Les Rephaims, Les Cercles et Le Tumulus de Rogem Hiri en Syrie
Rujm-EL-Hiri, vu du dessus (photo Itamar Greenberg)
Données climatiques et historiques :
" D’après les données environnementales recueillies par P. Sanlaville, le climat actuel se serait installé vers 3000 avant l’ère chrétienne. Les communautés protohistoriques ont subi les mêmes contraintes climatiques que celles que nous connaissons. Ce transect couvre donc une transition climatique humide/aride en allant de l’ouest vers l’est. Cette zone aux paysages variés est fortement marquée par l’architecture funéraire mégalithique qui apparaît dès la fin du 4e millénaire au Levant Sud.
L’essentiel des données utilisées pour notre étude est issu de prospections de surface. Le nombre de fouilles de monuments est très réduit. Le matériel céramique découvert in situ est rarement publié avec dessins ou photographies, ce qui limite considérablement les possibilités de vérifier les dates proposées par les archéologues. Seuls quelques articles présentent des planches de tessons significatifs que nous utiliserons comme élément de chronologie relative. L’outillage lithique est peu représenté. Ce sont essentiellement des pointes de flèches et un pendentif. Avec quelques exceptions, les objets en métal sont le plus souvent caractéristiques de la fin de la période des tombes mégalithiques, c’est-à-dire le Bronze ancien IV/Bronzemoyen I. Le matériel archéologique découvert in situ ou en surface permet donc d’établir un cadre chronologique allant de la fin du Chalcolithique/Bronze ancien I au Bronze ancien IV/Bronze moyen I (4e/3e millénaire). Des milliers de monuments funéraires mégalithiques sont encore visibles et bien préservés ; ce sont donc la typologie et l’implantation des monuments qui fournissent l’essentiel des données pour étudier les sociétés protohistoriques de Syrie du Sud. " :
Voir ci-dessous :
De haut en bas : Dessin d’une chaîne funéraire de Ramat Hanadiv (d’après GREENBERG, 1992, Fig. 17, area 722, p. 145) - Photographie d’un dolmen de Ain Dhakar (T. Steimer-Herbet) - Plan et section d’un dolmen de Qiryat Shemona (SHAKED, 1993, p. 4, fig.6).
Sur le plan strictement architectural, les monuments dits « mégalithiques », c’est-à-dire construits à l’aide de très grandes pierres brutes, regroupent deux catégories de monuments : funéraires et cultuels. La première catégorie, comprend divers types de tombes tels que les grands tumuli, les tombes-tours ou les dolmens construits en pierres brutes. S’y ajoutent également quelques cercles, murs et enclos associés aux tombes. La seconde catégorie, peu représentée dans cette partie du Levant Sud, correspond à des monuments cultuels, notamment les pierres dressées et quelques grands cercles. Une observation rapide de la distribution des monuments funéraires mégalithiques montre qu’ils sont répartis exclusivement dans les zones où affleure la roche, basaltique dans notre région ou calcaire plus au sud en Jordanie. Trois zones propices se distinguent : le Jaulan, le Leja et le Harra. Près de Baharet al-Hijane, dans la plaine de Damas, et à Deraa, dans la plaine du Hauran, des vestiges funéraires ont été décrits dans les années cinquante ; depuis, l’agriculture et les développements urbains ont fait disparaître la quasi-totalité des monuments.
Le Jaulan (Golan) est un plateau régulier sur lequel les nécropoles mégalithiques sont distribuées le long des wadis sans situation topographique dominante particulière. Il surplombe le lac de Tibériade et la Galilée. Son sol est une coulée de basalte recouverte d’une épaisseur de terre variable. L’ensemble des nécropoles du Jaulan occupe une surface globale de 40 km carré, près de 2000 monuments sont encore visibles sur l’ensemble des 40 sites répertoriés. À la lecture des descriptions des voyageurs du début du siècle, le nombre initial des monuments peut être multiplié par deux. Il s’agit donc d’une énorme concentration de tombes. Ces nécropoles du Jaulan présentent une architecture très homogène. Outre quelques tombes ovales comme celles de Yahudiyeh, il n’a été signalé que des dolmens. Ceux-ci présentent de nombreuses variations que C. Epstein, dans les années 80, a consignées dans une typologie
complétée par M. Zohar en 1992.
Les dolmens du Jaulan sont des monuments funéraires érigés au-dessus du sol et constitués d’une chambre funérairele plus souvent associée à un dispositif périphérique, tumulus ou enclos qui est de forme rectangulaire, carrée, circulaire ou semi-circulaire. D’une manière générale, on date leur apparition de la fin du Chalcolithique et plus généralement du Bronze ancien I. Néanmoins, sur la centaine de nécropoles de dolmens levantins, plusieurs tombes dans le Jaulan ou dans le Harra ont livré un matériel céramique du Bronze ancien III et du Bronze ancien IV/Bronze moyen I. Cette datation signifie que leur construction et/ou utilisation ont perduré jusqu’au début du 2e millénaire avant l’ère chrétienne.
Deux monuments cultuels seulement ont été recensés, le premier se situe dans la nécropole de dolmens de Rujm al-Hiri, ce sont quatre cercles concentriques de 45, 65,100 et 156 m de diamètre datés du 3e millénaire, la tombe ovale en petites pierres sèches au centre est plus tardive, du Bronze récent. Ces cercles, dans un contexte funéraire tel que celui de Rujm al-Hiri ont vraisemblablement dû servir de lieu de rassemblement. Le second monument plus petit, décrit par R. Greenberg, sur la nécropole de Ramat Hanadiv, est une pierre dressée intentionnellement au pied de laquelle se trouve une ligne semi-circulaire de petites pierres formant une cellule pavée.
La tombe de Deraa, dans la plaine du Hauran, fouillée par J. Nasrallah en 1963, est particulièrement intéressante. Situé près de la gare de Deraa, ce grand tumulus était entouré par une dizaine de cistes en pierres brutes, disposés en arc de cercle. Leur état de conservation au moment de la fouille était assez mauvais puisqu’il ne subsistait que les orthostates dressés, les dalles de couvertures gisant sur les côtés. Le matériel est essentiellement lithique avec un racloir en éventail, une lame épaisse brisée et un racloir sur lame. Une figurine en terre cuite,une hache fenestrée, un collier en cornaline, un poinçon en os, deux pendeloques en os, un bracelet et une épingle en bronze ont également été trouvés. L’ensemble du matériel lithique est daté de la fin du 4e millénaire et le reste du matériel est attribué à l’âge du Bronze moyen.Plusieurs cupules ont été relevées à proximité des tombes, dont une cupule au centre d’un cercle de pierres et plusieurs exemples de cupules reliées entre elles par des rigoles.
L’homogénéité de l’architecture sur de vastes territoires témoigne d’une circulation des techniques et, probablement aussi, des croyances similaires. Il est difficile d’aller très loin dans la connaissance de ces sociétés, mais certaines observations nous donnent déjà des éléments de connaissance intéressants. Il est certain que cette architecture demande des moyens techniques importants pour le levage et la manipulation des pierres qui mobilisent plusieurs personnes sur une durée de quelques jours. Une organisation sociale est nécessaire pour permettre la réalisation de ce type de projets, sans toutefois faire appel à des artisans spécialisés ; un simple « savoir faire » est suffisant (voir communication personnelle de J.-C. Bessac). On retrouve dans les deux architectures funéraires, tombes tours et dolmens, des traits communs : l’utilisation de blocs bruts le plus souvent mégalithiques et la visibilité. À ces deux traits s’ajoutent des éléments comme les murs associés aux tombes, les chaînes funéraires et les enclos funéraires dont les rôles sont encore flous. Outre l’hommage fait au défunt au travers d’une architecture monumentale, les tombes sont clairement utilisées pour établir des liens entre les défunts qui sont les représentants de familles ou de tribus. On pourrait dès lors penser pour les chaînes funéraires, les enclos funéraires, à des stratégies mnémotechniques de généalogie. Dans ces sociétés, la tombe servirait de marqueur physique, et le défunt de référent, d’ancêtre commun à un groupe de personnes. Il existe un autre point commun entre les tombes tours et les dolmens : dans les deux cas, on peut observer le regroupement de tombes de dimensions modestes autour d’une tombe plus monumentale ou auprès d’une tombe située sur un relief dominant. "
" Le complexe mégalithique de Rogem Hiri (en arabe Rujm al-Hiri, ce qui signifie 'tas de pierres du chat sauvage'), est situé au centre du Golan, à quelque 16 km à l'est du lac de Tibériade, sur un plateau nu parsemé de rocs de basalte. Depuis sa découverte lors d'un relevé effectué à la fin des années 60 sur le Golan, ce site nimbé de mystère a soulevé la curiosité des archéologues. Entre 1988 et 1991, des fouilles archéologiques et des recherches ont été menées pour déterminer sa fonction et l'époque de sa construction.
Le site Rogem Hiri est constitué d'une installation monumentale de blocs de basalte locaux de tailles diverses. Il se compose de deux unités architecturales : quatre cercles concentriques entourant un tumulus central rond. Le cercle extérieur, le plus large, d'un diamètre de 156 mètres, est long de quelque 500 mètres. Les murs, d'une épaisseur variable - 3,5 m au maximum - ont été préservés jusqu'à une hauteur de 2,5 m, même s'ils sont à certains endroits détruits par des chute de pierres. Plusieurs parois radiales relient les murs circulaires, créant une structure labyrinthique qui comporte deux entrées seulement, l'une faisant face au nord-est et l'autre au sud-est.
Au centre de ces cercles se trouve le cairn, un amas irrégulier de pierres. De 20 à 25 mètres de diamètre, il est conservé jusqu'à une hauteur de 6 mètres. Le tumulus est constitué par un amas central de pierres entouré d'un encadrement plus bas, lui donnant la forme d'un cône tronqué. Une recherche géophysique au radar a révélé que la pile de pierres était creuse. Une chambre mortuaire, à laquelle menait un étroit corridor, fut ainsi découverte. Cette chambre ronde, d'un diamètre de 2 m, était construite en larges plaques de pierre superposées, mais obliquant légèrement vers l'intérieur. Elle était recouverte de deux dalles massives de basalte, pesant chacune 5,5 tonnes, et formant un demi-dôme en encorbellement au-dessus de la chambre funéraire. "
Toute une gamme de théories quant à la fonction de cette structure, sans exemple au Proche-Orient, avait été proposée jusqu'ici. Rogem Hiri fut même identifié à la tombe d'Og, roi de Bashan et dernier des géants. (Deutéronome III, 11)
Ce site a également été considéré comme un observatoire astronomique, une espèce de Stonehenge proche-oriental. Cette théorie est confortée par le fait que le côté oriental, qui fait face au soleil levant, a été édifié avec le plus grand soin. Les deux seules entrées sont situées précisément de ce côté-là, et celle du nord-est est grossièrement orientée dans la direction du lever du soleil au solstice d'été, le 21 juin.
Les archéologues qui ont fouillé le site proposent deux autres explications possibles. Selon la première, ces cercles concentriques auraient été édifiés au début de l'âge du bronze, au milieu du troisième millénaire av.. Le site aurait alors servi de centre de culte et de cérémonie, où se rassemblaient chaque année les nomades déjà entrés dans un processus de sédentarisation. Plus tard, à la fin de l'âge du bronze (1400-1300 av.), le tumulus contenant une chambre funéraire aurait été ajouté (il fut pillé dans l'antiquité et seuls quelques objets y ont été découverts, dont des boucles d'oreille en or et des pointes de flèche en bronze). Les relevés confirment que le tumulus n'est pas situé au centre des cercles concentriques, ce qui conforte la théorie selon laquelle ce cairn constitue un ajout ultérieur.
Selon une autre théorie, l'architecture de Rogem Hiri attesterait que les cercles concentriques et le tumulus participeraient d'une structure unique. Rogem Hiri serait par conséquent une monumentale tombe commémorative - le mausolée sur le Golan d'un leader du début de l'âge du bronze. La tombe aurait été vidée de ses vestiges funéraires à la fin de l'âge du bronze, puis réutilisée comme lieu de sépulture. L'envergure de ce site atteste d'une organisation centralisée et de l'existence d'une direction capable de réaliser un projet architectural d'une telle ampleur (on estime que près de 42 000 tonnes de pierres ont été transportées).
Le mystère de Rogem Hiri reste inexpliqué. Ceux qui l'ont édifié voilà quelque cinq millénaires ont quitté la scène de l'Histoire, emportant avec eux les secrets de ce site extraordinaire. Les fouilles ont été menées par Y. Mizrahi et M. Zohar, dans le cadre du projet régional de la terre de Geshour, dirigé par M. Kochavi, de l'Institut d'archéologie de l'université de Tel-Aviv. "
Une étude sur les énergies du site du Géobiologiste Richard Benishai très intéressante (extraits) :
Rujm-EL-Hiri, vu du dessus (photo Itamar Greenberg)
" (...) il est désigné en Hébreu sous le nom de Gigal Rephaim (la roue des géants). Depuis sa découverte en 1967, cet endroit a été étudié, mesuré, fouillé, examiné avec un radar, et sans doute plus. Les articles écrits sur ce lieu au passé lointain sont nombreux ; il suffit simplement de questionner un moteur de recherche pour trouver des quantités de données à son sujet.
En tant que Géobiologue, j'ai approché cet emplacement avec un point de vue différent : celui de son profil énergique. Cet article traite le côté physique de l'énergie provenant de la terre, aussi bien que les aspects spirituels de cet endroit antique. "
" (...) Malheureusement, je ne pouvais pas y rester plus que quelques heures, mais cependant ma curiosité a été ouverte. Aussitôt, j'ai demandé à un ami qui pratique le «channeling» de découvrir « le pourquoi » de cet endroit et son but.
Notez bien que je fais confiance à sa connaissance, que j'avais eu l'occasion de vérifier à plusieurs reprises, pour m'assurer de la validité de ses informations. Voici sa réponse deux semaines plus tard :
" Ce lieu existe depuis 3 200 années. C'est un endroit positif utilisé pour la guérison. Des cérémonies et des offrandes ont été faites là : fleurs, fruits et cristaux. Les cercles symbolisent les dieux de la terre et la fertilité, et chaque cercle représente une saison de l'année ou d'un dieu responsable de cette saison.
Les gens respectaient beaucoup de ce lieu saint, en étant sûr de remercier ces dieux et les entités. La connaissance pour construire cet endroit est venue de Babel antique. Rujm-el-Hiri est énergique et ses eaux contiennent beaucoup de minerais favorables pour la santé, pour se baigner, et à boire.
Bien que les cérémonies à l'époque étaient d'origine païenne, on le sait que les Juifs y venaient pour obtenir des bénédictions et des soins curatifs.
Les visiteurs de nos jours devraient se relier spirituellement à l'endroit, en remerciant et en respectant les entités et les dieux terrestres situés là. Le tout dans l'ensemble, serait de créer un cercle positif d'énergie, afin de maintenir un avenir plein de bénédictions.
Pendant sa renommée, l'emplacement était contrôlé par une prêtresse au nom de NOGIA NOGIA, ce qui signifie : Celle qui touche dieu et donne des bénédictions des anciens dieux."
Je ne suis pas sûr si les informations transmises de cette manière sont correctes, mais en faisant des recherches sur l'internet, je suis tombé sur un article écrit par Yonni Mizrachi, un des grands enqueteurs sur Rujm-EL-Hiri. Son article écrit il y a plusieurs années, renforce certainement cette information acheminée.
"Nous voyons que la fonction principale de Rujm-el-Hiri était d'être un temple ou centre rituel. Il y avait la des cérémonies religieuses et des observations rituelles par les populations urbaines qui occupaient les nouveaux sites clôturés du Golan. (Mizrachi 1992a : 195-196, 228-242)."
Extrait tiré de « La Géométrie et l'Astronomie de Rujm-el-Hiri, un Emplacement Megalithic dans le Levant Méridional », par Anthony Aveni, de l'Université de Colgate et Yonathan Mizrachi, Université de Tel-Aviv.
L'étude
Tandis que beaucoup de chercheurs ont étudié cette structure, aucun n'a examiné le côté énergique de son emplacement. Ma connaissance géobiologique me fait croire qu'au fil du temps et jusqu'à 1400 A.D., l'homme à toujours considéré les singularités souterraines (failles, veines de l'eau, vortexes, etc.....) dans la planification et la localisation des endroits sacrés.
J'ai supposé qu'il y avait une possibilité assez légitime ici pour une telle utilisation, et en effet tel que je le décris plus loin, il y en a une. Parallèlement, j'ai approché mon ami Stéphane Cardinaux, de Suisse pour lui envoyer la vue supérieure de l'emplacement. Voici sa réponse:
« Le traçage de régulation de Rujm-el-Hiri est représenté sur la Figure 6:
1. Le grand cercle autour du périmètre extérieur (en rouge), permet de tracer tous les autres cercles rouges en les divisant successivement par le nombre d'or (1.618, également connu comme PHI).
2. Les cercles jaunes sont créés en tirant des tangentes envers les cercles rouges sous un angle de 58.28°, qui est l'angle constitué par la diagonale d'un rectangle d'or.
3. Le cercle bleu est tangent à la ligne qui forme un angle de 58.28° avec le diamètre.
Pour conclure : le nombre d'or permet le traçage des deux côtés de chacun des murs. »
Bien que cette configuration semble étonnante pour une construction faite il y a si longtemps, elle ne l'est pas tellement. Des structures semblables ont été faites il y a environ 5100 ans, avec des exactitudes extrêmement élevées. Prenons le cas d'un monument récemment découvert en 1963 dans le Morbihan en France. (Figure 7).
L'endroit est 17 m de longueur avec un chemin d'entrée de 10 m. Plusieurs pierres ont été érigées à l'intérieur du tunnel souterrain. D'une manière étonnante, TOUTES les dimensions de la structure entière sont basées selon PHI, ou le nombre d'or (1.618). En outre, tous les angles constitués par chaque endroit de l'emplacement sont à eux aussi, tirés du chiffre PHI. Et pour couronner le tout, les diverses dimensions forment une série de Fibonacci.
Il faut se rappeler que les moyens de mesure que nous avons à notre disposition aujourd'hui, n'existaient pas à l'époque. Parfois nous trouvons et mesurons certains emplacements, sans faire le rapport avec le nombre d'or. Par exemple, le cromlech de Borrowston Rig en Ecosse, découverte par Alexandre Thom, a environ 4 500 ans. Tandis que l'auteur mesurait cet endroit avec l'exactitude, il n'a fait aucune corrélation avec le chiffre PHI
Respectivement : Vue du tumulus, vue de l'entrée principale, vue de l'intérieur de la grande salle, vue de la grande pierre de séparation, vue de l'entrée arrière.
Voir les autres figures et la suite qui traite de l'énergie et aussi des plantes visibles sur le site, entre autres... :
Et le lien avec Gog, l'un des derniers géants et roi des Rephaïm, tué par Josué lors de la prise de ce territoire par les Hébreux, selon les textes hébraïques de la Bible ?
En Genèse 6:1-4, nous lisons ce qui suit : « Lorsque les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre, et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent. Alors l’Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme, car l’homme n’est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants : Ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. »
Certaines versions traduisent le chapitre 4 comme suit : « Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, et également par la suite, après que les fils de Dieu furent… » La passage-clé dans ce chapitre est, « … et également par la suite… ». La plupart des étudiants sérieux des prophéties bibliques comprennent qu’il y avait des géants sur la terre avant le déluge, mais, beaucoup ne se rendent pas compte que les Écritures nous disent qu’il y avait également des géants sur la terre après le déluge.
"Satan et les anges déchus" avaient essayé de corrompre l’ADN de l’humanité avant le déluge, de sorte que le Messie ne puisse jamais apparaître. C’est pourquoi le déluge devait se produire. Mais, apparemment, "les anges déchus" ont essayé à nouveau après le déluge.
Satan a rempli « la terre promise » avec ces géants de telle sorte que le peuple d’Israël ne puisse pas produire le Messie à cet endroit. C’est pourquoi ces races hybrides devaient être exterminées par le peuple d’Israël lors de la conquête de la terre promise.
Une de ces races de géants était connue sous le nom de Rephaïm. Dans Genèse 14:5, il nous est dit que les Rephaïm étaient impliqués dans des guerres dans la terre promise au cours de l’époque d’Abraham ….
« Mais, la quatorzième année, Kedorleomer et les rois qui étaient avec lui se mirent en marche, et ils battirent les Rephaïm à Aschteroth-Karnaïm, les Zuzim à Ham, les Émim à Schavé-Kirjathaïm. »
Non seulement cela, mais, dans Genèse 15:18-21, Dieu dit à Abraham que la terre des Rephaïm fait partie de la terre que Dieu donnait à lui et à ses descendants ….
« En ce jour-là, l’Éternel fit alliance avec Abraham, et dit : Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d’Égypte jusqu’au grand fleuve, au fleuve d’Euphrate, le pays des Kéniens, des Kéniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens. »
En fait, dans le livre de Josué, il nous est dit que Og, roi de Basan, était un des Rephaïm. Par exemple, Josué 12:4 nous dit que ….
« Og, roi de Basan, seul reste des Rephaïm, qui habitait à Aschtaroth et à Édréi. »
Josué 13:12 nous dit également que Og était « un des derniers » des Rephaïm ….
« …tout le royaume d’Og en Basan, qui régnait à Aschtaroth et à Édréi, et qui était le seul reste des Rephaïm. Moïse battit ces rois, et les chassa. »
Non seulement Og était-il un des derniers survivants de la race des Rephaïm, mais, il était également un homme incroyablement grand. Les Écritures nous disent que son lit avait une longueur de 9 coudées (environ 13 pieds, soit 4 mètres).
Maintenant, quel genre d’homme aurait besoin d’un lit de 13 pieds de long ? Uniquement un géant aurait besoin d’un lit d’une telle longueur.
En fait, dans Deutéronome 3:11-13, nous constatons que le pays de Basan était connu comme la terre des géants...
« (Og, roi de Basan, était resté seul de la race des Rephaïm. Voici, son lit, un lit de fer, n’est-il pas à Rabbath, ville des enfants d’Ammon ? Sa longueur est de neuf coudées, et sa largeur de quatre coudées, en coudées d’homme.) Nous primes alors possession de ce pays. Je donnai aux Rubénites et aux Gadites le territoire à partir d’Aroër sur le torrent de l’Arnon et la moitié de la montagne de Galaad avec ses villes. Je donnai à la moitié de la tribu de Manassé le reste de Galaad et tout le royaume d’Og en Basan : Toute la contrée d’Argob, avec tout Basan, c’est ce qu’on appelait le pays des Rephaïm. »
Alors, ces géants maléfiques ont été vaincus quand Josué et le peuple d’Israël ont conquis la terre promise. Nous trouvons une référence à toute cette histoire dans le livre de Josué, dans Josué 17:15...
« Josué leur dit : Si vous êtes un peuple nombreux, montez à la forêt, et vous l’abattrez pour vous y faire de la place dans le pays des Phéréziens et des Rephaïm, puisque la montagne d’Éphraïm est trop étroite pour vous. »
Mais, même après l’anéantissement des Rephaïm, leur héritage est demeuré. En fait, toute une vallée a été nommée d’après eux. Il s’est avéré que la « Vallée des Rephaïm » a été témoin d’un grand nombre de batailles, selon les Écritures. Nous en voyons un exemple dans 2 Samuel 5:22 ….
« Les Philistins montèrent de nouveau, et se répandirent dans la vallée des Rephaïm. »
Nous pouvons voir un autre exemple de tout ceci, durant les jours du roi David, dans 1 Chroniques 11:15 ….
« Trois des trente chefs descendirent auprès de David sur le rocher dans la caverne d’Adullam, lorsque le camp des Philistins était dressé dans la vallée des Rephaïm. »
Il y a également des références aux Rephaïm dans les anciennes sources ugaritiques et phéniciennes. La vérité est que les géants parcouraient cette terre, avant et après le déluge. Ces géants ne sont pas totalement humains. Ils étaient le résultat du mélange de l’ADN des humains avec l’ADN des anges déchus. "
Peut-on aussi considérer les Rephaïm comme étant réels, comme d'autres peuples cités dans les Textes, comme en réalité un peuple de bâtisseurs de monolithes de grande taille, troglodytes d'origine et ancêtres des celtes et autres peuples répandus par la suite dans le monde ? Notez que cette région a été (re)conquise par Israel dans les années 60 et n'a jamais été rendue à la Syrie et que seuls des israélites peuvent la visiter de nos jours...
Une visite des lieux en vidéos :
Dr. Dennis Siluk visiting the Rephaim Circle (also known by the Gilgal Rephaim, Circle of the Refaim, Circle of Og, Stone Heap of the Wild Cat )in the Golan Heights near Syria, and the city of Tiberias, Israel on the 23-July-2010. He is standing on the outer circle; dated between 3200 to 4000 BC (the Chalcolithic period).
Des savants de la NASA ont relevé une fissure de plusieurs centaines de Km ainsi que d'autres crevasses plus petites, mais ils ne savent pas encore la cause qui leur a donné naissance. Un mystère de plus pour notre Lune, qui les accumule on peut le dire…
Certains croient que cela serait dû à des impacts de météorites, d’autres pensent à des écoulements de laves ; mais ce ne sont que des hypothèses.
La particularité de ces fissures réside dans le fait que certaines d’entre elles ressemblent à des « cordons de soudure ». On a nettement l’impression d’être en présence d’une surface métallique qui se serait fendue puis ressoudée.
Tout ce que les savants de la NASA disent aujourd’hui c’est que : « La lune s’est bien fracturée un jour !? »
Par quoi et comment, cela reste un mystère depuis plus de trente ans. Il est à noter que de telles fissures ont été déjà observées depuis plus de deux siècles au moyen de petit télescope.
A la vue de ces photos l’hypothèse des laves qui auraient coulé sur les fentes depuis des millions d'années, comme cela a été le cas sur la terre a été rejetée. En effet on ne voit aucune trace de failles ni d’effondrements semblables a ceux que l’on voit sur le relief terrestre.
Les fissures lunaires ont les bords saillants et la découpe franche, leurs soudures sont continues et lisses donc parfaitement confectionnées.
Contrairement au failles terrestres qui présentent des cratères et des discontinuités, le cordon lunaire est continu autant sur sa longueur que sur sa largeur. Sa base semble consolidée et son relief ne ressemble à aucune topographie ni sur la terre ni sur aucune autre planète.
Un rapport de l’Union Américaine de Géophysique publié en 1970 affirme que la fissure lunaire ne s’inscrit dans aucune théorie moderne.
Par contre, l’Ingénieur Ralph Juergens propose une hypothèse fort intéressante: D’après lui, il s’agirait d’une décharge électrique provenant de l’espace extra lunaire analogue à celle d’une foudre ; celle-ci aurait provoqué l’éclatement de la lune et sa soudure !?
Si l’on se réfère aux lois de la gravité et celles des interactions spatiales, cette fragmentation de la lune, si elle a eu lieu, aurait dû provoquer son effondrement. Quel phénomène l’aurait-il provoquée et quel phénomène aurait-il causé sont retour à l’état primitif avec un assemblage de nature « électrique » ?
Quelles que soient ses causes, la fissuration de la lune est là ; nous la constatons réellement, et elle reste mystérieuse pour les scientifiques.
Les savants de la NASA et les physiciens de l’espace, trouveront peut être un jour une théorie qui expliquerait ce mystère scientifique …
source: le blog de Merlin
En complément, il est utile de parler des références religieuses concernant précisément cette fissure (ou que certains assimilent à...) :
Tout d'abord, sur d'éventuels extra-terrestres :
Allah dit:
"Parmi Ses Preuves est la création des cieux et de la terre et des êtres vivants qu'Il y a disséminé. Il a en outre le pouvoir de les réunir quand Il voudra."
c'est pas bien clair en Français, mais en arabe ça donne un autre sens
selon ce verset il existe des êtres vivants dans d'autres cieux, ....il y en a qui disent qu'Il parle des anges, mais normalement lorsqu'on parle des anges on ne dit pas "dabbah"...
Ensuite, la légende d'après les Textes :
L'histoire de cette fissure sur la lune est connue. Des Musulmans du moins.
Puisqu'il avait fallut au prophète Mohamed (Saws) démontrer aux incroyants, au même titre que le sont les Juifs (qui, d'après leurs propres textes, n'ont pas arrêté de renier leurs propres croyances, et ont fini par le payer très cher !), que la volonté de Dieu est supérieure.
Mohamed (Saws) avait invoqué Dieu afin qu'il accomplisse un miracle pour convaincre ces impénitents, et alors la lune s'est fendue et s'est partagée en deux, restant ainsi un bon moment.
Malgré ce que ces hypocrites avaient vu, ils continuaient de démentir la chose, jusqu'à l'arrivée d'une caravane. Interrogés à ce sujet, les caravaniers avaient confirmé avoir vu la lune partagée en deux parties...
(sourate 54 Al-Qamar ( la lune ))
Inutile de dire que les géologues préfèrent envisager le fait que des pans de la croûte lunaire entiers se soient effondrés, suite à un gros choc ou à l'effet des marées gravitationnelles...
MAJ 06-2013 : Voici une très belle photographie de la Lune prise avec un robot équipé du panel entier du spectre avec les vraies couleurs, celles que l'être humain ne voit pas incluses, mais qui sont éventuellement visibles en parties par des animaux par exemple. On peut d'ailleurs déjà considérer que les robots équipés de ce type de vision ont une large supériorité sur le biologique, le vivant, et par toutes luminosités. Mais ce qui amène cette photo ici est bien les larges fissures qui partent du sud en étoile, et particulièrement une que l'on voit traverser la Lune du sud au nord... assez étonnant comme cette visualisation de la réalité correspond au sujet de cet article (cliquez pour agrandir) :
(NASA) : relief Lune : ce que l'homme voit à gauche et la réalité du spectre complet des ondes à droite
Comparez à toutes ces fissures visibles sur la surface de notre satellite, que j'ai soulignées sur leurs pourtours : on dirait presque qu'il a été épluché comme un oignon ! :
Loin de moi de vouloir attester et accentuer une quelconque théorie ou légende citées au-dessus, mais voici une très belle image haute résolution d'un détail où l'on voit certaines fissures en question (la percussion d'un gros astéroïde est tout de même la théorie la plus "fiable"):
MAJ : Les données récoltées grâce aux sondes Grail (Gravity Recovery and Interior Laboratory) mettent en évidence une croûte, sous la surface lunaire, plus mince et plus fissurée que ce qui était pensé jusqu’à présent. L’épaisseur moyenne de cette structure est estimée entre 34 et 43 kilomètres, soit 10 à 20 kilomètres de moins que ce que les précédentes études avaient conclu. "Avec une telle épaisseur de sa croûte, la composition de la Lune est similaire à celle de la Terre, ce qui conforte la théorie selon laquelle la Lune est formée de matériaux terrestres éjectés lors d'un énorme impact au début de l'histoire du système solaire" explique dans un communiqué Mark Wieczorek, de l'Institut de Physique du Globe à Paris. En effet, cette couche présente également de nombreuses fragmentations certainement liées à un bombardement intense. Mais ce n'est pas la seule conclusion obtenue puisque les chercheurs ont également relevé la présence de dykes, des filons de magma incrustés dans les fissures de la croûte. "Ces dikes sont parmi les plus anciennes structures de la Lune. Les comprendre nous aide à connaitre le début de son histoire" souligne Jeffrey Andrews-Hanna, de l'Ecole des mines du Colorado. Le relief lunaire observé avec une précision inégalée Selon lui, la présence de ces langues magmatiques témoignent d’une expansion de la Lune durant les premiers milliards d’années qui ont marqué le début de son existence. Ajouté à cela, la cartographie fournie parles sondes Ebb et Flow montre avec une précision encore jamais obtenue le relief présent à la surface de notre satellite naturel, y compris les volcans, les bassins et les cratères.
YH : autrement dit, le "miracle" de la Lune coupée en deux servant à "recruter" des adeptes (on pourrait aussi d'ailleurs se demander pourquoi un Allah ou un Dieu si puissant, créateur de toute chose, aurait besoin d'adeptes parmi sa propre création ! : ce simple fait remet en question sa propre puissance... et semble trop matérialiste et humain !) serait en fait interprétable comme un phénomène atmosphérique connu, semblable à la vision de deux ou trois soleils, comme une parhélie, mais lunaire... le fait que le phénomène se soit passé avec une montagne au milieu et les deux "parties" de la Lune de chaque côté est particulièrement significatif d'un phénomène optique atmosphérique (tout comme les "mirages" visibles par tout le monde dans les déserts)...
La première copie grecque originale connue d'une "écriture chrétienne hérétique" décrivant les enseignements secrets de Jésus à son frère James (Jacques) a été découverte par des érudits bibliques de l'Université américaine d'Austin au Texas. Le manuscrit original était probablement le modèle d'un enseignant, utilisé pour aider les élèves à apprendre à lire et à écrire.
À ce jour, seul un petit nombre de textes de la bibliothèque de Nag Hammadi - une collection de 13 livres gnostiques coptes découverts en 1945 en Haute-Égypte - ont été trouvés en grec, leur langue originale de composition. Mais plus tôt cette année, Geoffrey Smith et Brent Landau, spécialistes des études religieuses de l'UT d'Austin, ont ajouté à leur liste plusieurs fragments grecs de la première apocalypse de Jacques, du cinquième ou du sixième siècle, qui avaient été conservés sans traductions jusqu'à maintenant.
Un morceau de la traduction copte de la première apocalypse de Jacques du Codex Nag Hammadi V.
Crédit: Image d'un objet de la bibliothèque de Nag Hammadi, Université d'Oxford.
France : Le disque astrologique antique de Chevroches
C'est une découverte assez peu connue du publique, du début du 21ème siècle, qui a été effectuée sur la commune de Chevroches, qui se situe à l’est du département de la Nièvre, à 3 km au sud-est de Clamecy. A la suite de constructions prévues, une fouille archéologique préventive officielle est pratiquée en 2001 – 2002 par une équipe de l’Association pour les Fouilles Archéologiques Nationales, devenue l'Inrap. C'est une grosse surprise qui attend les archéologues : c'est toute une petite cité gallo-romaine qui émerge du sol, sur au moins 4 hectares et, avec les très nombreuses structures qui ont été découvertes, il faut noter la présence d’un vaste bassin monumental (26 m x 18 m, pour une profondeur de 2,30 m) et d’un édicule (sacellum ?) de plan carré.
Historiquement, l’occupation gallo-romaine s’est développée de façon soutenue depuis le second quart du Ier siècle de notre ère jusqu’au Ve siècle. Sur les lieux, les fouilles démontrent que l’activité métallurgique tient une place essentielle au IVe siècle (fer et bronze) et se répartie dans de vastes ateliers implantés au sein d’îlots séparés par des rues. Le mobilier est très abondant et se signale par des pièces de qualité remarquable dont quatre dépôts d’objets métalliques contemporains à cette époque (dont 2 trésors monétaires), dans un contexte d’enfouissement daté des années 350 ap. J.-C..
Parmi ces quatre dépôts, le plus fourni rassemblait plus de 200 objets (ou fragments) d’objets manufacturés, en bronze, en fer et en plomb. L’étude de ce dépôt a permis de reconnaître des outils (marteaux, compas, gradines, burins...), des éléments domestiques (clés en fer ou en bronze, chaînes, fragments de vaisselle, ...) ou de harnachement, des barres et des chutes de forge, des éléments de parure (fibules), ainsi qu’un élément de garniture ajourée de fourreau de couteau fafriquée dans l’atelier de Gemellianus, situé à Aquae Helveticae, l’actuel Baden, près de Zurich en Suisse. Le « disque » , très oxydé au moment de sa découverte, avait été rangé parmi les éléments de décor de harnachement. C'est sa restauration qui a pu révéler sa véritable nature...
Chevroches - Escalier en pierres qui permettait d’accéder à la pièce n° 3 (îlot A), depuis la terrasse supérieure ; il ne reste presque rien du bâtiment que cette dernière supportait.
C'est assez étonnant mais de grands scientifiques comme de simples chercheurs curieux se sont pareillement posés au cours du temps la même question : Un lien existerait-il entre les dimensions de la Grande Pyramide de Kheops et différentes prophéties connues de longues dates ?
C'est pour cette unique raison qu'en 1864, le professeur et astronome de la Cour écossais Piazzi Smyth passa quatre mois à Gizeh, en Egypte, à calculer les dimensions mathématiques de la pyramide afin de pouvoir les comparer par la suite à une liste de datations prophétiques... Il publia d'ailleurs ses travaux dans " Our inheritance in the great pyramid ", qui devenait aussi la base de la pyramidologie, jusqu'en 1928...
La plus surprenante observation du professeur Smyth à l'époque fut le rapport précis (1/2 n) existant entre la hauteur de la pyramide et la circonférence dans laquelle s'inscrit sa base. Il en conclut que la fameuse « coudée sacrée », mesure utilisée par les bâtisseurs du gigantesque édifice, était de la même longueur (0,525 m) que celle utilisée par Moïse pour bâtir le tabernacle. Cette hypothèse révèlait au monde du 19ème siècle très influencé par la Franc-Maçonnerie la richesse des significations ésotériques de la pyramide, et plus particulièrement ses dimensions. Dans son ouvrage, le réputé professeur démontrait, entre autres, que la grande pyramide était un repère géodésique, une horloge astronomique et une sorte de bibliothèque des connaissances de l'époque antique. Connaissances très avancées qui ne peuvent être déchiffrées qu'à l'aide de l'introduction de deux unités de mesure arbitraires, le pouce pyramidal valant 1,001 pouce anglais et la coudée sacrée (différente de la coudée royale égyptienne) valant 25,025 pouces anglais, toutes deux créées par l'astronome à cette occasion... Mais le tout basé sur des mesures assez approximatives, qui seront affinées dans le temps jusqu'à nos jours par divers auteurs et chercheurs...
Le Livre de Daniel est un texte de l'ancien testament très contesté mais c'est probablement le texte prophétique le plus important de cette partie de la bible, ce n'est donc pas très étonnant. Sa datation fait partie des controverses car il a été considéré comme le plus ancien Livre canonique, puisqu'il a été considéré comme écrit vers 580 Avant J.-C. très longtemps, alors que les spécialistes sont parvenus à un consensus aujourd'hui pour supposer qu'il a été écrit pendant le IIè siècle Avant notre ère, ce qui expliquerait la plus grande partie des prédictions, puisqu'il s'agissait déjà d'Histoire à cette période. Néanmoins, certains paragraphes parlent bien du futur, et même de la fin des temps...
En tout cas, et c'est tout aussi intéressant pour l'Histoire car certains faits ont pu être vérifiés par d'autres écrits et l'archéologie, les faits historiques qui sont relatés dans une partie du Livre de Daniel se produisirent entre 607 et 534 avant J.-C., ce qui fait supposer que l'auteur (Daniel ?) a eu accès probablement à au moins un ouvrage disparu d'un auteur historien inconnu qui parlait de l'histoire de cette période, ou qu'il en a fait lui-même une compilation pour ses textes (qui ont possiblement disparu en grande partie)...
Daniel 3:24,25 : Alors le roi Nebucadnetsar (Nabuchodonosor II) fut effrayé, et se leva précipitamment. Il prit la parole, et dit à ses conseillers: « N’avons-nous pas jeté au milieu du feu trois hommes liés ? » - Ils répondirent au roi: « Certainement, ô roi ! » - Il reprit et dit: « Eh bien, je vois quatre hommes sans liens, qui marchent au milieu du feu, et qui n’ont point de mal; et la figure du quatrième ressemble à celle d’un Fils des dieux.»
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Commentaires
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Johny Jackson
Le 18/01/2018
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