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Egypte : l'Etrange à Nazlet
Egypte : l'Etrange à Nazlet
Encore et toujours l'Egypte diront certains ! Et oui, j'y reviens tôt ou tard car c'est évidemment l'un des endroits où le Mystère est né. Tout y est présent, du mystère de la création au mystère de l'éternité en passant par celui de la quête de l'éternelle jeunesse... les ingrédients sont multiples, encore ressentis dans l'ombre des pyramides et les souterrains du Sphinx, des cryptes et tombes géantes des Osiris à Saqqara aux chapelles de Dandérah... Les grands savants égyptiens, comme Imhotep ou Amenhotep, ont-ils laissé en héritage un savoir millénaire lié à la non-mort, à l'immortalité et la source de jouvence ? Il ne peut y avoir de hasard dans le pays qui a été arpenté par l'Eternel lui-même, ses nuées et ses anges-messagers ou guerriers, et tous ces rois et pharaons en quête de l'ultime savoir,de la liqueur divine, et Nemrod, Antioche, Alexandre le Grand, et des Grecs aux Romains en passant par les Perces. Même les Papes et Templiers ont pris le relais de la quête, ensuite...
Mais cette fois, nous allons nous intéresser à un endroit précis et peu connu du public. C'est pourtant un endroit où de grandes découvertes - et mystères - se sont produits en Egypte. Un endroit probablement important, sinon pour l'humanité, tout au moins pour une probable entité qui y a demeuré et dont on trouvait encore récemment des traces. Des traces que l'être humain a peut-être préféré effacer de lui-même, par crainte, par bêtise ou par inconscience... Mais voyons où tout ça nous mène, même si ça nous approche beaucoup des limites de la conscience...
Nazlet Khater est une série de huit sites archéologiques ayant eu des occupations humaines aux Paléolithique moyen et supérieur, situés en Egypte, au bord du désert et au bord de la vallée du Nil, près du village de Nazlet Khater. La plupart des sites sont associés à des activités minières intermittentes commençant il y a 40.000 ans. Le plus largement déclaré des huit sont Nazlet Khater 2 (NK2), une sépulture d'un être humain moderne des débuts datée par résonance de spin électronique à il y a 38000 années, et NK4, une carrière de chert (calcédoine de quartz) datée du Paléolithique supérieur d'il y a 30,000-33,000 année rcybp (soit 35,000 -40 000 ans calibrés avant maintenant).
NK2: Tombe du Paléolithique supérieur
NK2 est l'enterrement délibéré d'un homme adulte en position couchée, trouvé au sommet d'une colline à environ 250 mètres (825 pieds) de la carrière la plus proche. Le squelette est presque complet, bien que la partie inférieure de son corps ne soit pas aussi bien conservé que la partie supérieure. La résonance de spin électronique sur l'émail des dents date cette sépulture à 38.000 ans avant maintenant, et certaines preuves associent directement cette sépulture aux activités minières à NK4. Une importance particulière est le crâne bien conservé, qui présente des caractéristiques morphologiques suggérant une relation proche avec des squelettes européens du Paléolithique supérieur, comme à Pestera cu Oase en Roumanie.
L'examen des os du squelette dans les années 1980 a indiqué qu'il n'était pas un homme de Neandertal, mais plutôt un homme moderne d'environ 165 centimètres (65 pouces) de hauteur et avait des bras très forts. L'examen a également conclu que l'homme avait subi des dommages considérables à ses vertèbres tout au long de sa vie, suggérant aux chercheurs qu'il avait travaillé dans les mines pour la plupart de sa vie. A son oreille droite a été placée une herminette Nazlet Khater, semblable à celles utilisées dans les mines du Paléolithique supérieur, au NK4. Certains chercheurs ont fait valoir que l'herminette était intrusive, plutôt qu'un ustensile de carrière, bien que les dates de la mine de silex soient contemporaines de l'enterrement. La fosse de la tombe a été creusée sur environ 60 cm (23 po) sous la surface et le corps était recouvert de plusieurs blocs, et remblayée avec du sable éolien. NK2 est le plus ancien humain moderne adulte entièrement complet, identifié en Afrique du Nord à ce jour. En tant qu'un individu du Paléolithique supérieur, et compte tenu de la relation à Pestera cu Oase, l'individu NK2 représente un indice important sur la migration de l'homme hors de l'Afrique et en Europe.
NK4: Mines au Nazlet Khater
NK4 est un site de carrières du Paléolithique supérieur, où les gens ont exploité du chert, la matière première pour la production d'une industrie de l'outillage en pierre de la lame. Les fouilles ont identifié plusieurs méthodes d'extraction utilisées pour le silex minier, y compris les fossés, les puits verticaux et des galeries souterraines. Les outils utilisés pour extraire le minerai étaient des cornes de bubales et des corne de gazelles, des pioches et des herminettes lithiques (en pierre) bifaces (le type Nazlet Khater, dont l'une a été découverte près de la sépulture NK2). Des restes de foyers dans la région ainsi que du charbon de bois dispersé dans les fouilles des mines ont produit des datations au radiocarbone comprises entre 30,400-35,100 ans avant maintenant.
Preuve de l'exploitation minière
Le silex a été extrait d'un dépôt de relique de canal de gravier de la rivière du Nil, situé à la base de quelques 1-2 mètres (3-7 pieds) de sable éolien. Au sommet du dépôt de gravier se trouve 10 cm (4 po) d'épaisseur de couche de calcrete. Trois travaux miniers ont été identifiés et associés à l'occupation du Paléolithique supérieur : des tranchées, des puits verticaux et des galeries souterraines. Une tranchée mesurant 9x2 m (30x7 foot) a été excavée à 1,5 m (5 pi) dans l'oued. Des puits verticaux ont été creusés jusqu'au décalage du canal et s'élargissaient en forme de cloche à la base. La couche de calcrete a permis l'excavation relativement sûr de courtes galeries menant vers l'extérieur à partir des deux fosses en forme de cloche et la tranchée. Un sol utilisé au NK4 a donné de nombreux fragments d'os et un grand assemblage d'outils de pierre, de noyaux, de flocons et de copeaux. L'industrie est typiquement une industrie de la lame prismatique, avec quatre techniques de réduction identifiées sur la base de la forme plate et de la taille. Le débitage qui pourrait être attribué à la technique Levallois était présent dans l'assemblage de pierres, mais ne représente qu'une infime partie des matériaux lithiques. Les lithiques ont été reliés typologiquement à Haua Fteah en Libye et Boker Tachtit en Israël. " Plusieurs éléments permettent de penser que ces sites miniers possédaient des fonctions spécifiques et qu’ils n’étaient pas seulement utilisés de manière opportuniste, mais qu’une réelle organisation socio-économique favorisait leur exploitation " (Van Peer & Vermeersch, 2000).
Archéologie à Nazlet Khater
Les huit sites de Nazlet Khater ont été excavés entre les années 1970 et 1980 par le Projet préhistorique belge de la Moyenne Egypte de l'Université de Louvain sous la direction du Professeur M Vermeersch. Des recherches supplémentaires sur les artefacts et les restes humains ont continué depuis ce temps.
Sources : Bouchneb L, and Crevecoeur I. 2009. The inner ear of Nazlet Khater 2 (Upper Paleolithic, Egypt). Journal of Human Evolution 56(3):257-262. Crevecoeur I, and Trinkaus E. 2004. From the Nile to the Danube: a comparison of the Nazlet Khater 2 and Oase 1 Early Modern Human mandibles. Anthropologie 62(3):203-213. Hublin J-J, and Klein RG. 2011. Northern Africa could also have housed the source population for living humans. Proceedings of the National Academy of Sciences 108(28):E277. Leplongeon A, and Pleurdeau D. 2011. The Upper Palaeolithic Lithic Industry of Nazlet Khater 4 (Egypt): Implications for the Stone Age/Palaeolithic of Northeastern Africa. African Archaeological Review 28(3):213-236. Pinhasi R, and Semal P. 2000. The position of the Nazlet Khater specimen among prehistoric and modern African and Levantine populations. Journal of Human Evolution 39(3):269-288. Thoma A. 1984. Morphology and affinities of the Nazlet Khater man. Journal of Human Evolution 13(3):287-296. Vermeersch PM, Gijselings G, and Paulissen E. 1984. Discovery of the Nazlet Khater man, Upper Egypt. Journal of Human Evolution 13(3):281-286. Vermeersch PM, Paulissen E, Gijselings G, Otte M, Thoma A, Van Peer P, and Lauwers R. 1984. 33,000-yr old chert mining site and related Homo in the Egyptian Nile Valley. Nature 309(5967):342-344.
" La position chronologique de ce spécimen le place au centre d'un hiatus de près de 35 000 ans pour lequel aucun reste humain n'a été exhumé dans la vallée du Nil et en fait le plus ancien homme moderne adulte de l’OIS 3 au nord de l’Afrique. Pour la première moitié de cette période, et à notre connaissance, c’est également le seul squelette d’adulte moderne sub-complet de tout le continent africain, voire de l’ancien monde. Seuls les restes partiels immatures de l’enfant de Taramsa (Vermeersch et al. 1998) sont plus anciens. "
" Agé entre 20 et 29 ans à sa mort. L’étude des atteintes pathologiques du rachis et des membres de Nazlet Khater 2 témoigne, considérant l’âge au décès de cet individu, d’activités physiques intenses et spécialisées (port de charges lourdes, mouvements répétitifs du membre supérieur,…) En outre, toutes les lésions que présente ce squelette sont compatibles avec l’hypothèse archéologique de pratiques minières intensives et spécialisées au début du Paléolithique supérieur dans la vallée du Nil. Ces résultats paléopathologiques sont en corrélation avec les observations morphométriques réalisées sur le membre supérieur et inférieur. Elles suggèrent une résistance du membre supérieur à des contraintes biomécaniques fortes dans tous les plans et une adaptation morphologique de certaines parties pour favoriser des mouvements de grande amplitude. Le membre inférieur refléterait lui une baisse de la mobilité. Toutes ces observations vont dans le sens de l’existence de pratiques spécialisées et par conséquent d’une organisation sociale complexe permettant une telle répartition des tâches. L’étude des restes humains de Nazlet Khater 2 confirme la complexité morphologique des hommes modernes du stade isotopique 3. Cet individu présente une mosaïque de traits dérivés et archaïques dont la combinaison n’est exprimée par aucun des échantillons modernes, actuels ou passés, que nous avons étudiés. "
Géologie de la Vallée du Nil (extraits)
" Au Miocène final, la mer Rouge n’était qu’une étroite dépression longitudinale et les plateaux équatoriaux d’Afrique de l’est étaient élevés et sans lac. Le drainage de ces plateaux se faisait principalement vers le Bassin du Congo ou l'océan Indien, mais aussi vers le grand lac Sudd qui occupait une importante partie du Bassin du Nil actuel. A cette époque, le Nil ancestral, l’Eonil, s’écoulait selon un axe voisin de celui du fleuve moderne (Said, 1993). Il mit un certain temps pour tracer son cours à travers les hauts massifs nubiens qui séparaient l'Égypte de l’Afrique sub-saharienne et pour rejoindre le bassin méditerranéen (Butzer, 1980 ; Said, 1990).
Le creusement rapide de la vallée du Nil en Égypte s’est produit en réponse à un évènement unique au Miocène final (8 – 5 Ma) : l’assèchement de la Méditerranée suite à l’élévation du détroit de Gibraltar (Hsü et al., 1973) (YH : et qui a duré dans sa phase maximale au moins 600.000 ans !). Ce phénomène entraîna un creusement très important des vallées des rivières qui s’y jetaient. Dans le cas de l’Eonil, la profondeur du chenal atteignit jusqu’à 4 km de profondeur dans la partie nord de son cours (Butzer, 1980 ; Said, 1993). Au début du Pliocène (5 Ma), la mer Méditerranée fut à nouveau connectée à l'Atlantique et le canyon nilotique néoformé fut rempli par les eaux montantes et converti en golfe jusqu’à Assouan (Butzer, 1980). Une nouvelle rivière, le Paléonil, se fraya un chemin dans le golfe et le remplit de sédiments de sorte que ce dernier fut progressivement converti en estuaire puis en véritable chenal (Said, 1990 & 1993). Cette phase pendant laquelle le Nil devint un système de rivières intégrées avec des conditions hydrographiques proches, mais différentes du modèle actuel, a perduré jusqu’au Pléistocène moyen (de Heinzelin & Paepe, 1964 ; Butzer & Hansen, 1968 ; Said, 1993).
Les dépôts de l’Eonil et du Paléonil sont connus seulement en profondeur. Ceux de l’Eonil sont constitués d’une couche de sable grossier provenant de l’érosion des roches du Crétacé et de l’Eocène d'Égypte et d’une couche supérieure d’évaporites corrélée à l’assèchement de la Méditerranée (Said, 1990). Les lits du Paléonil, datés du Pliocène final, comprennent des couches inter-stratifiées d’argile, de silt laminaire et de sable fin. Leur composition minéralogique et lithologique indiquent des conditions de forte humidité en Égypte due à la présence d’une couverture végétale importante (Said, 1990).
Le début du Pléistocène (1,8 Ma) est marqué par une période de grande aridité qui transforma l'Égypte en véritable désert et le Paléonil s’arrêta complètement de fonctionner. Cet épisode d’aridité fut interrompu par l’intrusion d’une rivière très compétente, le Protonil. Ses dépôts sont constitués de galets et graviers en quartz (formation d'Idfu) qui dérivent de sources locales (Said, 1990). Un peu plus tard pendant le Pléistocène inférieur, un court épisode pluvial se produisit. Il vit le dépôt des conglomérats de la formation d’Armant (Said, 1990).
L’événement le plus important dans l’histoire du Nil s’est produit vers 800 – 700 Ka au début du Pléistocène moyen. La réactivation de la grande Vallée du Rift africain provoqua un remodelage montagneux qui eut pour conséquence de rediriger le drainage des plateaux équatoriaux et éthiopiens vers le Nil. Ces mouvements terrestres ont également entraîné le développement du lac Tana, du principal Rift éthiopien ainsi que l’apparition du lac Victoria. Cet événement permit la création d’une nouvelle rivière, le Prénil, qui fut la première à posséder une connexion en Afrique sub-saharienne (Williams & Williams, 1980 ; Said, 1993). Les études des pollens, minéraux lourds et sédiments des alluvions du Nil suggèrent que la connexion entre le Nil Blanc, le Nil Bleu, l’Atbara (affluent majeur du Nil principal, au nord de Khartoum) et le Nil égyptien était bien établie au Pléistocène moyen (Rossignol, 1962 ; Bartolini et al., 1975 ; Hassan, 1976). Le Prénil charriait une énorme quantité de sables et de graviers et est à l’origine du paysage actuel de la vallée et du delta du Nil (Butzer, 1980; Said, 1993). Ses dépôts sont le résultat d'inter-stratifications massives de sables d’origine fluviatile et éolienne et constituent la formation de Qena (Said, 1990).
De 400 Ka à nos jours, le Néonil prit le relais du Prénil et sa connexion avec les sources africaines devint plus ténue et sporadique (Said, 1993). La transition entre le Prénil et le Néonil est marquée par une discordance et une longue régression au niveau sédimentaire (Said, 1990). Le Prénil et son flot vigoureux furent remplacés, suite à une détérioration climatique liée à la glaciation de Mindel en Europe, par des rivières éphémères se nourrissant des précipitations locales (Said, 1993). En effet, en période glaciaire, le déplacement du front polaire vers le sud conditionne en grande partie le degré d’humidité en Afrique du nord. Il semble que durant cette période plus froide et sèche, le mouvement vers le sud fut très important et le front des pluies tropicales n’atteignait plus les plateaux éthiopiens. La conséquence directe fut la perte de la connexion africaine du Nil et sa transformation en une rivière beaucoup moins vigoureuse (Said, 1993). Le Néonil, qui perdure toujours actuellement, présente un intérêt particulier puisqu’il a été contemporain des vestiges les plus nombreux de l’occupation humaine en Égypte et en Nubie. Les dépôts de cette rivière sont caractérisés par 4 épisodes principaux d’aggradation séparés par des phases de récession (Said, 1990).
Le premier épisode (entre 400 et 200 Ka) est associé aux phases humides d’Abbassia I et II et à la crise de Dandara qui s’y intercale. C’est durant cette crise que le Nil égyptien reprit sa connexion avec l'Éthiopie entraînant une rivière, l’α-Néonil ou la Dandara. Cette crise ne dura pas longtemps et l’α-Néonil fut remplacé à nouveau par des rivières éphémères au cours de l’Abbassia II (Paulissen & Vermeersch, 1987 ; Said, 1993). Les sédiments transportés par le Nil durant la crise de Dandara sont de granulométrie fine et contrastent avec les conglomérats, dérivés de la Mer Rouge, déposés par les rivières éphémères des phases humides d'Abbassia I et II (Paulissen & Vermeersch, 1987).
L’aggradation liée à la crise de Dandara est séparée des suivantes par une longue période de récession et une discordance marquée. Les dépôts de cette période de récession sont ceux de la formation de Korosko. Ils sont entrecoupés par deux périodes plus humides appelées Sahara I et II corrélées d’après Said (1990) aux stades isotopiques de l’oxygène (OIS) 6 et 5. Durant ces intervalles, des pluies d’hivers locales enrichirent le flot des rivières erratiques. Le débit du Néonil devint alors beaucoup plus régulier (Said, 1993). Les phases humides de Sahara sont corrélées avec la glaciation rissienne en Europe qui semble avoir modifié (tout comme celle de Mindel) le modèle de précipitations pour tout le continent africain (Said, 1993). Dans le désert, l’étude des lacs de Bir Sahara-Tarfawi (Wendorf et al., 1987 & 1990) a montré que les phases Sahara étaient beaucoup plus complexes qu’on ne l’imaginait avec au moins 5 sous-maxima.
Le troisième événement (de 70 à 10 ka) a commencé avec la dernière période glaciaire et s’est prolongé jusqu’au retrait des calottes glaciaires à l’Holocène. La glaciation a entraîné une diminution des précipitations en Afrique équatoriale, une aridification de la région du Sudd et l’obstruction du Nil Blanc par les dunes. Durant le stade isotopique 4 (vers 60 Ka), les lacs Pléistocène du Sahara disparaissent et les conditions climatiques pour l’homme deviennent très difficiles. Le désert, fréquenté durant les phases humides, est abandonné (Wendorf et al., 1993). Durant cette période, au moins deux rivières séparées par une phase de récession sont présentes, le β-Néonil (70 à 20 Ka) et le γ-Néonil (20 à 12 Ka). Elles prenaient leur source dans les massifs éthiopiens et leur débit était fortement lié à la mousson. Ces deux rivières saisonnières étaient sans doute sèches en hiver (Said, 1993). En effet, la présence très importante d’évaporites datées entre 40-25 ka le long du Nil Blanc suggère que les contributions des lacs d’Afrique de l’est ont dû être rares durant le Pléistocène final (Adamson & Williams, 1980). A la fin de la période glaciaire, l’augmentation des pluies sur les massifs éthiopiens, le nord du Soudan et le sud de l'Égypte a causé de grands changements dans la végétation. Cette nouvelle phase humide est appelée le Nabtien. Vers 12 Ka, les pluies sur les régions des lacs des plateaux équatoriaux ont impliqué, pour la première fois, la contribution des lacs Victoria et Albert dans le système de drainage du Nil (Adamson & Williams, 1980). Ce front de pluies a duré jusqu’il y a 6,5 ka et la nouvelle rivière, δ-Néonil, est devenue pérenne avec un régime similaire au Nil d’aujourd’hui (Said, 1993).
YH : Il ne s'agit ici que d'extraits de cette très intéressante étude/thèse de doctorat anthropologique de 2006, regroupant plusieurs êtres humains de la période du paléolithique supérieur découverts sur le site de Nazlet Khater en Egypte par Isabelle Crevecoeur (Isabelle Crevecoeur. ETUDE ANTHROPOLOGIQUE DES RESTES HUMAINS DE NAZLET KHATER (PALEOLITHIQUE SUPERIEUR, EGYPTE). Humanities and Social Sciences. Universite Sciences et Technologies - Bordeaux I, 2006-2008. French., disponible sur internet à ce lien :
https://tel.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/266294/filename/CREVECOEUR_ISABELLE_2006_1_.pdf
On ne peut s'empêcher de constater qu'en lisant la majorité des études anthropologiques concernant les premiers Homo Sapiens Sapiens et les derniers Hommes "archaïques", on retrouve le même point commun : tous nos ancêtres semblent affligés de maladies du développement ou des anomalies génétiques ou d'environnement, des pathologies diverses... de maladies (ou associées de nos jours comme telles) liées aux apparences physiques ou aux membres, à la posture et à la croissance (pour parler simplement)... cette étude de déroge pas à cette sorte de "règle" et constat mais on ne trouve pas par contre d'étude tentant d'expliquer cette uniformité, ce tronc commun des maladies ou anomalies parmi tous nos ancêtres liés à certaines périodes. La deuxième constatation est cette preuve liée à l'importance du travail minier pour les hommes préhistoriques du paléolithique, au point de le faire passer par-dessus l'intérêt de l'individu même (et sa santé, sa durée de vie). Et on le constate dans tous types de mines et en de multiples endroits. On peut concevoir que la fabrication des centaines d'outils retrouvés, pour chasser, se nourrir, se vêtir, était prioritaire pour les êtres humains de l'époque... mais plus que de vivre et d'être en santé ? Assez contradictoire. Ce qui surprend aussi, c'est le nombre élevé d'outils par rapport au nombre peu élevé d'ossements et de tombes retrouvés... cette "frénésie" minière est-elle a comparée avec les affirmations de certains traducteurs d'anciens textes sumériens sur l'esclavagisme des "anunakis" sur nos ancêtres, les forçant à extraire les ressources pour eux ? Ce n'est qu'une question incongrue pour certains, mais beaucoup de découvertes semblent aller dans ce sens... y compris les affirmations de manipulations génétiques de l'être humain, voir même de sa création artificielle. Comme le disent toutes ses études anthropologiques, la variété et différenciation de l'homme préhistorique était beaucoup plus grande et importante que celle de nos jours... n'est-ce pas une conséquence reconnue de manipulations génétiques ?
Mais le site de Nazlet Khater n'est pas seulement unique pour sa préhistoire et ses mines très anciennes (moins anciennes que celles d'Afrique du Sud tout de même, mais parmi les plus anciennes d'Egypte !), c'est bien pour ça que je vous en parle aujourd'hui :

Nouvelle-Zélande : un mur trop agé ?
Nouvelle-Zélande : un mur trop âgé ?
Cet article contribue et est en lien avec d'autres visibles sur ce site et qui concernent pareillement des "anomalies" situées dans le Pacifique, en Nouvelle-Zélande et en Australie, avec (entre autres) :
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/des-trouvailles-qui-genent.html
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/australie-l-empreinte-des-ancetres.html
Qui a construit le mur de Kaimanawa ?
A quelques 30 kilomètres au sud du lac Taupo, en Nouvelle-Zélande, se dresse un site énigmatique de blocs de pierre. C'est visiblement un mur. Un mur construit par l'homme. Il est également visiblement très vieux; peut-être âgé de plus de 2000 années selon certains. Qui l'a construit ? Les passions sont fortes en Nouvelle-Zélande, où trois hypothèses sont avancées :
- Le mur aurait été construit il y a 2000 ans par les premiers colons de la Nouvelle-Zélande, les Waitahas, qui ont ensuite été presque exterminés par les Maoris, qui sont arrivés il y a seulement 800 ans. Il y a des problèmes politiques avec cette théorie, car les Maoris insistent sur le fait qu'ils sont les Néo-Zélandais d'origine, les premiers donc, et sont donc, pour cette raison, indemnisés aujourd'hui pour leurs terres expropriées par les Européens ultérieurs.
- Le mur est simplement ce qu'il reste d'une ancienne scierie (hypothétique) construite il y a seulement 50 ans environ.
- Le mur est tout simplement une formation rocheuse naturelle qui s'est rarement formée en divisant soigneusement le roc en blocs rectangulaires - comme ces dalles de roches de plage qui composent la controversée "route" de Bimini dans les Bahamas...
L'argument d'une formation "naturelle" n'est soutenue que par le fait que ces roches volcaniques ne dateraient que de 330.000 ans environ... ce qui ne veut pas dire grand chose car une découpe artificielle ne peut être datée précisément de toute façon... (03-05-1996-NZ Herald)
B. Brailsford, de Christchurch, a été l'enquêteur en chef sur la paroi de Kaimanawa, aidé par l'Americain DH Childress, et d'autres. Les pierres qui composent le mur sont des blocs de 4 tonnes de ignimbrite, une roche volcanique tendre qui auraient pu être facilement travaillée avec des outils de pierre. Le mur est surmonté d'un hêtre rouge de 2,9 mètres de circonférence et de plus d'un mètre d'humus accumulé. Selon Brailsford, qui a été interviewé par le Listener :
Investigating New Zealand's Kaimanawa wall. The stone blocks do seem to be too regular to be a natural formation. B. Brailsford (above), D. H. Childress (below). (Crédit photo T. Brown)
" Il ne fait aucun doute que les pierres ont été découpées. Les quatre pierres apparentes ressortant à l'avant de la paroi sont uniformes, de 1,6 mètres de haut et 1 mètre de large. Dans un endroit où il pouvait insérer son bras dans une cavité de racine montante on peut toucher la face arrière d'un bloc, et la face avant d'une rangée suivante (une double rangée donc, la deuxième invisible). Les faces étaient étrangement lisses, sans marques de scie ou d'herminettes. Les interstices où les blocs se joignent étaient minces comme une lame de couteau... Plus haut sur la colline, les sommets des autres pierres dépassent, suggérant qu'une structure plus vaste a été enterrée dans la colline."
Soutenant la thèse selon laquelle un peuple pré-Maoris vivaient en Nouvelle-Zélande, existent les os de kiore, un type de rat étranger à la Nouvelle-Zélande (originaire de l'Asie du Sud-Est), qui a probablement été introduit par les premiers colons. Certains os de kiore ont été datés comme étant âgés de plus de 2000 années - des siècles avant que les premiers Maoris soient arrivés.
Inutile de le dire, les archéologues et les anthropologues de Nouvelle-Zélande ne sont pas désireux de réviser radicalement leur paradigme fondamental attribuant la découverte et la colonisation de la Nouvelle-Zélande aux Maoris. Mais Brailsford et Childress sont encore plus iconoclastes : Ils suggèrent des liens vers une culture pré-polynésienne ; une culture qui a laissé des structures mégalithiques similaires ailleurs dans le Pacifique et le long de la côte ouest de l'Amérique du Sud...
Références : Chapple, Geoff; "Megalith Mystery," Listener, p. 28, May 4, 1996. Anonymous; "Kaimanawa Wall a Natural Volcanic Rock Formation," New Zealand Herald, May 4, 1996. Wellwood, Elinore; "Experts Argue over Wall's Origins," Waikato Times, May 8, 1996. Cr. T. Brown; Science Frontiers #107, SEP-OCT 1996, William R. Corliss
Bon, comme d'habitude, il est difficile d'affirmer à 100% que ce mur est artificiel ou naturel, et les géologues le reconnaissent volontiers car ils savent que des erreurs ont été commises dans le passé dans un sens ou dans l'autre : la pierre est une matière naturelle qui peut aussi bien être façonnée par la nature que par l'homme, et on sait que ce dernier a souvent accentué ou accompagné un premier "travail" effectué par la nature... il n'est donc pas impossible du tout qu'une paroi en partie naturelle ait été retravaillée et continuée par l'homme quand il est arrivé sur place... Il est avéré que d'autres découvertes archéologiques en Nouvelle-Zélande jettent le doute sur les réelles dates d'arrivée de l'homme dans la région, et le réel secret et dates de divulgation de certaines découvertes sur 80 années dans le futur n'ont pas été démenties par le gouvernement...
Yves Herbo traductions, Sciences, Faits, Histoires, 23-03-2015

Les Lampes de Denderah
Les Lampes de Dendérah
Les lampes de Dendérah sont ce qu'on pourrait définir comme de parfaits OOParts réels, à savoir un ou plusieurs objets historiques, archéologiques ou paléontologiques trouvés dans une période historique totalement étrangère aux objets eux-mêmes. Le terme a été inventé par le cryptozoologue Ivan T. Sanderson et depuis lors, il est souvent utilisé par ceux qui tentent d'expliquer des théories officielles historiques - c'est devenu un terme scientifique reconnu. On peut immédiatement et sans tarder faire un rapport très étroit avec d'autres artefacts OOParts découverts autour de l'ancienne Bagdad, en Irak, et aussi des vases de 5200 ans d'âge, en cuivre plaqués avec de l'argent à Sumer, c'est à dire des amphores contenant un système ingénieux les transformant en véritables PILES électriques (testées), permettant entre autres la galvanoplastie, c'est à dire le placage d'argent ou d'or sur une autre matière (à l'aide d'un bain de "sels d'or ou d'argent" déjà connus des savants chimistes ou alchimistes anciens comme Imhotep ou Amenhotep) ... mais un système d'éclairage (ou de "lampe-torches") n'est pas à exclure... voir ci-dessous...
Notez bien que les graveurs ont bien pris soin de bien marquer la délimitation du verre de l'ampoule géante, y compris sur le grand personnage principal, et en prenant également soin de rendre la transparence du verre : on voit le personnage en transparence. De plus, sur cet exemplaire, le "dieu air" supporte bien cette ampoule, qui n'a aucune apparence de fleur de lotus d'ailleurs. Seul le bout "conducteur" de l'ampoule est joliment travaillé en forme de fleur de lotus (on peut d' ailleurs trouver un genre de lampe de chevet avec embout en forme de fleur de lotus de nos jours !). Quant au serpent, tout le monde peut admettre qu'il pourrait tout aussi bien s'agir du fil à incandescence (par exemple) au milieu de l'ampoule... ou de l'arme !
Le système égyptien a été construit et testé avec succès...
Les lampes de Dendérah sont exactement semblables à des lampes , mais figurent dans un bas-relief du temple d'Hathor à Dendérah (Egypte), datant de la quatrième dynastie, qui est à plus de 4500 ans d'aujourd'hui. Le mur a été découvert dans une petite crypte du Temple. Certains prêtres sont représentés dans la gravure, avec l'intention d'arbitrer une cérémonie autour des objets qui ont été définis par des fleurs de lotus par l'archéologie officielle (sic), avec dans le centre un serpent qui vient représenter un mythe antique égyptien lié au dieu Osiris. Mais comme nous le voyons dans l'image ci-dessous cette conception se prête à de nombreuses interprétations :
Des théories alternatives proposent une interprétation tout à fait différente de l'interprétation officielle, et qui est devenue célèbre comme la théorie des " Lampes Dendérah " , mais qu'est-ce qui a conduit à penser à cela ?
Les partisans de la théorie alternative croient que la tige de la fleur de lotus pourrait être une sorte de câble électrique, le type de soutien qui est supposé être une représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris serait plutôt la première représentation d'un isolant électrique, tandis que la ligne ondulée qu'on voit à l'intérieur serait une sorte de fil d'un métal conducteur semblable à celui trouvé aujourd'hui dans les ampoules modernes, avec autour du verre. Ci-dessous la théorie reportée sur le papier qui nous permet de mieux observer les différents éléments :
En effet, si nous regardons bien à examiner le schéma dans l'ensemble, cela semble montrer deux instruments utilisés pour une sorte de fonction. Beaucoup de conjectures ont été faites sur la technologie des anciens Égyptiens, mais auraient-ils également découvert l'électricité ? Arrêtons-nous sur les détails, comme nous l'avons déclaré, le soutien serait la représentation de la colonne dorsale du dieu Osiris, est très similaire à un isolant électrique qui peut être vu quotidiennement sur des lignes électriques aériennes, et qui servent à isoler les colonnes du " câble à Haute tension ", dans la photo ci-dessus nous voyons la comparaison, et comme vous pouvez le voir, ils sont très similaires.
Cet ensemble de fil-serpent à l'intérieur de l'ampoule est ce qui tape le plus à l’œil en particulier, mais si vous avez vraiment envie de voir si c'est possible, regardez les dessins et les diagrammes ci-joint, dans lesquels vous pourrez trouver plus de détails liés à des signes avant-coureurs d'un véritable système électrique.
1 -Prêtre
2 -vapeur ionisée
3 -une décharge électrique (Serpent)
4 -douille de lampe (fleur de lotus)
5 -câble (la tige de la fleur de lotus)
6 -Dieu d'air
7 -isolant
8 -symbole du danger [Thot avec des couteaux]
9 -symbole de l'actuel
10 -symbole de la polarité opposée
11 -outil pour la conservation de l'énergie (batterie?)
Plusieurs chercheurs (Peter Krassa, Reinhard Habeck...) soutiennent cette hypothèse, ils notent également que la tige d'une fleur de lotus de pousse pas à l'horizontal sur le sol comme sur la gravure mais que dans la plupart des cas la tige de fleur de lotus n'est pas visible du tout puisque la fleur est immergée dans l'eau en principe. En outre, une fleur de lotus n'a jamais été reproduite avec ce genre de boule de verre ailleurs, et que même si le concept était de représenter le serpent né du lotus, ce ne serait pas logique de faire une telle chose. Une autre chose qui a provoqué beaucoup de discussions est le fait que le Dieu Thot est présent avec des couteaux à la main, ce que les Égyptiens avaient l'habitude d'utiliser comme symbole de grand danger. Une simple fleur de lotus qui ne pourrait jamais produire un tel danger ?
Mais les coïncidences ne s'arrêtent pas là : peu de temps après la découverte du Temple de Dendérah (en 1857), le scientifique britannique Sir William Crookes se met à construire une lampe qui émet des rayons X, appelée "tube de Crookes", dans laquelle nous pouvoir voir de nombreuses similitudes avec la lampe de Dendérah dans ses principes :
Un câble qui part de l’extrémité du tube de Crookes atteint un isolant à haut voltage, la prétendue Egypte ancienne était représentée par un symbole appelé ZED. Le même objet que l'on retrouve à l'intérieur de la grande pyramide de Gizeh, toujours présumé catalyseur d'énergie, est visible dans de nombreuses autres représentations et dispersé dans toute l'Egypte. Dans l'image ci-dessous nous pouvons voir l'intérieur de la pyramide ZED.
A l'intérieur du tube de Crookes, la lumière est diffusée à travers une bobine lumineuse qui serpente et curieusement, c'est la même chose dans le bas-relief à Dendérah. Nous savons que les anciens Égyptiens appelaient le serpent né du lotus comme "Seref", qui signifie «lumière», juste une coïncidence ? Peut-être que le mythe du serpent né de la fleur de lotus peut être retracé dans le sens où il figure la lumière qui provient d'une ampoule...
Mais alors, les Égyptiens avaient vraiment découvert l'utilisation de l'électricité 4000 ans avant Benjamin Franklin et les piles avant Volta ? Sur cette idée, il y a eu beaucoup d'études et des découvertes, nous savons que le phénomène de l'électricité a également été étudié par les anciens Grecs et les Babyloniens (les Piles de Bagdad sont visibles par tous (ou étaient) au Musée de la ville, les preuves de plaquages d'or et d'argent antiques existent, et les découvertes chimiques sont attestées (les particules et poudres d'or et d'argent)), et que par conséquent, ces peuples anciens étaient au moins au courant de la possibilité d'exploiter cet élément naturel.
De plus, le Temple de Dendérah est aussi controversé parce qu'il contient un zodiac. A priori il a été construit sous Ptolémée, alors que les anciens Grecs envahissaient l'Egypte. La conclusion a été que le zodiac a été un apport des anciens Grecs aux Égyptiens, à travers lequel de panthéon des dieux grecs a rejoint celui des égyptiens. L'autre argument est que le zodiac de Dendérah prouve que les égyptiens connaissaient les étoiles et que leurs dieux étaient identiques à ceux des grecs. Après tout, on sait aussi que beaucoup d'érudits grecs sont venus étudier en Egypte, une éducation dont peu se sont vantés dans leurs écrits célèbres...
Si tout ceci est toujours un mystère ou tout simplement une hypothèse, nous savons tous que les grands anciens peuples égyptiens étaient capables de choses étonnantes...
Yves Herbo, Sciences,F., Histoires, 07-08-2012, 22-03-2015

Les piles électriques antiques
Les piles électriques antiques
Batterie-pile - de 2500 av JC à 230 ap JC (estimations)-Bagdad
L'archéologue autrichien, le Dr Wilhelm König, s'est penché sur un "objet cultuel" délaissé dans des caves du musée de Bagdad dès 1938.
Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de 15 centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre. Emergeant du bouchon bitumineux, une tige en fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre en cuivre et isolée de celui-ci à sa base par un tampon en bitume ; le cylindre de cuivre étant soudé avec un capuchon par un alliage plomb/étain.
Plusieurs de ces piles ont été trouvées dans les ruines de Khujut Rabu, ville Parthe, aux alentours de Bagdad. Les Parthes, farouches guerriers, ont dominé la région entre 250 av. J.C. et 230 ap. J.C. Dix autres piles furent découvertes plus tard à Ctesiphon. On ne peut que supposer que ces guerriers se sont procurés ces piles par des pillages de temples ou cités antiques...
Le cuivre porte une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent. On pense qu'elles sont beaucoup plus anciennes car on a retrouvé également des vases en cuivre plaqués argent dans un site Sumérien vieux d'au moins 2500 ans av. J.C.
Différents spécialistes ont reconstruit la pile en utilisant du jus de raisin comme électrolyte et ont effectivement obtenu un courant électrique, suivant les expérimentateurs, entre 0,5 et 1,5 volts.
1 : Tige en fer.
2 : Bouchon en asphalte.
3 : Vase en terre cuite.
4 : Electrolyte.
5 : Cylindre de cuivre.
6 : Tampon isolant en asphalte.
7 : Capuchon en cuivre.
8 : Fil de masse.
On sait que la chimie, les poudres et sels (particules d'or et d'argent) étaient déjà connus des anciens égyptiens et grecs, tout au moins par leurs savants-prêtres (Imothep comme étant l'un des plus célèbres). On peut donc supposer entre autres qu'il y a plusieurs milliers d'années, les inventeurs ou tout au moins les utilisateurs se sont servis de ces piles pour "arnaquer" leurs contemporains en leur vendant du cuivre au prix de l'argent ou de l'or. On imagine alors fort bien pourquoi cette découverte est restée secrète... Il se pourrait aussi que plusieurs objets en "argent" ou "or" dans des musées soient en fait du cuivre recouvert d'une couche d'argent... ou d'or, car le plaquage à l'or est similaire...
Vase dédié par Entemena, roi de Lagash, au dieu Ningirsu. Argent et cuivre, 2400 av. J.-C. Découvert à Tello, ancienne cité de Girsu. (Wikipedia)
Les sumériens étaient des métallurgistes remarquables malgré le manque de minerais sur leur terre. L'essor de la métallurgie date tout particulièrement du DA III - ou Dynastique Archaïque III - sous la période du Bronze Ancien [-3100 à -1200 av. J.-C.]
En effet, ils devaient faire provenir les métaux de loin – cela traduisant des échanges commerciaux développés – pour pouvoir le travailler. Ils faisaient importer le cuivre – dont ils faisaient grand usage – principalement du Golf d’Oman, cette importation étant facilitée par l’accès direct à la mer par le Tigre. On a en fait découvert récemment la cité non sumérienne d'Aratta (Site de Jiroft, une ville citée dans les mythes sumériens comme étant une antique cité d'un peuple rival aux premiers sumériens), et qui était le premier fournisseur en métaux précieux (et autres) des sumériens... et ensuite, on a découvert le royaume d'Harappa (Pakistan-Hindus), qui indique également un degré de civilisation étonnant et une ancienneté à priori plus ancienne encore que Sumer et Aratta (Aratta se trouvant en Iran, entre Harappa et Sumer) !
Les techniques et avancées métallurgiques des sumériens n’eurent pas d’équivalences dans le reste du Proche-Orient ancien, en effet, au milieu du Troisième millénaire les artisans sumériens connaissaient la plupart des techniques et savaient savamment calculer les alliages.
Il est d'ailleurs particulièrement incompréhensible qu'un groupe d'hommes habitant une région dépourvue de minerais soit précisément l'inventeur de la métallurgie et même d'autres techniques : les Sumériens sont apparus subitement vers 8000 Av JC dans cette région, et il est manifeste qu'ils connaissaient déjà ces alliages auparavant, là d'où ils venaient (Mu, Atlantide, autre...) ou qu'effectivement, un contact "étranger" (les Annunakis décris dans les textes sumériens ?) leur ait amené ces techniques...
Mais cette connaissance d'une forme de l'électricité et de son utilisation à des fins technologiques ne semblent pas s'être arrêté là... de plus en plus d'archéologues et d'égyptologues honnêtes, non assujettis aux dogmes francs-maçonniques qui ont façonnés l'Histoires des 19ème et 20ème siècles, pensent que les anciens égyptiens et les dynasties jusqu'aux Ramsès, savaient non seulement plaquer l'argent et l'or sur le cuivre ou l'étain à l'aide de piles-amphores et des sels d'or probablement inventés vers 4000 ans Av JC, mais avaient aussi développé, pour l'élite des prêtres et des rois, l'utilisation de la lumière électrique et des ampoules. Plusieurs peintures et textes semblent décrire ces objets fragiles et si certains artefacts ont été trouvés, ils ont été probablement détruits ou cachés, comme tant d'autres qui ne correspondaient pas aux dogmes (et sentiment de supériorité) de la civilisation "des blancs" des 18ème siècle à nos jours...
Yves Herbo, Sciences, F, Histoires, 01-2012, 03-2015

OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 21-03-2015
OVNIs : Matin OVNI dans le monde du 21-03-2015
Matin OVNI dans le monde du 21-03-2015 d'ODH TV est réalisée et vous est présentée par Gilles Thomas.
Au programme de cette nouvelle édition :
Actualité Ovni dans le monde récente et interview de Laurent Boulanger, Directeur de la revue Lumières dans la nuit et Ghislain Sanchez, fondateur de la Centrale Ufologique et de l'Opération Suricate en 2005.
L'émission est en collaboration avec :
http://Sciences, Fictions, Histoires
http://investigationsoanisetoceanogra...
http://area51blog.wordpress.com/
http://ufoetscience.wordpress.com/
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Yves Herbo Relai-Sciences, F, Histoires, 21-03-2015

Citations officielles sur les OVNIs
Citations officielles sur les OVNIs - 04-01-2012 - MAJ 03-2015
St George, Minnesota-21-10-1965
Vous trouverez ci-dessous une liste de citations officielles de Présidents, Premiers Ministres, astronautes de la NASA, militaires retraités, capitaines de compagnies aériennes et d'autres encore... Sachez aussi que d'après les bases de données, à fin 2005, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d'OVNIs publiquement depuis 1947. Sachant que seuls 10 % des témoins tout-venant contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s'agissant des pilotes. Vous trouverez facilement ces témoignages, entre autres celui du colonel Jacques Krine, ancien chef de la Patrouille de France, et qui a appuyé son témoignage avec un livre d'ailleurs...
Autre référence : http://benzemas.zeblog.com/27396-declarations-des-pilotes/#ixzz1jATWKBep
Lorsqu'un grand nombre de personnes d'un certain calibre social, y compris des "officiels" vont jusqu'à prêter serment pour certains et affirmer l'existence d'une intrusion d'OVNIs permanente, ça implique de sérieuses questions derrière... mais peu du côté officiel justement !
Warminster, Ecosse - 1965
L'ancien président américain Ronald Reagan
Décrivant sa rencontre avec un OVNI en 1974 au journaliste Norman C. Miller, chef du bureau pour le Wall Street Journal à Washington.
"J'ai regardé par le hublot et j'ai vu cette lumière blanche. Il zigzagait tout autour. Je suis allé voir le pilote et lui dit:" N'avez-vous jamais vu quelque chose comme ça? " Il a été choqué et il a dit:" Non. " Et je lui ai dis : «Nous allons le suivre !" Nous l'avons suivi pendant plusieurs minutes.C'était une lumière blanche et brillante. Nous l'avons suivi à Bakersfield, et tout d'un coup à notre grand étonnement, il est allé directement vers le haut dans les cieux. Quand je suis descendu de l'avion j'ai tout dit à Nancy (Reagan) à ce sujet. ".
Ancien président soviétique Mikhaïl Gorbatchev
"Le phénomène des ovnis est réel. Je sais qu'il y a des organisations scientifiques qui étudient le problème. Il doit être traité sérieusement."
L'ancien Président des Etats-Unis, Jimmy Carter après son observation avec beaucoup d'autres d'un OVNI à Leary, Georgie en Octobre 1969.
«C'était la chose la plus étrange que j'ai jamais vu. Il était grand, il était très brillant, il a changé ses couleurs, et il était environ de la taille de la lune. Nous l'avons observé pendant dix minutes, mais aucun de nous ne pourrait comprendre ce que c'était. Une chose est sûre : je ne me moquerai plus jamais des gens qui disent qu'ils ont vu des objets volants non identifiés dans le ciel ".
Le Gouverneur de l'Arizona Fife Symington III, dans une interview avec The Daily Courier au sujet des lumières de Phoenix.
« Je suis un pilote et je connais à peu près toutes les machines qui volent. Elle était plus grande que tout ce que j'ai jamais vu. Ca reste un grand mystère. D'autres personnes en ont vu, des gens responsables. Je ne sais pas pourquoi les gens pensent que c'est ridicule ».
Le président américain assassiné John F. Kennedy
"La Force aérienne des États-Unis m'assure que les ovnis ne constituent aucune menace à la sécurité nationale."
L'ancien président américain Gerald Ford
« Je recommande fortement qu'il y ait une enquête de comité sur le phénomène OVNI. Je pense que nous devons au peuple d'établir la crédibilité concernant les ovnis et de montrer le plus possible d’intérêt à ce sujet."
Le sénateur Richard Russell
Chef de l'Armed Services Committee, suite à son observation d'un OVNI pendant un voyage officiel à l'Union soviétique en 1955.
" J'ai discuté de cette question avec les agences existantes du gouvernement, et ils sont d'avis qu'il ne serait pas sage de faire connaître ce sujet en ce moment. "
Amiral Lord Hill-Norton
Marine royale britannique, ancien chef de la Défense, 1973; président, Comité militaire de l'OTAN, de 1974 à 1977. Lors d'une interview filmée pour le programme de divulgation :
" J'ai souvent demandé pourquoi à une personne de ma formation, un ancien chef d'état major de la Défense - et un ancien président du Comité militaire de l'OTAN - pourquoi je pense qu'il y a un secret caché (cover-up) sur les faits au sujet des ovnis. Je crois que les gouvernements craignent que si ils divulguent ces faits, les gens paniqueraient. Je ne crois pas du tout.
Il y a une sérieuse possibilité que nous soyons visités par des gens venant de l'espace.Il nous appartient de découvrir qui ils sont, d'où ils viennent, et ce qu'ils veulent. "
"La preuve qu'il y a des objets qui ont été vus dans notre atmosphère, et même sur la terre ferme, qui ne peuvent être comptabilisés soit comme des objets artificiels ou comme une force physique ou un effet connu de nos scientifiques, me semble être écrasante. Un très grand nombre d'observations ont été attestées par des personnes dont les pouvoirs me semblent incontestables. Il est frappant de constater que tant de gens ont été des observateurs qualifiés, comme les policiers et les pilotes de compagnies aériennes ou des pilotes militaires.Leurs observations ont dans de nombreux cas été soutenues soit par des moyens techniques tels que le radar ou, encore plus convaincantes, par des interférences avec des appareils électriques d'un genre ou un autre. "
Général Kanshi Ishikawa
Chef de la Force aérienne du Japon de la sécurité aérienne des Forces de défense, dans une déclaration en 1967.
" Les OVNIS sont réels et ils peuvent venir de l'espace .... des photographies et divers matériaux montrent scientifiquement qu'il y a des gens plus avancés qui pilotent des soucoupes et des vaisseaux-mères. "
Amiral M Herbert Knowles B Marine américaine
« Je serai très heureux d'accepter cette nomination comme membre du conseil d'administration du NICAP et être répertorié comme un « croyant » dans la réalité des ovnis, avec la compréhension que je démissionnerai si il apparaît à tout moment que votre grand groupe est utilisé pour protéger des hauts gradés.
Je sais qu'il y a un réel besoin de percer les officiels de haut niveau de Washington et de révéler la vérité au peuple. Il semble y avoir une grande peur parmi les puissances qui pensent que le peuple américain va paniquer si on leur dit la vérité. Combien ils connaissent et comprennent peu leurs compatriotes. J'ai l'impression que des millions de personnes croient déjà à la réalité des OVNIS. "
Major Gerald Smith
Air Force américaine. Un des pilotes de F-106 engagés sous les ordres du NORAD (North American Air Defense Command) pour enquêter sur un OVNI au-dessus de West Palm Beach, en Floride, le 14 Septembre 1972. L'OVNI a été vu à travers des jumelles par le superviseur de la FAA, Morales George, aperçu par un capitaine des Eastern Airlines, la police et plusieurs civils, tout en étant suivi au radar par l'aéroport international de Miami et de Homestead AFB.
« Il y avait quelque chose de précis dans le ciel ... Si il avait prouvé être hostile, nous l'aurions détruit."
Commandant général Nathan Twining F
Air Material Command, Air Force des États-Unis dans une lettre déclassifiés du Pentagone.
« Le phénomène est quelque chose de réel et non visionnaire ou fictif. Il y a des objets se rapprochant de la forme d'un disque, dont certains semblent plats sur le fond et en forme de dôme sur le dessus. Ces objets sont aussi grands que les avions de l'homme et ont une lumière métallique ou une surface réfléchissante. En outre, ils présentent des taux extrêmes de vitesse, une maniabilité sans sonorité associée et prennent des mesures qui doivent être considérés comme évasives lorsqu'ils sont contactés par des avions et des radars. "
Le major Jesse Marcel
Officier de renseignements américain de l'armée dans une interview filmée. Parmi les premiers à arriver sur le site du crash de Roswell, Marcel connaissait bien tous les ballons météorologiques lancés par le 509ème groupe de bombardement - y compris les ballons Mogul - dont le gouvernement américain prétend qu'il s'agit de l'épave de Roswell.
" J'ai été étonné de ce que j'ai vu. La quantité de débris qui étaient éparpillés dans une telle zone ... Plus je voyais ces fragments, plus je réalisais que ce n'était pas quelque chose que je connaissais. En fait, il s'est avéré que personne d'autre ne connaissait ce que c'était. Il y avait une certaine dissimulation en place à ce sujet. "
Le colonel Thomas Jefferson Dubose
Adjudant à Brigue. Le Général Roger Ramey, au moment de l'incident de Roswell, dans une déclaration qui contredit l'histoire officielle, qui dit que le matériel a été volé à Fort Worth, au Texas, où Ramey a posé avec le Major Marcel et les pièces d'un ballon météo pour les photographes des médias.
« Il y avait des ordres pour expédier le matériel de Roswell directement à la base de Wright Field par avion spécial."
Sergent-major Robert Dean O
Ancien analyste du renseignement de l'OTAN pour le SHAPE (Supreme Headquarters Allied Powers Europe)
"Wright Patterson Air Force Base a été le siège de la division des technologies étrangères de la Force aérienne américaine. Il est devenu plus tard le siège de la division technologie extraterrestre de la Force aérienne américaine.
Wright-Patterson, pendant de nombreuses années a été le dépositaire central, non seulement du matériel, mais aussi de quelques-uns des petits corps, et même de certains membres de l'équipage vivants qui avaient été récupérés. Il est devenu très clair après un certain temps qu'il n'y avait pas assez de place à Wright-Patterson Air Force Base. Nous avons littéralement rempli hangar après hangar avec le matériel.
Nous sommes aujourd'hui en train de le stocker dans au moins trois différentes bases aériennes et une grande partie est gardé sous terre à un endroit pas trop loin de Las Vegas, juste au-delà de la Base aérienne de Nellis, qui est mentionnée à plusieurs reprises avec Dreamland, Groom Lake, ou le site 51. Ce site est aujourd'hui l'un des plus grands dépôts de matériel. "
Le capitaine Eddie Rickenbacker
«Ace of Aces américain,« médaille d'honneur du commandant-en chef de l'Escadron de Poursuite Aero 94e Première Guerre mondiale
" Les soucoupes volantes sont réelles. Trop de bons hommes les ont vus, qui n'ont pas eu des hallucinations."
Le colonel De Brouwer Wilfred
Chef des opérations pour la Force aérienne belge en 1990 après une série d'observations sur le pays vu par des centaines de personnes. Beaucoup des observations ont été confirmées sur le radar.
«La Force aérienne est arrivé à la conclusion qu'un certain nombre de phénomènes anormaux c'est produit dans l'espace aérien belge.
Les nombreux témoignages d'observations au sol renforcés par les rapports de la nuit des 30 et 31 mars 1990 nous ont conduit à l'hypothèse qu'un certain nombre d'activités non autorisées aériennes ont eu lieu.
Le jour viendra sans doute où le phénomène sera observé avec des moyens technologiques de détection et de collecte qui ne laissera pas le moindre doute sur son origine.
Cela devrait soulever une partie du voile qui a couvert le mystère depuis longtemps; un mystère qui continue d'être présent.Mais il existe, il est réel, et cela est en soi une conclusion importante. "
Victor Marchetti
Ancien adjoint spécial du directeur exécutif de la CIA, dans un article écrit par lui pour Second Look intitulé " Comment la CIA Voit le phénomène OVNI Vol 1, No 7, Washington, DC, mai 1979.
« Nous avons effectivement été contactés, peut-être même visités par des êtres extraterrestres, et le gouvernement américain, en collusion avec les autres puissances nationales de la Terre, est déterminé à garder cette information cachée du public en général."
Le général Nathan Twining Chef d'état-major de la Force aérienne des États-Unis, Président du Joint Chiefs of Staff
"Cette situation des « soucoupe volante » n'est pas du tout imaginaire et est très perçue comme étant certains phénomènes naturels. Quelque chose est vraiment en train de voler autour. Le phénomène est quelque chose de réel et non visionnaire ou fictif. "
Air Marshall Nurjadin Roesmin Commandant en chef de l'Armée de l'Air indonésienne en 1967
" Les OVNIS aperçus en Indonésie sont identiques à ceux observés dans d'autres pays. Parfois, ils posent un problème pour notre défense aérienne et une fois nous avons été obligés d'ouvrir le feu sur eux. "
John Callaghan
Chef de la FAA sur les accidents et les enquêtes lors d'une interview filmée pour le programme de divulgation.
" L'OVNI rebondissait autour du 747. C'était une énorme boule avec des feux autour d'elle.
Eh bien, j'ai été impliqué dans beaucoup de cover-up avec la FAA. Lorsque nous avons fait la présentation au personnel du staff de Reagan (airport), tous ces gens jurent que ce n'est jamais arrivé. Mais ils n'ont jamais pu me faire jurer que cela n'a jamais eu lieu. Je peux vous dire ce que j'ai vu de mes propres yeux. J'ai une cassette vidéo. J'ai la bande vocale. J'ai des rapports qui ont été déposés qui confirmeront ce que je viens de vous raconter. "
Le major Donald Keyhoe lors d'une émission TV en direct sur CBS en 1958, dans lequel il dit avoir été retiré du programme quand il a commencé à s'écarter de la forme du programme prévu.
" L'Air Force avait lancé un ordre secret à ses pilotes pour capturer les ovnis. Dans les six derniers mois, nous avons travaillé avec un comité du Congrès pour enquêter secrètement sur la preuve que les OVNIS sont de véritables machines sous contrôle intelligent. "
Capitaine Robert Salas
Air Force américaine, lors d'une interview filmée pour le programme de divulgation.
"Le gardien de sécurité a appelé et dit:« Monsieur, il y a un objet rougeoyant qui plane juste devant la porte avant. J'ai tous les hommes ici dehors avec leurs armes chargées. "
"Nous avons perdu entre 16 à 18 ICBM (nucléaire pointe Inter Continental missiles balistiques) dans le même temps que les ovnis étaient dans la zone (Un haut gradé de l'Air Force) a ordonné : Arrêtez l'enquête ; rien à faire de plus à ce sujet et de ne pas écrire un rapport final. "
"J'ai entendu que beaucoup de sentinelles, qui ont signalé l'incident, ont été envoyées au Vietnam..."
Lieutenant D. Swimley
Air Force des États-Unis, en commentant une observation de huit objets en forme de disque que lui et plusieurs de ses collègues policiers ont regardé encerclant la Hamilton Air Force Base, en Californie, le 3 août 1953. Les objets ont également été accrochés sur le radar et repérés par de nombreux pilotes civils. Des F-86 Sabres ont été envoyés pour intercepter les objets, mais les jets étaient apparemment trop lents.
«Et ne me dites pas qu'ils étaient des réflexions (lumineuses), je sais qu'ils étaient des objets solides."
Air Chief Marshall Lord Dowding Commandant de la RAF durant la Seconde Guerre mondiale.
"Plus de 10.000 observations ont été rapportées, dont la majorité ne peut pas être représentée par des explications « scientifiques », par exemple, qu'elles sont des hallucinations, des effets de la réfraction de la lumière, des météores, des roues tombant d'avions, etc. Ils ont été suivis sur les écrans radars et les vitesses observées ont été aussi grandes que 9,000 mph. (14 500 km/h). Je suis convaincu que ces objets existent et qu'ils ne sont fabriqués par aucune nation sur terre. Je ne vois donc aucune alternative à accepter la théorie qu'ils proviennent d'une source extraterrestre. "
Roscoe Hillenkoetter
Ancien directeur de la CIA dans une déclaration publique, 1960.
"Dans les coulisses, des officiers de haut rang de la Force aérienne sont discrètement concernés par les ovnis. Mais à travers le secret officiel et le ridicule, de nombreux citoyens sont amenés à croire que les objets volants inconnus sont un non-sens."
Dr J Allen Hynek Ancien directeur de l'aviation américaine secrète Livre "Projet Bleu" (Blue Book sur les ufo).
« Nous avions un travail à faire, que ce soit bon ou mauvais, pour empêcher le public de s'énerver."
« Lorsque la solution tant attendue au problème OVNI arrivera, je crois qu'elle va se révéler non seulement être l'étape suivante dans la petite marche de la science, mais un bond quantique prodigieux et totalement inattendu."
Le lieutenant-colonel James McAshan Air Force des États-Unis
«En dissimulant les preuves des opérations d'OVNI, l'Air Force est une grave erreur."
J Edgar Hoover Ancien directeur du FBI
"Nous devons insister sur le plein accès aux disques récupérés. Dans le cas où l'armée l'a saisi et ne nous laissent pas l'avoir pour un examen superficiel."
Capitaine Kervendal Gendarmerie française
" Quelque chose se passe dans le ciel que nous ne comprenons pas. Si tous les pilotes d'avions et les pilotes des Forces aériennes qui ont vu des ovnis - et parfois les ont chassés - ont été victimes d'hallucinations, alors un très grand nombre de pilotes devrait être enlevé et interdit de voler ".
Le Colonel Philip Corso Ancien Chef de la technologie étrangère à la recherche de l'armée américaine et du Département du développement au Pentagone. Quatre ans directeur du renseignement sur le président Eisenhower personnel de la Maison Blanche de sécurité nationale.
"Qu'ils existent est sans aucun doute. Les technologies exotiques récoltés dans le tristement célèbre crash de soucoupe à Roswell, N. Mex., en Juillet 1947 a conduit directement à l'élaboration de la puce de circuit intégré, du laser et de la fibre optique, des faisceaux de particules, des systèmes de propulsion électromagnétique, de projectiles à l'uranium enrichi, des capacités de furtivité, et bien d'autres.Comment puis-je savoir? J'étais en charge! Je pense que les enfants de cette planète sont sages et ont droit à la vérité, et je pense que nous devrions leur donner. Je pense qu'ils le méritent. "
Air Marshall Azim Daudpota
Le Zimbabwe Air Force, en commentant un OVNI vu en Juillet 1985 par de nombreuses personnes et suivis sur le radar.
« Ce n'était pas un ordinaire OVNI. Des dizaines de personnes l'ont vu. Ce n'était pas une illusion, pas de réflexion, aucune imagination."
Le Dr James McDonald Physicien principal à l'Institut de Physique Atmosphérique et professeur au Département de Météorologie de l'Université de l'Arizona devant le Congrès en 1968
" Mon opinion actuelle, basée sur deux années d'étude approfondie, est que les OVNIS sont probablement des dispositifs extraterrestres engagés dans quelque chose qui pourrait être qualifié de très timidement une 'surveillance'. "
Nick Pope Chef du «bureau OVNI" chez Air Secrétariat 2-A, le ministère britannique de la Défense de 1991-1994.
"Je me concentre sur la science. Je suis intéressé par les OVNIS vus par la police et des témoins militaires. Je suis intéressé par la rencontre rapprochée de ce rapport, où leur avion a été presque en collision avec ces choses. Je suis intéressé par les observations appuyées par radar. Je suis intéressé par les bases militaires qui sont survolées par ces choses. Je suis intéressé dans le cas où vous avez des traces de rayonnement sur le terrain.
Ce ne sont pas des lumières dans le ciel. Ce ne sont pas des identifications par des individus enclins au fantastique. C'est une technologie de pointe étant rapportée par des sources fiables, des observateurs formés, et c'est quelque chose qui va au-delà de ce que nous pouvons faire. Cela me suggère que si elle n'est pas la nôtre, elle appartient à quelqu'un d'autre.Si cette technologie est meilleure que la nôtre, alors l'hypothèse extraterrestre me semble la meilleure explication. "
Maurice Chatelain Ancien chef des communications de la NASA Systems
" Tous les vols Apollo et Gemini furent suivis, à la fois à distance et parfois aussi de très près, par des véhicules spatiaux d'origine extraterrestre - soucoupes volantes, ou OVNIS, si vous voulez les appeler par ce nom. Chaque fois que cela s'est produit, les astronautes ont informé le contrôle de mission, qui a alors ordonné le silence absolu. "
L'astronaute de Cady ColemanTransmission de la NASA - Mission STS-73
« A Contrôle de la mission, nous avons un OVNI qui arpente notre position, demandons des instructions."
NASA, Scott Carpenter. Carpenter a photographié un ovni alors en orbite le 24 mai 1962.La NASA n'a toujours pas publié la photo.
" A aucun moment, lorsque les astronautes étaient dans l'espace, ils ont été seuls : il y avait une surveillance constante par des OVNIS."
L'astronaute James Irwin Apollo 15, à Frank Stranges, au retour du congrès UFO 1976, où il devait " nous informer des choses étranges qu'il voyait à la surface de la lune."
« Regardez, j'ai une raison de m'inquiéter. J'ai à prendre soin d'une famille, et ils m'ont dit de simplement m'éloigner totalement de tout ça."
Neil Armstrong
Astronaute de la NASA, le premier homme sur la lune. Octobre 21, 1999.
"Nous n'avons aucune preuve, mais si l'on extrapole sur la base des meilleures informations dont nous disposons, nous devons arriver à la conclusion que la vie existe probablement dans d'autres endroits là-bas et peut-être dans de nombreux endroits."
Musgrove Storey
Astronaute de la NASA
"Statistiquement c'est une certitude il y a énormément de civilisations avancées, d'intelligence, des formes de vie là-bas. Je crois qu'ils sont si avancés qu'ils peuvent même faire un voyage interstellaire. Je crois que c'est possible, ils sont même venus ici."
Le colonel Gordon Cooper Mercury Neuf, Gemini Five astronaute, dans un discours à l'ONU en 1985 après avoir annoncé qu'il avait vu et chassé les ovnis en Allemagne dans les années 1950. Cooper a également rapporté un objet verdâtre, qui passait devant sa capsule d'est en ouest (le contraire de la normale par rapport aux orbites humaines) lorsqu'ils sont en orbite en mai 1963. L'objet a été suivie par l'équipement au sol, à Perth, en Australie. La presse a dit qu'elle ne pouvait pas question de Colonel Cooper sur cet aspect de la mission.
"Je sais que d'autres astronautes partagent mes sentiments... Et nous savons que le gouvernement est assis sur des preuves tangibles sur des ovnis." «Je crois que ces véhicules extraterrestres et leurs équipages visitent cette planète à partir d'autres planètes qui sont évidemment un peu plus techniquement avancés que nous sommes ici sur Terre.
" Je pense que nous avons besoin d'avoir un programme de haut niveau, coordonné et visant à collecter et analyser scientifiquement les données de tous les coins de la terre sur tout type de rencontre, et de déterminer la meilleure façon d'interagir avec ces visiteurs d'une manière conviviale .... Pendant de nombreux années, j'ai vécu avec un secret, un secret imposé à tous les spécialistes et les astronautes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos instruments de radar capturent des objets de forme et de composition inconnue pour nous. Et il y a des milliers de rapports de témoins et une quantité de documents pour le prouver, mais personne ne veut les rendre publics. "
James Lovell
Gemini 7 astronautes
En Décembre 1965, les astronautes James Lovell et Frank Borman de Gemini ont vu un OVNI pendant leur deuxième orbite de leur record de 14 jours de vol. Borman a signalé qu'il a vu un vaisseau spatial non identifié une certaine distance de leur capsule. Gemini Control, à Cap Kennedy lui a dit qu'il voyait l'étage final de leur propre fusée Titan d'appoint (booster).
Borman a confirmé qu'il pouvait voir la fusée tout droit, mais qu'il pouvait également voir quelque chose de complètement différent.
Lovell: bogey à 10 heures.
Capcom: Ici Houston. Dites à nouveau, 7.
Lovell: dit que nous avons un bogey à 10 heures.
Capcom: Gemini 7, est-ce le booster ou est-ce une observation réelle?
Lovell: Nous avons plusieurs ... VISÉE RÉELLES.
Capcom: ... Distance estimée ou la taille?
Lovell: Nous avons également le BOOSTER en vue ...
Les astronautes Gordon Cooper et Ed Mitchell, dans une interview.
" Les points évidents de la preuve du fait que Roswell était un incident réel et qu'en effet, un vaisseau extraterrestre s'est crashé et que le matériel a été récupéré à partir de ce site du crash ", explique Mitchell, qui est devenu le sixième homme sur la lune dans la mission Apollo 14. Mitchell ne dit pas qu'il a vu un OVNI. Mais il dit qu'il a rencontré de hauts officiers de l'armée qui ont admis l'implication de la technologie alien et du matériel.
Cooper a déclaré à un comité de l'ONU récemment que chaque jour aux Etats-Unis, nos instruments de radar capturaient des objets de forme et de composition inconnue pour nous. Cooper spécule que le scepticisme du public envers les ovnis se déplacera de façon spectaculaire.
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-la-divulgation-d-edgar-mitchell.html
Cosmonaute Russe Victor Afanassiev
Commentant une observation d'OVNI qui s'est produite en cours de route à la station de l'espace Salyut 6 en avril 1979.
« Il nous a suivi pendant la moitié de notre orbite. Nous l'avons observé sur le côté de la lumière, et quand nous sommes entrés dans le côté obscur, il a complètement disparu. Il avait une structure artificielle, faite d'un certain type de métal, d'environ 40 mètres de long avec coques intérieures. L'objet était étroit ici et ici plus large, et à l'intérieur il y avait des ouvertures. Certains endroits ont des projections comme des ailes de petite taille. L'objet est resté très proche de nous. Nous l'avons photographié, et nos photos ont montré qu'il serait de 23 à 28 mètres de nous. "
Edgar Mitchell Astronaute de la NASA, Apollo 14 pilotes du module lunaire et fondateur de l'Institut des sciences noétiques
« J'ai changé ma position dans les deux ou trois dernières années - les deux dernières années pour être précis - pour suggérer que la preuve est assez forte pour que nous ayons vraiment besoin d'avoir une discussion ouverte et sérieuse d'une diffusion de l'information, qu'il est très clair que les gouvernements et d'autres détiennent, et que cela deviendra une partie de nos connaissances officielles ...
Maintenant, si c'est vrai ou pas, cela mérite d'être traité avec une enquête sérieuse. Il y a trop de fumée ici, pour ne par avoir de feu, et j'ai donc personnellement dans les deux dernières années parlé - Je ne sais pas les réponses, mais je l'ai fait - et je le dis, cela est allé assez loin. Si c'est vrai, il faut bien le sortir à l'air libre ; allons sortir de l'impasse ce que la bureaucratie a sur ce point. Il y a suffisamment de preuves qui pointent dans le sens que clairement, il y a des informations qui sont cachées. Jusqu'où nous pouvons aller avec elles, je ne sais pas. "
Monseigneur Corrado Balducci
À proximité du Vatican, initié théologien du pape. Monseigneur Balducci est dans une commission du Vatican enquêtant sur les rencontres extraterrestres, et comment faire face à la réalisation émergente générale du contact extraterrestre.
« Le contact extraterrestre est un phénomène réel. Le Vatican reçoit beaucoup d'informations sur les extraterrestres et leurs contacts avec les humains de ses nonces (ambassades) dans divers pays, tels que le Mexique, le Chili et le Venezuela."
"Il est vraisemblable que d'autres êtres existent, c'est à dire quelque chose qui ne soit pas trop étrange, parce qu'entre la nature humaine et la nature angélique, dont nous avons la certitude théologique, il y a un trop grand écart.
Il est vraisemblable qu'entre l'homme dont l'esprit est tellement subordonné à la matière et les Anges qui ne sont qu'esprit, existent des êtres qui ont l'esprit mais bien moins de matière et de corps que nous-mêmes et qui pourraient être ceux que nous appelons OVNI, ces personnes qui apparaissent avec ces "chars", et qui n'auraient pas qu'une science mais aussi une capacité supérieure à la nôtre".
Père José Gabriel Funes, jésuite et directeur de l’Observatoire du Vatican
" Croire qu’il existe peut-être une vie extraterrestre quelque part dans l’univers n’est pas contradictoire avec la croyance en Dieu, a estimé mardi l’astronome en chef du Vatican. Vu la taille de l’univers, il pourrait y avoir d’autres formes de vie que sur la Terre, voire des formes de vie intelligentes "
“Tout comme il y a une multitude de créatures sur Terre, il pourrait y avoir d’autres êtres, même des êtres intelligents, créés par Dieu. Cela ne contredit pas notre foi, car nous ne pouvons pas poser de limites à la liberté créatrice de Dieu“, dit-il.
“Tout comme nous considérons les créatures terrestres comme des ‘frères’ ou ’sœurs’, pourquoi ne parlerions-nous pas d’un ‘frère extraterrestre’? Il ferait quand même partie de la création“
Le Ministre des Armées Françaises Robert Galley en 1974 :
" (...) Ce que je crois profondément, c'est qu'il faut adopter vis à vis de ces phénomènes une attitude d'esprit extrêmement ouverte. Un certain nombre de progrès ont été réalisés dans l'humanité par le fait qu'on a cherché à expliquer l'inexplicable. Or, dans ces phénomènes aériens, ces phénomènes visuels (je n'en dis pas plus), que l'on a rassemblés sous le terme d'OVNI, il est certain qu'il y a des choses que l'on ne comprend pas et qui sont, à l'heure actuelle, relativement inexpliquées : je dirai même qu'il est irréfutable qu'il y a des choses aujourd'hui qui sont inexpliquées ou mal expliquées ". (...) " L'armée de l'air a, en effet, considéré depuis 1970 que les OVNI ne représentaient pas un péril quelconque, donc que ce n'était pas sa mission d'étudier ces phénomènes sur le plan scientifique. Nous considérons que c'est le rôle du Centre National d'Etudes Spatiales où des gens comme M. Poher font un travail qui nous paraît tout à fait intéressant ". (...) " Il y a aussi la multiplication, tout à fait impressionnante, des observations visuelles de phénomènes lumineux qui sont tantôt sphériques tantôt ovoïdes et qui se traduisent par des déplacements extraordinairement rapides. Tous ces phénomènes sont des phénomènes auxquels on doit prêter une certaine attention ".
A propos de l'atterrissage d'une soucoupe volante d'où un témoin aurait vu sortir de petits humanoïdes, enfin, M. Robert Galley a dit :
" Alors , là, je serai infiniment plus prudent. Mais je dois dire que si vos auditeurs pouvaient voir l'accumulation des renseignements venant de la gendarmerie de l'air, de la gendarmerie mobile, de la gendarmerie chargée des enquêtes territoriales, qui ont été transmis au CNES par nos soins, c'est effectivement assez troublant. Ce que je crois, c'est que les gendarmes sont des gens sérieux. Les gendarmes, quand ils font un rapport, ne le font pas au hasard ".
http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-divulgation-le-ministre-