L'étrange statue égyptienne The Starving of Saqqarah
Au centre de l'immense nécropole de Memphis, qui s'étend sur 20 kilomètres, se trouve le plateau de Saqqarah, où l'on retrouve et recherche encore de nos jours les tombes des rois et nobles des toutes premières dynasties de l'Egypte antique... C'est depuis 1999 en fait qu'une mystérieuse sculpture a été récupérée. Mystérieuse car les archéologues et les historiens de l'art égyptien de l'université de Concordia à Montréal, Canada, qui l'a récupéré, s'interrogent toujours sur son origine. Car comme il est impossible de dater le calcaire dont est fait la statuette, que les restes de peintures présents n'ont pas été analysés par manque de budget débloqué à cause de ces inconnues, les chercheurs n'ont pas encore pu déterminer s'il s'agit bien d'un artefact datant de plusieurs milliers d'années ou d'un faux sans aucune valeur historique...Un autre problème vient encore compliquer les choses : la statuette comporte des inscriptions apparemment très anciennes... mais tellement anciennes qu'elles ne ressemblent à aucune écriture connue...
Gros plan de l'écriture inconnue au bas de la statue (Concordia University)
Selon Clarence Epstein, Directeur des affaires culturelles de l'université, " il s'agit d'une pièce originale et unique et, de ce fait difficile à authentifier ". Pourtant, on sait que, dans l'Egypte ancienne, il n'était pas rare de rencontrer des gens ayant le crane allongé : c'était même souvent un trait caractéristique d'une certaine élite et on a découvert plusieurs momies de ce type, y compris parmi les pharaons...
En effet, la statue en calcaire mesure 67 centimètres de hauteur, pèse environ 80 kilos et représente deux personnages nus enlacés, possédant tous deux une tête très allongée et de longues jambes maigres. De nombreuses traces de pigments indiquent que la sculpture a été peinte.
The Starving of Saqqarah (Concordia University)
Clarence Epstein ajoute : " Un spécialiste a fait observer que si on pouvait prouver qu’elle remonte à l’Exode, période de la fuite des juifs hors d’Égypte, l’œuvre serait d’une extrême rareté. Un autre archéologue consulté est formel : soit elle a été enfouie dans un tombeau datant d’avant les dynasties pharaoniques, soit elle est purement et simplement fausse ".
Selon Monsieur Jean-Jacques Fiechter, Historien d’art suisse, la sculpture est authentique : " Un marchand expérimenté et grand connaisseur de l’art égyptien comme Diniacopoulos n’aurait pas acheté ce groupe s’il ne l’avait pas considéré comme authentique, ni pris la peine de l’expédier à grands frais au Canada ". Notons aussi que Mr Diniacopoulos a acheté cette statue, surnommée " The Starving of Saqqara ", il y a très longtemps puisqu'elle était déjà exposée dans les années 1950 dans la galerie possédée par la famille, la Galerie Ars Classica sur Sherbrooke Street à Montreal.
YH : on ne peut s'empêcher de penser à certaines statues Sumériennes, mais aussi Olmèques par exemple, montrant des êtres humains (y compris des enfants) possédant un crâne allongé comme ici... on note également plusieurs statues égyptiennes et momies, il semble que les spécialistes de l'art du Canada ne soient pas très familiers avec l'égyptologie, et que les experts ne veulent guère se mouiller ! Il faut aussi bien dire que nous avons aussi une description de ce que certains nomment les " Anunnakis sumériens "... que les êtres humains ont voulu imiter partout dans le monde (en allongeant artificiellement les crânes des enfants) pour tenter de récupérer aussi les grands pouvoirs et notoriétés de ces " dieux ou demi-dieux venus du ciel "... mais c'est un autre débat... :
Un premier hommage a fait l'objet d'un article ici : http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/ovni-ufo/ovnis-et-personnalites-guy-mouny.htmlGuy-Claude Mouny était un écrivain français qui s'est mit à l'écriture assez tardivement, vers ses 59 ans. Membre de l'ORSEM en tant que Colonel, il a affirmé lui-même avoir eu des rapports très suivis avec les services secrets lors de sa carrière professionnelle, et que c'est certains papiers et rapports, ainsi que son goût des mystères non élucidés (il a été aussi en rapport avec l'Ufologie), qui l'avaient incité à devenir écrivain. Dans la préface du livre « Le Secret de François 1er » de son ami Didier Coilhac, il avouait avoir eu pour ami le Comte de Marenches, ancien Directeur Général du SDEC, (le Service de Documentation Espionnage et Contre Espionnage). Il déclara laconiquement à la radio « Ici et Maintenant » : « J'ai roulé avec le SDEC… ». Egalement auditeur de l'IHEDN, l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale : il en avait fondé la section marnaise. On retrouve des membres de l'IHEDN comme auteurs du fameux rapport Cometa qui statuait sur les Ovnis. De hautes personnalités bien informées concluaient que les ovnis étaient des engins volants à la provenance inconnue. L'hypothèse extraterrestre était discrètement présentée comme la plus plausible. Comme on pouvait s'y attendre, ce texte fut sévèrement jugé par certains officiels qui n'y participaient pas.Ses enquêtes l'ont finalement convaincues qu'il touchait du doigt une certaine vérité, ce qui l'a poussé à écrire sans relâche et chaque année sur des sujets très proches. Né à Reims en 1930, il est mort dans la nuit du 14 juillet 2007. Il était également Commandeur de l'Ordre National du Mérite.
Tell al`Ubaid from 4500 B.C.E, ( BEFORE COMMON ERA ) NFOSource
Pour simplifier les choses, l'archéologie moderne énonce que la première civilisation humaine a commencé en Irak, dans l'ancienne Mésopotamie, avec la grande civilisation de Sumer. Mais les découvertes récentes ont largement remis en question ce concept simplifié de l'Histoire Humaine, avec les découvertes de la civilisation de l'Indus et de celle d'Aratta, qui prouvent que Sumer n'était pas l'unique civilisation aux mêmes périodes, voir que certaines pourraient bien l'avoir précédé. Mieux encore, on a aussi découvert que les sumériens, quand ils sont arrivés en Mésopotamie, ont en fait envahi et soumis des populations qui étaient déjà sur place. Des peuples qui possédaient déjà bien sûr leur propre langue et même... leurs propres constructions et architectures ! Les preuves sont maintenant multiples, que l'on parle de la découverte du premier temple d'Uruk, qui date de plus de 5000 ans avant JC (avant l'arrivée des sumériens donc) mais aussi des différences de noms et d'appellations dans la propre langue et écriture des sumériens : la preuve qu'ils ont adopté eux-mêmes des termes et mots des langues des populations locales soumises...
C'est sur le site archéologique de Al Obeid, que de nombreuses preuves et artefacts ont été trouvés. Des artefacts pré-sumériens de 7.000 ans, représentant notamment des personnages humanoïdes avec des caractéristiques de lézard... Voir ci-dessous :
Une petite compilations d'archives trouvables sur internet sur le thème de l'archéologie mystérieuse, interdite ou parallèle. Tout n'est bien sûr pas à prendre à la lettre, l'archéologie étant surtout une science d'interprétations étayées ou non, mais certains faits ont bien été vérifiés et avérés, certaines recherches ont bien modifié l'Histoire, qui n'est pas figée comme une certaine logique le voudrait...
Voici une découverte de taille! La tombe d'Osiris où le culte des mystères égyptiens fut pratiqué, Hérodote en parla, les grands philosophes grecs y furent initiés, les secrets de la vie s'y révélèrent avec silence. Sa tombe est située sur le plateau de Gizeh, combien de secret cache donc ce plateau ?
Archéologie mystérieuse - La Cité perdue de Krishna 2/2
Dwaraka ! Ville magique et splendide de la grande épopée Hindoue, le Mahabharata ! Oubliée et perdue pendant plus de 5000 ans, la revoilà sortie des eaux où un symbole et une histoire mythique viennent nous rappeler d'où l'on vient, notre histoire a été volée (voir ci-dessous):
Une très étrange découverte aurait été faite en Egypte pendant l'année 1988 : un entrepreneur connu en Suisse et passionné d'égyptologie, Gregor Spörri, serait entré en contact en 1988 avec un vieil homme, héritier d'une vieille dynastie de pilleurs de tombes. A environ 100 km du Caire au nord-est, une réunion s'est tenue dans une ferme vers les Bir Hooker. Spörri doit donner 300 dollars juste pour jeter un oeil à la collection invendable des voleurs de tombes.
Un os est enveloppé dans de vieux chiffons et une peau de cuir, dit Spörri, l'emballage était rectangulaire et c'était confiné dedans. J'étais choqué quand j'ai vu le vestige brun foncé et quand je l'ai pris dans mes mains. J'ai pu le photographier et mettre un billet de banque à côté pour comparer la taille.
Le doigt courbé avait éclaté et était couvert de moisissures séchées. C'était étonnamment léger, à peine quelques centaines de grammes. C'était incroyable. A partir de ce doigt, la dimension du géant devait être au minimum de 5 mètres...
Le voleur de tombe a montré aussi encore un certificat d'authenticité et une radiographie du doigt au suisse. Les deux des années soixante. Le voleur de tombe a juré par tous les noms d'Allah qu'il disait la vérité et que cette chose avait été trouvée dans une tombe pas très loin des pyramides de Gizeh. Mais le doigt n'a pas pu être vendu. Il a semblé être beaucoup trop important pour lui et sa famille... Aujourd'hui, Spörri regrette qu'il n'ai pu récupérer que des photos dans la maison. Cette découverte l'occupait pendant des années, mais les scientifiques ne se sont pas intéressés à la découverte, qui devait être impossible... "Le vestige ne collait pas avec les théories", dit l'explorateur à BILD.de. Ils ne voulaient pas se faire moquer par d'autres experts. Ce n'est qu'en 2009 qu'on recherche à nouveau un Arabe âgé et le vestige. Mais les traces dans les Bir Hooker étaient devenues du sable depuis...
Gregor Spörri, certain de ce qu'il a vu et tenu dans ses mains, passe une bonne partie de sa vie à chercher intensivement des vestiges et preuves de la réalité du mythe des géants. Il est surtout allé en Egypte, et a trouvé des sarcophages géants, parfois incomplets et faux, mais aussi des vrais, trop grands pour des êtres humains normaux.
Y a-t-il eudesgéantsenEgypte?L'historienFlaviusJosephusromaina fait un rapport en 79aprèsleChristd'unetelle existencedanssonhistoirede laguerrejuive:" Desgéantsétaientlà.Organisésbeaucoupplus grandementetautrementque l'hommenormal.Craintsterriblement.Celui quine l'a pas vue de ses propres yeux ne peut pascroirequ'ilsaient étésiextrêmementgrands."
Spörri
Quoiqu'il en soit, l'artefact a disparu et son propriétaire avec. Spörri a décidé de changé de vie et, n'étant pas scientifique pour parler de sa découverte, il a décidé de la révéler via un roman, auquel ses preuves photographiques sont ajoutées dans l'histoire... Il l'a sorti volontairement du contexte pour le montrer, et plusieurs experts sont à la recherche de témoignages et traces du côté des Bir Hooker... au public de considérer la chose, dit Spörri, et de décider lui-même de sa propre opinion...
MAJ 05-2015 : L'affaire n'est toujours pas résolue et ce fossile a disparu avec la famille du découvreur. Les suppositions raisonnables les plus récentes font appel au primate préhistorique Gigantopithecus Blacki pour expliquer ce doigt et son gigantisme...
Le premier Gigantopithèque décrit par un anthropologue a été trouvé en 1935 par Ralph von Koenigswald, dans une boutique d'un l'apothicaire. Les dents et les os fossilisés sont souvent broyés en poudre et utilisés dans certaines branches de la médecine traditionnelle chinoise... Von Koenigswald a nommé ces espèces théorisés le Gigantopithèque.
Wikipedia.en
Depuis lors, relativement peu de fossiles du Gigantopithèque ont été récupérés. Mis à part les molaires récupérées dans les magasins chinois de la médecine traditionnelle, la grotte de Liucheng à Liuzhou, Chine, a produit de nombreuses dents du Gigantopithèque blacki, ainsi que plusieurs mâchoires. Les autres sites donnant des découvertes importantes ont été au Vietnam et en Inde. Ces découvertes suggèrent que la race des Gigantopithèques était en Asie du sud-est (on note aussi avec l'Inde et ces régions certaines références historiques et religieuses en lien avec l'Armée des Singes, le Dieu-Singe et les textes védiques sur le compagnon de Rama et la construction d'un pont entre l'Inde et Sri-Lanka (Ceylan) par une armée de Singes géants intelligents, y compris aussi le fameux Yéti qui remonte à très loin).
En 1955, 47 dents de Gigantopithèques blacki ont été trouvées parmi une cargaison d' "os de dragon" (aka "os d'oracle") en Chine. En traçant ces dents jusqu'à leur source, on a abouti à la récupération de plus de dents et d'une grande mandibule assez complète. En 1958, trois mandibules et plus de 1300 dents avaient été récupérés. Les restes de Gigantopithèques proviennent de sites dans le Hubei, Guangxi et Sichuan, à partir d'entrepôts pour les produits médicinaux chinois, ainsi que des dépôts de grottes. Tous les restes chinois n'ont pas été datés de la même période de temps, et les fossiles dans le Hubei semblent être d'une date plus tardive qu'ailleurs en Chine. Les dents du Hubei sont également plus grandes.
Wikipedia.en
Le Gigantopithèque est considéré comme une race éteinte de singe qui existait depuis environ neuf millions d'années jusqu'à il y a aussi récemment que 100.000 ans, dans ce qui est maintenant la Chine, l'Inde et le Vietnam, plaçant le Gigantopithèque dans le même laps de temps et la situation géographique que plusieurs espèces d'hominidés (y compris l'homme moderne qui était déjà apparu, mais pas en Asie (à priori)). les archives fossiles suggère que les individus de l'espèce Gigantopithèque Blacki étaient les plus grands singes qui ont jamais vécu, mesurant debout jusqu'à 3 m (9,8 pieds) et pesant jusqu'à 540 kg (1,200 livres), ce qui rend l'espèce deux à trois fois plus lourde que les gorilles modernes et près de cinq fois plus lourde que l'orang-outan, son plus proche parent vivant. Les grands mâles peuvent avoir eu une envergure des bras de plus de 12 pieds (3,6 m). L'espèce aurait eu un fort dimorphisme sexuel, les femelles adultes pesant environ la moitié du poids des hommes. En raison de grandes différences entre les espèces trouvées et leur relation entre la dent et la taille du corps, certains soutiennent qu'il est plus probable que le Gigantopithèque le plus répandu (non Blacki) était beaucoup plus petit, d'environ 1,8 m (5,9 pi).
Les espèces vivaient en Asie et habitaient probablement des forêts de bambous, puisque ses fossiles sont souvent trouvés aux côtés de ceux des ancêtres disparus du panda. La plupart des éléments prouvent que Gigantopithèque était un herbivore.
Mais la question ultime est : que ferait un doigt fossilisé d'un Gigantopithèque Chinois ou Hindoux dans une tombe de l'ancienne Egypte ?...
Yves Herbo, Sciences, Faits, Histoires, 03-2012, MAJ 05-2015
Un paléoanthropologue insiste sur l'intelligence des néandertaliens
Le paléoanthropologue portugais João Zilhão
João Zilhão : « Les Néandertaliens n'étaient ni stupides ni éteints »
Le paléoanthropologue portugais rejette l'idée répandue que ces anciens Européens étaient une espèce différente avec des capacités cognitives inférieures. Les Néandertaliens sont difficiles à ne pas appeler l'espèce humaine qui a habité l'Europe pendant des centaines de milliers d'années jusqu'à ce qu'ils disparaissent mystérieusement il y a environ 40 000 ans (?).
(YH : En fait, le plus récent squelette de néandertalien date officiellement de 35 000 ans, c'est à dire que les premières peintures pariétales attribuées aux hommes modernes, tout comme les premières statuettes "Vénus" avaient déjà été créées ! - La science penche maintenant pour une réelle disparition de Néanderthal entre il y a 35 000 et 30 000 ans - mais a-t-il réellement disparu, ou une espèce hybride "néandertalo-CroMagnon" a-t-elle été absorbée en final par ce dernier ? Maisdes recherches conduites de 1999 à 2005 dans la grotte de Gorham à Gibraltarsuggèrent que les Néandertaliens y ont vécu jusqu'à −28 000 ans, voire −24 000 ans, ce qui est toujours contesté, en particulier d'ailleurs par Joäo Zilhäo).
C'est ainsi qu'il présente la plupart des articles populaires au grand public, et probablement peu d'anthropologues seraient mal à l'aise avec la description. Mais nous en avons trouvé un qui le fait. Pour João Zilhão (Lisbonne, 1957), chercheur ICREA à l'Université de Barcelone, cette première phrase est pleine d'erreurs. Le chercheur défend depuis des années que les Néandertaliens et ce que nous appelons l'homme moderne sont en fait la même espèce et que les deux populations se sont mélangées intensément, c'est pourquoi en Europe chacun de nous porte un pourcentage important du génome néandertalien (jusqu'à 30% , de 2 4%, dans votre ADN. " Ce sont nos ancêtres ", dit-il. Cela l'a amené à réfléchir à des découvertes, autrefois très controversées, comme le garçon de Lagar Velho au Portugal en 1998 ou les restes squelettiques trouvés dans une grotte roumaine, la Pestera cu Oase, en 2003-2005, dans laquelle il croyait avoir vu un grand métissage. Zilhão est également convaincu de l'intelligence et des capacités cognitives des Néandertaliens. Il ne trouve aucune raison de penser qu'ils étaient inférieurs. Ils ont même été les premiers à peindre de l'art rupestre, - https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/prehistoire-homme-neandertal-t-il-peint-premieres-fresques-rupestres-monde-70276/ - comme l'ont conclu des recherches impressionnantes publiées dans la revue "Science" en 2018. Les dernières découvertes sur cette population humaine fascinante semblent le prouver. YH : notons tout de même qu'en 2019, les datations de 64 000 ans pour ces peintures ont été contestées et même en fait la méthode de datation au Uranium-Thorium en entière pour les grottes ! : https://www.hominides.com/html/actualites/datation-u-th-art-parietal-remise-en-cause-1386.php
néandertaliens reconstitution 1 (Musée de l'Homme de Neanderthal à Kaprina, Croatie)
- C'est un héritage du 19ème siècle, continue João Zilhão, lorsque le premier fossile néandertalien a été trouvé, et il continue d'être répété. Mais les Néandertaliens n'étaient pas une espèce différente mais une petite population périphérique d'Europe qui a fini par être absorbée il y a environ 40 000 ans. Le concept de comparer les Néandertaliens à nous porte en lui une notion anti-évolutionnaire, la notion que nous avons été créés il y a 200 000 ans comme nous le sommes aujourd'hui, et ce n'est pas le cas (YH : les plus anciens Homo Sapiens sont maintenant datés de 300 000 ans, au Maroc : https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/l-homme-moderne-apparition-entre-500-000-a-300-000-ans.html).
-Mais l'hypothèse des deux espèces est dominante :