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OVNIs : Noël 1972-mars 1973 - la "Chose" du Missouri
OVNIs : Noël 1972-mars 1973, la "Chose" du Lac Clearwater du Missouri
Encore issu de mes vieilles archives, cet article est malheureusement incomplet (la fin a été égarée ou jamais possédée, allez savoir !), j'ai donc fait des recherches sur internet pour voir s'il y en avait quelques autres références... et, en effet, j'ai trouvé quelques références mentionnant cette étrange affaire, en date de décembre 1972 pour ses origines, mais dont on retrouve des ramifications jusqu'en février 1973... En voilà d'abord le texte, car le document général est un peu jauni et fatigué, avec un texte assez petit, puis les documents originaux ensuite, sous forme de photos, et pour finir les autres références trouvées sur internet :
" La voiture roulait à tombeau ouvert sur la route déserte. La nuit était opaque, sans lune. Reggie Bone se pencha vers sa femme Mary, qui commençait à s'endormir sur son épaule :
- Il est deux heures et demie, dans dix minutes, nous serons arrivés.
A cet instant précis, les phares éclairèrent la plus insolite des apparitions : le long de la route, marchait une créature de petite taille, revêtue d'une tenue de scaphandrier et tenant quelque chose à la main.
" Je regardai ma femme, puis mes autres passagers, devait raconter Reggie Bone. Nous étions tellement ahuris que nous n'avons même pas songé à nous arrêter. "
Les faits remontent à Noël 1972. Reggie Bone, entraîneur d'une équipe scolaire de basket à Piedmont (Missouri, USA) et ses passagers revenaient de la messe de minuit. Quelques heures auparavant, dans la même région, un pilote d'avion de tourisme, Kenneth Pingle, avait été témoin d'un phénomène non moins étrange.
" J'étais avec un ami à qui je donnais des leçons de pilotage. Nous allions nous poser sur l'aéroport de Farmington : soudain, nous aperçûmes cette " chose " dans le ciel, qui semblait nous suivre à une distance respectable. C'était un objet de forme circulaire, dont la couleur, d'abord blanche, devint graduellement jaune, puis orange. Je décidai d'aller voir de plus près de quoi il s'agissait, et dirigeai mon appareil vers l'objet. La chose s'éloigna à une vitesse vertigineuse, et disparut en quelques secondes. "
D'autres phénomènes curieux furent encore observés, non loin de là, pendant ce week-end de Noël 1972. Deux jeunes femmes, Cathy Leach et Jean Coleman, passaient près du lac de Clearwater quand elles virent " l'eau prendre une teinte rougeâtre " puis un " objet en forme de disque apparaître à la surface ".
L'engin était totalement silencieux. Il s'élança dans les airs, et disparut derrière les montagnes. De son côté, un groupe de scouts qui campait au bord du lac, avait vu un objet brillant, de forme circulaire, glisser le long de la surface de l'eau. Quelques jours plus tard, au même endroit, dans la demi-obscurité du crépuscule, cinq pêcheurs purent observer l'étrange ballet de plusieurs objets, en forme de disque, planant au-dessus de l'eau.
Tous ces témoignages, émanant de personnes qui ne se connaissaient pas, concordaient parfaitement. Mais les autorités de l'Etat du Missouri, d'abord troublées, décidèrent de donner le moins de publicité possible à l'affaire, afin d'éviter toute panique.
Les Dossiers Secrets
Moins de trois mois après, les phénomènes du lac de Clearwater reprenaient de plus belle. Le dimanche 11 mars 1973, dans l'après-midi, deux promeneurs, MM Bruce Barry et Rick Johnson, virent l'eau du lac " entrer dans une sorte d'ébullition ". Le même jour, un journaliste de la radio de Piedmont, qui passait non loin de là en voiture, aperçut " quelque chose " volant au-dessus de la route : " Mon poste de radio tomba en panne... la " chose " continuait à s'approchait de la voiture... puis, ce fut mon moteur qui s'arrêta. Enfin, l'objet s'éloigna, alors, tout redevint normal. "
Même le chef de la police locale, Gene Bearden, finit par admettre la réalité des phénomènes. " Chaque fois que nous avions des problèmes avec nos postes de radio, nous savions que l'un de ces satanés engins volait dans le coin. " Les programmes de télévision étaient troublés de la même manière.
A l'époque, les commissariats de police de la région furent submergés de témoignages, tous étrangement semblables. La presse locale s'empara de l'affaire, et les journaux de New York et de Los Angeles rapportèrent, avec beaucoup de prudence il est vrai, certains témoignages. Aujourd'hui pourtant, les récentes apparitions d'O.V.N.I, dans le Missouri suscitent un regain d'intérêt, et pour cause : un groupe de savants américains - et non des moindres - vient en effet d'effectuer, sur l'invitation de l'Etat du Missouri, une enquête destinée à déterminer de manière précise ce qui se passa, il y a quelques mois, dans cette région des Etats-Unis. Des témoins ont été interrogés, des dossiers secrets examinés, de nouveaux rapports établis.
Le plus grand spécialiste mondial des soucoupes volantes est formel ( Hayden C. Hewes est le directeur du fameux "International UFO Bureau Inc." ) " Cette nuit-là des êtres venus d'ailleurs ont fait escale sur la Terre ".
Parmi les ensuêteurs, on relève les noms du Dr Allen Hynek, président du département d'astronomie de la Northwestern University, et celui de M. Walter Andrys, directeur du Centre de recherches astronomiques Linheimer. Les savants auraient été très impressionnés, paraît-il, par la solidité de certains témoignages. Parmi ceux-ci, le récit de cinq membres d'une équipe scolaire de basket et de leur entraîneur, Reggie Bone (l'homme qui avait déjà aperçu un " scaphandrier " sur la route, pendant la nuit de Noël).
" Nous revenions de Essex, la ville voisine, rapporta Reggie Bone aux policiers. Nous y avions disputé un match. Nous étions tous silencieux et plutôt de mauvaise humeur, car nos adversaires nous avaient battus sans difficulté. Soudain, à un détour de la route, nous aperçûmes cette chose, dans le noir du ciel. " Jamais je n'avais vu un avion voler aussi bas " déclara l'un des passagers. " Drôle d'avion " répondis-je... Il n'a pas l'air de bouger. "
Un Rayon de lumière
Quelques kilomètres plus loin, alors que nous traversions une petite vallée appelée Brushy Creek, l'objet réapparaissait, plus près de nous. Cette fois, nous arrêtâmes la voiture, pour mieux voir. La chose semblait suspendue dans l'air, à environ deux cents mètres de nous et ving mètres au-dessus du sol, et dirigeait vers la vallée un jet de lumière intense. Cette lumière, d'abord de couleur rouge, devint verte, puis ambre, puis blanche. Nous avons contemplé l'engin pendant cinq, dix minutes. Pour moi, il n'y avait aucun doute... (fin de mes archives sur ce sujet... il s'agit du magazine "Nostra" paru en mai 1973 à priori). Ces témoignages date du 21-02-1973. Mais voici la suite de cet article, trouvé sur internet ! :
"... L'appareil hésitait à se poser... puis, l'OVNI s'éleva sans bruit et disparut. "
La nuit suivante, un professeur de l'école de Piedmont, Roy Burch, sa femme, Beth, et sa soeur, Mme Kathy Keith, purent observer, à leur tour, la " soucoupe volante ".
Une Affaire très sérieuse
" Le matin, à l'école, Bone et les enfants nous avaient conté leur aventure. Je pus alors constater que bon nombre de gens avaient été témoins de phénomènes étranges du côté de Brushy Creek. Ce soir-là donc, je décidai d'aller voir, moi-même, ce qu'il en était. Nous explorâmes la vallée pendant plus d'une heure puis, ne voyant rien, décidâmes de rentrer à Piedmont. De retour à la maison, pourtant, la curiosité nous poussa à retourner une nouvelle fois d'où nous venions. Quelques kilomètres avant Brushy Creek, ma soeur nota une lumière, au-dessus d'une rangée d'arbres, du côté gauche de la route. Nous rangeâmes notre voiture et descendîmes : dans le ciel, un objet lumineux de couleur verte évoluais lentement. Nous l'avons observé pendant une quinzaine de minutes. Puis l'objet prit la direction du sud. Nous remontâmes immédiatement dans notre véhicule, et le suivîmes sur plusieurs kilomètres, aussi vite que nous le pouvions sur cette route escarpée. Enfin, nous arrivâmes à Brushy Creek. Là, plusieurs habitants de Piedmont étaient déjà arrêtés, et contemplaient l'engin. L'OVNI resta suspendu pendant une dizaine de minutes au-dessus de nos têtes, puis disparut. "
Quelques jours plus tard, au même endroit, un groupe d'étudiants de l'Université du Missouri assistait au même phénomène.
Tous ces témoignages, ajoutés à des dizaines d'autres, vont aujourd'hui permettre à l'équipe du Pr. Hynek d'établir un véritable " emploi du temps " des OVNI, lors de leurs visites dans la région de Piedmont, de décembre 1972 à mars 1973.
Une autre personnalité connue vient d'apporter sa collaboration au savant dans son enquête : Hayden C. Hewes, directeur du fameux "International UFO Bureau Inc.", fondé en 1957, chargé de passer au crible tous les témoignages concernant les OVNI, et d'éliminer les déclarations fantaisistes. Hayden C. Hewes s'est rendu sur les lieux des phénomènes, dans le Missouri, à plusieurs reprises, et a rencontré des dizaines de personnes. Son rapport, qui vient d'être publié aux USA, est formel : il s'agit là d'une des affaires d'OVNI les plus extraordinaires de ces dernières années, et, sûrement, la moins contestable : il est difficile, cette fois, de rejeter autant de témoignages émanant de personnages aussi divers, en invoquant une " hallucination collective ". L'attitude du gouvernement de l'Etat du Missouri, qui a officiellement fait appel à une commission d'enquête, démontre bien jusqu'à quel niveau l'affire a été prise au sérieux. J-L Ferrando pour Nostra 078 - 04-10-1973
Mes archives papier donc :
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
En cherchant sur internet, j'ai eu la chance d'y trouver les archives assez complètes du magazine mythique Nostra (Nostradamus), pour les années 1972 à 1975, distribuées gratuitement grâce au travail de Patrice Seray que je salut ici au passage pour son travail important pour la communauté s'intéressant aux OVNI (même si tous les articles de ce magazine ne sont pas sérieux, il y en a tout de même certains qui ont été vérifiés et repris par d'autres !) : par exemple : (http://www.fichier-pdf.fr/2011/06/16/archives-nostradamus/)
Voici donc la suite de cet article-archive ! :
D'autres témoignages lors de l'enquête (VO) :
Location. Mill Spring, Missouri Date: February 21 1973 Time: 2200 During a night of several other UFO sightings in the vicinity, Mrs. Edith Boatwright was lying in her bed when she saw a flashing light. Getting out of bed she looked out the window and saw a strange craft hovering over the utility wires. It had several lighted portholes and Edith thought she could see people or "objects" inside. It was making a quiet swooshing sound. It had an umbrella like protrusion on top. The witness was adamant that the craft was not a helicopter.
HC addition # 2922 Source: Jerome Clark, Fate May 1974 Type: A
Endroit : Mill Spring, Missouri Date 1973 Février 21 : 22H00 pendant une nuit de plusieurs autres lumières d'UFO à proximité, Mme Edith Boatwright se situait dans son lit quand elle a vu une lumière clignotante. Sortant du lit, elle a regardé hors de la fenêtre et a vu un engin étrange planer au-dessus des fils de service. Il avait plusieurs hublots allumés et Edith a pensé qu'elle pourrait voir des personnes ou des "objets" à l'intérieur. Il faisait un bruit swooshing tranquille. Il avait comme un parapluie en saillie sur le dessus. Le témoin était sûr que l'engin n'était pas un hélicoptère. Addition de HC # source 2922 : Jerome Clark, fin Mai 1974 type : A
http://www.ufoinfo.com/humanoid/humanoid1973.shtml
21 February 1973 - Elsinore, Missouri, USA - Six witnesses reported a close encounter with an object with a row of lights, hovering at 50' altitude. - (Reggie Bone incident) (Rutledge, PID,6) - Fév. 21. 1973 ; Elsinore, Soirée. Six témoins ont rapporté une rencontre étroite avec un objet ayant une rangée de lumières, planant à 50 degrès d'altitude. (incident Reggie Bone) (Rutledge, PID, 6)
http://www.nicap.org/waves/1973fullrep.htm
21 February 1973 Evening - Brushy Creek Hwy60, Missouri, USA - Bright light followed car with basketball coach, 5 players, hovered over field 100m away. Had four intense amber, green, white lights. Without sound rose straight up, disappeared over hill at high speed.
21 February 1973 20:30 - Piedmont, Missouri, USA - Photo. UFO paced at least one car, caused television interference locally. Was seen by many and photographed by one from a field near Piedmont.
21 February 1973 20:30 - Poplar Bluff Nw Us60, Missouri, USA - Nocturnal lights above and behind trees. UFO lands by road. Had lights on its side.
22 February 1973 Night - Brushy Creek, Missouri, USA - Strange object with multicolored lights over a field near Brushy Creek.
22 February 1973 17:00 - Patterson, Missouri, USA - Silver disc tilts forward, reflects sunlight over farm at treetop level.
http://thecid.com/ufo/chrono/chrono/1973.htm
" 26 fevrier 1973 "Cigarette" UFO over Essex Another of those sightings of a distant object which so frequently turn out to be misidentifications was reported in the Colchester Evening Gazette of Monday, February 26, 1973: "Housewife Elsie Long . . . got up early on Saturday morning to put the dog out, when a bright light in the sky caught her eye. "'IL was a cigarette shape and very bright,' said Elsie, of South Close, Halstead. "'It was stationary for about five minutes. Then the tait faded and it moved off slowly. It seemed to be spinning very fast by the way it caught the sun,' she said. " '1 know it wasn't a plane or a heli-copter, 1 just don't know what it was. 1 have always been interested in reading other people's scories of UFOs but this is the only one I have ever seen.' "After the object disappeared she went back to bed and told her husband what she had seen. 'He just laughed,' she * * * The Colchester Evening Gazette of February 27, 1973, printed two confirming reports by un-named witnesses, one of whom, a woman pensioner, stated that the early morning object was coloured a bright yellow. Then, on March 2, 1973, the same newspaper published a letter from a Mr. G. W. F. Ennew, of The Avenue, Wivenhoe: "1 was not surprised when I read o Mrs Long's sighting of a UFO around 7 am. 1 was in Marks Tey on the same morning. "The object I saw was in the east, and I just couldn't keep my eyes off it. "It was a most beautiful golden colour, which I kept sight of for ail of 15 minutes. When I first saw it, it seemed like a massive saucer flat on its back, then it appeared to corne upright, the sun's reflection apparently giving it a cigarette shape, confirming what Mrs Long saw. I do know one thing, I am not laughing." Credit: Ray Wilkinson of Colchester. Fsr juillet 1973 "
21 fevrier et 22 mars Missouri UFO Still on Scene The "shy UFO" has again been report¬ed in Piedmont, Mo. Dozens of residents of this small valley town located in southeastern Missouri are demanding an explanation to the light or lights they have been observing sporadi¬cally for more than two months. (See UFO Investigator, April 1973.) Since the first sighting on Feb. 21, 1973, the number of citizens who have spotted one or more bright, multicolored lights hovering, looping, or passing swiftly overhead continues to grow. More than 25 "multiple-witness sight¬ings" have been recorded, with one of them occurring during daylight outside of Piedmont. Two students et Southeast Missouri State College claim they were driving toward the town on March 22 at 4:30 p.m. when they spotted an object glistening in the sun. According to the students, it was metallic in color, moved rapidiy, and had an oval-shaped bottom. Other Piedmont residents say they have seen an object "about 30 feet in diameter." Dennis Keeney, a radio station an¬nouncer for KPWB, said he was driving his car one evening in March when "the thing appeared right in front of me. I stopped the car in the middle of the road. It appeared to have a tripod on top that spinned. The lights were like an electric welding torch." Keeney said he was able to snap a Polaroid picture of the object, but the print showed only a small white bail with blue rings and a long hazy tait. Then the UFO "just went poof I I didn't even see it leave — h was just like e racket," he exclaimed. UFO INVESTIGATOR/MAY 1973
avr-73 21/02/1973 18 piedmont missouri The Piedmont, Missouri Mess At about the middle of February, 1973, residents in and around Piedmont, Missouri began witnessing st range and unusual flying lights and objects which ca used considerable co nsternation, mainly because few of them had evergiven much thought to UFOs prior to their ex periences. Information emanating from anot her APRO member in the area of Piedmont indicates that more detailed and spectacular sightings have taken place but that in view of the publicity, the people involved have not made reports public. Efforts are being made at this time to obtain these reports and if APRO is successful , the details will be made public in future issues of the Bulletin. The most spectacular of the Piedmont s igh ti ngs (inve s tigated by Field Investiga tors Mr. and Mrs. Eugene Smit h) involved the experience of Mr. Reggie Bone, who is basketball coach for the Piedmont High School. At approximately 8:30 p.m. on the 21st of February 1973, Mr. Bone and five of his players were returning to Piedmont after having lost a regional basketball game. They had just tu rned orr Highway 60 onto Route 21 when 'he Coach and the boys noticed bright lights in the sky. Deciding that they must have been helicopter lights they continued toward Piedmont. When they arrived at the intersection of Route 21 and Highway 34 one of the boys noliced the same bright lighu again , only this time the ligh ts were sitt ing still at an estima ted SO feel alt itude and approximately 200 yards from the road. Bone then stopped the car and turned off the engine and lights. He and the hoys gol out of the car to gel a close r look at what they at the time believed to be a helicopter in trouble. What they saw was four lights of different colors: white, amber, blue and red. They were flashing and rotati ng bu t apparently not in any particular sequence. Due to the brightness of the light~ the group was not able to discern the shape of the object behi nd the lights (if there was one). Thc six individuals Piedmont (Conlinued from Page One) observed the Iignts for approximately 13 minutes during wnich time the objects did not move or make any sound. At the end of that period tne lights began to rise straight up at high speed, then stopped and headed toward the tree line and disappeared behind a hill. The night was clear, there was no wind or moon, and the temperature was approximately 45 degrees. Some of the more interesting cases follow : At about 4:30 p.m. on the 22nd of March, 1973, Mr. Ron Miller and Joe King were enroute from Southeast • PAGE 3 Missouri State University, east of Patterson in Wayne County on Missouri Sta te Highway 34. They observed a metallic-looking object wroch appeared to reflect the sunlight. They stopped the car to get a better look, glanced away for a second and when tney looked back the object was gone. Another most interesting sighting was made by Mrs. Margorie Cundiff, manager of the Piedmon t Country Club. Sunday, May 25th, was a misty day and at just after 12 noon Mrs. Cundiff was driving across the dam, happened to look out across the lake to check the water level because of the large amount of rain the area had recently received . She suddenly noted a "fast movement" and waves, and thought someone was water-skiing. Then a "flat, square-topped object" came up out of the water, and made a big turn. Her description in Mr. Sexton's column does not say what exactly happened to the object, whether it continued down the channel or if it took to the air. A few nights later, Mrs. Cundiff said, she was awakened by her dogs growling. She said she put them out and they started barking angrily. Looking out, she noticed a strange light and decided to drive out and see what it was. She drove down by the dam, whereupon her car radio ceased to fUnction. She drove off the dam, she said, and a quarter of a mile down the road the radio began to play again. In an interview with radio station KPWB in Piedmont, Earl Turnbaugh said that he observed a cone-shaped object hovering about 40 feet above a field near Brushy Creek, south of Piedmont on the night of March 14. The object was visible only during lighting flashes and a rod was seen protruding from the top of it, according to Turnbaugh. In the early stages of the activity a self-proclaimed UFO "expert" arrived upon the scene and by the time he departed he had succeeded in frightening the local populace by regaling them with tales of dead and maimed people who had been victims of UFOs. Mr. Kim Sexton, writing in the Independence, Missouri Examiner devoted a three-part series to the situation in Piedmont, and was quite candid in his description of the "expert". At the end of the first in the series Mr. Sexton said: "Some persons seem to take adva ntage of the fears of the community. I have found on two UFO research missions. Read tomorrow about "UFOlogists" who live comfortably at no charge when a panic-stricken community reaches out to them." In his second of the series, Mr. Sexton pointed out that he had met the "UFO expert" wRile researching the "Missouri Monster" which had been...
21 fevrier 1973 'Shy LIFO' Seen in Missouri A high school basketball coach and five members of his team were among the first to spot what the residents of Piedmont, Mo., now call the "shy UR)." At least a dozen residents of this com-munity, located approximately 135 miles south of St. Louis, have reportedly seen the UFO. They cail it "shy" because it only appears on dark nights and zooms away before anyone can get close to it. The object has reportedly followed cars along Route 49, illuminating the high¬way in front of them. The first sighting occurred Feb. 21 when Coach Reg Bone of Clearwater High School and five members of his team were returning from a basketball tournament in Essex. According to Bone, he was driving along U.S. 60 near Elsinoro when he and his passengers saw a bright shaft of light beaming down out of the sky. As the car pulled off onto Route 49, one of the boys yelled out, "There's the thing we saw back on Highwai 60." Bone stopped the car on the shoulder of the highway and got out to observe the "bright but silent abject." "It looked like it was about 50 feet off the ground and maybe 200 yards a¬way — it was impossible to determine the size or shape because of the darkness. Anyway, we ail saw four lights like maybe coming— from porthores red, green, amber, and white. We figured they were about three or four feet apart, ail in a row." One of Bone's players, Cary Barks, said, "We stood there and watched it for five to tan minutes. Thon it went direct¬ly up in the air with absolutely no noise and just disappeared over a hill." Word of the sighting spread quickly in the community, and the next night three aduit citizens of the tocan also re¬ported observing an 'abject with blinking white, green, amber, and red lights, "Red seemed to predorninate," said one of the adults, "A11 of a sudden it started bouncing around, and the lights started blinking again." As the object began to move away, the trio attempted to follow it down the highway but lost sight of it as it dis¬appeared over a hill. UFO INVESTIGATOR/APRIL 1973
http://swords-and-veeblefetzers.blogspot.com/2010/11/ufo-flying-saucers-4-mississippi.html
Piedmont, Missouri 1973, prise de vue de 10 secondes de ce qui ressemblait à l'oeil nu à une seule boule de lumière non
identifiée qui bougeait de gauche à droite. Cependant, au lieu de l'unique ligne droite à laquelle on se serait attendue,
plusieurs lumières apparurent sur la photo. Film: Kodak 2475, ASA 1000. Lens: 35 mm, f/3.5. Image © John Wilson,
Project Identification © 1981 by Harley D. Rutledge, Ph.D .
Le Pr. Harley D. Rutledge, Ph.D., qui était directeur du département de physique de l'université d'état du sud-est du Missouri à Cape Girardeau, décida d'enquêter. Le Pr Rutledge monta une équipe d'observateurs avec des télescopes Questar, des équipements de contrôle de fréquence sophistiqués et des appareils photos. Il surnomma son effort de recherche "Projet Identification" et produisit plus tard en 1981 un livre sur la question : Quelles étaient ces lumières dans le ciel qui semblaient imiter les étoiles, les hélicoptères et les avions ?
Le Pr Rutledge appela une partie du phénomène des « pseudo-étoiles ». Les pseudo-étoiles, dit il, étaient des lumières simulant les étoiles camouflées par les constellations familières de vraies étoiles. Mais les pseudo-étoiles bougeaient et le Projet Identification captura leur mouvement furtif sur des photos en accéléré.
Pose longue durée d'une pseudo-étoile qui bougeait horizontalement depuis une position stationnaire près de l'étoile
Capella vers la gauche, vers Jackson, Missouri. Film: Kodak Ektachrome, ASA 160 pushed to ASA 400 (copied on
Ilford HP-5 film). Lens: 50 mm, f/1.4. Image © by Harley Rutledge, Ph.D., Project Identification.
Certains objets brillants ressemblaient à des feux d'avion clignotants normaux. Tandis que d'autres lumières étranges, mystérieuses, semblaient violer les lois connues de la physique de la Terre comme si elles étalaient leurs extraordinaires aptitudes de vol. Mais ce qui intrigua le plus le Pr Rutledge, ce fut ces lumières dans le ciel qui semblaient répétitivement réagir aux membres du Projet Identification qui observaient les lumières.
Project Identification: The First Scientific Field Study of UFO Phenomena © 1981 by Harley D. Rutledge, Ph.D.
Autres sources pour cet article : http://www.anakinovni.org/ que je félicite aussi pour son archivage sur le phénomène OVNI !
http://www.infos-paranormal.net/Lumieres-aeriennes-imitant-etoiles-helicopteres-avions.pdf
Yves Herbo Archives, Sciences, F, Histoires, 28-10-2014

OVNIs : Archives 1971 sur le rapport Condon
OVNIs : Archives 1971 sur le rapport Condon
Pr Condon
Comme l'a si bien dit et prévu l'astrome J. Allen Hynek dans ses écrits de 1967, le rapport Condon était avant tout fait pour rassurer tout le monde, à commencer par les généraux de l'US Army en premier... et cela a marché, au-delà de toute espérance même, avec, surtout, des économies pour le budget des armées, et un apaisement général du public, y compris à l'étranger. On ne peut s'empêcher de constater le peu de consistence, de réalisme et d'objectivité de, non seulement Edward Condon, mais aussi des journalistes qui répètent sans trop réfléchir les absurdités transmisent par le rapport Condon... et jusque dans cet article même ! En effet, rien que sur la dernière page, on y affirme à la fois que des pilotes militaires (et des radars !) ont bien affaire à une intelligence manifeste - étudié par Projet Colorado - (un objet qui s'amuse à se mettre devant puis derrière un jet a plusieurs reprises ne peut pas être "naturel" !), qu'il y a bien des "phénomènes" inexpliqués (dixit le Professeur Condon !)... mais, surtout, ce ne sont pas des "soucoupes volantes", c'est plutôt "nos connaissances incomplètes en optique et électricité... "... Voici ci-dessous un exemple de cette "tromperie" de l'US Army reprise par la presse française, peu de temps après :
Paru dans "Lectures pour tous" d'octobre 1971 qui reprenait en fait un article du magazine américain "Constellation"... cliquez pour agrandir les photos et lire :
Yves Herbo Archives OVNI - 1971
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 27-10-2014

OVNIs : L'astronome J. Allen Hynek : écrits de 1967
OVNIs : L'astronome J. Allen Hynek : écrits de 1967
L'astronome J. Allen Hynek
Voilà encore une visite dans mes archives, et également au passage une petite claque envers certains nouveaux "conférenciers" qui gagnent apparemment de l'argent auprès de certaines universités et du public en racontant beaucoup de contre-vérités... des astronomes et des scientifiques ont bien vus ou/et pris le phénomène OVNI très au sérieux, J. Allen Hynek n'en est pas le moindre, certes... mais les vrais connaisseurs et chercheurs savent de quoi je parle, et même les annales de l'Observatoire de Meudon en banlieue parisienne par exemple ne peuvent dire le contraire...
Ces documents scannés sont extraits de la célèbre revue de condensation de textes Selection du Reader's Digest de Mai 1967, et cette revue l'avait elle-même extraite du magazine américain The Saturday Evening Post de la même année...
Ces savants prennent les soucoupes au sérieux
" II est trop facile de prétendre qu'il s'agit de supercheries ou d'hallucinations. " Par J. Allen Hynek - Mai 1967
Le Dr J. Allen HYNEK est président du département d'astronomie et directeur du nouveau Centre de recherches astronomiques Lindheimer à la Northwestem University d'Evanston (Illinois).
" LE 25 août 1966, un officier de l'armée de l'Air, commandant une équipe de lancement de missiles sur une base du Dakota du Nord, s'aperçut soudain que ses émissions de radio étaient perturbées par des parasites. Tandis qu'il s'efforçait de remédier à cette situation, d'autres militaires signalaient la présence d'un « objet volant non identifié » brillant d'une lueur rouge vif et paraissant alternativement monter et descendre. Au même moment, l'équipe de radar au sol repéra l'objet à 30 000 mètres.
Le commandant des opérations de la base rapporta les faits en ces termes :
— Quand il monta, les parasites disparurent. Puis l'objet volant commença à piquer, plongea et sembla atterrir à 25 kilomètres au sud. Le service de protection du site de missiles envoya une patrouille d'intervention bien armée. Lorsque la patrouille se trouva à 15 kilomètres du lieu de l'atterrissage présumé, le contact radio avec la base fut interrompu par des parasites. Cinq à huit minutes plus tard, l'objet décolla. On vit alors paraître un autre objet volant, dont la présence fut confirmée par le radar. Le premier passa sous le second ; là encore, le radar en témoigna. Le premier prit de l'altitude en direction du nord et le second sembla disparaître dans une lueur rouge.
Voilà un exemple type des cas fort embarrassants que j'ai eus à étudier depuis dix-huit ans, en qualité de conseiller scientifique, au cours de l'enquête que mène l'armée de l'Air américaine sur les « objets volants non identifiés ». Ce qui fait l'intérêt tout particulier du rapport qu'on vient de lire, c'est qu'un autre incident s'était produit aux environs de la base quelques jours plus tôt. Un policier avait aperçu en plein jour " un objet vertical qui planait en oscillant le long du flanc d'une colline, à environ 3 mètres du sol. Quand la chose arriva dans la vallée, elle s'éleva jusqu'à une trentaine de mètres et se dirigea vers un réservoir. "
L'objet, qui avait à peu près 9 mètres de diamètre (YH : donc environ 27 m de circonférence), sembla alors s'aplatir, et un dôme de petites dimensions devint visible à sa partie supérieure. Il resta en suspens au-dessus de l'eau pendant une minute, puis alla survoler un champ au-dessus duquel il s'immobilisa également, à environ 3 mètres du sol. (Cela se passait à quelque 75 mètres du témoin.) Après quoi, il se cabra et disparut rapidement dans les nuages. Ce récit a l'air fantastique ; pourtant, j'ai moi-même questionné le policier et je suis convaincu de sa bonne foi.
Depuis que j'exerce mes fonctions de conseiller, l'armée de l'Air des Etats-Unis a toujours soutenu que tous ces rapports résultaient de mystifications, d'hallucinations ou de fausses interprétations de phénomènes naturels. Dans l'ensemble, je partage cet avis. En tant qu'astronome de profession, je n'ai jamais eu aucune difficulté à expliquer la grande majorité des apparitions signalées.
Toutefois, je ne puis les expliquer toutes. Sur les 15.000 cas (en 1967) dont j'ai eu connaissance, plusieurs centaines me laissent encore perplexe et, parmi ceux-ci, certains même — disons 1 sur 25 environ — sont franchement ahurissants. Ils ont été rapportés par des gens honorables, intelligents, ayant souvent une formation scientifique : astronomes, contrôleurs aériens d'aérodromes, médecins, météorologistes, pilotes, professeurs d'université. Par crainte du ridicule, ils répugnaient souvent à faire part de ce qu'ils avaient vu et ne s'y résolvaient que poussés par le sens du devoir et le désir pressant de voir expliquer ces phénomènes irrationnels. C'est pourquoi, tout en restant loyal à l'égard de l'armée de l'Air, je me sens moralement obligé d'aborder ouvertement le mystère des " soucoupes volantes ".
Opération Livre bleu. En 1948, lorsque j'entendis pour la première fois parler de ces objets, j'estimais qu'il s'agissait de pures fariboles. A l'époque, j'étais directeur de l'observatoire astronomique de l'université de l'Ohio. Un jour, j'eus la visite de plusieurs représentants du centre technique d'une base aérienne voisine. Visiblement embarrassés, ils abordèrent la question des " soucoupes " et me demandèrent de leur servir de conseiller.
II ne me semblait pas que d'examiner les phénomènes qu'ils me soumettraient dût me prendre beaucoup de temps et j'acceptai. Bien sûr, je supposais alors qu'il y avait, à tous ces cas, une explication naturelle. Pourtant, au cours des années suivantes, on m'en soumit quelques-uns qui ne laissèrent pas de m'intriguer.
En réalité, l'armée de l'Air américaine n'a jamais consacré assez de temps ou d'argent à ce sujet pour pouvoir aller au fond des choses. La mise en œuvre du programme d'étude des objets volants non identifiés, connu sous le nom d'opération Livre bleu, est confiée normalement à deux officiers et à un sergent qui disposent d'une pièce dans une base aérienne de l'Ohio. A partir de témoignages vagues et incomplets, ils doivent s'efforcer de découvrir des explications plausibles. De 1947 à 1965, 10.147 cas ont été examinés ; 9 501 ont pu être expliqués selon les critères de l'armée de l'Air, ce qui en laisse plus de 600 classés comme non identifiés ».
« Nous sommes fermement convaincus. » Dans une note rédigée en 1952, j'exprimai l'opinion que la question méritait une étude approfondie. De fait, l'année suivante, l'armée de l'Air réunit une commission, formée de savants américains éminents, qui travailla quatre jours durant, mais ne put se pencher que sur 15 rapports. (Soit dit en passant, ils relataient des cas bien moins étonnants que certains qui se sont produits depuis.)
La commission conclut alors que " les témoignages n'indiquaient nullement que l'on pût considérer ces phénomènes comme une menace directe contre la sécurité du territoire américain ", et elle ajoutait : « Nous sommes fermement convaincus qu'il n'y a rien là qui puisse être attribué à des engins étrangers capables d'actes hostiles ni rien qui donne à croire qu'il faille réviser nos concepts scientifiques actuels. » Ce rapport est devenu le principal argument de l'armée de l'Air pour justifier sa position, qui tient en une phrase : il n'y a pas lieu de s'inquiéter.
C'est en 1953 que s'est produit l'un des cas les plus mystérieux qu'il m'ait été donné d'étudier. Dans la nuit du 5 août, plusieurs personnes de Black Hawk, dans le Dakota du Sud, signalèrent qu'elles avaient aperçu plusieurs objets étranges dans le ciel. Des échos non identifiés apparurent sur l'écran de radar d'une base aérienne voisine. Un chasseur à réaction F-84, guidé par radio, s'envola dans leur direction, et bientôt son pilote signala qu'il en voyait un « plus brillant que la plus brillante des étoiles et qui allait deux fois plus vite que son avion ». Lorsqu'il le prit en chasse, la lueur « disparut purement et simplement ». Au sol, cinq civils avaient assisté à la poursuite et confirmèrent les dires du pilote.
Un peu plus tard, on envoya un deuxième F-84 vers l'objet, qui continuait d'apparaître sur le radar au sol. Cette fois, le pilote vit une forme qui émettait une luminosité d'intensité variable, et, quand il fonça dans sa direction, le voyant de son viseur s'éclaira : le radar de bord avait repéré un objectif ; mais aussitôt la chose prit de l'altitude et fila vers le nord.
La base aérienne avertit le centre d'observation de Bismarck, dans le Dakota du Nord, à 350 kilomètres de là. Un sergent monta sur le toit, aperçut l'objet, qui bientôt disparut. Je me suis occupé moi-même de cette affaire sans pouvoir trouver d'explication.
Selon le même modèle ? Au début, j'avais supposé que les apparitions se bornaient au ciel américain, mais, à mesure que les années passaient, des rapports arrivaient de toutes les parties du monde. Dans les derniers temps, il y avait 70 pays sur la liste.
Nous ne possédions aucune preuve scientifique irréfutable — films ou photos dûment authentifiés, spectrogrammies des lueurs observées — sur quoi fonder une opinion. Se pouvait-il, cependant, que tous les témoins sans exception eussent été victimes d'hallucinations ?
De 1958 à 1963, les observations commencèrent à diminuer tant en qualité qu'en nombre, puis, à partir de 1964, elles reprirent de plus belle. Il semble que les apparitions les plus remarquables se produisent toujours selon le même modèle : les objets émettent une lueur rouge vif, ils restent stationnaires à quelques mètres du sol et produisent une sorte de bourdonnement suraigu, enfin, ils s'évanouissent en quelques secondes. A noter que les animaux sont terrifiés et, souvent, bien avant que l'homme ait encore rien vu.
Quatre explications. A mon avis, il y a quatre explications possibles :
1. Ce sont des fariboles, issues de supercheries ou d'hallucinations. Telle est l'opinion d'un certain nombre de mes collègues. Mais alors, étant donné le nombre des témoignages, j'estime que c'est à eux qu'il incombe d'en faire la preuve. Si l'on parle d'hallucinations, encore faut-il nous dire comment tant d'hommes, pendant tant d'années et à de telles distances les uns des autres, ont pu être pareillement abusés.
2. Ce sont des armes spéciales que l'on essaye dans le plus grand secret. Voilà qui est facile à réfuter. Les engins secrets sont habituellement expérimentés sur des emplacements géographiques bien délimités ; pourquoi aller le faire sur des territoires étrangers ?
3. Ce sont des engins qui viennent d'autres planètes. Je suis d'accord avec l'armée de l'Air : il n'existe aucune preuve irréfutable de l'existence de ces visiteurs. Cependant, il serait insensé d'en exclure la possibilité.
Pour le plaisir de discuter, j'aimerais vous présenter la chose sous son tour le plus favorable. Alors que le total des étoiles peut se chiffrer, disons, par un 1 suivi de 20 zéros, pourquoi notre soleil serait-il le seul de l'univers à avoir fait naître des formes intelligentes de vie ? On pense à présent que la formation de systèmes planétaires fait partie d'un processus général d'évolution des étoiles ; à supposer qu'une étoile sur dix ait engendré un groupe de planètes abritant la vie, leur nombre s'exprimerait alors par un 1 suivi de 19 zéros.
Certaines étoiles ont plusieurs millions d'années de plus que notre soleil ; autrement dit, la vie, ailleurs, a pu évoluer avec des millions d'années d'avance sur nous. Pourquoi d'autres êtres n'auraient-ils pu résoudre le problème du vieillissement, auquel nous commençons à nous attaquer. Si leur durée de vie était, disons, de 10.000 ans, un voyage spatial de 200 ou 300 ans serait pour eux relativement court. Or c'est le temps qu'il faut pour venir d'un système planétaire éloigné jusque dans le nôtre. Une civilisation très avancée, comme celle que j'imagine ici, tiendrait naturellement à surveiller l'évolution de la vie dans l'ensemble de sa galaxie.
Bien sûr, ce n'est encore que du roman d'anticipation, mais allons encore un peu plus loin. Les sceptiques demandent souvent pourquoi les « soucoupes volantes » n'essaient pas d'entrer en communication avec nous. On pourrait leur rétorquer : pour quoi faire ? Je ne nous vois pas, nous hommes, nous efforçant de communiquer avec une nouvelle espèce de kangourou que l'on aurait découverte en Australie. Nous nous contenterions d'observer le comportement de cet animal. (Yves Herbo : notez que nous commençons seulement, au 21ème siècle, à étudier et décrypter le réel langage employé par les dauphins pour communiquer entre eux...
4. Nous sommes en présence d'un phénomène naturel qui échappe tout à fait à notre entendement. Songez qu'en 1867 nous ne connaissions rien de l'énergie nucléaire. Qui peut dire les choses étonnantes que nous apprendrons sur notre univers au cours des cent prochaines années ?
Une recherche sérieuse. Toutes ces explications méritent d'être prises très sérieusement en considération. L'armée de l'Air des Etats-Unis a annoncé au mois d'octobre dernier qu'une enquête poussée sur les objets volants non identifiés allait être entreprise à l'université du Colorado par une équipe de savants éminents, sous la direction du Dr Edward Condon, qui était auparavant directeur du Bureau national américain des normes. Pour ma part, j'aimerais faire deux suggestions :
— Primo, que l'on traite au moyen d'ordinateurs toutes les données intéressantes que nous avons glanées dans les rapports en provenance du monde entier, de façon à pouvoir rapidement comparer les nouvelles apparitions avec les anciennes et déceler ainsi les types de comportement des objets volants,
— Secundo, que l'on tâche d'obtenir de bonnes photographies. Bien que l'armée de l'Air des Etats-Unis ait probablement consacré jusqu'ici moins de crédits aux objets non identifiés qu'à l'achat de corbeilles à papier, je conçois qu'il serait peu raisonnable d'espérer qu'elle établisse à grands frais un système de surveillance des « soucoupes volantes ». Quand l'une d'elles apparaît, le témoin, affolé, saute, en général, sur le téléphone et appelle la police qui, à tout coup, laisse passer l'occasion de fixer le phénomène sur la pellicule. Je propose que chaque chef de police s'assure qu'au moins une de ses voitures de patrouille soit équipée d'un appareil en état de prendre des photos en couleurs.
Je travaille depuis des années avec l'armée de l'Air, et rien, à ma connaissance, ne justifie qu'on l'accuse de dissimuler quoi que ce soit sur ce chapitre pour prévenir une panique possible dans le public. En réalité, le ministère américain de la Défense n'a jamais cru, et ne croit du reste toujours pas, que les objets volants aient un caractère fantastique. Il n'en reste pas moins que maintenant — et il n'aura pas fallu moins de dix-neuf ans — les aviateurs comme les savants sont enfin décidés à faire le point sur les " soucoupes volantes " (mai 1967 !).
Un bel hommage envers ce rare scientifique, qui n'a pas hésité à se remettre en question, ainsi que la chape de fausses certitudes du monde scientifique actuel, bien plus proche des inquisiteurs de Galilée qu'on ne le pense généralement... : http://rip-paranormal.com/themes/ufologie/allan-hynek-hommage
Les documents scannés de l'époque :
Voir la suite ci-dessous :

Dépêche AFP du 11-11-1967 : Un Voyage en Soucoupe jusqu'à Jupiter
Dépêche AFP du 11-11-1967 : "Un Voyage en Soucoupe Volante jusqu'à Jupiter"
Etant donné la date de cet article, peu de gens s'en souviennent de nos jours. Il fait pourtant partie de mes archives retrouvées et j'ai décidé de le remettre en mémoire des anciens et de le faire découvrir aux plus jeunes, avec bien sûr le recul, la retenue et même un certain humour que tout chercheur honnête peut se permettre à la relecture de ces deux pages extraites d'un magazine sérieux, vitrine d'un organisme reconnu à l'époque, le GEPA. Voici donc, extrait du magazine Phénomènes Spatiaux N°14 du GEPA (Groupe d'Etude des Phénomènes Aériens) de décembre 1967, " Un Voyage en Soucoupe Volante jusqu'à Jupiter ". Vous trouverez les scans de l'article original en-dessous, notez que c'est la seule version française sauvegardée (et maintenant trouvable) sur internet :
" C'est le titre de la dépêche AFP N°022, datée du 11-11-1967, à 9H22, dont M. Roland Dupire a obligeamment recopié le texte à notre attention. M. José Fostier, de la RTB, avait également pris la peine de l'enregistrer sur bande pour nous, et elle avait été reçue à Bruxelles à 4H09, sous le N°44.
Sous des titres approchants, le contenu de cette dépêche a été publié dans Divers journaux — dont « Le Progrès-Dimanche » et « Sud-Ouest-Dimanche », du 11.11.67; « Le Maine-Libre » du 13.11. 67 et « Le Figaro » du 15.11.67 — et il a suscité parmi nos membres une émotion compréhensible.
Nous le reproduisons ci-dessous :
« Un jeune immigrant polonais vivant en Argentine est monté à bord d'une soucoupe volante qui l'a conduit à Ganymède, le plus gros des satellites de Jupiter. Il a séjourné quelque temps sur cet astre lointain où il a appris le langage « spatial ». Il a même traduit dans cette langue le poème national argentin « Martin Fierro ». Ces révélations, faites par le R.P. Salvador Reyna (S.J.), sont reproduites par le quotidien « La Capital », de Mar del Plata, dont plusieurs collaborateurs ont pu prendre connaissance du texte du « Martin Fierro » en langue spatiale.
« L'ecclésiastique a ajouté que le jeune Polonais, qu'il connaît, se rendra prochainement au Costa Rica, afin de retrouver, grâce aux indications fournies par les habitants de Ganymède, les restes de l'avion argentin TC-48, qui a disparu dans ce pays il y a deux années. »
Qu'un homme tel que le R.P. Reyna — sur le sérieux duquel nous n'avons cessé d’insister — fût le propagateur de cette histoire, ganymédienne et fantastique, ne pouvait manquer de surprendre et de troubler nos membres, de leur inspirer même un commencement de doute sur la sincérité ou, tout au moins, le sens critique de notre dévoué ami argentin.
Il nous faut, certes, nous attendre à nous trouver un jour en face d'événements ou de récits qui, tout en présentant un caractère aussi fantastique, ou même davantage, que la dépêche reproduite, seront néanmoins rigoureusement vrais. Car, si nous avons affaire à des êtres ayant des millénaires d’avance intellectuelle ou technologique sur nous, le plus surprenant — comme nous l’avons depuis longtemps dit et écrit serait que nous ne fussions pas surpris, et même stupéfiés, ahuris, par les exploits dont, en bonne logique, de tels êtres devraient être capables.
Mais, surpris nous-même par les révélations du journal de Mar del Plata, et désireux d'apporter à ceux de nos membres que ces révélations avaient troublés d'éventuels apaisements, nous avons, sans délai, écrit au R.P. Reyna une lettre où, après avoir fait état de l'information perturbatrice, nous lui disions :
« Evidemment, « Salvador » n'est pas, autant que je sache, un de vos prénoms usuels, mais ceux de nos adhérents qui ont lu cette dépêche ne doutent pas que c'est vous-même qui êtes visé par cette information « et, comme l'histoire leur paraît peu croyable, et qu'ils vous tiennent, d'après ce que nous avons dit de vous, pour un savant et un homme très sérieux, ils ne comprennent pas bien que vous soyez à l'origine de sa propagation. Un des plus compréhensifs de mes correspondants (1) m'écrit :
«« ... c'est étrange ! car le Père Reyna est un scientifique estimé dans le monde entier (vous en avez parlé dans votre revue)... Je ne vous aurais jamais mentionné cela s'il n'y avait le nom du R.P. Reyna... mais je reste très sceptique par prudence — mais, après tout, rien n'est impossible... dans ce monde où nous découvrons chaque jour de quoi nous émerveiller et nous surprendre. »
« Mon propre sentiment est assez voisin de celui de ce correspondant, et je ne songe pas un instant à mettre en cause votre honnêteté, car j'ai appris à me méfier de certains journalistes. Si donc vous pouviez me donner quelques précisions sur cette affaire, je vous en serais profondément reconnaissant. »
Notre lettre était datée du 15 novembre. Dès le 23 novembre, le R.P. Reyna, que nous remercions de son amical empressement, nous adressait une lettre dont Mme Maria Vaskio, à laquelle nous disons notre gratitude, nous a donné la traduction. Nous en extrayons, à l'intention de nos lecteurs, les passages suivants :
« Vous me dites que dans « Le Progrès-Dimanche > ont paru quelques affirmations de moi qui vous laissent perplexe. Je vais vous faire la synthèse des événements :
« Dans la nuit du 3.11, dans la ville de Mar del Plata, j'ai fait une grande conférence, sur la chaîne 8 de la T.V., pendant deux heures sans interruption ! J'ai commencé à 22 h 30 et deux heures après se manifestèrent des questions, non transmises par la T.V. puisque donnant des informations sur des thèmes qui, parfois, étaient en marge du sujet traité. Le studio d'émission était plein... Des milliers de personnes m'ont vu et entendu sur la chaîne.
« Un journaliste de « La Capital » a publié trois jours plus tard un grand article sur la conférence, mais il a inventé des choses auxquelles je n'avais pas pensé et que, à fortiori, je n'ai pas dites. Je n'ai jamais mentionné Ganymède, qu'il nomme plusieurs fois. Il a supposé que j'avais dit que la plus proche étoile est Bételgeuse... Qu'un jeune Polonais, qui écrit en idiome varkulets. est allé à Costa Rica pour y rechercher l'avion TC-48, tombé là-bas avec 69 cadets à bord. Et d'autres inventions encore ont été faites par ce journaliste qui s'est révélé être un menteur ou un audacieux imbécile.
« En sorte que vous pouvez dire que ce reportage, tel qu'il est parvenu à l'étranger, est faux et n'est qu'une exagération, à des fins de sensation et non de vérité.
« Ce qui est vrai, c'est ceci : j'ai montré un exemplaire du poème « Martin Fierro » écrit en idiome varkulets (vous connaissiez déjà cet idiome) et en strophes équivalentes à l'original argentin. En tant qu'exercice de traduction, et pour l'exactitude de la versification, c'est un magnifique document. Son auteur l'a fait par amitié pour moi. Mais cet auteur, un Polonais, est presque un vieillard et un vétéran de la guerre qui a pris fin en 1945.
« Un jeune homme, qui affirme communiquer mentalement avec les êtres extra-terrestres, est, celui-là, parti pour Costa Rica afin de retrouver l'avion tombé et, d'après lui, plusieurs cadets, il le sait, seraient encore vivants...
« Vous voyez donc, mon cher ami, que toujours il y a des farceurs" et des retardés mentaux. Cela nuit beaucoup aux chercheurs sincères qui s'intéressent à ce sujet si important.
« Dans mes diverses conférences, j'ai dit aux organisateurs: je viendrai, pourvu qu'il n'y ait pas de journalistes car, par ignorance peut-être, ils déforment la vérité. »
Nous disons au R.P. Reyna notre cordiale gratitude pour sa lettre qui nous permet de donner à nos lecteurs ces précieuses rectifications d'un texte imprudemment écrit et imprudemment diffusé.
On le voit, le journtaliste de « La Capital » a fait, dans son article, les pires confusions, prêtant au Révérend Père des propos tenus en fait par le jeune homme parti pour Costa Rica, et attribuant à notre ami astronome une extravagante sottise que nombre de profanes ne commettraient pas : l'affirmation que Bételgeuse (Alpha Orion) est l'étoile la plus proche de nous !
Le R.P. Reyna se défend d'avoir parlé de Ganymède — nous sommes convaincus de sa vérifiable sincérité — , et ce n'est pas le visiteur présumé de ce satellite jovien qui a traduit le poème argentin « Martin Fierro » en langage « spatial ». C'est un Polonais, certes, mais indûment qualifié de jeune, puisqu'il s'agit d'un vétéran de la dernière guerre mondiale. Quant au langage «spatial» en question, ce n'est rien d'autre que ce « varkulets » dont nos lecteurs avaient déjà pu trouver un échantillon graphique dans le N°12 de « Phénomènes Spatiaux », page 30. L'auteur de ces caractères, M. Eustaquio Zagorski, dit effectivement être en rapport avec des extra-terrestres. Nous ne sommes pas forcés de le croire, même s'il est sincère, car il peut y avoir un abîme entre sincérité et vérité. Mais ce qui paraît bien certain, c'est que l'homme qui trace ces signes, d'une main gravement blessée par la guerre, avec une sûreté et une élégance calligraphique que le R.P. Reyna qualifie de stupéfiantes, constitue une sorte de phénomène humain. Il a été inlassablement interviewé et examiné par des journalistes, des médecins, des militaires et des psychiatres qui, jusqu'à présent, ne sont pas parvenus à trouver une faille dans son attitude.
D'autre part, nous n'avons aucune raison de douter des talents de traducteur et de versificateur que lui accorde le Révérend Père, puisque ce dernier n'est pas seulement docteur es sciences, mais encore docteur es lettres, et même poète.
En recourant une fois encore à l'obligeance dévouée du R.P. Reyna, nous allons nous efforcer d'obtenir de nouvelles précisions sur cet homme surprenant qui ne manie pas seulement la plume mais aussi le pinceau, et dont on envisage d'exposer les toiles à Buenos Aires ! "
Yves Herbo archives
Notez bien que toutes ces archives sont librement utilisables (notamment pour la recherche et l'éducation) à la condition absolue que les sources et références indiquées dessus, ainsi que mon nom, prénom et adresse de ces sites internet (http://www.sciences-fictions-histoires.com/ et http://herboyves.blogspot.com/) soient mentionnés visiblement.
Yves Herbo : Notez bien que nous sommes ici, déjà ou encore selon les versions dans l'affaire Ummo, qui a démarré dès 1961 à priori : " - Le romancier sévillan Manuel SALADO disait lors de son entrevue en décembre 1971 avec Enrique Campos et Danuiel Guerrero Bonet, qu’en 1961 il avait reçu des rapports d’Ummo : il considère que c’est une société secrète terrestre qui travaille dans un certain but. Ces rapports furent apportés à son domicile par des ummites en chair et en os. Un médecin et un écrivain de Séville en recevaient aussi. (D1654)
- Premières missives sans queue ni tête reçues par SESMA de SALIANO (D1866)
On parle aussi de M. Eustaquio Zagorski, cité dans cet article, au sujet d'Ummo : " - Eustaquio Zagorski (Argentine, Avellaneda) reçoit depuis 1968 la visite des Ummites dont l’un s’appelle Tom BUCHTER, d’après ce que ce contacté à pu déduire des conversations, ceux d’Ummo avaient un laboratoire à Albacete (lettre de Zagorski à Darnaude, de juillet 1978) Il est aussi l’auteur d’un article de 8 pages paru à Lima (Pérou) « Yo viajé en un platillo volador » (D1318) Sa correspondance avec Darnaude se poursuit et il raconte son voyage à Ganymèdes, son mariage avec une dame d’un satellite de Jupiter, le langage cosmique « Varkulets » qui lui a été enseigné, les hommes d’Ummo qui le visitèrent et parlèrent avec lui le 11 mars 1973 et qui lui ont remis plus de 200 photographies etc.. (D1319)
http://factorelblog.com/2011/10/03/apologia-de-un-analista-del-varkulets/
Les Dossiers Des o.v.n.i. , Henry Durrant.html
http://ufologie.patrickgross.org/ce3/1973-03-11-argentina-avellanedacityf.htm
Yves Herbo Archives 1967, Sciences, F, Histoires, 25-10-2014

ODHTV : 9ème Rencontres de l'Espace d'Auriol 2014
9ème Rencontres de l'Espace d'Auriol 2014
Orbital News édition du 20 septembre 2014 vous est présentée par Eclipse (Astronome amateur et webmaster des sites Astropléïades et Rallumons le ciel) et Gilles Thomas.
Une édition sur le compte-rendu des Rencontres de l'Espace d'Auriol de septembre 2014.
Nous remercions la mairie d'Auriol et la cité de la jeunesse.
Liens:
http://www.mairie-auriol.fr/
http://www.lespetitsdebrouillardspaca...
http://www.lespetitsdebrouillardspaca...
http://www.astropleiades.fr/
https://www.youtube.com/user/ODHTv/about
Yves Herbo Relai, Sciences, F, Histoires, 24-10-2014

baguettes et artéfacts chamaniques antiques
baguettes et artéfacts chamaniques antiques
Plusieurs baguettes, bâtons ou artéfacts rituels d'origine chamaniques ou tout au moins apparentés, datés de périodes proches ou même préhistoriques, ont été trouvés dans plusieurs endroits dans le monde. Cet article a pour objet d'en recenser certains, en commençant par celui déjà cité dans un ancien article de ce site, lui-même lié indirectement à d'autres mystères locaux tout aussi passionnants, tels les ovnis ou des liens avec une cité ou base enterrée, que je vous conseille de lire également dans son intégralité : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/paranormal/uritorco-la-montagne-mystique.html
Argentine : le bâton ou la pierre de la sagesse
L’Argentine, comme toute l’Amérique Latine, possède ses mystères antiques liés souvent à de vieux temples et sous-terrains dans des régions désertes, mais l’un de ses plus grands mystères actuels est bien situé dans les terres de la province de Cordoba, dans la haute montagne de Uritorco, à
"En 1934, Ulysse Orfelia après un voyage de découverte de huit ans au Tibet, a accès aux informations secrètes qui se trouvent dans les anciens monastères. En contact avec les grands lamas qui l’éduquent sur les mystères de la pierre sacrée, il décide de faire son pèlerinage en Amérique du Sud où il est guidé par télépathie par les moines afin de trouver enfin l'endroit où se trouve le bâton ou la pierre de la sagesse.
Le bâton de 1,10 m de long, a été trouvé et est un morceau de basalte noir poli ((NDTA) le basalte est reconnu comme étant le seul conducteur électrique potentiel dans le manteau terrestre, avec peut-être maintenant les carbonates liquides, qui a été fabriqué il y a environ 8 000 ans à la demande du grand chef des Comechingones, Voltan o Multan et a été en possession du Professeur Guillermo Terrera jusqu'au jour de sa mort, le 19 Novembre 1998."
A noter qu’en 1938, une expédition allemande est dans la région à la recherche de ce bâton sacré : Hitler en avait entendu parler et le voulait… (témoignage du père de Hugo Jaime (1)).
« Toujours selon les légendes, au 12ème siècle, (les Amériques n'étaient pas officiellement encore découvertes par le monde moderne, à part par les vikings), le Chevalier Parsifal aurait laissé le Saint-Graal et la Croix des Templiers ensembles à Baston de Mando dans les environs de la montagne sacrée d’Uritorco, pour régénérer et transmuter l’Homme en une Intelligence Supérieure, afin de compléter le travail spirituel et métaphysique de la fraternité entre hommes. »
(1) http://www.mantranews.com.ar/archivo/2004/enero/newsdiferentes.html
UN TALISMAN CHAMANIQUE EN MÉTÉORITE TROUVÉ EN POLOGNE
Des archéologues de l'Institut d'Archéologie et d'Ethnologie (IAE) à Szczecin en Pologne, ont déterré un fragment de météorite parmi les restes d'une hutte datant de plus de 9000 ans à Bolków près du lac Świdwieen en Poméranie Occidentale (Yves Herbo : en fait, juste sur la frontière actuelle entre l'Allemagne et la Pologne modernes).
Meteorite, image : T. Galiński
Le professeur Tadeusz Galińsk de l'IAE , chef du projet de recherche a déclaré que "la météorite a été rapportée au refuge comme un objet spécial, comme quelque chose ne provenant pas de ce monde (...). L'objet est devenu un objet de croyance, et peut-être même de magie chamanique."
Les archéologues ont aussi mis au jour un riche assemblage d'objets associés au spirituel : une amulette, une pointe de lance en os avec une décoration gravée et une sorte de baguette magique en bois de cervidé, ornée de motifs géométriques.
Deux structures avec foyers
En plus des restes de la hutte, qui contenait la météorite, les archéologues ont découvert une seconde structure presque identique.
Dans les deux, dans la couche de tourbe, il y avait des traces préservées de foyers.
Les fouilles à Bolków durent depuis plusieurs années. La météorite a été découverte au cours de la dernière année de travail, mais c'est seulement maintenant, grâces à des études plus détaillées, qu'ils ont pu déterminer avec certitude l'origine de l'objet insolite.
Il y a quatre ans, les archéologues avaient aussi trouvé un arc de chasse du mésolithique presque intact, dans les dépôts de tourbe anaérobiques couvrant le site, et il devrait y avoir d'autres découvertes à venir...
Sources : Past Horizons: "Mesolithic shamanistic meteorite talisman unearthed"
Illustration of a shaman in Siberia, produced by the Dutch explorer Nicolaes Witsen in the late 17th century. Image:(Wikimedia, used under a CC BY-NC 3.0)
Mars 2014, une baguette rituelle datée à 9.000 ans avant maintenant trouvée dans le sud de la Syrie.
La baguette vieille de 9,000 ans avec des visages gravés découverte en Syrie. (Ibanez et al, Antiquity)
Les archéologues ont mis au jour une ancienne baguette avec deux visages humains gravés, dans le sud de la Syrie. L’objet, vieux de 9000 ans a été découvert près d’un cimetière où environ 30 personnes ont été enterrés sans leur tête. Il y avait un espace de vie à proximité.
"La découverte est très rare. C’est unique," a déclaré le co-auteur Frank Braemer, archéologue au Centre National de la Recherche Scientifique en France (CNRS).
"La baguette, qui a probablement été utilisée dans un rituel funéraire perdu depuis longtemps, est l’une des seules représentations naturalistes de visages humains à cette époque et en ce lieu", explique Braemer.
Un site ancien
Les chercheurs ont d’abord découvert la baguette lors de fouilles en 2007 et 2009 sur un site dans le sud de la Syrie appelé Tell Qarassa, où une colline artificielle, faite de débris de la vie humaine quotidienne s’est progressivement élevée au cours des millénaires.
(Bien que de nombreux sites archéologiques, superbes, ont été pillés ou bombardées depuis le début de la guerre civile syrienne, ce site est dans une zone assez calme, et a échappé aux dommages jusqu’ici.)
D’autres éléments archéologiques sur le site suggère que ces anciens habitants étaient parmi les premiers paysans au monde. Ils consommaient de l’amidonnier (une variété de blé), de l’orge, des pois chiches et des lentilles. Et ils élevaient ou chassaient des chèvres, des gazelles, des porcs et des cerfs.
Une baguette mystérieuse.
Après que les squelettes et la baguette furent enterrés, il semble que quelqu’un ait creusé et enlevé les crânes, les plaçant dans la partie habitée de la colonie.
La baguette osseuse a probablement été sculptée dans la côte d’un auroch, l’ancêtre sauvage de la vache, et faisait environ 12cm de long.
Deux visages d’aspect naturel, avec les yeux fermés, ont été sculptés dans l’os, mais la baguette a été intentionnellement brisée aux deux extrémités. Il devait probablement y avoir d’autres visages gravés.
Le but et le symbolisme de cette relique restent un mystère. "Elle est clairement liée à des rituels funéraires, mais quel genre de rituels, cela est impossible à dire," ajoute Braemer.
Cette découverte marque une transition dans la culture vers un intérêt accru pour la forme humaine. Les anciens artéfacts anciens montrent en général des représentations schématiques ou stylisées de l’homme, mais des représentations réalistes d’animaux.
L’art découvert (dans ce qui est aujourd’hui la Jordanie et l’Anatolie) à la même époque représentait aussi de délicates représentations naturelles de la forme humaine. Cela suggère que cette tendance a émergé simultanément dans les régions du Moyen-Orient.
L’innovation artistique pourrait être liée à la volonté émergente de créer des représentations matérielles de l’identité et de la personnalité ?, écrivent les auteurs de l’étude.
Pourquoi a-t-on déterré les crânes ?
La raison pour laquelle quelqu’un a déterré les crânes et les a placés dans le lieu de vie reste un mystère. Mais les archéologues ont fait des découvertes similaires à Jéricho, en Israël, datant d’il y a environ 9.000 ans : les crânes des ancêtres étaient recouverts de plâtre et peint avec les traits du visage, et exposés dans les espaces de vie. Peut-être était-ce une une forme de culte des ancêtres : les visages humains représentant la présence d’êtres surnaturels vivant sous une forme humanisée. Cependant, il est aussi possible que les têtes exposées étaient les trophées d’ennemis vaincus.
Source : http://www.journalistes-patrimoine.org/index-fr.php?page=ajp_article&id_article=7872
Le bâton préhistorique de commandement
Cet objet a fait couler beaucoup d’encre et continue à susciter des hypothèses. Voici ce que l’on en disait déjà en 1919, dans la revue « Sciences et voyages » du 20 novembre. L’article signé Albert GOREY est intitulé plaisamment « Les hommes des cavernes avaient déjà leurs bâtons de maréchal » :
« Vers la fin de l’âge de la pierre taillée, à l’époque du renne, on trouve dans nos stations préhistoriques un assez grand nombre d’ « objets de destination encore obscure, formés d’un bois de renne coupé à petite distance au-dessus ou au-dessous de la naissance d’un andouiller. Au point de convergence des trois cylindres osseux ainsi isolés du reste du bois, on trouve généralement un trou, parfois aussi le même bâton en porte jusqu’à quatre. Dans l’intervalle des trous se voient souvent des gravures ou des sculptures représentant des animaux, des scènes de chasse, etc. »
Cette description, que nous empruntons à M. Salomon Reinach, le savant conservateur des antiquités nationales du musée de Saint-Germain, s’applique à une série d’objets qui constituent l’une de ces énigmes si nombreuses dans la préhistoire (…)
A quoi servaient ces instruments étranges ?
Pour les uns, c’était simplement un appareil dont l’homme primitif se servait pour redresser ses flèches, appareil non sans quelque analogie avec un instrument de même destination, dont se servent encore les Esquimaux modernes. Pour d’autres, c’était un casse-tête, arme de chasse ou de guerre, équivalent du pagamogan des Indiens riverains du fleuve Mackenzie.
Des savants qui font autorité, comme Lartet et Broca, ont vu dans ces objets énigmatiques des sceptres où le nombre des trous indiquerait la dignité des chefs. Et c’est cette hypothèse qui a servi à baptiser les « bâtons de commandement ».
Un archéologue italien, Pigorini, estimait que ces bâtons servaient pour l’attelage ou pour la monture des rennes et qu’on fabriquait avec eux des chevêtres pareils à ceux que les habitants de la Sardeigne et les Lapons emploient aujourd’hui.
Un archéologue allemand, Schoetensack, a émis l’hypothèse que les bâtons troués seraient de simples agrafes de vêtement : le manteau de peau dont l’homme de l’âge du renne s’enveloppait aurait été fermé à l’aide d’un lien dont les extrémités libres, munies d’olives terminales, étaient passées dans les trous du bâton.
Pour M. Salomon Reinach, ces bâtons ne sont ni des armes, ni des outils, mais des objets de luxe, d’apparat ou de culte : il les a comparés à ces trophées de chasse, cornes d’urus ornementées, que César signale chez les Germains, insistant également sur le caractère magique de ces bâtons qui auraient pu servir à certaines pratiques superstitieuses comme on en rencontre tant dans les civilisations primitives. »
Pour le préhistorien André LEROI-GOURHAN (1911-1986) dans « Les Hommes de la préhistoire ; les chasseurs » (Ed. Bourrelier, 1955), les « bâtons à trous sont des pièces en bois de renne, percées à une extrémité d’un trou du diamètre du pouce. Ces objets, qu’on appelle parfois « bâtons de commandement », devaient servir en fait à redresser à chaud des pointes de sagaies. En effet, les sagaies taillées dans des lamelles de bois de renne épousaient la ligne courbe de la ramure de l’animal ; on pouvait les redresser en les chauffant et en se servant des bâtons à trous comme leviers. Quand on retrouve ces sagaies au cours des fouilles, elles ont le plus souvent repris leur ancienne courbure et seraient inutilisables pour la chasse. »
Aujourd’hui, les préhistoriens demeurent divisés quant à la fonction exacte de ces « bâtons percés », terme qui ne désigne plus qu’une forme et qui s’est substitué à celui de « bâton de commandement », qui renvoie à une fonction hypothétique.
Sur Wikipédia, à « bâton de commandement », on apprend que ces objets se rencontrent au Paléolithique supérieur (de l’Aurignacien au Magdalénien), entre 23000 et 12000 ans avant J.-C.
Les hypothèses sur son usage sont celles d’un symbole de fertilité (association du pénis et du vagin), d’un redresseur de sagaies (hypothèse communément retenue), d’un attache-robe, d’un calendrier utilisé par les sages-femmes, d’un bloqueur de cables (pour suspendre les peaux destinées à protéger l’abri) ou encore d’un propulseur de sagaies.
Cette dernière fonction a été vérifiée expérimentalement. « Le bâton percé est utilisé en passant la corde à travers le trou, et en mettant la corde parallèle à l’axe du bâton. Il est tenu à la main, au-dessus de l’épaule, et est lancé par dessus. La longueur du bâton percé sert à augmenter l’effet de levier du lanceur, ce qui donne plus de vitesse, et la corde fonctionne comme une flèche suisse, ce qui augmente encore plus le levier. Une telle utilisation du bâton percé donne une augmentation de 127 % de portée en comparaison à la même lance jetée à la main. »
On peut voir plusieurs bâtons percés au musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye ou encore au muséum d’histoire naturelle de Toulouse.
Les dessins illustrant cet article sont extraits de la revue « Sciences et voyages » et la photo du livre de Leroi-Gourhan.
Article rédigé par Laurent Bastard.
Source : http://www.crcb.org/category/baton-sacre
Dans la Bible et les Textes Hébraïques :
La puissance du bâton de Moïse
S’il est bien un bâton extraordinaire, c’est de celui de Moïse qu’il s’agit ! A plusieurs reprises, celui-ci intervient pour réaliser des prodiges. En voici deux exemples.
Dans le chapitre de l’Exode (14, 15-31), les Egyptiens poursuivent les Hébreux. Alors Yahwé dit à Moïse : « Toi, lève ton bâton, étends ta main sur la mer et fends-la en deux, que les enfants d’Israël puissent pénétrer à pied sec dans son lit. » C’est ce que Moïse exécute. Puis, lorsqu’ils sont sur l’autre rive et que les Egyptiens s’engagent dans la mer asséchée, Moïse fait le même geste et la mer revient, engloutissant les poursuivants.
Dans le chapitre 17 est narré l’épisode de l’eau qui jaillie du rocher, dans le désert de Sîn. Là encore, le bâton de Moïse est l’instrument divin : « Prends en main le bâton dont tu frappas le fleuve et va ! Moi, je me tiendrai devant toi, là, sur le rocher, en Horeb. Tu frapperas le rocher, l’eau en jaillira et le peuple aura de quoi boire. Ainsi fit Moïse. »
Ailleurs, au chapitre des Nombres (20, 7-12), Yahvé dit à Moïse de saisir le rameau et de parler au rocher pour en faire jaillir l’eau pour la communauté et le bétail. « Moïse leva la main et, avec le rameau, frappa le rocher par deux fois : l’eau jaillit en abondance. »
Un intéressant article de Frédéric Manns consacré au Bâton de Moïse, sur le site www.interbible.org / symboles, nous apprend qu’une version araméenne de la Bible appelée Targum renferme une légende selon laquelle Moïse, après avoir fuit Pharaon, fut fait prisonnier dix ans par Reouel. Une fois libéré, il entra dans le jardin de celui-ci et « aperçut le bâton qui avait été créé au crépuscule (« entre les deux soleils »), et sur lequel était gravé le Nom grand et glorieux, grâce auquel il était destiné à accomplir les merveilles en Egypte et grâce auquel il était destiné à fendre la mer des Roseaux et à faire sortir l’eau du rocher. » Moïse se saisit de ce lourd bâton, l’un des dix objets présents avant la création. Il était fait du saphir du trône de Dieu et participait donc de sa puissance et de son autorité.
Le Bâton d'Aaron changé en serpent
Si le bâton de Moïse permet de faire jaillir une source du rocher, celui de son frère Aaron n’est pas moins miraculeux. Voici le passage de la Bible (Exode, 7, 8-12) qui en fait état :
« Yahvé dit à Moïse et à Aaron : « Si Pharaon vous enjoint d’accomplir quelque prodige, tu diras à Aaron : Prends ton bâton, jette-le devant Pharaon et qu’il devienne un serpent. » Moïse et Aaron se rendirent chez Pharaon et agirent selon l’ordre de Yahvé. Aaron jeta devant Pharaon et ses courtisans son bâton qui se transforma en serpent. Pharaon, à son tour, convoqua les sages et les enchanteurs. Et les magiciens d’Egypte, eux aussi, accomplirent par leurs sortilèges, le même prodige. Ils jetèrent chacun son bâton qui se changea en serpent, mais le bâton d’Aaron engloutit ceux des magiciens. »
L’épisode du bâton d’Aaron changé en serpent a fait l’objet d’un intéressant commentaire de S. BLOCH dans : « Méditations bibliques, pensées religieuses et morales, discours et commentaires sur le Pentateuque », Paris, 1860, p. 149.
L’auteur rappelle le texte biblique et ajoute ce qui suit :
« Un voyageur moderne raconte qu’on voit souvent sur les places publiques des villes égyptiennes des saltimbanques qui roulent autour de leur bras un serpent fort dangereux dont la langue caresse la bouche de l’homme ; puis soudain celui-ci saisit le reptile par la tête et le lance avec force à terre. Le serpent reste étendu, inanimé, roide ; l’homme le prend de nouveau par la tête et s’appuie sur lui comme un bâton en se promenant dans le cercle formé par les spectateurs. Ensuite le dompteur passe plusieurs fois sa main sur le singulier bâton, en approche la tête de sa bouche, souffle là dessus, et le bâton redevient peu à peu serpent et se roule de nouveau autour du bras de son maître.
Ce phénomène est produit par une pression sur la nuque du serpent, qui tombe dans un spasme tonique, s’étend, devient immobile, et reste quelque temps dans cette position d’engourdissement absolu. Par la chaleur de la main ou par des attouchements magnétiques, il se ranime vite.
C’est par ce moyen que les prêtres égyptiens ont pu tromper Pharaon et profaner le miracle réel d’Aaron (Franklin : De l’Egypte). »
" Au-delà du fait rapporté, ce texte est intéressant car, publié en 1860, en plein courant rationaliste, il n’en tire pas argument pour expliquer le miracle à la lumière de la science. Au contraire, il n’en remet pas en cause la réalité, et affirme que ce sont les prêtres égyptiens, tout comme leurs modernes descendants, qui usaient de cette technique d’engourdissement des serpents pour abuser le pharaon. Eux employaient des subterfuges, mais Aaron opérait de vrais miracles par la foi. "
Laurent Bastard
LE BATON D’ELISEE NE PEUT RESSUSCITER UN ENFANT MORT
Voici une autre illustration des pouvoirs attribués au bâton possédé par un élu de Dieu, en l’occurence le prophète Elisée. Mais ici, ce pouvoir trouve ses limites…
Les parents d’un enfant qui venait de mourir s’en allèrent à la rencontre d’Elisée pour qu’il intercède auprès de Dieu.
« Elisée dit à son serviteur Géhazi : « Ceins tes reins, prends mon bâton en main, et va ! Si tu rencontres quelqu’un, tu ne le salueras pas, et si quelqu’un te salue, tu ne lui répondras pas. Tu étendras mon bâton au-dessus de l’enfant. »
Mais la mère de l’enfant dit : « Aussi vrai que Yahvé est vivant et que tu vis toi-même, je ne te quitterai pas ! » Alors il se leva et la suivit. Géhazi les avait précédés et il avait étendu le bâton au-dessus de l’enfant, mais il n’y eut ni voix ni réaction. Il revint au-devant d’Elisée et lui rapporta ceci : « L’enfant ne s’est pas réveillé. » Elisée arriva à la maison ; là était l’enfant, mort et couché sur son propre lit. Il entra, ferma la porte sur eux deux et pria Yahvé. »
C’est en s’étendant sur l’enfant à plusieurs reprises qu’il finit par lui redonner vie.
Le passage se trouve au Deuxième Livre des Rois, 4, 29-33.
LES PROVERBES DE SALOMON AU BATON
Les Proverbes, qui constituent l’un des livres de l’Ancien Testament, sont attribués au roi Salomon. Voici ceux qui se rapportent au sujet de ce blog :
II. 10, 13. Sur les lèvres de l’homme avisé se trouve la sagesse,
Sur le dos de l’homme insensé, le bâton.
II. 13, 24. Qui épargne la baguette hait son fils,
Qui l’aime, prodigue la correction.
II. 19, 29. Le bâton est fait pour les railleurs,
Les coups pour l’échine des sots.
II. 22, 8. Qui sème l’injustice, moissonne le malheur
Et le bâton de sa colère le frappe lui-même.
III. 23, 13-14. Ne ménage pas à l’enfant la correction,
Si tu le frappes de la baguette il n’en mourra pas !
Frappe-le de la baguette
Et tu délivreras son âme du shéol.
IV. 25, 3. Le fouet au cheval, à l’âne la bride,
Pour l’échine des sots, le bâton !
La chasse au bâton de glu en Egypte Antique - (un boomerang égyptien ?)
Voici un exemple trouvé dans le périodique » L’Art pour tous : encyclopédie de l’art industriel et décoratif / M. Émile Reiber » (sources Gallica), en date du 30 décembre 1882.
« La vallée du Nil était, dans l’antiquité, peuplée d’une innombrable quantité d’oiseaux, dont la chasse était un profit en même temps qu’un amusement très recherché des classes riches.
La chasse au marais se pratiquait de diverses façons, dont la plus curieuse est incontestablement celle que nous représentons ici, d’après une peinture de tombeau. Elle consistait à lancer contre les oiseaux et volatiles un bâton recourbé et enduit de glu. Les chasseurs, montés dans un bateau de papyrus très léger, allaient agiter les touffes de lotus par leur base et troubler les oiseaux, qui, prenant leur vol en masse, étaient visés par le bâton meurtrier. Plusieurs de ces bâtons de chasse ont été retrouvés dans les tombeaux, ou se voient aujourd’hui dans nos musées. (Voy. la Vie privée des anciens, par René Ménard et Claude Sauvageot.) »
Bâtons dans l'antiquité
Voici une intéressante trouvaille faite dans le « Monumens antiques inédites ou nouvellement expliqués » du Comte Millin (ed. 1802) (sources : http://books.google.fr )
On peut en effet lire, dans le Tome 1, page 86, note (76):
« Ce bâton est ici un sceptre court: c’est ainsi que sur un vase grec, publié par Winckelmann, qui représente Achille recevant de Thétis les armes fabriquées
par Vulcain , on voit, non Vulcain s’appuyant sur un bâton à cause de son infirmité , mais un héros blessé dans un des derniers combats.
WlNCKELMANN, Monumenti inediti, n.° 131. Homère, Iliad. XIX, dit expressément qu’Ulysse et Diomede, impatiens de voir Achille, viennent à l’assemblée, soutenus de leur lance et souffrant encore de leurs blessures. L’usage de se servir de bâtons pour s’appuyer était commun dans la Grèce, ainsi qu’on le voit sur le revers de plusieurs vases. TISCHBEIN , t. I , pl. III. Ce bâton se nommait bacterion, les Lacédémoniens le nommaient scytale. Ce fut avec un semblable bâton qu’Eurybiade voulut frapper Thémistocle. Dans des temps plus modernes, le bâton devint un des attributs des cyniques. Voy. sur le bâton, les savantes observations de M. BOETTIGER, Vasen-Gemœhlde, II, 61 , 62. »
Donc, en cherchant un peu plus.. concernant le scytale voici ce que nous avons pu trouver simplement sur Wikipedia :
« Chez les Spartiates, la scytale, également connue sous le nom de bâton de Plutarque, était un bâton de bois utilisé pour lire ou écrire une dépêche chiffrée. Considérée comme le plus ancien dispositif de cryptographie militaire connue, elle permettait l’inscription d’un message chiffré sur une fine lanière de cuir ou de parchemin que le messager pouvait porter à sa ceinture.
Après avoir enroulé la ceinture sur la scytale, le message était écrit en plaçant une lettre sur chaque circonvolution. Pour le déchiffrer, le destinataire devait posséder un bâton d’un diamètre identique à celui utilisé pour l’encodage. Il lui suffit d’enrouler la scytale autour de ce bâton pour obtenir le message en clair.
Il s’agit de l’un des plus anciens chiffrements de transposition ayant été utilisé. Plutarque raconte son utilisation par Lysandre de Sparte en 404 av. J.-C2.
Sources : http://www.crcb.org/
Des griffes vieilles de 1,500 ans intriguent les archéologues au Pérou
Des archéologues ont découvert une paire de griffes métalliques aiguisées en fouillant la tombe d'un noble d'une civilisation pré-inca.
La paire de griffes en métal. Photo: Reuters.
Les scientifiques supposent que ces griffes devaient être attachées à un costume recouvrant le corps, et devaient jouer un rôle lors d'un combat rituel dans l'ancienne civilisation Moche :