La guérison au toucher et à distance suite - L'Homme Spirituel Page 4
Voici la suite du dossier "L'Homme Spirituel" dont vous trouvez les débuts dans les liens ci-dessous. Il est possible que d'autres articles ayant des connexions avec ce thème soient ajoutés par la suite dans ce nouveau dossier/répertoire :
Nous avons donc déjà vu dans les pages précédentes que certains de nos sens (sinon tous) interagissent beaucoup plus profondément avec notre environnement humain ou non qu'on n'en est conscient et que ce n'est pas facilement mesurable scientifiquement, d'où la lenteur des progrès en la matière d'ailleurs. De la même manière que ce que les scientifiques englobent dans le terme "instinct", l'interaction profonde de ces sens au niveau atomique et purement physique est acceptée dans son principe (comment un aveugle pourrait-il continuer à ressentir son environnement sinon ?, par exemple) mais la science limite les possibilités de ces interactions au "visible" encore à l'heure actuelle, surtout par instinct elle-même, sur l'inconnu et le nombre de choses à découvrir encore sur le domaine des ondes de toutes natures, domaines et énergies (la physique plus largement). Et oui, l'être humain et sa spiritualité sont évidemment extrêmement liés, comme toute matière vivante animée, avec l'ensemble de la structure de l'univers physique (connu et inconnu) qui permet que cette matière et énergies existent, même temporairement.Nous allons voir aussi que ces possibilités s'exercent au-delà du simple soin et "pansement" local, en ce qui concerne le sens du toucher notamment, qui permet par une expérience prolongée de la pratique et un bon apprentissage (le don est un cadeau supplémentaire), de développer des interactions très profondes avec les objets (baguettes du batteur, os, tendons et muscles, nerfs, etc...), y compris à l'instinct et à distance... ces interactions commencent à être prouvées et étudiées scientifiquement, mais elles rappellent encore beaucoup trop pour la "vieille école" les anciens "rebouteux", "guérisseurs" sortis tout droit du moyen-âge, avec un pourcentage élevé de charlatans... et pourtant les preuves de guérisons par simples appositions des mains ou même sans toucher, à quelques centimètres de distance, ont été de tout temps vues, depuis des centaines d'années... on peut aussi bien sûr se poser la question de savoir jusqu'à quel point l'effet "placebo" agit, bien sûr (et au-delà d'une guérison ou même du médical) :
Mais ces interactions subtiles sont discernables aussi tous les jours, apparaissant comme "normales" et non surprenantes car " allant de soi", mais, quand on réalise que ces interactions ne sont pas si "naturelles" que ça, qu'il faut soit un don inné, soit une longue pratique accompagnée très généralement d'empathie et de sensibilité aux ondes, on constate effectivement le phénomène et son "merveilleux"... on commence ci-dessous par ces évidences qu'on ne trouve pas obligatoirement "extraordinaires" ou comme étant des "preuves" d'un phénomène plus étendu et profond qu'on ne le pense, et pourtant...
Tous ces témoignages proviennent de sites facilement consultables et libres d'accès et proviennent bien souvent de spécialistes et de témoins directs. Tous les liens des témoignages cités sont visibles en bas de cet article. Commençons avec le témoignage intéressant d'un musicien, d'un batteur parlant de l'interaction particulière d'un pro avec son outil principal... :
" Témoignage de Frédérick Rimbert, Batteur
La pratique de la batterie.
Pour jouer de la batterie, il faut savoir être, à la fois passionné, indépendant et coordonné. En effet, la pratique de cet instrument nécessite de faire quatre gestuelles à partir de ses deux mains et deux pieds et donc, en quelque sorte, de savoir raconter « des histoires » différentes de façon totalement coordonnée.
Pour produire le « roulement » (succession de coups de baguette) désiré, il faut savoir maîtriser son geste et sa baguette. Concernant le geste, deux compétences sont nécessaires à maîtriser : la précision et la justesse :
- La précision décrit la technique du geste,
- et la justesse, l'énergie que l'on met dans ce geste.
Pour obtenir des résultats, durant sa formation, le batteur devra savoir prendre son temps, et travailler de manière relâchée. En effet, pour progresser et obtenir un certain niveau dans sa pratique, le batteur doit savoir «bien commencer », c'est à dire adopter les bons gestes et la bonne posture.
Pour être détendu, le batteur, en préambule, doit savoir s'asseoir. Car son équilibre conditionnera sa décontraction et celle-ci permettra la fluidité et la flexibilité de ses gestes.
Il devra commencer lentement, être patient et concentré. Travailler lentement exige beaucoup de soi. Il est en effet plus facile de jouer vite, car la vitesse compense et masque les imperfections. C'est l'erreur dans laquelle s'engouffre le débutant, et la raison pour laquelle il sera très vite limité dans ses possibilités et sa pratique. En batterie, la vitesse et la beauté d'un roulement est toujours le produit de sa précision et de sa justesse.
Les registres de la nuance ou de l'intensité devront donc être investis uniquement lorsque le registre technique est maîtrisé. Car, à rechercher l'intensité avant la maîtrise technique, l'étudiant « forcera » son apprentissage et limitera alors sa progression et ses possibilités.
L'apprentissage de la batterie se fait selon trois étapes majeures, comme l'on apprend à écrire :
1. Le pratiquant devra tout d'abord apprendre et répéter la technique. Celle-ci représente son vocabulaire.
2. L'entraînement lui permettra ensuite de coordonner ces techniques entre elles. Suivant son bagage technique, il sera capable d'interpréter « les histoires des autres ».
3. Une fois la technique maîtrisée, le pratiquant pourra alors « créer » ses propres histoires.
Dans l'histoire de la batterie, trois personnages ont marqué leur temps et sont aujourd'hui autant de références : Sanford Augustus Moeller, Georges Lawrence Stone et Billy Gladstone.
Georges Lawrence Stone (1885-1967) apprit la batterie auprès de son père. Il apprit notamment une technique, transmise de génération en génération : le « free stroke » (coup libre). Cette technique, toujours utilisée de nos jours, est basée sur les principes de physique harmonisant les mouvements des mains avec la nature. Cette technique utilise le rebond de la baguette pour augmenter sa propre vitesse d'exécution. Georges L. Stone a écrit en 1935 la méthode d'entrainement « Stick Control », qui est aujourd'hui la méthode la plus vendue au monde.
Là où les méthodes « classiques » utilisaient l'énergie du poignet pour produire l'effet de la baguette, Stone expliquait alors l'importance de démultiplier l'effet du poignet en utilisant une autre énergie : celle de la baguette elle-même.
En effet, pour Stone, la force utilisée par le poignet ne devait servir qu'à imprimer une direction à la baguette, mais devait ensuite laisser la baguette revenir par elle-même. Ce « coup libre » permettait au poignet d'utiliser un minimum d'énergie, l'essentielle étant produite par la baguette.
Sanford Augustus Moeller est né en 1880 et décédé en 1960. Il a appris le tambour auprès de soldats qui revenaient de la guerre de Sécession et continuaient à jouer. Il fut impressionné par la capacité de ces anciens soldats, pour certains âgés de plus de 80 ans, à jouer avec puissance et vitesse et ce, pendant des heures.Sanford A. Moeller remarqua alors, en les observant, la relation qui pouvait exister entre le relâchement dans le mouvement et sa vitesse d'exécution.
La technique Moeller se caractérise par le « Whipping Motion » (coup de fouet). Ce mouvement de « coup de fouet » générait une gestuelle décontractée et un son fluide. Mais, S.A Moeller n'a pas réellement inventé cette technique. La clef qu'il a découverte est que la puissance provient du mouvement plutôt que de la force musculaire. La technique Moeller, bien que jouée de manière totalement détendue, génère une grande masse d'énergie : elle est basée sur la décontraction et le rebond, si chers à Stone et son « free stroke ».
Une des applications courantes de la technique « coup de fouet » de Moeller est le « Pumping Motion » (mouvement de pompe). En effet, cette technique permet, grâce à un geste continu d'obtenir plusieurs coups enchaînés. Une seule impulsion du poignet permet alors de produire jusqu'à quatre ou cinq rebonds : autant de « coups gratuits », économisant le batteur dans son travail.
Quant à Billy Gladstone (1892/1961), il était un inventeur créatif et un constructeur d'instrument, mais il était aussi célèbre pour sa technique de caisse claire. Il contribua fortement à l'enrichissement de ces techniques. À force d'observations, il impliqua l'utilisation des doigts (Fingers control) dans le jeu et en fit un élément fondamental au contrôle du rebond de la baguette.
Les meilleurs disciples de ces grands maîtres étaient, pour les plus connus, Jim Chapin et Joe Morello, respectivement élèves de S.A Moeller et G.L Stone. Ils sont devenus a leur tour détenteur de ce savoir et ont passé leur existence à délivrer et de faire perdurer ces techniques et approches. Ils ont largement contribué à influencer et enrichir la panoplie du jeu du batteur d'hier, d'aujourd'hui ainsi que celui de demain.
Tous deux, aujourd'hui également récemment disparus, nous ont fait prendre conscience que la combinaison de ces 3 procédés offrait un bagage technique complet doté d'une remarquable efficacité, et ont tracé ce chemin qu'empruntent les plus grands batteurs.
Aujourd'hui, le dépositaire de ces concepts est Dom Famularo, personnage charismatique, élève de Joe Morello et Jim Chapin. Il est considéré par la profession comme le Grand Ambassadeur de la Batterie dans le monde (Drumming's Global Ambassador).
Ce grand batteur pédagogue enseigne ce savoir et tous ces secrets, et transmet également sa passion de la batterie à tous à toutes à travers le globe.
Pour progresser dans cette voie, l'entraînement nécessite de respecter six principes :
S'exercer à ressentir l'énergie de la baguette afin de pouvoir travailler avec elle. Utiliser la baguette sans la serrer, ce qui permet d'utiliser l'énergie de cette dernière sans la contredire. Prendre du temps pour poser les bases, en acceptant que la vitesse sera le produit de sa technique et de son travail. Jouer le coup (mettre de l'intention dans son geste). Laisser la baguette agir (utiliser le rebond). Et surtout… se détendre !
Ces trois méthodes ont un autre point commun : peut être le plus important, parce que le plus fondamental. Elles ont ouvert sur une méthode respectant le corps (dans son fonctionnement et ses contraintes) et lui permettant de s'exécuter avec une liberté de mouvement maximale. Ainsi, en intégrant l'anatomie du corps dans leur modèle, ils ont développé son autonomie.
En pensant une méthode qui libère le corps plutôt qu'une méthode qui le contraint, ils ont permis au pratiquant de jouer à «moindre tension » et à «moindre dépense» (énergie). Leur méthode nous a alors appris que c'est parce que la technique respecte le corps que le corps peut réaliser et respecter la technique.
En ce sens, leur approche a apporté bien plus plus qu'une fluidité et une endurance supplémentaires à la pratique : elle a permis, à chaque batteur qui l'utilise, de jouer de façon plus « naturelle », et donc plus personnelle.
Les voies que nous invitent à suivre Moeller, Stone et Gladstone sont celles qui permettent au technicien d'accéder à la liberté. C'est parce que l'artiste accepte le monde et ses contraintes qu'il peut s'en libérer… commencer à jouer et prendre du plaisir.
Frédérick Rimbert
Batteur et fondateur de « Drumming Lab » - www.drumminglab.com
Site : www.domfamularo.com
Témoignage de James de Lavayi, Artiste peintre
Créer, c’est s’appuyer sur 3 choses :
- La technique
- L’empathie
- L’écoute
La technique est essentielle, car elle est la base pour créer. Elle inclut la façon d’utiliser la matière, le maniement du geste et la nature du support où l’idée sera projetée.
L’empathie est l’intéressement à toute chose (nature, matériaux, spiritualité, etc…). L’empathie apporte la connaissance « en profondeur » du sujet qui permet de sublimer la technique.
L’écoute permet d’analyser la demande : si la demande est simple, le travail doit être simple. Si la demande est complexe, le travail doit simplifier.
Créer, c’est permettre à la technique d’aller à l’essentiel. Une création est une synthèse d’images, de couleurs, de sons, de sens et de sentiments qui viennent à la vie et s’ordonnent entre eux par le pouvoir de la technique.
L’empathie et l’écoute doivent « habiter » la technique. Et la technique est le geste qui permet à l’idée de prendre forme. En ce sens, l’empathie et l’écoute sont plus que des qualités complémentaires à la technique, elle sont celles qui permettent d’acquérir un « geste naturel » et de donner une « âme » à son geste.
L’empathie et l’écoute introduisent de la respiration et de l’ouverture dans la technique : elles font rentrer dans le geste le « monde qui nous entoure ».
Créer, ce n’est pas reproduire le sujet, c’est savoir être le sujet pour pouvoir l’exprimer…
L’empathie et l’écoute permettent de ne pas s’enfermer dans la technique et de ne pas enfermer la technique elle-même.
Lorsque que l’on bloque sur un sujet, c’est parce que l’on a envie de trop bien faire les choses plutôt que de laisser les choses bien se faire. Cela signifie que le peintre s’est préféré à sa création…
L’artiste devra alors laisser le travail « respirer ». En prenant du recul, il cessera d’agir pour « redécouvrir » l’ensemble : le travail pourra alors revenir à l’essentiel, et la création pourra reprendre son cours…
James de Lavayi
Artiste peintre
Entretien avec Alain Sebert, Ostéopathe
L'ostéopathie est une médecine qui se veut à la fois préventive et curative. Elle est essentiellement fondée sur des techniques manuelles visant à la conservation ou la restauration de la mobilité des tissus garantissant ainsi un bien-être physique, psychologique et énergétique.
Pour illustrer la pratique de l’ostéopathie, on pourrait prendre l’exemple suivant :
Lorsque que nous passons une porte et accrochons, au passage, la manche de notre veste dans la poignée, deux solutions s’offre alors à nous :
1. Passer en force, et tirer sur sa manche jusqu’à ce que la poignée… ou la manche cède.
2. Reculer, retirer sa manche de la poignée de la porte et continuer son chemin.
Cette deuxième solution est, pour l’ostéopathie, plus intéressante car elle propose une solution plus rapide (bien que plus longue en distance parcourue par le bras), plus économe et plus sûre (protection).
En ostéopathie, la mobilité d’une structure (osseuse) ou d’un tissu, et par conséquent son amplitude de mouvement, renseigne sur sa qualité et ses capacités. Une structure bloquée est une structure limitée dans son mouvement. Libérer une structure, c’est lui permettre de retrouver un mouvement ample et lent. Et, paradoxe apparent de la nature, c’est lorsque le mouvement devient ample et lent qu’il assure son meilleur développement (vitesse, puissance et adaptabilité).
Lorsque que la mobilité d’une structure ou d’un tissu est réduite, les conséquences s’illustrent à trois niveaux :
1. L’amplitude du mouvement est réduite, ce qui impacte nécessairement la mobilité de la personne, et donc sa capacité à pouvoir agir ou se déplacer.
2. La réduction d’amplitude oblige la personne à compenser de deux manières : soit en forçant sur cette structure limitée, soit en surinvestissant d’autres structures et tissus périphériques : ces 2 stratégies sont extrêmement coûteuses en énergie, car elles placent le corps en « effort permanent ».
3. Une articulation bloquée est une articulation qui se protège. Elle limite son mouvement, car la direction qu’on lui impose lui semble « à risque » pour son intégrité .En effet, nous avons tous vécu une situation où nous nous sommes bloqués le cou ou le dos suite à un mouvement brusque ou imprévu. Nous avons tous considéré alors que ce blocage ou cette contracture était le dommage. Au contraire, un blocage musculaire se met toujours en place pour éviter un dommage plus sérieux et irréversible, (articulaire ou osseux par exemple).
Dans la pratique de l’ostéopathie, une articulation bloquée indique toujours une articulation « sous contraintes ». En ce sens, ajouter une pression supplémentaire afin de pouvoir la libérer est un non-sens. A l’image de la manche dans la porte, ce passage « en force » ne peut produire qu’une résistance, voire une rupture de la structure ou du tissu bloqué.
Pour pouvoir aider le corps à retrouver sa mobilité et son efficacité, il ne faut donc surtout pas « forcer » l’articulation ou le tissu, mais, bien au contraire, la libérer de ses contraintes.
Chaque personne étant unique par son histoire, ses rythmes et sa constitution, la solution est alors tout autant dans les mains du praticien que dans le corps lui-même. Il ne sert donc à rien de forcer pour débloquer la situation, il faut aider le corps à trouver sa solution.
Ce dernier point est essentiel et constitue un des fondements de notre approche : le corps d’une personne connaît « a-priori » sa mobilité et les conditions de son efficacité. S’il est bloqué, c’est parce qu’il subit une ou des contraintes trop importantes. Et sous pression de ces contraintes, il perd alors ses repères, et donc la connaissance de ce qui lui permet de bien fonctionner.
Enfin, l’indicateur qui permet à l’ostéopathe de mesurer la réussite de son action est l’énergie que le corps émet lorsque la structure ou le tissu se dégage. En effet, une intervention réussie libère toujours une source de chaleur (énergie) qui nous indique que la structure ou le tissu se dégage et retrouve « son mouvement » : un mouvement naturel, ample, efficace et sûr.
Nos pensées et nos intentions influencent-elles la réalité ?
Explications avec la journaliste scientifique américaine Lynne Mc Taggart.
" Nos pensées et nos intentions auraient-elles la capacité d’influencer la réalité ? De changer notre vie et celle des autres ?
D’après de nombreuses expériences scientifiques en physique quantique, cette idée ne semble plus irrationnelle.
Et si nos pensées exerçaient une influence sur la réalité physique ? Et si la vigueur de nos intentions, focalisées sur ce que l’on souhaite vraiment, avait le pouvoir d’induire de véritables changements dans notre vie et de façonner le monde qui nous entoure ? Le Secret, best-seller de Rhonda Byrne, traduit en quarante-six langues, évoquait déjà en 2008 la loi de l’attraction de la pensée. Selon l’auteure, il suffit de visualiser l’objet de nos désirs et d'être convaincu qu’on l’aura pour qu’un message soit alors envoyé à l’Univers, qui se débrouillera pour réaliser notre souhait dans n’importe quel domaine : amour, santé, bonheur mais aussi pouvoir, argent, biens matériels, etc. Une recette simpliste, généreusement saupoudrée de « magie » et de « new age », un peu dure à avaler pour les plus cartésiens – qui taxèrent ce livre de « tissu de mensonges » -, et trop difficile à digérer pour les plus ouverts d’esprit– qui reprochèrent à l’auteure de mélanger ambitions matérialistes et spiritualité.
La même année pourtant, Lynne Mc Taggart, auteure à succès de réputation internationale, journaliste scientifique américaine primée et figure de proue parmi ceux qui se consacrent à l’étude de la conscience humaine, publie un ouvrage révolutionnaire, intitulé La Science de l’intention, dans lequel elle démontre, expériences et données scientifiques à l’appui, que la pensée dirigée ne serait pas une simple croyance et pourrait bien influencer la réalité.
A en croire différentes conclusions de recherches sur la conscience humaine dans le domaine de la physique quantique, menées par d’éminents scientifiques du monde entier -comme le physicien Fritz-Albert Popp de l’Institut international de biophysique ou le Dr Gary Schwartz, professeur de psychologie, de médecine et de neurologie à l’université de l’Arizona -, il semblerait, en effet, que ce potentiel sommeille en chacun de nous.
« Les plus récentes études de l’effet de l’esprit sur la matière, précise la journaliste, semblent indiquer que l’intention a des effets variables qui dépendent de l’état du sujet, ainsi que du moment où il émet une pensée et de l’endroit où il se trouve. L’intention a déjà été employée dans maints domaines, notamment pour guérir les maladies, modifier des processus physiques et influencer des événements. Il ne s’agit pas d’un don spécial mais d’une compétence apprise et aisément enseignée. En réalité, nous utilisons tous déjà l’intention dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne. »
Concrètement, qu’est-ce qu’une pensée ?
De nombreuses expériences semblent indiquer que notre conscience n’est pas enfermée dans notre crâne, mais semble être une « substance » qui irradie hors des limites du corps physique. Une énergie ordonnée capable de traverser l’espace et le temps. « On sait aujourd’hui que les pensées sont une forme d’émission de biophotons - ces particules de lumière porteuses d’énergie émises par tous les organismes vivants : plantes, animaux, êtres humains. Elles créent une énergie qui émane de nous en permanence, explique la journaliste scientifique. Le fait d’orienter ses pensées vers un objectif précis – ce que les scientifiques appellent « l’intention » ou « l’intentionnalité » - semble produire une énergie assez puissante pour transformer la réalité physique. »
Comment la pensée pourrait-elle influencer la réalité ? L’intention serait-elle une flèche d’information et d’énergie décochée par notre conscience et envoyée à l’Univers ?
« Cela suggère qu’il y a un moyen par lequel l’information est transférée et que le guérisseur, comme d’autres personnes d’ailleurs, est capable de se connecter à quelque chose de plus grand, quelque chose qui nous dépasse, qui va véhiculer la pensée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques aux Etats-Unis. La physique quantique a, en effet, permis de mettre en évidence ce qu’on appelle le « champ du point zéro ». Un champ généré par les incessants mouvements d’énergie entre les milliards de particules subatomiques, composants de la matière de taille inférieure à celle d’un atome. Un champ auquel l’ensemble de la matière dans l’Univers est connectée grâce à de continuels échanges d’énergie.
Lynne Mc Taggart présentait déjà dans son livre, Le Champ de la cohérence universelle, le concept d’un Univers interconnecté, étayé par des hypothèses scientifiques très sérieuses permettant de lever partiellement le voile sur certaines énigmes humaines passionnantes, allant de la médecine alternative – comme les thérapies énergétiques et l’acte de guérison à distance par exemple - aux perceptions extrasensorielles – comme l’intuition, la télépathie, les précognitions, etc. « L’acte de guérison à distance, explique Lynne Mc Taggart, est essentiellement un acte de pensée, une intention de guérir. Si c’est la jambe gauche qui doit être soignée, c’est vers elle que le guérisseur va envoyer l’intention en la dirigeant de manière précise. Comme beaucoup de physiciens quantiques, je suis convaincue que les guérisseurs, dans un « hyperétat » d’intense concentration sont capables d’exploiter ces pensées, pour en créer qui soient très cohérentes et énergisées, et de les projeter, peu importe la distance. Nous ne comprenons pas totalement ces mécanismes. Mais le modèle des biophotons nous permet de saisir que nous envoyons en permanence des instructions à l’Univers sous forme de rayonnements. Les guérisseurs, même à distance, sont, je pense, capables de rendre opérantes ces instructions en vue d’obtenir la guérison. »
Le magnétiseur Jean-Luc Bartoli confirme cette hypothèse : « L’intention au fond c’est quoi ? C’est de la compassion, c’est de l’amour que tu envoies à ton prochain. Moi, je dis tout le temps : ma main c’est le prolongement de mon cœur. Les passes magnétiques ne sont que de l’habillage technique dans le sens où l’intention pourrait suffire. Et pour moi, c’est exactement ce qui explique pourquoi cela marche à distance. »
Le pouvoir de la pensée et de l’intention a déjà été observé dans de tout autres circonstances. Au cours d’une étude américaine appelée « Love Study », impliquant plusieurs couples, l’un des partenaires devait envoyer à distance des pensées de guérison et de compassion à son partenaire malade. Aussi incroyable que cela puisse paraître, on a constaté une corrélation significative entre l’activité physiologique de celui qui émettait ces pensées et l’activité physiologique de celui qui les recevait. Sans le savoir, ce dernier réagissait instantanément. On a même observé, entre les deux partenaires, plusieurs phénomènes de synchronie entre différentes parties de leur corps: leurs ondes cérébrales, leurs rythmes cardiaques, les réponses galvaniques de leur épiderme…
Ce que des siècles de vision mécaniste nous ont appris à considérer comme irrationnel serait en train de devenir parfaitement plausible dans le monde quantique ! Nous nagerions donc dans un gigantesque champ d’énergie, dont nous faisons partie intégrante, et par lequel nous pourrions recevoir et envoyer de l’information, comme l’intention de guérir ou d’être guéri.
« Scientifiquement, explique le Dr Thierry Janssen, ancien chirurgien aujourd’hui psychothérapeute, des études nous ont permis de mieux comprendre la matière dans ces états les plus subtils. Notamment que deux photons ou biophotons jumeaux séparés peuvent continuer de communiquer. Il est intéressant de se dire que la matière, depuis la création du monde, est un grand continuum et que ce sont ces liens qui créent le vivant. J’aime cette phrase du Professeur Linus Pauling, prix Nobel de chimie et Prix Nobel de la paix qui disait : « La vie, ce n’est pas les molécules mais les liens qui existent entre elles. » Si l’on explore cette voie-là, on comprend mieux pourquoi deux individus séparés peuvent communiquer au niveau de l’intention, obtenir des effets sur la santé de l’un et de l’autre... Ces phénomènes de guérison à distance posent d’ailleurs une question très dérangeante pour l’esprit occidental : quels sont ces liens qui nous relient les uns aux autres, et qui relient tous les éléments du vivant ? »
« En s’envoyant et en recevant de l’énergie, précise Lynne Mc Taggart, les particules subatomiques créent, le temps d’un battement de paupière, des particules virtuelles. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d’énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu’on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d’énergie à travers tous les éléments de l’Univers, on arrive à une quantité d’énergie inimaginable. Ce champ d’énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l’Univers. Nous devons nous concevoir nous-mêmes comme autre chose qu’un ensemble d’éléments solides. Je ne suis pas seulement un paquet de cellules différent du vôtre. A un niveau quantique, nous sommes, vous et moi, comme des petits nœuds sur la même corde, nous faisons partie d’un immense champ d’énergie auquel nous sommes tous reliés : c’est cela, la réalité qui nous englobe. Nous envoyons en permanence de l’information à ce champ. Et c’est aussi par ce moyen que nous pouvons recueillir de l’information. C’est un réseau géant. »
La Science de l'intention, Lynne McTaggart - Editions Ariane (Mars 2008 ; 416 pages)
Un Ostéopathe de métier qui complète ses soins par guérison à distance, Mr Alain Sébert. Témoignages :
Le secret de la thérapie énergétique ou guérison à distance est la science de l'intention.
Un chercheur, Elmer GREEN a démontré dans ses recherches qu'une énorme émission d'énergie électrostatique a lieu durant le processus de guérison.
Le physicien William Tiller, de l'université Stanford, découvrit que, durant la concentration lors d'un travail de guérison à distance, les pensées dirigées créent une énergie physique mesurable, peu importe la distance.
SCWARTZ fit plusieurs études qui firent la preuve qu'une intention dirigée se manifeste sous la forme d'une énergie tant électrostatique que magnétique.
" Au départ sur la demande de mes proches et de mon vétérinaire, j'ai été amené à soigner des animaux d'une manière traditionnelle c'est à dire manuellement. Puis j'ai été sollicité pour tenter cette thérapie énergétique sur les animaux. Dans un premier temps je pensais que cela n'était pas possible car chez l'homme ma méthode devait sans doute bénéficier de l'aspect psychologique et l'effet placebo de ma prise en charge de leur problème. En fait, contrairement à toute attente, la méthode est aussi fiable chez les animaux ; quelques éleveurs peuvent en témoigner !!! " - Mr Sébert.
Philippe Guégan : interview sur les soins de Mr Sébert. "Je me suis bloqué le genou gauche suite à une torsion lundi en ratant un saut, cela me gênait au travail pour tous mes appuis. J'attends toujours deux jours pour voir l'évolution, comme rien ne s'améliorait, j'avais des douleurs dans les deux jambes suite à un mauvais positionnement et un équilibre désaxé, j'ai donc contacté Mr Sébert, qui est intervenu à distance mercredi après midi. C'est incroyable j'ai su quand il est intervenu, pourtant il m'avait bien dit qu'il le ferait le mercredi, mais sans préciser l'heure. J'ai immédiatement senti une lourdeur au genou gauche, et en me levant de table, j'avais la sensation d'avoir un positionnement totalement différent. J'avais ce message en rentrant.. " vous aviez un blocage du genou gauche et une petit lésion au ménisque interne côté droit ". Il m'a demandé de ménager mon genou pendant quelques jours, le temps à l'organisme de retrouver son équilibre original, car je suis en posture debout 10 heures par jour. Ce matin j'ai pu faire mes 8 km sans soucis... "
" Voici dons un rapide topo de mes séances à distance, je donne juste les symptômes ressentis et le diagnostic.... :
1- Ce fut Tommy le lapin qui se trouve en Belgique soit 1200 km de distance, et qui souffrait d'une bézoard qui devait nécessiter une intervention, diagnostic travail sur les tensions abdominales pour rétablir la digestion, ce lapin n'a pas été opéré.
2- Mal au côté gauche récurent et continu : diagnostic Blocage de la 10ème vertèbre dorsale (première expérience pour moi)
3- Main enflée suite à un gros choc aucune évolution en plusieurs jours : diagnostic Blocages de petits os du poignet et de nombreuses contusions.
4- Aucun symptômes : diagnostic Aucun blocage travail énergétique
5- Mal au rein et omoplate droit et mal à la mâchoire suite à un choc latéral : diagnostic Déséquilibre des temporaux, blocage de la première lombaire droite
6- Mal au genou gauche suite à une grosse torsion : diagnostic Blocage du genou gauche et une petite lésion du ménisque interne gauche
" Je lui ai demandé ses sensations (à Mr Sébert) et le fait est que quand il se concentre, se crée une connexion et il ressent les tensions, blocages ou autres, il m'a dit par exemple que pour ma main, au cabinet, il n'aurait pas pu agir si efficacement, sur le blocage des petits os du poignet si, mais sur les hématomes non, cette méthode a permis de résoudre les deux simultanément, même s'il se trouvait en Grèce à ce moment là sur une chaise longue en bord de mer... "
" Ci joint la preuve par l'image : 1 jour avant, le lendemain, deux jours plus tard. Autant toutes les autres fois les blocages furent internes, cette fois le changement est plus que visible, alors qu'en une semaine rien n'y faisait, pour cette intervention, Mr Sébert se trouvait en Grèce soit 3000 km de distance... " :
" Cette fois entre mon Ostéo (Mr Sébert) et mon père... ayant subi une intervention suite à une déchirure rétinienne, sa vison a totalement disparue, j'ai dans un premier temps contacté Mr Sébert, lui demandant si la méthode pouvait être efficace pour ces pathologies. Il m'a répondu ne pas connaitre ces symptômes, il a néanmoins accepté gracieusement de tenter une séance, sans assurance aucune. Mon père n’ayant eu aucune amélioration en 8 jours, il avait du passer un scanner, un fond de l’œil, etc... sans que rien n'apparaisse d'anormal, mais le stress gagnait et il me fallait tenter quelque chose. Le lendemain de l'intervention (de Mr Sébert), son œil s'est mis à couler sans raison alors qu'il ne l'avait jamais fait, une seconde séance deux jours plus tard à amélioré la vison tant et si bien que son acuité visuelle était revenue à 5/10... malheureusement une nouvelle hospitalisation à du être pratiquée suite à un décollement rétinien qui découle parfois d'une déchirure, tout c'est bien passé, et le premier contrôle suivi d'un second montre que tout va bien. Mr Sébert à donc travaillé son œil à distance en pratiquant un drainage et en supprimant les tension oculaires. Mon père souffrait aussi de sa sciatique, depuis mardi dernier il ne ressent plus rien, il m'a dit ce jour ne plus avoir de douleurs à la nuque sans en connaitre les raisons. Mr Sébert m'a dit qu'il avait trouvé un blocage à la base du crâne et au bassin pouvant entraîner des douleurs aux épaules et à la sciatique. Je ne lui avait parlé que du nerf sciatique, or la cause se trouvait ailleurs. Ce qui est surprenant aussi, c'est l'absence d'effet placebo, puisque mon père ignore tout de ces interventions et ne comprends pas les raisons pour lesquelles il se porte mieux... toutes ces séances se sont soldées par une guérison rapide et durable. "
" Mr Sébert m'a confié d'ailleurs que lors de ses premières expériences, il ressentait des choses troublantes, n'y croyant pas lui même et se demandant s'il ne perdait pas la tête, puis de fil en aiguille, il a soigné les animaux de ses proches, puis ses proches, puis des relations de ses proches, etc etc. Le cas le plus éloigné qu'il m'a confié se trouvait à New York (5500km), ce qui prouve que la distance est totalement étrangère à cette thérapie. C'est vrai que pour moi mes deux cas les plus éloignées ont été de 800 km et 3000 km, cela semble incroyable de raisonner ainsi et tellement anti-cartésien que l'on se demande parfois si l'on ne rêve pas. Mais je suis en mesure de t'assurer que je ressent les bienfaits réels, c'est comme si je me trouvais en séance sur place à la différence que personne n'est présent... "
MAJ 17-05-2014 : " Très récemment, en mai 2014, un nouveau témoignage a été reçu : " (...) suite à un mal de bras récurent, et un cou très sensible, je lui ai juste décrit ces symptômes, rien de plus, or hier après midi, j'avais de fortes tensions à la nuque et des douleurs à l'épaule gauche, soudainement vers 18h, tout s'est estompé brutalement. J'ai reçu un message de Mr Sébert à 20h05 qui me dit ceci " vous aviez un blocage de la base du crâne et un blocage de la vertèbre c1 " je ne lui ai jamais parlé d'un mal à la nuque, juste d'un choc que je me rappelais à l'épaule gauche, je lui ai répondu que j'avais ressenti cette amélioration brutale vers 18 h, il m'a répondu " je suis intervenu vers 18 h ". Je ne me souvenais plus avoir tourné la tête trop brutalement la semaine passée et j'avais mis cela sur le compte d'un torticolis .... je suis scotché. Ce matin, RAS, plus rien de rien, aucune douleur, la zone sensible du cou est indolore, le bras nickel."
- Témoignages de Philippe Guégan à Yves Herbo, l'auteur de cet article.
Différents noms, mais les mêmes voies, avec le "Healing" et un exemple parmi de plus en plus d'autres, au hasard le site de Anne-Chantal Misson :
“ En thérapie psychocorporelle depuis plusieurs mois, j’ai bénéficié des soins énergétiques prodigués par Anne-Chantal. J’ignorais absolument tout du Healing et c’est avec une certaine curiosité et aussi quelques doutes que j’ai participé aux premières séances.
J’ai immédiatement ressenti les bienfaits des soins. En effet, plutôt habituée aux traitements classiques, j’ai d’abord goûté à une expérience physique et émotionnelle profonde, une rencontre inattendue et intime avec mon corps. J’ai aussi concrètement constaté, à plusieurs reprises, la guérison spontanée de diverses douleurs physiques. Au fil des rencontres, j’ai pu percevoir une amélioration de mon équilibre général et de mes relations, un authentique apaisement. Enfin, le Healing est un précieux soutien dans le cadre de ma grossesse, parfois source de petits maux contre lesquels la médecine habituelle est impuissante.
Grâce à une écoute attentive et sans jugement, Anne-Chantal donne un soin extrêmement personnalisé, répondant au mieux et au plus vite aux difficultés du moment. Ces expériences constituent un guide dans ma vie quotidienne dont je ne pourrais plus me passer.”
Laurence, Avocate, Belgique
“Mon healing avec Anne-Chantal a commencé avec une vague énergétique qui a parcouru tout mon corps. Après le healing, je me sentais très calme, magnifiquement ancrée et harmonisée avec la nature. Depuis, je me sens bien, en harmonie avec mon époux et je n’ai plus de douleur pendant les menstruations.” (Healing à Distance)
Tina S, Biologiste, Allemagne
Yves Herbo : d'autres témoignages et précisions seront éventuellement ajoutés en mise à jour sur cette page et ce sujet particulier. Mes pensées m'ont dirigées souvent vers le passé et l'avenir en traitant ces dossiers particuliers : les légendes chinoises sur une race venue des étoiles et qui apprenait et transmettait la guérison à distance d'abord par exemple, puis la baisse d'énergie qui a donc créé les soins plus proches et au toucher, tout en continuant à utiliser les canaux énergétiques du vivant (acupuncture, etc) dans la préhistoire et jusqu'à nos jours... avec des "pics" de légendes, de "magie" et de déités tout au long de notre Histoire... le futur se dessine journellement sous nos yeux et toutes les publications de pointe actuelle - et ceci, le "peuple" ne s'en rend pas encore compte - portent sur des probabilités et découvertes accentuant cet extraordinaire fait : nous sommes bien effectivement tous reliés en permanence et immortellement dans ce champs énergétique universel et notre conscience est bien plus que nos simples pensées d'un corps et d'un moment temporel et provisoire... Une autre page concernera ce qu'on appelle de nos jours le "Chaneling", qui a plus de mal à apporter des preuves de son existence... sans pouvoir être écarté.
Des gisements contenant des artefacts humains à Valsequillo, au Mexique, ont été datés à environ 250.000 ans avant le présent par la méthode des traces de fission («fission-trace-dating») de la matière volcanique et d'uranium des os d'un bassin de chameau.
Le dilemme posé par ces dates est clairement indiqué dans la citation suivante, tirée des conclusions de l'article soumis.
" La preuve présentée ici indique toujours que le site Hueyatlaco a environ 250.000 ans.
Nous qui avons travaillé sur les aspects géologiques de la région de Valsequillo sommes douloureusement conscients qu'un si grand âge pose un dilemme archéologique.
Si les datations géologiques sont correctes, des outils de pierre sophistiqués ont été utilisés à Valsequillo longtemps avant les outils analogues qui sont cependant censés avoir été développés en Europe et en Asie ".
Ainsi, notre collègue, Cynthia Irwin-Williams, a critiqué les méthodes de datation que nous avons utilisées, et elle veut que nous insistions sur le fait que l'âge de 250.000 ans est pratiquement impossible ".
( Steen -McIntyre, en Virginie, et al ; . " Preuves géologiques d'âge des dépôts à Hueyatlaco site archéologique, Valsequillo, au Mexique, " Quaternary Research, 16:1, 1981)
Commentaire
L'impasse dessus n'est pas sans rappeler l'insistance de Lord Kelvin disant que la terre a seulement environ 100.000 ans sur la base de ses calculs de capacités productrices d'énergie du soleil.
Les géologues pensaient autrement, qu'il nécessitait environ un milliard d'années pour que la nature sculpte la terre telle qu'ils l'ont vue. Kelvin n'a pas été reconnu sur l'énergie nucléaire, et les géologues ont eu le dernier mot !
Depuis la publication de Thomas Kuhn "La Structure des révolutions scientifiques" (1970), un grand nombre de personnes dans le domaine des sciences et ailleurs ont utilisé sa distinction entre les paradigmes de la science normale et les anomalies à la fois dans la science normale et les révolutions scientifiques pour expliquer l'évolution de la science contemporaine.
Tous les appels de Kuhn n'ont pas été tout aussi éclairants.
Il a parfois semblé que ceux qui sont sur les franges de la science établie crient au « détour de paradigme » pour expliquer pourquoi leur travail ne retient pas l'attention alors qu'en fait, c'est le travail lui-même qui est à blâmer. Vraisemblablement, certains éléments de preuves qui entrent en conflits avec les opinions reçues sont ignorées pour une bonne raison, et d'autres sans une bonne raison. Quand une anomalie apparente est rejetée sans raison valable, alors les scientifiques en question se comportent mal.
Mais se sont-ils comportés en " non scientifiques " ?
Dans cette étude, nous examinons en détail un cas particulier d'un ensemble de preuves anormales reçues et visibles. Dans ce cas, le point de vue reçu est une théorie sur les origines de l'homme dans les Amériques, et l'anomalie est un site du Mexique, dont l'âge est apparemment en conflit avec cette théorie reçue.
Sans essayer de décider si la vue reçue est correcte, ou si la preuve anormale est intéressante à considérer (ce qui est, après tout, une affaire de spécialistes - YH : c'est un point de vue), nous suivrons l'histoire de ce qui s'est passé pour les scientifiques impliqués, et tirerons des conclusions sur ce qui peut et ne peut être attendu de la science en tant qu'une véritable institution humaine.
En particulier, nous soutenons que, dans les périodes d'instabilité dans la science («révolution», si vous voulez), il est dans la nature même de la science de traiter la preuve anormale avec hostilité et suspicion, même quand il y a peu de raisons de soupçonner ça.
II . LE POINT DE VUE REÇU
Le point de vue reçu, accepté par une majorité des anthropologues et des archéologues, c'est que l'humanité n'a pas évolué de façon indépendante dans les Amériques, et doit donc y avoir migré d'ailleurs.
Pour diverses raisons génétiques, il semble que tous les Américains autochtones sont plus étroitement liés les uns aux autres que ne le sont d'autres populations, et sont plus étroitement liés aux peuples de l'Asie que ceux des autres régions du monde. La conclusion raisonnable à tirer de cette preuve est que les premiers Américains ont migré de l'Asie, que ce soit à travers le détroit de Béring ou à travers un pont de terre.
La migration à grande échelle par bateau estpeu probable, même si la traversée est étroite à travers un plan d'eau comme le détroit de Béring, donc l'hypothèse du pont terrestre de Bering est la meilleure hypothèse pour une route migratoire.
Cette séquence de déductions implique un nombre limité de possibilités de migration. Une route de terre était entièrement disponible seulement quand il y avait suffisamment de glaciation du niveau de la mer pour qu'elle diminue d'environ cent cinquante pieds (46 mètres), une telle baisse du niveau des mers est nécessaire pour que le pont de terre de Béring (ou, peut-être plus correctement, la masse terrestre maintenant appelée Béringie) puisse apparaître.
D'autre part, si il y avait une telle glaciation, les voies terrestres en Amérique du Nord étaient impraticables, aucune migration ne pourrait avoir lieu (YH : c'est déjà ici une affirmation douteuse : les Lapons, Inuitset autres prouvent le contraire en y vivant en permanence ! - les hommes actuels seraient en effet incapables de migrer, mais les anciens oui, très probablement !). Ces deux contraintes limitent sévèrement le nombre d'opportunités pour la migration à des périodes spécifiques pendant les périodes glaciaires (YH : limites peut-être imaginaires !)
Le meilleur candidat pour une période de la migration est généralement considérée comme une période au cours de la fin du Pléistocène, il y a environ douze mille ans. Bien que des revendications de migrations antérieures sont parfois publiées à force de découvertes archéologiques, l'idée que les humains sont arrivés relativement récemment semble être assez bien établie (YH : et oui, on établi l'idée et la théorie... jusqu'à ce que la réalité rattrape l'idée ^^).
Donc, c'est en toute confiance que ce point de vue a été jugé et que, en 1962, dans un écrit pour Scientific American, William Haag pouvait dire :
" L' occupation de l'homme du Nouveau Monde peut remonter à plusieurs dizaines de milliers d'années, mais personne ne soutient rationnellement qu'il a été ici, même pour seulement 100000 années. "
Il y a un nombre impressionnant de preuves visibles d'une récente migration, et relativement peu de toute présence humaine plus tôt dans les Amériques. Ce qui semblaient être des traces d'occupations antérieures se sont généralement avérées être trompeuses.
David Meltzer (1993) décrit la situation en ces termes :
Au début des années 1950, il y avait déjà des signes d'une présence humaine beaucoup plus tôt en Amérique. Ces traces deviendraient plus larges au fur et à mesure que les années passaient, jusqu'à aujourd'hui où une multitude de sites soi-disant anciens ont fait leur apparition, certains avec des âges réhaussés estimés de 200.000 ans.
Chaque nouveau candidat à une plus haute antiquité apporte avec lui de nouvelles revendications, mais le résultat reste le même. Les sceptiques posent des questions difficiles. Le débat s'ensuit. La demande est acceptée par les uns, rejetée par les autres, tandis que le reste "attend et voit". Jusqu'à présent, au moins, la barrière Clovis reste intacte. Un avant - 11, 500 B.P. de présence humaine en Amérique n'existe pas aujourd'hui. (YH : C'est maintenant faux au 21ème siècle...)
Il y a au moins trois types impressionnants de preuve pour une migration au Pléistocène supérieur (ou un ensemble de migrations) :
preuve de langues amérindiennes
preuve de la dendrochronologie
preuve de l'ADN mitochondrial 1
Tous les trois types de point de preuve mènent à trois vagues de migration, les premiers au Pléistocène supérieur, comme hypothèse. Les plus anciens sites clairement datables sont très loin de ceux des Clovis et de Folsom, et ils sont au plus tôt de 11.500 BP.
Ajoutez à ces éléments de preuve de l'absence de preuves claires de quoi que ce soit plus tôt, et vous avez un argument puissant pour la vision d'une récente migration, ce qui donne de bonnes raisons de se méfier des découvertes qui sont censées être plus âgées. Considérons les types de preuves à leur tour.
Linguistique amérindiennes
Les centaines de milliers de langues qui ont été parlées sur les continents américains forment une variété déconcertante, mais de nombreux linguistes pensent maintenant qu'elles se répartissent en trois familles :
amerind
Na - Dénés
Eskimo - Aléoutes
Les langues amérindiennes montrent le plus de variété, et sont géographiquement les plus répandues, étant parlées des régions du Canada jusqu'à La Terre de Feu. Ces deux faits plaident en faveur de l'ancienneté relative de la langue commune à partir de laquelle ils tirent tous la leur.
Les langues eskimo-aléoutes sont moins nombreuses et plus semblable à une autre. Elles sont également parlées dans une zone plus petite, autour des régions côtières du nord.
Le groupe Na - Déné est intermédiaire dans la variété et l'étendue. Ces langues sont également parlées dans les régions au sud de la plus grande étendue sud des langues eskimo-aléoutes, mais pas si loin au sud que les langues amérindiennes. Par ailleurs, les groupes linguistiques peuvent être organisés afin de voir des similitudes avec des langues de l'Ancien Monde, avec l'Eskimo- Aléoutes êtant plus, et l'amerindien étant moinscomme les langues parlées en Asie.
Cet agencement des langues avec les points à trois vagues distinctes de migration, avec les ancêtres des parleurs de l'amérindien qui arrivent en premier. Toutefois, ce classement relatif nous donne peu sur une manière de datation absolue pour les migrations. 2
La dendrochronologie
Dans le Hrdlicka 1920 est noté un caractère que toutes les dents amérindiennes possèdent, qui est également caractéristique des dents de la population du nord de l'Asie.
Sur la base de cette caractéristique, une particulière forme en pelle - comme la forme des incisives, appelés Sinodontie, il a conclu que les Amérindiens étaient répartis en trois groupes génétiquement distincts : Eskimos , Athabaskans et Sud-Américains.
Christy Turner (1986) fait une analyse statistique des dents américaines pour vérifier cette classification. En regardant les autres, les même caractéristiques héréditaires des dents, et en catalogant les similitudes et les différences entre neuf mille Américains préhistoriques différents, il a également conclu que les Amérindiens sont répartis en trois groupes génétiquement distincts, mais il a identifié les trois groupes plus directement avec les trois groupes linguistiques de Greenberg.
En plus de soutenir le point de vue des trois migrations, la preuve dentaire peut nous donner une chronologie absolue. Les caractéristiques dentaires qui sont identifiées dans l'étude de Turner sont génétiquement déterminées, l'environnement ayant peu ou pas d'impact.
De cette façon, les preuves fournies par les dents, comme celles fournies par les groupes sanguins, peut nous donner une image claire des relations génétiques entre les populations. Les mutations se produisent de façon régulière, nous pouvons également dire il y a combien de temps deux populations ont divergé par le nombre de gènes qu'ils partagent et combien ils diffèrent.
Quand un gène s'exprime dans une partie visible et facilement préservée d'un animal, comme une dent, alors nous pouvons utiliser les variations de cette partie pour dater l'histoire génétique de l'animal.
Dans le cas des humains en Amérique du Nord, nous pouvons dire par des distributions des caractéristiques de Sinodontie que la population nord-américaine s'est séparée de la population nord-asiatique il y a environ douze mille ans - ce qui confirme le point de vue de la migration au Pléistocène tardif.
L'horloge ADNmt
Les similitudes dans les caractéristiques anatomiques brutes, et même dans une certaine mesure dans le code génétique qui les inspire, peut parfois survenir en raison de pressions environnementales similaires, même si les deux populations ne sont pas étroitement liées.
Il y a des parties du code génétique, cependant, qui ne sont pas exprimés du tout, ou ne s'expriment que dans des caractéristiques neutres. Dans ces gènes, le taux normal de mutation n'est pas affecté par les pressions environnementales. En particulier, l'ADN mitochondrial ( ADNmt) n'est pas soumis à des forces de mélange de fertilisation, puisque l'ADNmt de toute créature vient de sa mère uniquement.
Donc, étant donné une estimation raisonnable de la rapidité et de la régularité des mutations qui se produisent dans l'ADN mitochondrial, nous pouvons assez précisément dater lorsque les populations ont divergé. Par cette mesure, les Américains se sont divisés des Asiatiques du Nord il y a quelques 20.000 ans.
C'est plus tôt que ce que les autres méthodes nous ont donné pour une première migration, mais peut être expliquée par l'estimation du taux de mutation.
La réaction aux anomalies
Compte tenu de ce nombre impressionnant de preuves, il semble tout à fait raisonnable de penser qu'une migration au Pléistocène supérieur est établie.
Même si il y a des trouvailles occasionnelles qui semblent être datables à beaucoup plus tôt, il est plus raisonnable de penser qu'il doit y avoir quelque chose de faux avec les dates de ces sites que d'accepter le prix d'un renversement d'une théorie bien fondée.
L'incapacité d'expliquer pourquoi un site semble être antérieur à la fin du Pléistocène n'est pas un obstacle à l'acceptation de la théorie de la migration tardive, surtout si l'alternative est d'accepter une migration plus tôt, tout en étant incapable d'expliquer l'évidence linguistique, dentaires et génétiques.
Meltzer ( . , 1993, p 21 ) caractérise la position de l'archéologue de cette façon :
Ce problème est aggravé par de trop nombreuses fausses alarmes. Des dizaines de sites ont été annoncés comme possédant une grande antiquité. Mais en y regardant de plus près, chacun a réussi à vivre jusqu'à la faillite de son ancienneté. Caveat emptor.
Les archéologues ont la mémoire longue - cela fait partie de notre expertise, après tout - il n'est donc pas surprenant que, dans ces circonstances, toutes les nouvelles demandes pour une grande antiquité dans les Amériques sont accueillies avec un scepticisme bordant le cynisme. La réponse n'est peut-être pas louable, mais elle est compréhensible .
La plupart des archéologues qui donnent cette réponse compréhensible sont nettement moins conciliants que Meltzer. En fait, la réponse de Haag citée plus haut, qui rejette les allégations d'extrême antiquité de la présence humaine dans les Amériques comme irrationnelles, est la norme plutôt que l'exception.
Les plus anciens sites qui ont résisté à un examen minutieux, et dont le témoignage est sans ambiguïté aucune, sont les Clovis et Folsom, tous datables d'après -12.000 AV JC, et donc complètement compatibles avec la dernière migration du Pléistocène. (YH : Mais notons qu'en octobre 2018, des outils du style pré-clovis ont été trouvés au Texas, USA... et ont été datés de -15.500 ans ! Différentes preuves trouvées en Alaska et Canada semblent bien aussi prouver une arrivée bien plus tôt des hommes en Amérique du nord... alors que des datations de -25.000 ans, voir plus, se multiplient au Brésil...)
III. L'anomalie
Parfois, une découverte archéologique semble contester ce point de vue reçu.
Le projet archéologique spécifique qui est au centre de ce travail était situé à Hueyatlaco, Valsequillo, qui est à quelques kilomètres au sud de Puebla, au Mexique. La région était devenue très connue parmi les archéologues en raison des formes animales éteintes variées.
La fouille initiale a débuté en 1962. Au cours de la poursuite du processus de fouille cinq sites ont été découverts et des coupes stratigraphiques séquencées (Irwin-Williams 1967a).
L'excavation finale à Hueyatlaco été conclue en 1973.
Le travail de terrain s'est poursuivi tout au long du processus excavational par les membres de l'équipe, y compris le Dr Cynthia Irwin-Williams et Dr. Virginia Steen-McIntyre. 3
Les Consultants ultérieurs associés au projet étaient Ronald Fryxell, BJ Szabo, et CW Naeser dans la poursuite des efforts visant à résoudre la controverse entourant la datation des preuves accumulées au cours du processus d'excavation à Valsequillo, Mexique ( Malde et Steen-McIntyre, 1981).
Il n'y a pas eu d'irrégularités dans les méthodes de l'équipe, et le site a été surveillé pour éviter toute falsification ou la destruction accidentelle de preuve ( Irwin -Williams 1967a ).
Le chercheur principal de ce projet, Cynthia Irwin-Williams (1978), a caractérisé le site archéologique comme un domaine qui contenait un "site d'abattage" et les activités indicatives du dépeçage et d'activités de camping de l' "Ancien Homme "
Les artefacts découverts ont établi clairement qu'ils sont d'origine non locale, allant d'un rude objet unifacial de percussion pour des lances ( pointes de projectile ) fabriqué par un groupe moins sophistiqué, jusqu'à des bifaces de découpe, des grattoirs et des arêtes de coupe, des outils bien faits d'un caractère avancé.
Dans son article publié en 1978, Irwin-Williams affirme que l'abondance de la faune maintenant disparues dans la région Valsequillo a attiré les premiers chasseurs.
Il y avait des endroits dans la zone appropriée pour le camping et à proximité se trouvent des sites appropriés pour l'abattage des arbres et des sites qui étaient appropriées pour l'abattage des animaux en raison de la proximité des petits ruisseaux.
Irwin-Williams reconnaît que les estimations modernes concernant la présence de l'homme dans cette localité ont une gamme de 11.000 ans à plus de 30.000 ans. La controverse a commencé en 1967, avant que les fouilles aient été réalisées. Malgré les efforts approfondis et la compétence des membres de l'équipe archéologiques à Hueyatlaco, Jose L. Lorenzo, Directeur de la Préhistoire à l'Instituto Nacional de Antropología e Historia, a lancé plusieurs allégations concernant l'intégrité du projet à Hueyatlaco, El Horno, et Tecacaxco ( communément appelé Valsequillo). :
Un groupe de plus de 200 scientifiques a examiné les recherches sur les ovnis en Alabama.
Du 6 au 8 juin 2025, la Coalition scientifique pour les études sur les PAN (SCU) a tenu sa conférence annuelle à Huntsville, une ville surnommée « Rocket City » en raison de ses liens de longue date avec la recherche aérospatiale.
Des astronomes identifient le premier « bon » candidat pour la controversée Planète Neuf au plus profond de notre système solaire.
Pour rappel, cette possible planète, d'abord surnommée Planète X (ou 10, avant l'enlèvement de Pluton comme 9ème planète de notre système solaire), est recherchée depuis au moins 9 ans par plusieurs astronomes car ce serait la seule explication possible raisonnable pour expliquer les anomalies orbitales de plusieurs mini-planètes dans la ceinture de Kuiper, aux confins de notre système solaire.
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
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