous est présentée par Gilles Thomas.
Actualité Ovni mondiale de ces derniers jours avec la participation de Gildas Bourdais.
OANI Tv est en partenariat avec:
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://sud-oani.kazeo.com/
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://garpan.ca/
http://herboyves.blogspot.fr/search/label/OVNI%2FUFO
Autre info donnée par nos amis d'ODHTV :
Mardi 18 Mars 2014 de 19h50 à 22h30 : COMPLET
" En présence du Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l'air belge, et de Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne, l'INREES vous propose une conférence exceptionnelle avec la journaliste Leslie Kean...
La journaliste d’investigation Leslie Kean, soutenue dans son enquête par les plus hautes autorités jamais encore impliquées sur le dossier, nous livre ce soir le fruit de 10 ans d'enquête à l’occasion de la publication en France de son livre évènement : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Leur origine demeure encore une énigme mais ce que l’on appelle des OVNIS n’en est pas moins une réalité. On parle d’ailleurs officiellement de P.A.N. pour phénomènes aérospatiaux non-identifiés. En effet, chaque année, à travers le monde entier, des dizaines de milliers de personnes disent avoir observé des phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Un pourcentage important de ces observations reçoit après enquête une explication conventionnelle. Il peut s’agir d’avions, de débris de satellite, de météorites, de montgolfières ou de ballons, de planètes, ou encore de phénomènes atmosphériques, etc. Les possibilités de méprise sont nombreuses, notamment de la part de témoins peu ou pas habitués à identifier tous les types de phénomènes pouvant être rencontrés ou se produire dans l’atmosphère. Mais au-delà de ces cas expliqués, une part significative des témoignages collectés ne reçoit aucune explication connue. Cette réalité résulte de décennies d’observations et d’investigations de la part de pilotes, de hauts responsables militaires, et de chercheurs. Ce fait, mis en évidence à travers le monde entier par les différents organes ou chercheurs s’étant penchés sur la question, a incité la journaliste d’investigation américaine Leslie Kean, à se lancer dans l'une des plus ambitieuses enquêtes jamais réalisées sur la question OVNI. Le fruit de ce travail est aujourd’hui publié en France sous le titre : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent. C’est un livre événement, salué pour son impartialité et son sérieux. Leslie Kean présentera lors de cette conférence exceptionnelle des indices incontestables sur la présence réelle d’objets volants non identifiés — métalliques, lumineux, et capables de manœuvres qui défient les lois de la physique — dans l’atmosphère terrestre. Elle partagera avec nous le fruit de dix ans d’une enquête acharnée durant laquelle elle a rencontré et interviewé des dizaines d’officiers d’aviation de haut niveau et de témoins à travers le monde, passé en revue des centaines de documents gouvernementaux, de rapports d’aviation, de données radar, et d’études de cas corroborés par des indices matériels.
L’astronaute français Jean-François Clervoy qui a déjà participé à trois missions spatiales, et qui préface l’ouvrage de Leslie Kean sera présent à ses côtés. Il livrera pourquoi selon lui « il est temps de chercher, avec des moyens adéquats, à comprendre ce que sont ces objets ou phénomènes apparemment intelligents surgissant dans notre ciel, dont la réalité est confirmée par de multiples sources. Nous ne savons pas ce que nous trouverons, mais l’ignorance est assurée si nous ne faisons rien. » Autre invité de marque présent lors de cette grande soirée : le Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l’air belge, en activité au début des années 90 en Belgique alors que le pays était survolé par de mystérieux objets. Ce sujet — des objets au comportement intelligent et à l’origine inconnue évoluant dans l’atmosphère terrestre — est potentiellement l’un des plus importants auquel l’humanité puisse être confrontée. S’y pencher requiert une indispensable ouverture d’esprit, et un solide bon sens journalistique, deux qualités que possède Leslie Kean. Son enquête magistrale permet enfin de séparer les faits de la fiction. "
Lieu :
Centre Malesherbes
Grand amphithéâtre
108 boulevard Malesherbes
Paris 75017
Merci à vous de bien vouloir transmettre l'info... et merci par avance pour le compte-rendu que vous aurez l'amabilité de bien vouloir en faire si vous avez donc l'opportunité de vous y rendre !
http://www.inrees.com/Conferences/OVNIS-une-realite/
http://odhtv-replay.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences-FH-10-03-2014

OVNIs : La 27ème édition d'ODH interview - L'intentionnalité du phénomène
OVNIs : La 27ème édition d'ODH interview
La 27ème édition d'ODH interview vous est présentée par Gilles Thomas. - L'intentionnalité du phénomène par Eric Zürcher
L'invité est Eric Zürcher, ufologue, créateur du CRUN et auteur du livre "Apparitions d'humanoïdes: 202 rencontres du 3ème type". - Il vous parle de l'intentionnalité du phénomène ovni.
http://bouquinerie76.canalblog.com/
http://info-crun.over-blog.com/
Les apparitions d'humanoïdes : 202 rencontres du 3ème type (202 cas au dessous de tout soupçon), 26 portraits robots - Eric Zurcher. Livre de 1979, édité par les Editions Alain Lefeuvre, Collection Connaissance de l'étrange, préface de François Gardes, Postface d'Alain Gamard et Jean-Luc Rivera, 334 pages. Beaucoup d'ouvrages ont été publiés à propos des contactés (ces hommes et femmes qui affirment avoir rencontré des extra-terrestres et reçu, depuis, un message destiné aux pauvres terriens que nous sommes…). Des dizaines d'autres livres relatent, avec d'abondants détails, le survol d'OVNI en France et à l'Etranger. Mais personne encore n'avait consacré une étude aux seuls occupants de ces engins venus d'ailleurs. Qu'on les appelle Extra-Terrestres, Entités ou Humanoides : les témoins en donnaient presque toujours des descriptions vagues, irrationnelles ou fantaisistes. Pour la première fois donc, un auteur passe ces êtres étrangers au crible de l'analyse et de l'ordinateur. En rapport constant avec les plus éminents chercheurs notamment, Eric ZURCHER décrit, en 26 portraits robots et près de 300 pages, avec une précision de chirurgien, ceux que des milliers de témoins, à travers le monde, affirment avoir vu de leurs yeux. L'auteur lève enfin le voile sur l'aspect physique, le comportement, les intentions cachées ou avouées de ceux qui ne sont pas de notre terre. Dans sa préface, François GARDE écrit :… un livre remarquable. Un exemple à suivre pour les nouvelles générations d'Ufologues. Une approche scientifique classique : un modèle !. Des éloges qui prennent tout leur sens, lorsqu'on sait que, derrière le pseudonyme du préfacier, se cache un ancien haut fonctionnaire des Services de Renseignements Français…
OANI Tv est en partenariat avec:
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://sud-oani.kazeo.com/
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://garpan.ca/
http://herboyves.blogspot.fr/search/label/OVNI%2FUFO
Autre info donnée par nos amis d'ODHTV :
Mardi 18 Mars 2014 de 19h50 à 22h30 : COMPLET
" En présence du Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l'air belge, et de Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne, l'INREES vous propose une conférence exceptionnelle avec la journaliste Leslie Kean...
La journaliste d’investigation Leslie Kean, soutenue dans son enquête par les plus hautes autorités jamais encore impliquées sur le dossier, nous livre ce soir le fruit de 10 ans d'enquête à l’occasion de la publication en France de son livre évènement : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Leur origine demeure encore une énigme mais ce que l’on appelle des OVNIS n’en est pas moins une réalité. On parle d’ailleurs officiellement de P.A.N. pour phénomènes aérospatiaux non-identifiés. En effet, chaque année, à travers le monde entier, des dizaines de milliers de personnes disent avoir observé des phénomènes aérospatiaux non-identifiés. Un pourcentage important de ces observations reçoit après enquête une explication conventionnelle. Il peut s’agir d’avions, de débris de satellite, de météorites, de montgolfières ou de ballons, de planètes, ou encore de phénomènes atmosphériques, etc. Les possibilités de méprise sont nombreuses, notamment de la part de témoins peu ou pas habitués à identifier tous les types de phénomènes pouvant être rencontrés ou se produire dans l’atmosphère. Mais au-delà de ces cas expliqués, une part significative des témoignages collectés ne reçoit aucune explication connue. Cette réalité résulte de décennies d’observations et d’investigations de la part de pilotes, de hauts responsables militaires, et de chercheurs. Ce fait, mis en évidence à travers le monde entier par les différents organes ou chercheurs s’étant penchés sur la question, a incité la journaliste d’investigation américaine Leslie Kean, à se lancer dans l'une des plus ambitieuses enquêtes jamais réalisées sur la question OVNI. Le fruit de ce travail est aujourd’hui publié en France sous le titre : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent. C’est un livre événement, salué pour son impartialité et son sérieux. Leslie Kean présentera lors de cette conférence exceptionnelle des indices incontestables sur la présence réelle d’objets volants non identifiés — métalliques, lumineux, et capables de manœuvres qui défient les lois de la physique — dans l’atmosphère terrestre. Elle partagera avec nous le fruit de dix ans d’une enquête acharnée durant laquelle elle a rencontré et interviewé des dizaines d’officiers d’aviation de haut niveau et de témoins à travers le monde, passé en revue des centaines de documents gouvernementaux, de rapports d’aviation, de données radar, et d’études de cas corroborés par des indices matériels.
L’astronaute français Jean-François Clervoy qui a déjà participé à trois missions spatiales, et qui préface l’ouvrage de Leslie Kean sera présent à ses côtés. Il livrera pourquoi selon lui « il est temps de chercher, avec des moyens adéquats, à comprendre ce que sont ces objets ou phénomènes apparemment intelligents surgissant dans notre ciel, dont la réalité est confirmée par de multiples sources. Nous ne savons pas ce que nous trouverons, mais l’ignorance est assurée si nous ne faisons rien. » Autre invité de marque présent lors de cette grande soirée : le Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l’air belge, en activité au début des années 90 en Belgique alors que le pays était survolé par de mystérieux objets. Ce sujet — des objets au comportement intelligent et à l’origine inconnue évoluant dans l’atmosphère terrestre — est potentiellement l’un des plus importants auquel l’humanité puisse être confrontée. S’y pencher requiert une indispensable ouverture d’esprit, et un solide bon sens journalistique, deux qualités que possède Leslie Kean. Son enquête magistrale permet enfin de séparer les faits de la fiction. "
Lieu :
Centre Malesherbes
Grand amphithéâtre
108 boulevard Malesherbes
Paris 75017
Merci à vous de bien vouloir transmettre l'info... et merci par avance pour le compte-rendu que vous aurez l'amabilité de bien vouloir en faire si vous avez donc l'opportunité de vous y rendre !
http://www.inrees.com/Conferences/OVNIS-une-realite/
http://odhtv-replay.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences-FH-09-03-2014

OVNIs : Spécial Suisse
OVNIs : Spécial Suisse
photo d'illustration
Voici tout d'abord un petit documentaire récent préparé par l'équipe d'ODH TV qui nous présentent des reconstitutions de cas recensés en Suisse. Il s'agit du N°11 de la série Tour de la Suisse étrange - #11. Ovni sur Genève (merci pour la petite dédicace à la fin) :
La page Facebook ODH Tv à liker et partager:
http://www.facebook.com/pages/ODH-Tv/...
Archives : Documentaire sur les OVNIs en Suisse (1988) - armée, pilotes, ufologues et témoins interviewés
Ancien article : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/spheres-lumineuses-en-suisse-romande-les-17-et-18-juillet-2012.html
Yves Herbo, Sciences-F-H, 09-03-2014

OVNIs : Emissions OANI TV du 07-03 - Abduction et Contact du 06-03-2014
OVNIs : Emissions OANI NV du 07-03 - Abduction et Contact du 06-03-2014
L'Emission OANI NV du 07-03-2014 vous est présentée par Gilles Thomas.
Le programme de cette nouvelle édition du 07-03-2014 :
- Actualité des objets aquatiques non identifiés dans le monde
- Interview du GARPAN et de Bernard Hugues
- OANI de St Tropez à Nice
OANI Tv est en partenariat avec:
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://sud-oani.kazeo.com/
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
http://garpan.ca/
http://herboyves.blogspot.fr/search/label/OVNI%2FUFO
L'émission ODH Nv soirée spéciale Abduction et contact vous est présentée par Martine et Gilles Thomas.
Les invités sont Marc Gray, Serje Perronnet et Xavier, qui vous parle des abductions et des contacts.
Autre info donnée par nos amis d'ODHTV :
Mardi 18 Mars 2014 de 19h50 à 22h30 :
"En présence du Général de division Wilfried De Brouwer, ancien Chef des opérations à l’Etat-major de l'air belge, et de Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne, l'INREES vous propose une conférence exceptionnelle avec la journaliste Leslie Kean...
La journaliste d’investigation Leslie Kean, soutenue dans son enquête par les plus hautes autorités jamais encore impliquées sur le dossier, nous livre ce soir le fruit de 10 ans d'enquête à l’occasion de la publication en France de son livre évènement : OVNIS - Des généraux, des pilotes et des officiels parlent.
Lieu :
Centre Malesherbes
Grand amphithéâtre
108 boulevard Malesherbes
Paris 75017
Merci à vous de bien vouloir transmettre l'info... et merci par avance pour le compte-rendu que vous aurez l'amabilité de bien vouloir en faire si vous avez donc l'opportunité de vous y rendre !
http://www.inrees.com/Conferences/OVNIS-une-realite/
http://odhtv-replay.kazeo.com/
Yves Herbo Relai-Sciences-FH-07-03-2014

Des pyramides cachées en Crimée ?
Des pyramides cachées en Crimée ?
L'attention du monde s'est portée sur cette région du sud de l'Ukraine à la suite de sa prise de possession par des troupes russes récemment, suite aux troubles et à la constitution d'un gouvernement ukrainien favorable à l'Union Européenne plutôt qu'à la Russie. Évidemment, comme la Russie a en grande partie équipé et financé l'Ukraine (en énergie nucléaire entre autres) et y a installé une grande partie de son infrastructure liée au pétrole et gaz provenant de la Mer Noire, le bât blesse et la situation est assez bloquée. Mais l'attention sur cette presqu'île a permis aussi de voir un peu sa presse locale et des sujets mystérieux peu connus du monde. L'un d'entre eux fait partie d'une actualité permanente pour certains chercheurs depuis les recherches sur les pyramides trouvées éventuellement en Bosnie, et dans d'autres pays de l'Est limitrophes à la Méditerranée, Mer Noire et Caspienne...
Il n'y a pas beaucoup d'informations sur ces pyramides en Crimée. Une recherche sur Google ATS ne retourne pas beaucoup de données, alors peut-être que la page d'accueil a été supprimée, épurée, ou était simplement un canular.
Selon certaines sources, 37 des plus anciennes pyramides du monde ont été découvertes sur le territoire de la Crimée, possédant des implications sur de la technologie des fréquences, une structure identique au sphynx et une créature momifiée. Ce qui suit sont des extraits de sources d'information sur la Crimée :
" À l'été 2001, les pyramides de Crimée ont été étudiées par des scientifiques de différents pays. Tous sont d'accord dans leur 'opinion qu'ils ont découvert des constructions bien réelles et uniques. Des Pyramides souterraines ont été analysées par différents appareils récents et à la suite de cette recherche avancée, de nouveaux objets ont été trouvés. Ainsi, les pyramides de Crimée comptent déjà 37 constructions mégalithiques. 28 d'entre elles forment un énorme losange (Sébastopol est le point dans la mer à l'ouest de Simeïz - au Yalta - au village Konerchino de Bakhchisaray Raion). Au milieu de ce losange, le village Krasniy Mak est la 29ième, le centre de la pyramide de 56 mètres s'y trouve. Plus de sept pyramides forment un petit losange interne supplémentaire autour de Yalta où le centre de la 37ème pyramide se trouve.
Les membres du groupe de recherche ont fait une analyse comparative de la Crimée et trois grandes pyramides égyptiennes de Gizeh. Il a été constaté que les anciens Egyptiens et les constructeurs des mystérieuses structures de Crimée ont utilisé pratiquement les mêmes matériaux. "
" Une incroyables découverte archéologique en Crimée dépasse en valeur les événements passés comme le déchiffrement de l'écriture égyptienne et l'identification de la légendaire Troie par H. Schliemann. Sept immenses pyramides souterraines, un complexe, dont l'âge est probablement supérieur à l'âge des plus anciennes civilisations connues. Les constructeurs des pyramides dans leur développement sont allés beaucoup plus loin clairement que l'humanité actuelle. Le fait que chaque «brique» des structures géantes - est extrêmement semblable à un transistor. Toute une pyramide entièrement - une puce énorme.
Cette découverte archéologique en Crimée a été faite accidentellement par un groupe de scientifiques qui étaient à la recherche d'eau par système artésien, et qui ont trouvé une étrange radiation près du sol. Après avoir foré plusieurs puits d'essai, l'un d'eux a vu la première pierre d'une entrée de temple. Les scientifiques ont travaillé près de la pyramide pendant des semaines, en essayant de rassembler autant d'informations que possible, mais malheureusement, ils ont dû arrêter l'excavation en raison du manque de financement. "
http://www.rivnepost.rv.ua/showarticle.php?art=029133
Mystérieuses Pyramides de Crimée
SIMFEROPIL / AQMESCIT (AHQ) - " Un scientifique ukrainienne a découvert la plus ancienne pyramide dans le monde. Le plus intéressant, elle a été découverte dans le plus beau coin du pays, en Crimée. Comme le canal ICTV l'a rapporté, le constat a été révélé par accident, quand au cours de ses alternatives de méthodes d'essai pour trouver de l'eau scientifiquement, l'ukrainien Vitalii Goh a découvert un objet souterrain inconnu, qui s'est avéré être une pyramide géante de 45 mètres de hauteur et d'une longueur d'environ 72 mètres. Goh dit que la pyramide a été construite à l'époque des dinosaures. "
La plus ancienne pyramide au monde découverte en Crimée
A Crimean Pyramid ?
by Philip Coppens from PhilipCoppens Website
" Pour donner un aperçu historique rapide de l'emplacement : les premiers habitants de la région dont l'archéologie a retrouvé des traces étaient les Cimmériens, qui ont été expulsés par les Scythes (les Iraniens) au cours du 7ème siècle av. JC. Les Cimmériens restants qui ont trouvé refuge dans les montagnes plus tard sont devenus connus sous le nom de Tauri.
Selon d'autres historiens, les Tauri étaient connus pour leurs rites sauvages et la piraterie, et étaient aussi les premiers habitants autochtones de la péninsule. Au 5ème siècle avant JC, des colons grecs ont commencé à s'installer le long de la côte de la mer Noire, dont les Doriens de Héracléa, qui ont fondé le port maritime de Chersonèse en dehors de Sébastopol.
Il est près de cette ville où Vitalij Gokh a affirmé avoir découvert une pyramide en 1999.
Vitaly Gokh at the site of his discovery
Gokh avait travaillé pour l'armée soviétique pendant plus de trente ans, avant de se retirer dans sa datcha à Sébastopol. Avec le temps de libre, il a décidé de s'engager dans des lignes de recherches que sa carrière ne lui avait jamais permis. L'une d'elles était l'exploration de son nouvel environnement. Cela l'a amené à découvrir... une pyramide... mais personne ne le sait.
Le public a entendu parler des "pyramides " de Crimée en été 2002, quand Gokh a fait sa demande : il y avait des pyramides enfouies sous la terre, ainsi que dans une partie des eaux côtières de la Crimée - une région connue pour contenir certaines villes submergées.
Comment avait-il fait cette découverte ?
En tant qu'ancien ingénieur, il connaissait bien les instruments utilisant la résonance magnétique, et avait construit un dispositif de sa propre fabrication. Comme la région de Sébastopol était connue pour ses pauvres approvisionnement en eau, il a développé un instrument de recherche pour trouver les nappes souterraines d'eau ; l'instrument s'est très bien comporté pendant les essais, et Gokh était prêt à commencer une enquête sur la région de Sébastopol, à la recherche de l'eau potable.
Leur renommée se répandit et, en 2002, le groupe de Gokh a été invité par le gouvernement de la Mauritanie pour trouver de l'eau dans le Sahara occidental. Dans le domaine de la ville d'Atar, l'équipe a affirmé qu'une grande quantité d'eau douce souterraine était située. Cette conclusion préliminaire a été confirmée par forage. Sous la couche de roche éruptive solide, à une profondeur de 240 mètres, un courant sous-marin a effectivement été découvert. La valeur de ces ressources a été suffisante pour fournir toutes les structures nécessaires pour l'eau de la région.
Avant, il avait affiné le système pour que ce type spécifique de photographie pourrait se produire à partir de l'air, donc en mesure de couvrir de plus grandes surfaces, il a aussi adapté le système pour la recherche de pétrole, de gaz et de métaux précieux, il a trouvé un partenaire prêt dans la compagnie pétrolière Chernomornefte-gaz .
Dès l'été 1999, son instrument avait découvert une anomalie souterraine sur la périphérie de Sébastopol : c'était, comme Gokh le réclamerait plus tard, la première pyramide. Les inspections sur place ont révélé d'abord un paysage plutôt ordinaire, rocheux, mais ils ont alors trouvé une ouverture qui descend. A une profondeur de 9,20 mètres, il y avait une dalle pleine en craie.
En essayant de pénétrer à travers la dalle - avec peu de succès au premier abord - Gokh et ses partenaires ont réussi dans l'exploration à faire briller une lampe dans la cavité : elle était vide, même si au plafond, des stalactites de quartz pendaient - identifiées par d'autres semblables qui ont grandi à partir du sol. L'équipe croyait qu'ils étaient tombés sur un vieux creuset, mais n'a pu trouver aucune trace de métal. Ils ont continué à creuser, mais il était tout aussi clair que le groupe de Gokh de trois personnes (deux de ses collègues, le Dr Mukhudin et M. Taran, étant aussi ingénieurs) avait besoin de plus de main-d’œuvre, cinq autres personnes ont été invitées à les rejoindre.
Bientôt, plusieurs blocs de calcaire ont été trouvés. Comme leurs dimensions étaient régulières de 2,5 par 1,5 mètres, il a été supposé que celles-ci avaient été faites par l'homme. Après avoir travaillé sur une distance de trente mètres et analysé ce qu'ils avaient découvert ce jour, un membre de l'équipe, Taran, a suggéré qu'ils avaient certainement découvert une pyramide enterrée.
Le problème était le suivant : elle était souterraine.
Au printemps de 2000, Gokh a de nouveau amélioré son instrument, qui permet maintenant également des sondages verticaux. Cela pourrait corroborer la forme de la structure qu'ils avaient trouvé. Le résultat a été qu'ils étaient en effet dans une structure qui avait une base carrée, chaque côté mesure 72 mètres de long : c'était une pyramide. Sa hauteur était d'environ 45-52 mètres, son sommet presque au niveau du sol.
L'instrument semble aussi révéler que, du haut de la structure, trois faisceaux d'énergie émanaient, à des fréquences de 900x109 Hz, 700x109 et 500x109 Hz Hz. Autour de la pyramide, un champ de 10x109 Hz a été remarqué.
L'excavation a également révélé des signes dans les couches environnantes prouvant que la pyramide avait initialement été en surface, mais que des inondations à un moment donné avaient apporté de l'argile et d'autres substances que l'on pourrait associer à une zone qui est devenu inondée.
The entrance shaft to the underground pyramid
Si il y a une pyramide, il pourrait y avoir plus ?
La zone de recherche a été étendue. Finalement, l'équipe a conclu que sur une ligne droite, qui passait de Sarych à Baia Kamyshovaia, et qui s'étendait au nord-ouest-sud-est, un total de sept pyramides étaient présentes. L'une de ces pyramides était située sous l'eau, près de la ville de Foros.
Enfin, Gokh a étendu sa recherche sur l'ensemble de la péninsule de Crimée et a conclu qu'il y avait la possibilité d'un total d'une trentaine de structures pyramidales pour l'ensemble du pays. Dans le même temps, les analyses ont révélées une autre anomalie, d'un objet qui n'a pas été de forme pyramidale ; son profil curieux, tourné vers l'ouest, a suggéré une structure qui pourrait être assez semblable à celle d'un sphinx.
Le moral était élevé et quelque chose semblait bouger. Mais comme tous ces pyramides semblaient être situées sous terre, leur excavation serait à la fois coûteuse et chronophage. La prochaine étape est donc la plus difficile de toutes : l'argent. Seul l'argent permettrait à l' équipe de continuer les fouilles d'une telle manière qui aboutirait à la confirmation que la Crimée avait au moins une - sinon plusieurs - pyramides.
L'étape suivante est aussi la plus problématique. La ville de Sébastopol et l'Académie nationale des sciences d'Ukraine n'étaient pas intéressées. Pourtant, l'insistance de Gokh a abouti à une certaine forme de coopération, qui a donné lieu à une enquête de terrain de la zone. Elle a déclaré que la région était habitée, avec des signes du 4ème siècle avant JC jusqu'au premiers siècles de notre ère. Une telle enquête n'a pas beaucoup contribué, ni révélé quoi que ce soit qui ne soit déjà connu.
Mais il y avait certaines raisons pour lesquelles ces institutions n'étaient pas disposées à financer d'autres recherches : comme c'est souvent le cas, ils résumaient les revendications plutôt extra-ordinaires faites par le découvreur lui-même. Si Gokh avait simplement fait valoir que la Crimée avait au moins une, potentiellement jusqu'à trente pyramides, il aurait jeté une base solide pour la poursuite des recherches archéologiques.
Au lieu de cela, Gokh a ajouté de nouvelles spéculations disant que ces pyramides faisaient partie d'un système global, dans lequel divers organes de fonctionnement plutôt high-tech - les pyramides - ont été utilisés pour recevoir de l'énergie cosmique, qui a été modifiée, et ensuite distribuée à travers la planète. Selon Gokh, les pyramides étaient des instruments scientifiques, ici pour contrôler et stabiliser les masses terrestres de la planète Terre. Ajoutez à cela la date à laquelle il a proposé pour sa construction : le système serait d'environ 16.000 ans - ou daté à partir de 14,000 avant JC.
Même Graham Hancock, Robert Bauval ou John Anthony West n'ont pas osé proposer 10,000 Avant JC pour le Sphinx - et ont laissé toute spéculation sur l'âge de la Grande Pyramide au fonctionnement mental du lecteur.
Plutôt que ces revendications plutôt extravagantes, les pyramides de Crimée n'ont pas fait l'objet d'un livre pour une raison plus terre à terre : tout ce que nous savons avec certitude, c'est qu'il y a un axe vertical, descendant près de Sébastopol, dans lequel l'équipe de Gokh ont été faire des fouilles. Même si elles ont produit des graphiques plutôt agréable sur la façon dont toute la pyramide est censé être regardée, je ne vois pas d'analyses réelles de l'instrument que Gokh avait développé pour sauvegarder le graphique verticalement.
One of the diagrams produced by the team, explaining the construction.
Bien que j'ai découvert deux adresses e-mail pour Gokh, l'une a disparue ; de l'autre, je n'ai jamais reçu de réponse. Il est donc possible qu'il y ait quelque chose, mais il était encore trop tôt pour dire quoi. En outre, mon jugement est que, même si elles seraient avérées êtres des pyramides, elles avaient peu de chances de transformer le débat général sur la pyramide.
Juste après l'achèvement du manuscrit, en Juillet 2006, Gokh a essayé d'utiliser l'intérêt envers la pyramide bosniaque pour recueillir intérêt dans la pyramide de Crimée, en répétant qu'il avait besoin d'argent pour finir ses fouilles. Malgré le besoin de plus d' argent, la déclaration disait que des dizaines de scientifiques de différents pays étaient venus désormais effectuer une fouille archéologique de la pyramide, et qu'un résultat était attendu plus tard dans l'été. Plusieurs mois plus tard, il n'y avait pas d'informations rendues publiques et les coordonnées de Gokh une fois de plus n'ont pas donné une réponse.
Malheureusement, Gokh non seulement reste sur ses revendications plutôt extravagantes précédentes, mais il a élaboré maintenant sur elles, en précisant que,
" La majorité des scientifiques [qui avaient visité le site] considèrent que les pyramides souterraines de Sébastopol confirment l'estimation de scientifiques américains [ que ] il y a environ 65 millions d' années, une civilisation ancienne est morte à cause de la chute d'une météorite géante. "
C'est une déclaration confuse : en effet, les scientifiques américains tels que Luis Alvarez ont fait valoir que les dinosaures ont disparu quand une météorite géante a frappé le golfe du Mexique, il y a environ 65 millions d'années. Mais les goûts de Alvarez ne font pas de dispositions pour les pyramides, ou une civilisation humaine avancée qui aurait construit ces pyramides - sans parler des pyramides de Crimée faisant partie d'un tel réseau théorique.
En outre, seraient-ils de " vrais scientifiques " en prétendant que ces pyramides étaient de 65 millions d'années ? Cela semblait très peu probable.
Gokh ne s'arrête pas là : la ligne le long de laquelle les sept sites de pyramides de la péninsule ont été trouvés, fonctionne, comme mentionné, du nord-ouest au sud-est. Gokh a maintenant étendu cette ligne à des proportions gigantesques, faisant valoir que Stonehenge était situé sur cette ligne, tandis que de l'autre côté, il trouve " la pyramide du Tibet " et " les pyramides creuses de l'île de Pâques " - deux pyramides plutôt imaginaires.
Pire, il a ensuite lié les deux pyramides imaginaires aux civilisations perdues de l'Atlantide et Mu.
Gokh évidemment avait accroché à la théorie avant la pyramide, et non l'inverse. En bonne tradition du 19ème siècle, pour relier les dimensions de la Grande Pyramide avec la Bible et une chronologie biblique, Gokh avait utilisé une pyramide non excavée - qui pourrait ne pas être une pyramide du tout - comme «preuve» de la perte d'une civilisation mondiale. Le pire, c'était sa spéculation que cette pyramide, avec d'autres, des pyramides non-existantes et les plus susceptibles d'être non-découvertes donc, étaient là pour « équilibrer » la Terre, potentiellement vers 14000 BC - ou 65.000.000 années av.
The tunnel inside the pyramid
Gokh affirme qu'il ne faut pas couper toute la théorie de la pyramide court sans lui donner un bon éclaircissement.
" Les Astronomes ont déjà remarqué que certaines planètes rayonnent plus d'énergie que ce qu'elles recoivent du Soleil. Une situation similaire est observée aussi avec quelques étoiles . "
Selon Gokh, cela était dû à " l'énergie de torsion ", développée à l'intérieur du centre de la Terre.
" La source de carburant pour un tel réacteur est un vide physique - le domaine de la torsion de l'univers. Il se compose de deux types opposés de particules : les torsions et les antitorsions. Dans un réacteur de torsion [ ... ] un effet d'accélération de torsion et anti-torsion de la fréquence se déroule à tel point qu'ils commencent à fusionner et initier une réaction en chaîne " .
Il poursuit :
" La source d'un flux subtil de particules célestes est assurée par un faisceau galactique, émanant du centre de la galaxie. Passant constamment les sept ceintures cosmiques, il synchronise sa vibration. L'énergie libérée à la suite d'une telle réduction de la fréquence (la fréquence du freinage), est dirigée sur le maintien de la capacité en alimentation en direct d'objets célestes ".
Au cas où vous vous demandez ce que cela a à voir avec les pyramides :
" Ces énergies proviennent, en particulier, d'un noyau de la Terre, des étoiles à travers les pyramides, mélangées dans un cocktail de puissance au moyen d'un cristal de Shamballa - une sorte de carburateur. Puis sont livrées au Noyau de la Terre "
Le pire est encore à venir : la revendication a été faite qu'il y avait 144 000 pyramides sur Terre, avec leur taille et emplacement. Les pyramides de base ont été regroupées en douze endroits sur tous les continents peuplés. Toutes les pyramides ont été reliées par des canaux d'alimentation, à d'autres champs de " pyramides " et le noyau de cristal de la Terre, qui contrôle le fonctionnement du système.
Douze groupes de pyramides de base, le contrôle, dirigent à leur tour, douze autres groupes plus petits, et en jeter un peu de mathématiques : 12 fois 12 égaux, 144 fois 1000, est égal à 144 000. Dans le cas où vous poseriez la question, chacune des 144 pyramides de base commande le fonctionnement d'un autre groupe de 1000 pyramides.
Et tout comme la Grande Pyramide a été reliée auparavant à la Bible, devinez quoi : les 144 000 pyramides de la Terre correspondent aux 144 000 âmes bibliques choisies.
« Chacun des 144.000 a choisi une pyramide pour « les siens ». "
Je n'ai pas écrit cet exposé des pyramides de Crimée pour me moquer des théories ou de la pensée de Gokh. Je l'ai utilisé pour montrer que Gokh est un exemple moderne de " la pyramidiot ", un terme utilisé par les archéologues et égyptologues largement pour désigner un profil de gens qui lisent beaucoup - trop - sur une pyramide (en particulier la Grande Pyramide), une pratique qui était courante à la fin du 19ème siècle, et qui a connue, dans les yeux des égyptologues, une résurgence à la fin du 20e siècle, en particulier avec les goûts de Robert Bauval et co.
Le " pyramidiot " est typiquement un « amateur», dans le meilleur sens du mot, qui croit, souvent à juste titre, avoir fait une découverte. Ils essaient d'attirer l'intérêt des archéologues, mais cela fonctionne rarement. Par conséquent, ils commencent souvent à formuler des revendications fortes, ou des théories, dans l'espoir que certaines personnes vont les entendre, et dans un assez vain espoir que les archéologues auront désormais définitivement à en prendre note. Alors, souvent , les archéologues ne s'engagent pas encore, et un gouffre dangereux est violé, dans lequel l'esprit semble en effet échapper à tout contrôle, et " le pyramidiot " est né.
La plupart des découvreurs, dans n'importe quel domaine, prennent " deux étapes " : aller un peu trop loin dans leurs revendications, s'exposant ainsi comme quelqu'un qui est facilement abattu. C'est malheureux, et, malheureusement, quelques parties intéressées semblent capables de montrer du pardon pour des remarques ponctuelles souvent incontrôlées, dites dans l'intérêt général. Le meilleur exemple de cela est Sam Osmanagich, qui peut avoir une fois dit que la " Pyramide du Soleil " de Bosnie aurait pu être vieille de 12000 années.
Les archéologues sont entrés dans un débat sans fin sans parler de ça, où il a été utilisé le fait qu'ils avaient discuté le résultat comme preuve qu'ils ne devraient diriger aucune attention à la pyramide elle-même. C'est typique de la façon dont le domaine de l'archéologie tourne souvent en incroyables les histoires elle-même, en créant des personnages assassins qui sont aussi idiot que les pyramidiots sont censés l'être dans leurs théories.
Malheureusement, dans le cas de Gokh, ses prétentions étaient si bizarres que les pyramides de Crimée ont été largement oubliées. Mais il semble qu'il y ait au moins quelque chose. Il peut même y avoir une pyramide.
Il semble, cependant, que personne n'est prêt à faire encore la validation la plus fondamentale de cette possibilité... Et c'est idiot aussi...
http://www.bibliotecapleyades.net/piramides/coppens_pyramids04.htm
Voici un couple de vidéos YouTube sur l'archéologie antique en Crimée.
Une info intéressante sur la construction de plusieurs pyramides expérimentales en Russie :
" Posez-vous la question : « Où sont les sources d'approvisionnement et la réception de l'énergie ? " En construisant par hologramme synchronisé du ciel étoilé avec des points sur terre où se trouvent les Pyramides (Egypte, Angleterre, Sébastopol, les Bermudes, l'île de Pâques, le Mexique, l'Himalaya). Comme résultats, en suivant l'énergie de flux, l'auteur a pu constater que l'échange d'énergie se produit entre le noyau de la Terre et l'étoile Capella, les pyramides de l'Himalaya et des Bermudes, entre l'étoile Véga et les pyramides mexicaines et anglaises, entre l'étoile Canopus et les égyptiennes, les pyramides de Sébastopol et les pyramides de la côte. Ile de Paques, dans l'hémisphère nord, chaque étoile est connectée avec deux groupes de pyramides.
En outre, un groupe de pyramides sert de récepteur d'énergie, et l'autre a le rôle de l'émetteur. Les étoiles par rapport à chaque autre font un angle de 120 degrés. La création de cet agencement de moments électromagnétiques peut éventuellement affecter la rotation de la Terre et l'emplacement de l'axe de la Terre. Toutefois, selon les lois de l'Electromécanique céleste (équations de quantité de mouvement pour les Hémisphères Nord et du Sud), il manquerait des pyramides au groupe. Une analyse réalisée par l'auteur, a montré un groupe de pyramides non découvertes dans le centre de l'Amérique du Sud. Ce complexe de pyramides a ensuite été trouvé au Brésil. "
http://gokh.net/newmodel/7-vzaimodeystvie-piramid-s-kosmosom-i-yadrom-zemli.html
Une émission avec les chercheurs et quelques photos, schémas et explications (en russe, vous pouvez changer les sous-titres)
Alors, réalité ou obstination mal placée ? Comment se fait-il que tous ces spécialistes des nouvelles technologies et des ondes déclarent tous que les pyramides émettent des ondes d'énergie, un peu partout dans le monde ? Un complot de spécialistes, certains reprennent les idées des autres, ou il y a-t-il vraiment un antique réseau énergétique en veille sur notre planète, ne demandant qu'à être réactivé ? Les mesures multiples visibles en ligne et faites en Bosnie semblent convaincre de plus en plus de scientifiques. D'ailleurs, cette hypothèse n'est pas en contradiction avec les données scientifiques générales sur les énergies potentielles. Pour celles de Crimée éventuellement, la situation semble encore plus compliquée de part leur total ensevelissement dans une région habitée et construite se situant à un carrefour géopolitique stratégiquement important... comme beaucoup de pyramides d'ailleurs !
http://www.abovetopsecret.com/forum/thread1000426/pg1
http://survincity.com/2010/02/puzzles-and-mysteries-of-the-crimean-underground/
MAJ 10-03-2014 : Certains en ajoutent beaucoup et "démontrent" leur théorie à l'aide d'images de films et effets spéciaux... c'est bien de vouloir reconstituer les choses éventuellement, si c'est annoncé en premier lieu, et si ça se base au moins sur un fond d'images ou de croquis scientifiques réels. Et on en est bien loin ici tout de même : nous avons juste la preuve de trous dans le sol et de cavités, d'un réel apparent effondrement d'une partie de la côte sud effectivement de la Crimée, visible par satellite... c'est bien peu... :
Yves Herbo Traductions, Sciences-F-Histoires, 07-03-2014