Un poisson fossile découvert en Chine serait l'ancêtre de l'homme
Un poisson fossile découvert en Chine serait l'ancêtre de l'homme
Suivant la logique évolutionniste voulant que tout être vivant actuellement sur la Terre provient des océans et donc d'un intermédiaire aquatique vertébré, le requin vient d'être éliminé totalement par la découverte d'un fossile de poisson vertébré très ancien...plus de 400 millions d'années. Cette découverte bouleverse toutes les idées préconçues, selon un paléontologue du Muséum d'histoire naturelle de Paris. :
" Un petit poisson préhistorique remet en cause toute l'évolution des vertébrés, humains compris. Selon ce fossile découvert en Chine, l'ancêtre de l'homme et de toutes les créatures dotées d'un squelette osseux ne serait donc pas une sorte de requin primitif, mais plutôt d'un poisson plus modeste. Ce poisson fossile est doté de vertèbres et d'un squelette. Les scientifiques ont pourtant longtemps pensé que les vertébrés étaient issus de poissons cartilagineux similaires aux raies et aux requins et qu'ils ont dû évoluer pour se créer de toutes pièces un squelette et une mâchoire articulée. "
" "Cette découverte étonnante porte un sérieux coup à de vieilles idées sur l'évolution des vertébrés", résume Brian Choo, de l'Institut de Paléontologie des Vertébrés de Pékin, qui publie sa découverte dans la revue Nature. Cette découverte bouleverse toutes les idées préconçues, selon un paléontologue du Muséum d'histoire naturelle de Paris. "
Effectivement, ce poisson de plus de 400 millions d'années possédait déjà une machoire... moderne, en contradiction avec tous les concepts de l'évolution !
(DAVID LEFORT et MATHIEU DREUJOU - FRANCE 2)
Yves Herbo-SFH-09-2013
mystère archéologie prehistoire
Commentaires (8)

- 1. | 05/12/2013
- | 06/12/2013

- 2. | 22/10/2013
La découverte d'ADN néandertalien chez les Humains modernes non africains est, en comparaison de ce poisson, une découverte largement plus importante pour notre histoire, et avec bien plus de conséquences, simple bon sens.
Quel article est signé par un scientifique ? Celui de votre lien traite, lui, d'un aspect de la recherche française à travers son exclusion du projet de recherche sur le décodage de l'ADN non-codant. Vous semblez parler de ça juste pour dire que l'on risque avoir des surprises (?) vis-à-vis des ancêtres de l'Homme mais j'ai vraiment du mal à vous suivre. Si cet ADN est non-codant, ça veut dire ce que ça veut dire, les mots ont un sens... Il y est dit qu'il varie peu donc, en plus, il s'agit d'un très mauvais traceur pour l'évolution : c'est plutôt mal barré. L'article dit : "Il a des fonctions biochimiques" : très très vague... Je connais un peu, je devine qu'il s'agit de modifications chimiques à leur niveau qui modifie l'environnement du reste de l'ADN, son pH par exemple. L'ADN peut alors changer de forme spatiale, éloigner ou rapprocher les zones codantes... C'est en effet une manière de modifier l'expression du génome, mais je ne vois toujours pas le rapport (?). J'imagine que c'est intéressant pour booster l'évolution en faisant varier les effets d'une mutation, par exemple, mais l'information essentielle vient de celle-ci, pas de l'ADN non codant... Vous dites : "on parle surtout de probabilité", de manière un peu désinvolte, mais c'est un métier, ce n'est pas de l'approximatif... Quand une même mutation est présente chez deux brins d'ADN la proba que ce soit un hasard est très faible mais les travaux portent sur un grand nombre de points et les probas se multiplient entre elles, bref le risque d'erreur devient infinitésimal.
Quand aux citations du Dct Brian Choo, "de l'Institut de Paléontologie des Vertébrés de Pékin", qu'elle vise le sensationnel n'a rien d'extraordinaire : il suffit de connaître un peu la politique de son pays. "Les Chinois" pensaient être une race à part (cf. Homme de Pékin) mais, manque de bol, l'ADN les trahit : nous descendons bien des mêmes bonhommes qui ont quitté l'Afrique il n'y a pas si longtemps. Donc si la Chine, grâce à ce fossile, pouvait être à l'origine de l'humanité, pourquoi pas...

- | 23/10/2013

- 3. | 12/10/2013
L'ADN des êtres vivants actuels permet très bien de retracer l'évolution. La "réparation" expérimentale de l'ADN a d'ailleurs permis de faire ressurgir des caractères anciens, comme des dents chez les oiseaux...
Il est donc complètement stupide de dire que cela "remet en cause toute l'évolution des vertébrés, humains compris".
Il n'est pas davantage prouvé que ce poisson soit l'ancêtre des vertébrés. Ce fossile montre juste que les vertébrés existaient déjà il y a 400 millions d'années, c'est tout. Cette espèce a été précédée par d'autres, inconnues, qui pouvaient très bien avoir déjà des vertèbres et avoir eu des descendants. C'est comme lorsque l'on dit que l'homme descend DU singe : c'est faux, il descend DE singes, inconnus au sens strict, disparus, mais dont on trouve des cousins plus ou moins proches et qui permettent d'évaluer l'évolution à l'époque. Pour donner une image : si on découvrait le squelette d'un enfant qui représenterait une étape parfaite dans l'évolution, cela permettrait de situer le stade atteint chez des hominidés à la date déterminée mais il n'est évidemment l'ancêtre de personne puisque il est mort enfant...
PS : ras-le-bol de ces articles à sensation, complètement déformants...
- | 13/10/2013

- 4. | 05/10/2013
Allez ... encore un effort ...
L’évolutionnisme est un concept qui n'a pas fait ses preuves : les fameux chainons manquants n'ont pas été retrouvés et de toute façon ils auraient été victimes ... de la loi de la sélection naturelle qui ne garderait que les plus performants .
Au contraire cette mâchoire apporte de l'eau au moulin de "l'irréductible complexité"
http://rationalwiki.org/wiki/Irreducible_complexity

- 5. | 28/09/2013







