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Etude sur les cheveux humains et leurs propriétés particulières
Etude sur les cheveux humains et leurs propriétés particulières
Cette information sur les cheveux a été cachée au public depuis la guerre du Vietnam.
Notre culture amène les gens à croire que les coiffures sont une question de préférence personnelle, que c’est une affaire de mode et/ou de commodité et que la manière dont on se coiffe n’est qu’une histoire d’esthétique. Pourtant pendant la guerre du Vietnam, une description entièrement différente s’est révélée, qui a été soigneusement dissimulée et cachée au public.
Au début des années 90, Sally [le nom a été changé pour protéger la vie privée] était mariée à un psychologue diplômé qui travaillait dans un centre médical de l’état de Virginie. Il travaillait pour des vétérans de l’armée victimes de troubles de stress post-traumatiques. La plupart avaient servi au Vietnam.
Sally disait : “Je me souviens clairement d’un soir où mon mari revint à la maison avec dans les mains un gros dossier officiel. Dedans se trouvaient des centaines de pages de certaines études demandées par le gouvernement. Il ressentit un choc en regardant le contenu. Ce qu’il a lu dans ces documents a complètement bouleversé sa vie. À partir de ce moment-là mon conservateur de mari laissa pousser ses cheveux et sa barbe et ne les coupa plus jamais. Encore mieux, le centre médical le laissa faire et d’autres hommes très conservateurs de l’équipe suivirent son exemple. En lisant les documents, j’appris pourquoi. Il semble que pendant la guerre du Vietnam des forces spéciales du département de la défense avaient envoyé des experts pour fouiller les réserves amérindiennes à la recherche de sentinelles talentueuses, de jeunes hommes robustes entraînés à se mouvoir furtivement en terrain accidenté. Ils cherchaient en particulier des hommes aux capacités de pistage exceptionnelles, presque surnaturelles. Avant d’être approchés, ces hommes soigneusement sélectionnés étaient largement reconnus comme des experts dans le pistage et la survie.
Avec les incitations habituelles, les belles phrases qui avaient fait leurs preuves pour enrôler de nouvelles recrues, certains pisteurs indiens furent alors engagés. Une fois engagés, une chose étonnante arriva. Tous les talents et compétences qu’ils possédaient dans la réserve semblaient avoir mystérieusement disparu, recrue après recrue, ils ratèrent ce qu’ils étaient censés accomplir dans leur domaine.
De sérieuses pertes et échecs conduisirent le gouvernement à passer des contrats pour faire réaliser des tests coûteux à ces recrues, et voici ce qui fut découvert.
Quand on les interrogeait sur leur échec à accomplir ce qu’on attendait d’eux, les recrues plus âgées répondirent systématiquement qu’en subissant leur coupe de cheveux militaire obligatoire, ils ne pouvaient plus ‘sentir’ l’ennemi, ils n’avaient plus accès à leur ‘sixième sens’, ils ne pouvaient plus se fier à leur ‘intuition’, ils ne pouvaient plus lire non plus les signes subtils ou accéder à une subtile information extra-sensorielle.
L’institut pour les tests recruta d’autres pisteurs indiens, leur laissa les cheveux longs et les testa dans de multiples domaines. Puis ils mirent par paire deux hommes qui avaient reçu le même score sur tous les tests. Ils laissèrent l’un des deux hommes avec les cheveux longs et firent une coupe de cheveux militaire à l’autre. Puis les deux hommes refirent les tests.
À chaque fois l’homme aux cheveux longs conservaient des scores élevés. À chaque fois l’homme aux cheveux courts ratait les tests où il avait auparavant obtenu de bons scores.
Voici un test typique :
La recrue dort dehors dans les bois. Un ‘ennemi’ armé s’approche de l’homme endormi. L’homme aux cheveux longs est sorti de son sommeil par un fort instinct de danger et s’en va longtemps avant que l’ennemi ne soit près de lui, longtemps avant que les bruits de l’ennemi en approche soient audibles.
Dans une variante de ce test l’homme aux cheveux longs capte une approche et a l’intuition que l’ennemi va l’attaquer physiquement. Il suit son ‘sixième sens’ et reste calme, faisant semblant de dormir, mais se saisit rapidement de l’attaquant et le ‘tue’ quand l’attaquant est près de l’étrangler.
Ce même homme, après avoir exécuté ces tests et d’autres, a reçu une coupe de cheveux militaire et a raté constamment ces tests, et bien d’autres qu’il avait réussi précédemment.
Le document recommandait donc que tous les pisteurs indiens soient exemptés de coupes de cheveux. Qu’en fait, les pisteurs gardent leurs cheveux longs.
Commentaire :
Le corps des mammifères a évolué pendant des millions d’années. Certaines capacités de survie humaine et animale semblent parfois presque surnaturelles. La science découvre constamment des aptitudes étonnantes de survie chez l’homme et l’animal. Chaque partie du corps possède une fonction très sensible pour réaliser la survie et le bien-être du corps dans son ensemble. Chaque partie du corps possède sa raison d’être.
Les cheveux sont une extension du système nerveux, on peut les considérer comme des nerfs extériorisés, une sorte de ‘capteur/antenne évoluée qui transmettent un grand volume d’informations au tronc cérébral, au système limbique et au néocortex. (Le tronc cérébral et le système limbique constituent le cerveau “reptilien” de survie et le néocortex représente le cerveau récent avec la “matière grise”, NdT).
Pour les gens, non seulement les cheveux, mais aussi la barbe chez les hommes, fournissent un circuit d’informations qui atteint le cerveau, mais les cheveux émettent de l’énergie, une énergie électromagnétique produite par le cerveau vers l’environnement extérieur. On le voit avec une photo Kirlian, quand la personne est photographiée les cheveux longs et ensuite avec les cheveux coupés.
Quand les cheveux sont coupés, la réception et l’émission des transmissions vers et en provenance de l’environnement sont grandement entravées. Ce qui donne une insensibilité.
Couper les cheveux est un facteur contribuant à une insensibilité à la détresse de l’environnement proche. C’est aussi un facteur contribuant à une insensibilité dans les relations de toute sorte. Cela contribue à une frustration sexuelle.
Conclusion :
Si on cherche des solutions à la détresse de notre monde, il pourrait être temps d’envisager que nombre de nos suppositions les plus basiques sur la réalité sont erronées. Il est possible qu’une grande partie de la solution est de nous regarder en face chaque matin dans la glace...
L’histoire de Samson et Dalila de la bible contient beaucoup de vérités encodées. Quand Dalila coupe les cheveux de Samson, l’ancien Samson invincible est vaincu.
Traduit par Hélios pour le BBB. - http://ondevraitenparler.wordpress.com/2013/04/04/la-verite-sur-les-cheveux-et-pourquoi-les-indiens-les-gardent-longs/
A LIRE AUSSI toujours sur Bistro Bar Blog : LA NATURE SPIRITUELLE DES CHEVEUX
YH : On note aussi que les moines shaolin ou bouddhistes se rasent eux la tête pour pouvoir concentrer leurs perceptions et énergies par la méditation, qui seule compense ceux qui ont des problèmes naturels ou héréditaires de chutes de cheveux ou peu de poils. La tonsure volontaire des moines serait à l'origine une version intermédiaire obligeant les moines à une plus grande méditation tout en conservant l'essentiel de l'apport de la pilosité en matière de "sondes spirituelles"... les coiffeurs ont peut-être du soucis à se faire dans un futur où la science sera bien obligée de s'adapter aux réalités au lieu de vouloir les contourner... bon, nos idées sur l'esthétisme et la beauté du "sans-poils" risquent de prendre des coups petit à petit dans l'avenir, surtout si on réalise que certains scientifiques affirment déjà que l'augmentation des mélanomes et cancers de la peau dus au soleil ou rayons UV est aussi en grande partie due à cette mode assez peu naturelle du rasage systématique des poils et même des cheveux... Tout un pan de l'industrie du "bien-être" et de la santé risque de se tirer les cheveux, en effet. On a tendance à plutôt vouloir en rire ou dédaigner les choses, mais certaines études scientifiques très sérieuses tendent à prouver largement que les bulbes des poils et cheveux sont bien reliés à nos terminaisons nerveuses : ça fait mal quand on tire dessus. Il faudrait donc pour certains beaucoup plus considérer notre pilosité comme des "sondes" informatives supplémentaires pour notre cerveau, un peu comme les antennes des insectes, et que ces sondes comptent également dans la transmission spirituelle (et instinctive) de données...
Yves Herbo-SFH-08-2013

Des images russes de Vénus
Des images russes de Vénus
La plupart des informations sur Vénus sont dérivées de l'étude soviétique intensive de la planète. Les seules images existantes de la surface ont été tournées à partir de quatre de leurs robots atterrisseurs. Les Soviétiques ont essayé d'envoyer des caméras de photo et télévision sur Vénus en 1952 et 1965. Malheureusement, ces deux tentatives ont échoué. Le premier robot ayant eut du succès qui a pu prendre des photos était le Venera-9.
Yves Herbo : La première et seconde images m'ont fortement intéressé de part certaines structures assez géométriques visibles sur ce haut plateau tout plat et allongé et sa falaise :
Parmi les autres ayant atterrit sur Vénus se trouvent Venera-10, Venera-11, Venera-14, Venera 15 et 16, Vega-1 et Vega-2. Il semble bien que l'étude soviétique intensive de la planète ait apporté des résultats fructueux et est une aide pour d'autres recherches sur la planète.
L'un des navires soviétiques qui ont atterri sur la surface de Vénus est Venera-13. Le module de descente de Venera-13 a atterri sur la surface de la planète, le 1er Mars 1982. Contrairement aux systèmes Venera 9 à 10, Venera 13 se composait de deux caméras optiques mécaniques qui, à l'aide une résolution supérieure a pu numériser à plusieurs reprises à 180 ° ou 60 ° au travers de filtres transparents et colorés. Ce système de caméra a été développé par l'équipe de Selivanov A.S. à l'Institut d'ingénierie spatiale. Le vaisseau principal, sur une trajectoire de survol, était resté en contact radio avec l'atterrisseur pendant 127 minutes, et avait relayé la vidéo sur Terre comme un signal numérique à modulation de phase, à 9 bits par pixel.
Le Robot Venera a transmis des images numériques avec un minimum de 9 bits et un encodage logarithmique approximatif de la luminosité photométrique. L'appareil photo a scanné plusieurs panaromas, certains d'entre eux incluaient des filtres en verre rouge, vert ou bleu sur place. Toute la transmission avait été un processus rapide et donc avait été retransmis à la Terre en temps réel et également été revisualisé à partir d'enregistrements numériques à bord du vaisseau spatial de Venera. En conséquence, la reconstruction d'une version presque propre à partir de plusieurs transmissions est devenu possible. Une conversion exacte de ce codage de luminosité linéaire en a dérivé, en utilisant les données d'étalonnage fournies avec les images.
Les panoramas de Venera sont des projections sphériques. Ils pourraient être reconfigurés pour des projections en perspective et moins moches (en utilisant Adobe Photoshop CS2) pour produire des vues qui peuvent donner une meilleure impression subjective de la surface de la planète. Bien que les versions soviétiques d'origine de ces images avaient un panorama complet à partir d'images en filtre clair, et des panoramas de filtres couleurs en images rouges, vertes et bleues, que les images étaient beaucoup plus sombre, le signal en retour avait été moins bon pour les images couleur.
[SOURCE: mentallandscape.com]
Yves Herbo traduction-SFH-08-2013

Graphique de la NASA des 1400 astéroïdes dangereux recensés à début 2013
Graphique de la NASA des 1400 astéroïdes dangereux recensés à début 2013
Ce graphique de JPL Nasa montre les orbites de tous les astéroïdes potentiellement dangereux connus.
Début 2013, on en comptait plus de 1400. Ces astéroïdes sont considérés comme dangereux parce qu'ils sont assez grands (au moins 140 mètres de diamètre), et qu'ils suivent des orbites qui passent à proximité de l'orbite de la Terre (à moins de 7,5 millions de kilomètres).
http://photojournal.jpl.nasa.gov/jpeg/PIA17041.jpg
Mais cela ne veut pas dire qu'un de ces astéroïdes impactera la surface de la Terre : aucun d'entre eux n'est une menace pour les cent prochaines années. Cependant leurs observations et suivis permettront d'en préciser les orbites, les approches possibles et les probabilités d'impact.
Vue d'artiste d'un système de capture d'astéroïde (NASA)
La NASA vient de lancer un programme de capture d'un petit astéroïde pour l'étudier, mais n'oublions pas non plus qu'il y a plus de 10.000 astéroïdes proches de la Terre et que les recherches d'autres objets dangereux continuent. Il y a également de recensé dans le lot de simple "visiteurs" qui n'ont pas d'orbites définies par rapport au Soleil et qui peuvent revenir un jour ou pas, tout comme d'autres en fait : le Soleil et le Système Solaire dans leur course très rapide dans l'espace peuvent évidemment rencontrer des roches ou des zones plus denses sur leur trajectoire.
Yves Herbo-SFH-08-2013

Exoplanète : une géante gazeuse défie la cosmogonie
Exoplanète : une géante gazeuse défie la cosmogonie
Une douzaine d'exoplanètes ont été imagées directement autour d'étoiles similaires au Soleil. D'après une équipe internationale d'astronomes, la géante gazeuse GJ 504b, qu'ils viennent de découvrir en utilisant le télescope Subaru, serait la plus légère des exoplanètes de ce genre imagées à ce jour. Ils en parlent comme d'une « deuxième Jupiter ». Mais l'essentiel n'est pas là. Avec sa masse et sa distance à l'étoile 59 Virginis, cette exoplanète semble remettre en cause les modèles de formation des géantes gazeuses.
Depuis 1995, l’humanité a découvert environ 890 exoplanètes, la plupart en utilisant la méthode des vitesses radiales ou celle du transit planétaire. Mais quelques-unes l’ont été en obtenant une image directe. Il a tout de même fallu pour cela mobiliser l’optique adaptative et l'imagerie différentielle.
Une équipe internationale d’astronomes vient d’annoncer qu’elle a probablement battu un record, jusqu’ici détenu par HD 95 086b. GJ 504b serait en effet la plus légère des exoplanètes imagées directement autour d'une étoile de type solaire, avec une masse minimale d’au moins trois fois celle de Jupiter. Elle est en orbite à 44 unités astronomiques autour de l’étoile 59 Virginis, située à environ 57 années-lumière du Soleil, dans la constellation de la Vierge. Aussi connue sous le nom de GJ 504, 59 Virginis est une étoile de type G0. Elle ressemble donc beaucoup au Soleil.
Comme le montre ce schéma, il n'est pas difficile de voir sur la voûte céleste l'étoile autour de laquelle tourne l'exoplanète GJ 504b. Il suffit de regarder avec une bonne paire de jumelles la constellation de la Vierge. © Nasa’s Goddard Space Flight Center
Optique adaptive et imagerie différentielle, les clés pour voir GJ 504b
L'équipe à l’origine de cette découverte est composée de plus de 120 membres (les deux tiers en provenance du Japon, et un tiers des États-Unis et d’Europe) et de plus de 25 instituts. Dans le cadre d’un projet de recherche baptisé Strategic Explorations of Exoplanets and Disks with Subaru (Seeds), les chercheurs ont utilisé le High Contrast Instrument for the Subaru Next Generation Adaptive Optics (HiCIAO), équipant le télescope Subaru, afin de voir directement dans l’infrarouge une éventuelle exoplanète autour de l’étoile GJ 504, comme ils l’expliquent dans un article déposé sur arxiv.
Comme pour les premières exoplanètes découvertes directement par imagerie autour de l’étoile HR 8799, la fameuse technique d’imagerie différentielle a été essentielle. Elle permet d’une part d’augmenter le contraste entre la planète et son étoile hôte de brillance élevée, et d’autre part de supprimer cette étoile comme pour la coronographie. L’image finale obtenue révèle alors des géantes gazeuses lorsqu’elles sont suffisamment loin de l’astre central. Il faut aussi que l’exoplanète soit brillante dans l’infrarouge. C’est pourquoi l’on cherche à imager de cette façon des astres encore relativement chauds, c'est-à-dire jeunes.
Vue d'artiste de l'exoplanète GJ 504b en orbite autour de l'étoile 59 Virginis, aussi appelée GJ 504. Âgée d'environ 100 millions d'années, elle est encore chaude et apparaît magenta dans le visible. Située à 44 unités astronomiques de son astre central, elle ne devrait pas exister selon le modèle cosmogonique standard expliquant la formation des géantes gazeuses. © Nasa's Goddard Space Flight Center, S. Wiessinger
Masse de l'exoplanète GJ 504b déduite de son âge et de sa température
GJ 504b tourne autour d’une étoile dont la théorie de la structure et de l’évolution stellaire permet d’estimer l’âge. À partir de la couleur et de la vitesse de rotation de 59 Virginis, on calcule qu’elle doit être âgée d’environ 160 millions d’années. Ce doit donc être l’ordre de grandeur de l’âge de l’exoplanète, qui doit encore contenir une part non négligeable de sa chaleur de formation. De fait, sa température est effectivement de 237 °C, et elle est donc plutôt brillante. Dans le visible, elle affiche une couleur proche du magenta.
Connaissant sa température, sa luminosité et une estimation de son âge, on peut introduire ces données dans les modèles de planètes géantes et tenter de calculer sa masse. Compte tenu des incertitudes de ces modèles, on trouve une masse d’au moins trois fois celle de Jupiter. Si tel est le cas, ce serait donc un record. GJ 504b serait actuellement la plus légère des exoplanètes imagées directement autour d’une étoile de type solaire. Toujours est-il que les astronomes n'hésitent pas à parler de « deuxième Jupiter » au sujet de GJ 504b.
Si la masse de GJ 504b se révèle finalement supérieure à quatre fois celle de Jupiter, il n’en reste pas moins que cette exoplanète est remarquable parce que son existence entre en conflit avec les modèles cosmogoniques classiques pour la formation des géantes gazeuses. Rappelons que la cosmogonie (du grec cosmo, « monde » et gon, « engendrer ») traite de la naissance générale de l’univers, c'est-à-dire le cosmos lui-même, et bien sûr les étoiles et les systèmes planétaires. Elle se distingue donc quelque peu de la cosmologie, qui traite plutôt des lois générales, et surtout de la structure de l’univers pris comme une totalité.
Après le traitement des images prises par le télescope Subaru, l'image finale obtenue a permis de découvrir une exoplanète brillante autour de GJ 504. Il s'agit d'une géante gazeuse ressemblant à Jupiter, mais à une distance de son étoile hôte un peu plus grande que celle de Neptune au Soleil (orbite en pointillés). © Nasa’s Goddard Space Flight Center, NOAJ
Théorie de l'accrétion contre théorie de l'instabilité gravitationnelle
Dans le cadre des modèles expliquant la naissance des exoplanètes, la théorie qui marche le mieux et qui est la plus soutenue par les observations est celle de la formation initiale d’un cœur solide. Comme pour les planètes telluriques, tout commence par l’accrétion de petits corps rocheux, mais aussi de comètes, puisque pour les géantes, on se trouve au-delà de la limite où de la glace d’eau se forme. Le cœur rocheux massif qui apparaît se trouve dans un disque protoplanétaire encore riche en gaz, et il accrète donc massivement celui-ci. C’est ainsi que des planètes comme Jupiter et Saturne se seraient formées. Ce scénario échoue dans le cas de GJ 504b, parce qu’elle se trouve à plus de 30 unités astronomiques de son étoile.
Il y a bien un autre scénario qui permet d’expliquer la formation des géantes gazeuse de ce genre. Il les fait naître un peu comme les étoiles, par instabilité gravitationnelle du gaz dans le disque, qui s’effondre donc directement pour former une planète. Mais ce scénario suppose un disque protoplanétaire très massif, et on a du mal à justifier l’existence de tels disques.
Incontestablement, comme lorsque l’on a découvert les Jupiter chaudes, il y a encore des choses que l’on ne comprend pas dans les mécanismes à l’origine de la formation des systèmes planétaires.
Par
Yves Herbo : Plus on cherche, plus on s'aperçoit en effet que le terrain sur lequel nous sommes assis avec nos certitudes n'est que du sable mouvant et que nos réalités ne sont pas si stables ni définitives qu'on ne le pense...
Yves Herbo-SFH-08-2013

OVNIs : Alerte sur une nouvelle photo de la NASA
OVNIs : Alerte sur une nouvelle photo de la NASA
La photo publiée dont l'original est visible en cliquant sur ce lien a été prise par la NASA il y a quelques jours. Dans le contexte de cette dernière, dans le cadre, vous avez au premier plan l'ISS (Station spatiale internationale) et l'un des astronautes qui habitent là, et vous pouvez voir la présence de deux boules de lumière très lumineuse (et d'autres moins visibles derrière) stationnées (YH : ou en arrivance), à une courte distance de la structure spatiale.
Comme d'habitude, les sceptiques et détracteurs du phénomène ovni diront qu'il s'agit d'un simple reflet ou le passage de satellites mais nous, comme d'habitude, tracerons directement notre chemin et essaierons d'obtenir une idée personnelle.
Ma conjecture est que ce sont de vrais objets non identifiés photographiés par hasard par l'équipement de l'ISS, dont la présence a échappé à la NASA. Peut-être que je me trompe, mais je vous recommande de l'enregistrer sur votre PC car la photo originale pourrait bientôt être effacée...
Source : http://danilo1966.iobloggo.com/851/oggetti-luminosi-nell-atmosfera-terrestre-foto-nasa
Relayé et traduit par Yves Herbo

OVNIs : Lettre ouverte à l’Académie des Sciences
OVNIs : Lettre ouverte à l’Académie des Sciences - MAJ Réponse
Préambule et Texte de la lettre
Préambule:
La Science d’en bas s’adresse à la Science d’en haut. Il y a des questions qui deviennent incontournables, vouloir les ignorer en ne les posant pas ou en n’y répondant pas, devient “inacceptable”.
Texte:
Montgeron, 11 juin 2013
Lettre ouverte à Monsieur Philippe TAQUET, Président de l’Académie des Sciences – 23 quai de Conti 75006 Paris
Objet: Recherche ovniologique française.
Monsieur le Président,
Les signataires de la présente lettre ouverte représentent les principales associations françaises réunissant des chercheurs bénévoles dans les domaines scientifiques et épistémologiques relatifs au phénomène ovnien. Les membres de ces associations, mais non seulement eux, s’étonnent et s’inquiètent de l’attitude d’ignorance ostensible et fréquemment de dénégation de ce phénomène, attitude affichée et parfois proclamée par certaines institutions scientifiques françaises. D’un commun accord nous souhaitons, par notre initiative d’aujourd’hui, attirer votre attention sur les points suivants:
1 – Le GEIPAN missionné par la Direction du CNES pour assurer la collecte, le classement des témoignages d’observation de phénomènes non conventionnels aériens (ovnis) ou aquatiques (oanis) recueillis par la Gendarmerie Nationale, n’a pas reçu comme objectif d’effectuer une étude scientifique exhaustive de ces phénomènes afin d’en comprendre la nature, l’origine et la physique sous-jacente. Cependant les relevés statistiques régulièrement publiés par cet organisme révèlent que 25% des cas ainsi recueillis se rapportent à des phénomènes violant les lois de la physique actuelle.
2 - Les conclusions du rapport d’activité daté de 1977 par le GEPAN (dit “rapport POHER”) toujours tenu secret, bien qu’émanant d’un organisme civil étatique, soulignent la nécessité prioritaire d’entreprendre une étude scientifique exhaustive de ce phénomène.
3 – Les termes du rapport COMETA publié en 1999, faisant suite à un rapport similaire écrit par l’IHEDN, préconisent des avis identiques concernant la prise en compte sérieuse et responsable de la réalité physique de ces phénomènes par l’institution scientifique “nationale et même internationale”.
4 – La “Lettre Ouverte” rédigée par six scientifiques sous l’égide du Contre-amiral Gilles PINON en date du 16 avril 2008 adressée au Président de la République Française: – A notre connaissance cette lettre n’a pas été suivie de décisions ou d’actions dans le domaine civil de la recherche fondamentale ou appliquée.
5 – Les archives étatiques et présidentielles des Etats-Unis d’Amérique rendues publiques dans le cadre du FOIPA font état de la participation d’Albert Einstein, Robert Oppenheimer et de toute l’équipe scientifique du projet “Manhattan” à l’étude d’épaves d’objets volants et aquatiques non conventionnels récupérées par les autorités américaines : Imagine-t-on de telles sommités scientifiques (vos illustres confrères) consacrer un temps si précieux à l’étude de “Lanternes Thaïlandaises” ou de la technologie d’objets “qui n’existent pas ” comme ne devaient pas exister les météorites ou ne devaient pas voler les plus lourds que l’air?
a) Considérant d’une part les éléments précités dont la liste, par nécessité logistique, est volontairement incomplète,
b) Souhaitant d’autre part que la Science française maintienne sa place dans la Science mondiale, les soussignés, se tenant résolument à l’écart de toute polémique stérile et loin de la rumeur publique ont l’honneur de vous demander de leur faire connaître la position de la Science institutionnelle française concernant la question fondamentale de l’éventualité de la présence dans notre environnement d’une intelligence, peut-être d’une conscience mais certainement de technologies non humaines.
Dans cette attente soyez assuré, Monsieur le Président, de notre très haute considération.
Fait à Montgeron le 11 juin 2013
Signatures originales en annexe.
Annexe à la lettre ouverte à Monsieur Philippe TAQUET Président de l’Académie des Sciences, datée du 11 juin 2013 et ayant pour objet la recherche ovniologique française.
Signataires de la lettre ouverte:
Pour l’Académie d’Ufologie (association privée de type 1901) Jacky KOZAN
Pour la Fédération Européenne Airplane (FEA) Michel RIBARDIERE
Pour le “Groupe Contre-Amiral Gilles PINON” Claude LAVAT
SFH-07-2013
MAJ : La réponse de l'Académie des Sciences
Aux Etats-Unis, les déclassifications de documents peuvent être obtenues en évoquant une loi, le Freedom of Information Act (F.O.I.A) ou FOIPA. Cette loi précise d'ailleurs que l'origine du demandeur importe peu. Ce qui permet à quiconque d'en réclamer la mise en oeuvre.
Toutefois, comme le prévoit la loi, les archives de la défense américaines sont régulièrement caviardées lorsque une information est susceptible de remettre en cause la sureté de la nation. C'est ainsi que débordant largement les textes de loi, un nombre incalculable de documents portant sur les ovnis ont été noircis, alors même que le sujet est considéré comme étant de second ordre depuis le rapport Blue Book de 1969.
Mais c'était sans compter sur les actions en justice d'associations ufologiques qui n'ont pas hésité à attaquer et à monter jusqu'à la cour suprême pour que la loi soit appliquée. Ainsi, la CIA, l'Air Force, et plusieurs autres institutions de la défense ont dû se présenter devant les tribunaux afin de répondre à ces accusations, sans pouvoir justifier de l'usage de feutre noir voire la disparition complète et définitives d'archives de tout ordre portant sur les études, les observations et les rencontres ayant eu lieu avec des ovnis.
Il existe cependant certaines archives qui ne semblent pas détenir les même possibilités de caviardage : les archives présidentielles.
Compte rendu du Général Marschall au Président concernant l'attaque de Los Angeles
Document prétendu déclassifié en 1971
En juin 2013, des organisations françaises, qui s'intéressent aux développements ayant lieu autour du sujet ovnis, ont réagi à la publication de certains documents prétendus provenir des Archives Présidentielles des Etats Unis d'Amérique. Devant l'un de ces étonnants dossiers (voir ci-dessous), elles ont adressé au Président de l'Académie des Sciences, Monsieur Taquet, une lettre ouverte dont vous avez lu les détails ci-dessus. C'est à son assistante qu'il a confié le soin de bien vouloir disperser les impertinents.
Etonnant dossier Top Secrets déclassifié : oppenheimer-einstein.pdf
http://feairplane.canalblog.com/archives/2013/07/22/27690792.html
Cet article a donné l'occasion a un spécialiste de ma connaissance de faire une petite vidéo sur le document Oppenheimer-Einstein que j'ai joints plus haut :
Relayé par Yves Herbo-SFH-08-2013