Révélations sur la présence et les activités des aliens. L’Humanité est-elle sous influence ?
Ci-dessus : photo prise par la sonde américaine NEAR-Shoemaker d’un cratère de l’astéroïde Eros. Ce document figure sur le site officiel de la Nasa. Voici le commentaire que l’agence spatiale américaine donne de ce cliché surprenant : « cette image, prise d’une altitude orbitale de 53 km (33 milles), montre une surface carrée ayant 1,8 km (1,1 milles) de coté. De nombreux cratères qui parsèment cette surface ne mesurent pas plus de 8 mètres (26 pieds) de large. Le grand bloc rectangulaire ( ! sic) en haut à droite, mesure 45 mètres (148 pieds) de longueur (Image 0132577092) ». Visiblement la Nasa ne souhaite pas commenter dans le détail l’anomalie figurant sur ce cliché. Elle se contente de l’assimiler à un « grand bloc rectangulaire » sans aucune autre précision. Pour nous, il s’agit sans aucun doute d’une structure artificielle d’origine extraterrestre. Pour plus d’informations sur la mission NEAR et l’anomalie photographiée sur EROS : http://www.lesconfins.com/Eros%20anoma.htm
Dans notre DOSSIER N°3 consacré au phénomène ovni et intitulé, « ILS SAVENT ! », que vous pouvez consulter à l’adresse suivante : http://www.lesconfins.com/ils_savent.htm , nous écrivions en exergue le paragraphe suivant :
QUELQUES REFLEXIONS SUR LES MILITAIRES, LES SCIENTIFIQUES, ET LES POLITIQUES QUI SAVENT LA VÉRITÉ AU SUJET DES OVNIS.
Pourquoi nous cache-t-on la vérité au sujet des ovnis, et pourquoi nous heurtons-nous toujours aux démentis officiels ?
Le titre de ce dossier peut paraître à la fois énigmatique et accrocheur, mais il tente de faire le point sur une situation de fait qu'il est désormais possible de prouver, et dont les implications restent insoupçonnées par la majorité de nos contemporains.
1) Prendre conscience que de telles « choses » peuvent exister. Si dans le DOSSIER N°3 nous avons tenté de montrer que certains groupes de militaires, de scientifiques, et dans une moindre mesure, de politiques, savaient de façon certaine qu’il existe sur notre planète une présence extraterrestre, nous n’avions cependant pas analysé en profondeur toutes les implications de cet état de fait. C’est ce que nous allons essayer de faire dans ce nouveau dossier en allant le plus loin possible dans les implications qui résultent de cette présence étrangère, et en reconnaissant dans le même temps, que si certaines de ces implications peuvent paraître totalement « folles », horribles, ou même délirantes, elles n’en demeurent pas moins possibles. Nous verrons aussi dans le dernier paragraphe (« Alternative ») que la réalité n’est peut-être celle que l’on cherche à nous faire croire. Quoiqu’il en soit, notre objectif est d’explorer des hypothèses et de suivre des pistes, en reconnaissant volontiers qu’elles ne sont pas forcément le reflet exact de la réalité. L’important est de prendre conscience que de telles « choses » peuvent exister. La nuance est que nous ne disons pas que nous avons des preuves irréfutables que ces « choses » existent, mais que nous avons trouvé des indices sérieux qui convergent tous dans le sens de leur possible réalité. Ensuite, le lecteur est libre de se faire sa propre opinion. En tout cas, l’une des conclusions à laquelle nous étions parvenus dans notre précédent dossier était qu’il existait trois principaux degrés d’implications des militaires, des scientifiques et des politiques vis-à-vis du phénomène ovni. A noter que les politiques n’auraient pas le même niveau d’habilitation que les militaires et les scientifiques : « Les présidents (des Etats-Unis) successifs ont été tenus à l’écart, parce qu’ils n’avaient pas l’habilitation requise… » (propos du Dr. Edgar Mitchell pour Discovery Channel).
2) Degré 0 (zéro) d’implication. Caractéristiques du degré zéro : observation et détection à distance du phénomène ovni. Collecte de rapports d’observations et de témoignages. Enregistrements radar, films et photos d’ovnis. Récupération de divers matériaux (fragments de métaux, implants) dont l’origine n’est pas humaine. Analyses approfondies de traces au sol, d’échantillons de végétation ayant subits des altérations. Le phénomène ne représente pas une menace pour la sécurité des états. Les autorités assistant impuissantes aux évolutions du phénomène ovni dans leurs espaces aériens. Pas de contact direct avec le phénomène, mais simple constat que ce phénomène est bien réel.
3) Degré 1 d’implication. Caractéristiques du degré 1 : observation du phénomène ovni avec contacts sporadiques et limités, sans influence directe sur les affaires humaines. Rencontres secrètes que l’on peut qualifier de « courtoises » entre des représentants de la civilisation (ou des civilisations) qui produit le phénomène ovni et des représentants terriens rigoureusement sélectionnés. Echanges d’informations, voir transferts limités de technologies. Démonstrations des prouesses des ovnis pour montrer aux terriens leur supériorité technologique. Contacts avec le phénomène ovni, mais pas d’interférence notable avec les affaires humaines. Tout se passe à un niveau très confidentiel.
4) Degré 2 d’implication. Caractéristiques du degré 2 : Il y a des contacts importants et fréquents au plus haut niveau. Collaboration active avec la (ou les) civilisation(s) extraterrestre(s). Il existe des échanges importants d’informations et des transferts massifs de technologies. Nous pouvons imaginer que dans le pire des scénarios les extraterrestres exerceraient un contrôle presque total sur notre planète. Ils dicteraient les grandes lignes de l’organisation économique, politique et scientifique des Etats. Ils pourraient programmer notre avenir. Une infiltration des extraterrestres dans toutes les sphères dirigeantes de la planète est aussi envisageable. Ils pourraient même prendre une apparence humaine pour passer inaperçus. Dans ce scénario de l’extrême, les politiques seraient soumis aux extraterrestres. A ce niveau d’implication tout est possible. Le phénomène peut alors représenter une grave menace pour notre planète et l’avenir de notre civilisation. C’est le pire des scénarios, digne des théories « conspirationnistes » les plus sombres. Une alternative est cependant envisageable. Nous pouvons, en effet, imaginer l’hypothèse inverse, c’est-à-dire que les extraterrestres exerceraient un contrôle bénéfique et positif sur notre civilisation, avec l’intention de nous guider et peut-être même de nous « éduquer », pour nous permettre d’accéder à un niveau supérieur de civilisation. Le degré 2 implique des contacts étroits avec les extraterrestres, avec intervention et ingérence maximales dans les affaires humaines. Tout se passe à un niveau confidentiel mais les militaires et les scientifiques sont soumis au phénomène. Le phénomène dicte sa « loi », mais cette « loi » est destinée à nous faire progresser. Les extraterrestres auraient un « plan » destiné à orienter l’évolution de l’espèce humaine dans un sens bénéfique pour nous. Le point de départ de nos réflexions est que le degré zéro d’implication est une certitude. L’existence du phénomène ovni est un fait qui n’est plus à démontrer. Il existe désormais tellement de preuves de sa réalité qu’il n’est plus nécessaire de débattre de cette question. Par ailleurs, il faut noter que les trois niveaux d’implication des structures politiques, militaires, et scientifiques, décrits ci-dessus, sont bien évidemment très schématiques. Il peut exister de nombreux degrés intermédiaires entre ces trois grandes catégories. Toutes les combinaisons sont en fait possibles. Ce qui est sûr en tout cas, c’est que le « degré zéro » est aujourd’hui une réalité bien établie, indiscutable. Le « degré deux » est seulement probable. Il représente le degré extrême d’implication.
5) Quel degré d’implication ? Selon nous, la réponse à la question des mobiles qui sont à l’origine de l’étrange politique du secret orchestrée par les structures dirigeantes vis-à-vis du phénomène ovni dépend du degré d’implication considéré. Si nous supposons que ce degré est égal à zéro, on voit mal pourquoi ces structures maintiendraient à tout prix un secret qui en fait n’en est pas vraiment un. La question des ovnis intéresse, en effet, de nombreuses personnes à travers le monde depuis au moins la fin de la seconde guerre mondiale. Les informations concernant le phénomène ovni sont abondantes et chacun peut mener ses propres recherches sur ce sujet en toute liberté. Dans ce cas (degré d’implication égal à zéro) les raisons du secret seraient nécessairement triviales. Le souci de conserver une certaine crédibilité vis-à-vis de l’opinion publique pourrait, par exemple, motiver une telle attitude. Par contre, si nous supposons que ce degré est proche de 2, les raisons d’un tel secret s’expliquent déjà beaucoup mieux. Si l’on admet cette possibilité nous pouvons tout imaginer. Des contacts planifiés assortis de prises de décisions concertées entre des extraterrestres et des représentants terriens sont alors tout à fait envisageables. Rien ne prouvent que te tels contacts existent réellement, mais c’est une éventualité qu’il ne faut pas rejeter sans examen.
6) Les déclarations du Dr. Edgar Mitchell. Dans notre DOSSIER N°3, nous avions repris les déclarations du Dr. Mitchell exprimées lors de divers interviews pour la radio et la télévision. Pour le présent dossier, nous nous sommes servis d’une interview qui a été enregistrée sur un DVD consacré aux ovnis et intitulé : « OVNIS, 50 ans de déni. Dissimulation des ovnis et des technologies alien par le gouvernement » (2011). Dans ce DVD figure aussi une interview du colonel Philip J. Corso, qui est fort instructive. Corso confirme qu’il y a bien eu un crash à Roswell. Lui même a vu des créatures extraterrestres qui avaient été récupérées et conservées dans un « fluide ». Il avoue aussi que des officiers supérieurs de l’Armée savent tout des événements qui se sont déroulés le 4 juillet 1947 à Roswell, mais qu’ils ne peuvent pas parler car ils sont sous serment. D’après lui, les Russes s’intéressaient beaucoup à cette affaire et ils avaient même envoyé des espions sur place. Devenu âgé, Corso est désormais favorable à une divulgation sans réserve des informations détenues par les agences de renseignement et l’armée au sujet des ovnis. Pour lui, le Projet Blue Book (« Livre Bleu ») qui fut la commission créée par l’US Air Force et qui oeuvra entre 1952 et 1969, fut une absurdité complète, inutile, et contre-productive. En ce qui concerne les propos de Mitchell, ils ne sont pas à prendre à la légère, et chacun de ses mots à son importance. Si nous avons choisi cette personnalité comme source d’information c’est parce que le Dr. Mitchell est une personnalité hors du commun. Docteur en aéronautique et en astronautique, c’est un héros national et une figure charismatique pour celles et ceux qui sont passionnés par la conquête spatiale. Pilote du LEM, il fut le sixième homme à marcher sur la Lune lors de la mission Apollo14 qui s’est déroulée le 31 janvier 1971. Son point de vue peut se résumer ainsi : l’ancien astronaute est persuadé qu’un groupe secret, ce qu’il appelle « les gens de l’intérieur » (ce que nous appelons la « cellule spéciale » – voir notre dossier « Ils Savent ! »), dont les membres (inconnus du public) appartiennent à des sociétés privées très proches des milieux militaires, possède des informations capitales sur le phénomène ovni. Ce groupe secret serait en contact avec une (ou plusieurs) civilisation(s) extraterrestre(s) et bénéficierait d’un apport de technologies de la part des représentants de cette (ou ces) civilisation(s). Le monde du renseignement militaire serait parfaitement informé de l’existence de cette présence étrangère et maintiendrait le secret à n’importe quel prix. Le crash d’un ovni à Roswell est une réalité connue de ce groupe. Le groupe appelé « MJ12 » (ou un groupe similaire) à bien existé. Par ailleurs, bien que la Nasa réfute son implication dans cette dissimulation, il paraît néanmoins évident qu’elle possède des informations d’une extrême importance sur ce sujet. Si nous estimons que les propos de Mitchell sont crédibles, alors ils pourraient étayer de façon sérieuse l’hypothèse du « degré 02 d’implication ». Examinons maintenant plus en détail quelques-unes des idées de Mitchell.
7) Les « gens de l’intérieur ». L’utilisation de l’expression « gens de l’intérieur »,
signifie qu’il existerait un groupe secret d’individus qui détiendrait des informations ultra-sensibles concernant les ovnis et leurs occupants. Si l’existence de ce groupe est plus que probable, il est en revanche très difficile d’estimer le nombre d’individus qui le compose. L’aspect le plus troublant dans l’existence d’un tel groupe c’est qu’il se situerait en dehors de toutes les structures officielles connues et identifiables. On a longtemps soupçonné l’armée américaine d’abriter en son sein un groupe de ce genre qui, bien que secret, dépendrait malgré tout de l’armée, de son organisation et de sa hiérarchie. Les agences de renseignement américaines (CIA, FBI, NSA, NRO, DIA, etc..) sont aussi de bonnes candidates susceptibles d’héberger des groupes clandestins travaillant en secret sur le phénomène ovni. Hors, le point de vue de Mitchell suggère que ces mystérieux « gens de l’intérieur » ne seraient dépendants ni de l’armée, ni des services secrets, ni du gouvernement, ni d’aucune autre instance gouvernementale identifiable. Dans ce sens, il s’agirait bien de « privés » comme le dit Mitchell, et ces « gens » n’auraient littéralement de compte à rendre à personne (sauf peut-être aux extraterrestres eux-mêmes). Une telle situation, si elle est réelle, suscite de nombreuses interrogations. Comment le groupe est-il financé ? De quels appuis bénéficie t’il ? D’où tire-t-il son pouvoir ? De quelles armes et de quelles technologies dispose-t-il ? Quel est le sens de son action ? S’il est difficile de répondre à chacune de ces questions, nous pouvons malgré tout concevoir une sorte de « scénario » dans lequel les « gens de l’intérieur » représenteraient une « agence » qui occuperait une position située en réalité à l’extérieur de toutes nos structures sociales. Curieusement, plus que des « gens de l’intérieur », il s’agirait de gens de l’extérieur », c’est-à-dire d’individus qui ne seraient pas soumis aux lois qui s’appliquent aux citoyens ordinaires (impunité absolue), et qui ne seraient intégrés à aucune des hiérarchies existantes, qu’elles soient civiles ou militaires. Conclusion : personne n’aurait de prise sur eux, et ils ne pourraient être empêchés d’agir par aucun pouvoir connu. Si un tel groupe possédant de tels pouvoirs (exorbitants) existe réellement, c’est une situation très alarmante contre laquelle, malheureusement, nous n’avons aucun moyen d’action. Ce qu’il importe de comprendre, c’est que nous ne serions pas en présence d’une structure dont le but serait d’étudier le phénomène ovni en secret, une sorte de « labo » clandestin en quelque sorte financé par le gouvernement, mais d’un groupe qui n’ignore plus rien de ce phénomène et qui se trouve être au coeur même de toutes les « affaires » liées aux ovnis (abduction, Roswell, mutilation du bétail, retro-ingénierie ou reverse engineering, hommes en noir ou men in black, bases souterraines aliens, désinformation, manipulation, projets noirs, etc..). Aujourd’hui, la problématique du phénomène ovni a changé et les ufologues devraient se poser de nouvelles questions. Les études menées sur ce sujet devraient intégrer de nouveaux paramètres. La collecte pure et simple de témoignages n’est plus suffisante. Ce qu’il faut chercher à établir désormais, c’est le degré exact d’implication de certains groupes humains vis-à-vis de ce phénomène. C’est une tâche difficile, mais les quelques informations dont nous disposerions seraient lourdes de conséquences.