Articles de yvesh

Dans OVNI/UFO
Ovni 07 11 2013

Un OVNI très rapide bouscule un nuage

Par Le 08/11/2014

Un OVNI très rapide "bouscule" un nuage

Ovni 07 11 2013 mini

Cette vidéo, apparue le 07-11-2013 sur la toile, n'est pas truquée à priori et montre un disque inconnu traversant et déformant de part sa vitesse un nuage... le caméraman était proche d'un aéroport et filmait l'approche d'un avion quand il a pu filmer cette scène. Regardez bien le nuage à droite de l'avion, il bouge tout seul d'un seul coup... Un coup de chance extraordinaire quand on voit la rapidité de l'objet, à peine visible à l'oeil nu, il n'a dû s'en rendre compte qu'en visualisant plus tard ses tournages... on ne remarque en fait que le nuage qui se déforme au passage rapide de cet engin. Des ralentis et entourages pour bien montrer l'objet sont effectués dans la suite de la vidéo... 

Drone ou engin provenant d'un monde parallèle, extra-terrestre ou du futur ? La vitesse constatée n'est pas sans rapeller une autre vidéo prise près d'un autre aéroport... voir ci-dessous :

Preuve ou non ? Toujours difficile bien sûr de décider, c'est à vous bien sûr, comme toujours, de décider et d'avoir votre propre opinion...

Yves Herbo, Sciences, F. H, 08-11-2014

Earth nightlights 2012

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire 5

Par Le 07/11/2014

Archéologie, Anthropologie et Communication Interstellaire Part 5

 

Pulsarx

Partie 1 ici

Partie 2 ici

Partie 3 ici

Partie 4 ici

Reconstruire les civilisations lointaines et rencontrer des cultures étrangères extra-terrestres par Douglas A. Vakoch - NASA - (Extraits choisis traduits) : Partie 5

Chapitre 8

Anthropologie à distance
SETI et la production de connaissances dans la rencontre avec un Extraterrestre Différent
par John W. Traphagan

Pendant une bonne partie de son histoire, l'anthropologie a explicitement porté son regard intellectuel sur la compréhension des autres, apparemment "Etrangers" (alien), dont les langues, les croyances, les modes de vie et les structures sociales ont été considérés comme éloignés des sociétés de l'industrie de l'Ouest - l'Angleterre, la France, l'Allemagne et les États-Unis, où la discipline s'est développée. Dans les années de l'invention de l'anthropologie, les ethnographes n'ont pas eu normalement la capacité d'être en contact direct avec les autres personnes qui ont fait l'objet de leurs études. En effet, les premiers anthropologues "fauteuil" du 19ème siècle, tels que James Frazer, EB Tylor, et Lewis Henry Morgan (bien que Morgan effectuera aussi une certaine collecte directe de données chez les Iroquois en plus du fauteuil comme variété de la recherche), ont travaillé dans des conditions pas tout à fait différentes de ceux des chercheurs du SETI aujourd'hui; les limitations de la technologie (en particulier les transports et technologies de communications) ont considérablement limité les types d'interaction accessibles aux chercheurs en sciences sociales, intéressés à communiquer et à comprendre un autre (être) lointain. La communication a été lente, nécessitant des semaines ou des mois pour les anthropologues aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, pour demander et recevoir des informations de personnes (souvent des missionnaires religieux) vivant dans des endroits éloignés alors. Lorsque les données ont été finalement reçues, telles que les données de parenté recueillies par Morgan au milieu du 19e siècle de nombreuses parties du monde, l'interprétation était fondée en grande partie sur les cadres théoriques et les hypothèses qui avaient décidément une teinte spécifiquement occidentale, le darwinisme social et l'évolution culturelle d'une variété de Spenceristes, avec leurs fondements théologicaux ouvertement associés à des progrès. Ces cadres et hypothèses étaient difficiles à tester en utilisant les méthodes de contact direct et l'observation participante qui deviendront plus tard la fondation de la recherche ethnographique.

Bien que le style de l'anthropologie fauteuil du 19ème siècle a été remplacé par une enquête ethnographique au début du 20e siècle, les instances de l'anthropologie à distance ont continué à se produire, avec la tentative la plus notable étant celle de Ruth Benedict de développer une compréhension de l'apparence - aux yeux américains - des extrêmement étrangers japonais pendant la Seconde Guerre mondiale, menée sous les auspices du gouvernement américain et publiée en 1946 comme le Chrysanthème et le Sabre.

Dans ce chapitre, j'explore une voie par laquelle l'anthropologie et, plus particulièrement, la sous-discipline de l'anthropologie culturelle ou sociale peut contribuer à la recherche SETI. Michael AG Michaud a noté que les sciences sociales sont un domaine de la recherche intellectuelle qui n'a pas été suffisamment exploité en référence à SETI. Ici, je voudrais suggérer que l'un des moyens les plus puissants des sciences sociales en général et de l'anthropologie en particulier, peuvent contribuer à SETI est par l'analogie, en utilisant une analyse de sa propre histoire de l'anthropologie du contact comme un cadre de réflexion sur le contact potentiel avec une civilisation extraterrestre. Bien qu'il soit extrêmement important de concevoir un modèle et le type de contenu du message interstellaire que nous pourrions construire, il est tout aussi important de considérer le contexte de l'interprétation dans lequel un tel message sera transmis et interprété, ainsi que la façon dont toute réponse pourrait être interprétée par les scientifiques et les autres sur la planète Terre. Plutôt qu'un simple un acte de découverte, le premier contact avec toute intelligence extraterrestre permettra également de créer un nouveau contexte dans lequel la connaissance est générée et comprise. Le contexte de premier contact sera formé sur la base de données très limitées et, inévitablement, interprétées à travers le prisme de nos propres cultures et des cadres théoriques qui sont en vogue parmi les intellectuels et autres au contact à ce moment.

D'abord pour expliquer ce point, je vais considérer le type de «l'anthropologie à une distance" évidente au début et, dans une moindre mesure, à un âge moyen de la discipline, en se concentrant sur le travail de Ruth Benedict pendant la Seconde Guerre mondiale comme un exemple de la façon dont l'interaction complexe entre les hypothèses, les données et les interprétations erronées peuvent parvenir à établir une connaissance reconnue et la compréhension d'une civilisation extraterrestre. Le point central de ce chapitre est que le Japon, en tant que culture et civilisation, n'a pas été simplement révélé par Benedict; c'était à bien des égards créé à partir de cette interaction, au moins autant que le point de vue américain est concerné (et, bien que pas particulièrement pertinent dans cet article, dans une certaine mesure, le point de vue japonais aussi). Je ferai valoir que le premier contact et interaction ultérieure entre les extraterrestres et les humains (y compris les chercheurs de SETI, des politiciens, des universitaires à l'extérieur du SETI, et le grand public) impliquera une production similaire de la connaissance de l'autre étranger. La conscience de ce risque et la capacité de penser par réflexe sur notre propre rôle dans la construction d'une culture étrangère, en particulier lorsque de grandes distances et des retards sont insurmontables avec la technologie actuelle, sont d'une importance fondamentale pour réduire le risque de malentendus et de mauvaises interprétations.

Ruth Benedict et l'invention de la culture japonaise

L'anthropologue Marvin Harris a noté que les débuts de l'anthropologie se trouvent dans l'inspiration des sciences naturelles et de la méthode scientifique. Lors de la fondation de l'anthropologie il y a eu une hypothèse disant que les processus socioculturels sont régis par des «principes légitimes» qui peuvent être compris en termes de causalité et qui sont détectables par un observateur. Les premières formulations sur la culture sont nées de la recherche de chercheurs qui ont vu des cultures distinctes comme des entités relativement bornées, et ils ont postulé la culture comme largement déterministe, façonnant fondamentalement les comportements et les habitudes des personnes habitant un contexte particulier. Beaucoup de travail récent tend à voir la culture comme fluide avec des limites très perméables (si on peut vraiment penser en termes de frontières sur tout), le conceptualise comme un processus d'invention dans lequel notamment les «cultures» découlent d'une dialectique intersubjective entre l'individu et son environnement social, l'anthropologue n'est pas éloigné de ce processus, mais, au contraire, peut prendre une part active dans l'invention d'une culture particulière, comprise comme une catégorie d'analyse ainsi que dans un encadrement populaire d'un groupe social particulier par la traduction, l'interprétation et en écrivant sur ce qu'il observe, ainsi que par l'interaction quotidienne associée à l'activité de terrain.

Nulle part, peut-être, se trouve la question la plus évidente de l'anthropologue lui-même comme instrument de recherche que dans les études que Ruth Benedict a mené pendant la Seconde Guerre mondiale sur la culture japonaise. Pour commencer, le travail de Benedict est, si ce n'est pas exactement de l'anthropologie dans un fauteuil, une expression des derniers jours dit «l'anthropologie à distance». Comme la plupart des anthropologues et autres chercheurs qui travaillent sur le Japon le savent, Benedict a reçu une commande au début des années 1940 par le gouvernement des Etats-Unis pour fournir un rapport qui pourrait expliquer le comportement japonais et pourrait donc être utilisé pour prédire les réponses de l'ennemi au cours de ce qui était, en 1944, l'Invasion anticipée du Japon. En d'autres termes, son travail consistait à être un guide explicatif du projet d'ingénierie sociale qui allait devenir l'occupation du Japon.

Considérablement moins connu du grand public, et même auprès de certains chercheurs ayant des intérêts dans la culture japonaise, est de savoir comment la recherche de Benedict a été faite. Tout d'abord, Benedict n'a pas procédé à une étude de la culture ou de la société japonaise à travers des méthodes ethnographiques traditionnelles de l'observation participante; à la place, en raison de la guerre, elle a été forcée de se tourner vers ce qui semblait être la meilleure chose - les Américains d'origine japonaise qui ont été internés dans des camps d'internement dans le désert du sud-ouest. Évidemment, avec le recul, ceci devrait soulever des drapeaux rouges sur l'étude de Benedict. Comme Eiko Ikegami l'a récemment souligné, les sujets de recherche de Benedict, face à une figure d'autorité représentant le même gouvernement qui les avait enlevés de leurs maisons et les avait emprisonnés dans les camps, étaient «passifs et prudents dans leurs réponses à ses questions." Intéressante, cette question n'a pas été abordée par la plupart des chercheurs qui ont examiné le livre de Benedict; quelques-uns ont noté le problème, mais en général, il a été négligé ou ignoré. C'est seulement récemment que la discussion ouverte a résulté sur la façon dont la recherche de Benedict contient des conclusions erronées en partie parce que les conditions de sa collecte de données ont été limitées par son incapacité à établir un contact direct avec des personnes dans un contexte culturel japonais.

Pour mes fins ici, il est important de ne pas entrer dans les détails sur les erreurs d'interprétation et empiriques qui existent dans le chrysanthème et le sabre. Ryang note de nombreux problèmes et démontre que le développement de Benedict sur des données linguistiques du japonais n'est pas pris en charge soit par des données sociologiques ou historiques. Elle a tendance à choisir des mots de ses informateurs et de la littérature sans contexte avec les termes ou la compréhension de la façon dont ils sont utilisés par la conception japonaise, mais dans son travail, ces termes ont tendance à devenir des mots-clés pour représenter et comprendre la culture et le comportement japonais. Plus important que les erreurs spécifiques à la recherche de Benedict est le fait qu'elle adopte une approche totalisante pour représenter le Japon : des mots spécifiques, des idées ou des concepts évidents dans des sources telles que la littérature japonaise sont utilisés pour expliquer largement, souvent en un seul coup de pinceau, tout ou la plupart des éléments du comportement japonais. Dans le cadre de cette approche il y a une conséquence du cadre théorique que Benedict utilise, ainsi qu'un manque général de données empiriques détaillées sur le Japon, sur lequel fonder ses conclusions.

Alors les défauts de l'étude sont importants, un point plus saillant est que le chrysanthème et le sabre devient, comme le note Ryang, " paradigmatique, joue un rôle crucial dans les discours de l'après-guerre des sciences sociales sur le Japon " à la fois entre les études japonaises et les non-japonaises, en effet, si complète a été l'hypothèse que Benedict avait présentée avec précision la culture japonaise qu'il a été rarement noté que sa recherche n'avait pas porté sur des Japonais. Les attitudes à l'égard du Le chrysanthème et le sabre au moment de sa publication sont résumées dans une revue de 1947 écrite par John Embree, lui-même anthropologue bien connu du Japon, dans lequel il déclare : "Le Dr. Benedict, avec les mots doux d'un esprit rusé, entraîne le lecteur dans la forêt du Japon et avant qu'il le sache, elle l'a ensorcelée en lui faisant croire qu'il comprend et connaît chaque racine et branche de la culture japonaise".

Quand j'ai lu ce commentaire, je pensais que c'était peut-être sarcastique, mais tout au long de l'examen, seule la critique du livre de Benedict par Embree montre ses réelles préoccupations sur son incapacité à reconnaître que le Japon est une vieille culture tandis que les Etats-Unis en est une nouvelle, faisant elle-même plutôt une observation douteuse depuis que le Japon a subi une transformation sociale radicale dans la deuxième moitié du 19e siècle. Il poursuit en déclarant, « Le frontalier et le nomade sont plus susceptibles d'être des fanfarons individualistes que le paysan lié à un village qui doit faire face à son même voisin jour après jour... Un homme d'une ancienne culture paysanne comme les Japonais est susceptible d'être plus méticuleux dans son étiquette et le sens du devoir de réciprocité. » De l'avis de Embree, Benedict  nous a permis de gagner l'entrée dans une presque impénétrable " forêt " culturelle très différente de la nôtre, car c'était une société «paysanne» sur la base de l'organisation sociale du village (je ne suis pas tout à fait sûr de savoir où Tokyo et Osaka entrent dans cette forêt) par opposition à l'organisation sociale américaine individualistique urbaine. Et elle l'a fait tout en traitant avec des limitations considérables, qui étaient inévitables au moment de sa recherche.

Intéressant encore, dans un autre commentaire, où il compare le livre de Benedict à un livre par Andrew W. Lind sur les communautés japonaises à Hawai'i, Embree prend pour accordé l'idée que Benedict n'a, en fait, qu'explicité les modèles culturels japonais et les comportements par le biais de son étude. En effet, Benedict, en identifiant bien clairement son travail de terrain local, représente en fin de compte son travail comme si il était sur le japonais plutôt que sur le peuple japonais-américain et ses valeurs culturelles, et, ainsi qu'il ressort de l'examen de Embree et ceux des autres Chercheurs de l'époque, cette représentation a été largement incontestée, bien que John Morris dans sa revue de 1947, souligne que « dans des circonstances normales, aucun ne songerait à écrire un livre sérieux sans passer d'abord un temps considérable à observer de première main le comportement réel des personnes concernées ". Morris met rapidement ce problème de côté et salue le chrysanthème et le sabre comme « le livre contemporain le plus important jamais encore écrit sur le Japon. Ici, pour la première fois, est une tentative sérieuse pour expliquer pourquoi les Japonais se comportent comme ils le font. "

Ces exemples démontrent clairement que le chrysanthème et le sabre est devenu, comme il est indiqué ci-dessus, la pierre angulaire de l'ethnographie, et non ethnographique, le corpus de l'érudition occidentale sur le Japon, malgré son manque de données empiriques fiables. Les contemporains de Benedict ont en grande partie pris son travail à la valeur nominale et ont accepté comme une donnée l'idée qu'elle avait réalisé une étude de la culture japonaise. Les problèmes inhérents à avoir à faire de l' "anthropologie à distance " ont été négligés par les collègues de Benedict et par beaucoup de ceux qui se sont intéressés à la culture japonaise; au lieu d'être remis en question, son livre a façonné les grandes questions qui se posent et les études produites par les "Japanologistes", plus particulièrement l'accent sur la psyché japonaise ou de la personnalité (ego) qui a dominé la recherche sur le Japon dans les années 1990 et continue à présent. Depuis les années 1980, les anthropologues ont commencé à se déplacer loin de la construction de Benedict sur la culture japonaise, mais son travail a été cité des centaines de fois et continu à être cité, en particulier dans les études psychologiques interculturelles, non pas comme un livre sur les Américains d'origine japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi un livre sur les Japonais et leur essence culturelle.

Essentiellement, la publication du chrysanthème et le sabre a lancé un processus par lequel le concept occidental de la culture japonaise a été inventé. Le travail de Benedict a identifié ce qui pourrait être considéré comme directement ou indirectement les éléments de base et les valeurs fondamentales associées à la culture japonaise et la psyché japonaise pour les années à venir, et une grande partie de la recherche produite pendant cette période a supporté les conclusions de Benedict. Comme les gens lisaient et ont suivi son travail pendant d'autres recherches, l'analyse, et la publication, sur un sens de la culture japonaise et du comportement japonais étant précise et complètement représentée dans les idées basiques formulées par Benedict ont prévalu dans les communautés de chercheurs travaillant dans des domaines tels que la psychologie culturelles croisée et la communication interculturelle, ainsi que dans la communauté plus large de non chercheurs qui étaient tout simplement intéressés par le Japon. En bref, la "prise à distance" de Benedict sur le Japon est devenu le Japon lui-même, pour beaucoup, et peut-être la majorité des Américains dans la plus grande partie de la deuxième moitié du 20e siècle. Cette influence ne peut pas être surestimée: le travail de Benedict était au centre de l'approche du gouvernement américain pour la réorganisation et l'ingénierie de la société japonaise après la guerre et a été largement lu par un public Américain intéressé à comprendre l'ennemi qu'ils venaient de conquérir et donc le pays qu'ils occupaient maintenant.

Biensûr, ce qui a été créé n'était pas une véritable compréhension du Japon, si une telle compréhension de toute culture est effectivement possible. Plutôt, ce qui a été créé est une notion de la culture japonaise qui reflète les valeurs et les orientations psychologiques, en mettant l'accent sur le concept de la honte qui semblait important pour Benedict. En effet, le livre est une application des théories qu'elle a développé dans un ouvrage antérieur, les modes de culture, dans laquelle elle avait l'habitude d'idiomes psychologiques (mais pas freudiens dans leur nature) comme un moyen de créer des configurations ou des catégories de types culturels qui, à leur tour, ont été imprimées dans les esprits de ceux qui vivent dans un milieu culturel particulier. En d'autres termes, la compréhension de Benedict sur la façon dont la culture fonctionne et comment la culture doit être considérée comme une conséquence directe du contexte académique, avec son intérêt dans la psychologie, dans laquelle elle a été formée à Columbia dans les années 1920, et qui a continué à être importante à concentrer dans sa carrière développée.

Conséquences de l'anthropologie à distance pour SETI

Cette incursion dans l'histoire de l'anthropologie a une incidence directe sur la façon dont nous pourrions penser à une rencontre avec une civilisation technologique extraterrestre. Les conditions de guerre en vertu de laquelle Benedict a mené ses recherches ont éliminé la possibilité de faire une vraie ethnographie sous la forme de l'observation participante et sur le terrain à long terme. En effet, peu de données qu'elle a invoqué ont été effectivement perçus par elle; à la place, elle a emprunté des données collationnées par l'anthropologue psychologique Geoffrey Gorer sur des Américains d'origine japonaise internés dans les camps de relocalisation pendant la guerre ainsi que les données recueillies par un autre anthropologue psychologique, Weston La Barre, bien qu'elle recueille certaines données d'entrevues de ses proches.

Comme noté ci-dessus, étant donné le manque de données empiriques et les ressources scientifiques limitées disponibles sur la culture japonaise et leur comportement, ainsi que sa tendance générale à souligner (orienté psychologiquement) une théorie sur les données, Benedict a essentiellement pris le peu qu'elle avait et a travaillé dans le théorique cadre qu'elle avait développé dans son livre précédent, les modes de culture, qui catégorisait les cultures amérindiennes sur la base de traits de personnalité associés à un groupe particulier de personnes. L'étude de Benedict du Japon, de loin, a mis en mouvement une conceptualisation du Japon et du peuple japonais qui a influencé la recherche et l'élaboration des politiques liées à la société jusqu'à nos jours. Et une grande partie de ce qu'elle a écrit est avéré être une représentation / explication très simpliste de la culture japonaise ou fondamentalement inexact; mais son travail continue d'être encore influent.

Si nous nous tournons vers un peu de spéculation au sujet de notre rencontre initiale avec une intelligence extraterrestre, il est difficile d'imaginer qu'un processus analogue se produise. Les premiers scientifiques à rencontrer un signal d'une intelligence extraterrestre seraient susceptibles de recevoir une quantité limitée de données. Si nous capturons simplement un signal qui ne vise pas directement à attirer l'attention d'une civilisation étrangère (comme la nôtre), alors il peut être extrêmement difficile de développer une idée claire de ce que nous regardons. Ce n'est pas simplement une question de traduction; même si nous pouvons trouver des significations spécifiques à des constructions linguistiques qui correspondent à quelque chose dans notre propre langue, nous n'aurons pas de cadre culturel pour interpréter la façon dont ces significations sont applicables à une société étrangère. Même les mathématiques, le langage de la science, ne sont pas sans leurs propres difficultés en termes d’interprétation. Dans le cas de Benedict, qui savait qu'elle avait affaire à une autre société humaine qui avait les mêmes structures de base (bien que différentes dans leurs manifestations) que la société américaine - les systèmes liés à la religion, la parenté, le gouvernement, etc., un manque de données suffisantes et une tendance inhérente à adapter une culture étrangère dans un cadre qui fait sens pour un esprit américain ont entraîné une vision de la culture japonaise le long de lignes particulières qui ont eu beaucoup de flux.

Les choses font que, sans une compréhension d'une culture extraterrestre, l'une dérivant de données pures rigoureusement analysées - nous interpréterons ce que nous trouvons en termes de valeurs, de structures et de modèles de comportement associés à notre propre culture (cela-même est une idée problématique car il n'y a pas qu'une culture humaine sur Terre). À certains égards, nous avons déjà commencé ce processus dans notre tentative raisonnable de penser sur la nature des ETI - la notion d'une asymétrie de l'âge entre les ETI et nous-mêmes est basée sur l'hypothèse que le taux du progrès sur Terre devrait être assez standard ailleurs. Toutefois, étant donné les différences qui existent entre les cultures humaines en termes de comment nous percevons interprétons et classons notre environnement, il est raisonnable de penser qu'une société véritablement étrangère consisterait en des êtres qui font ces choses de façon contraires à celles de l'homme. Peut-être que ces différences, lorsqu'elles sont combinées avec une biologie distincte, conduisent à des taux de développement beaucoup plus rapides, ou beaucoup plus lents, que cela n'a été le cas sur Terre. La capacité de «faire» la culture d'une manière relativement uniforme entre les êtres humains, même avec toutes les différences que nous trouvons dans comment la culture est faite spécifiquement, est fortement tributaire d'un ensemble commun sur les organes des sens. Les études neurologiques ont montré que des expériences différentes et des formes de stimulation au cours du processus de développement façonnent les connexions entre les neurones et influent donc sur la construction des réseaux de neurones qui sont à la base du comportement humain et de la pensée. A quoi une "culture" ressemble lorsqu'elle est appliquée à un être avec des organes différents des sens et, éventuellement, un environnement naturel et social très différent du nôtre ?

Si le premier message que nous rencontrons se trouve être une tentative délibérée de la part d'une civilisation extraterrestre de contacter une autre espèce intelligente, alors il est raisonnable de penser qu'un tel message sera limité dans le contenu. Douglas Vakoch note que les peu de messages que les humains ont déjà envoyés dans l'espace ont été plutôt limités, et un peu déformés, en termes de représentation de notre propre civilisation, montrant principalement les côtés lumineux de l'humanité et en ignorant les problèmes sociaux tels que la guerre et la pauvreté. Même si les extraterrestres tentent de se représenter d'une manière objective eux-mêmes, tout message intentionnel que nous recevrons aura presque certainement des qualités subjectives et représentera une civilisation extraterrestre d'une manière qui va influencer la façon dont nous construisons une compréhension de leurs messages et, au-delà, de leur civilisation.

En regardant le type de communication reçu, nous, les humains, serons plus incroyants de pouvoir recevoir un message et simplement le prenons à sa valeur nominale sans spéculer sur la nature de ceux qui l'ont envoyé. Benedict, comme les anthropologues de fauteuil avant elle, était une interprète qualifiée et théoricienne de la culture et du comportement, mais avec les conditions de sa recherche sur le Japon et son manque de compréhension de la langue japonaise, il était difficile pour elle de se faire une image précise de la culture et des personnes sur lesquelles elle a écrit. En outre, ses intérêts subjectifs dans un cadre théorique particulier ont influencé sa gestion des données qu'elle a pu obtenir et l'ont amenée à organiser sa compréhension du Japon d'une manière qui corresponde à ses hypothèses sur la façon dont fonctionnent les cultures. Cela est compréhensible, surtout quand on a affaire à des données limitées. Toutefois, ce processus ne sera pas limité à quelques chercheurs et décideurs, et progressivement libéré au public.

Au lieu de cela, comme Seth Shostak le souligne, lorsque le contact se produira, la connaissance de l'événement deviendra rapidement évidente à un large public, probablement bien avant que les scientifiques du SETI soient même certains que le signal est vraiment venu d'un contact d'une intelligence extraterrestre intelligence. Cela deviendra largement connu et réfléchi par les experts des médias bien avant que les anthropologues et autres scientifiques, dont l'expertise est l'interprétation de différentes cultures, soient en mesure de comprendre et d'analyser le contenu qui pourrait exister dans un signal. En bref, l'invention d'une culture étrangère commencera presque à l'instant où le contact est fait.

Si jamais nous recevons un message d'une intelligence extraterrestre, nous serons confrontés au même problème que Benedict et les anthropologues antérieures du travail à distance ont rencontré : des données limitées. En outre, nous allons faire face au problème d'un décalage dans le temps, mais pas un décalage de plusieurs mois vécus par les anthropologues en fauteuil du 19ème siècle. Au lieu de cela, nous allons faire face à des décalages d'années, de décennies, de siècles ou de millénaires entre le message et la réponse. Si nous pensons à l'étude du Japon, qui a été si fortement influencée par le travail de Benedict, même si l'accès à de nouvelles données a été facilement disponible au cours des 60 dernières années, il est facile d'imaginer comment de longues périodes avec peu ou pas de données pourraient conduire les humains à créer une image d'une civilisation extraterrestre basée en grande partie sur nos propres théories et expectations sur la façon dont la culture et le comportement agissent. Michaud note que les scientifiques "ne doivent pas laisser la croyance ou la préférence triompher sur des preuves", mais dans le cas des extraterrestres, ce sera un défi difficile. En effet, la grande majorité de ce que nous allons "connaître" des ET, si le contact se produit, sera nos propres inventions fondées sur des données très limitées et qui seront ensuite élaborées au cours des longues périodes d'attente entre les contacts. (p141)

Dans Actualité
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Escroqueries dans la Gestion immobilière

Par Le 06/11/2014

Escroqueries dans la Gestion immobilière - MAJ 7

dsc-0004.jpgLe 1 allée des marronniers au premier plan, le 2 derrière. Il y avait des marronniers sur tous les espaces verts derrière les petites barrières.

Cet article est un appel à l'aide et à la justice. Tous ces faits sont réels et il y a de nombreuses preuves l'attestant. Nous avons eu confiance envers le système judiciaire civil français pour réaliser et contrer ces utilisations frauduleuses de lois douteuses passées à l'aide de jurisprudences ou décrets (hors Parlement) par des détenteurs douteux de pouvoirs anormaux. Nous avons eu tord. Il est évident qu'il est impossible d'avoir confiance en une justice gangrénée par la mafia et les politiques, les intérêts individuels et les fausses valeurs (l'argent et la notion de profit). 

Il faut bien préciser ici que moi et ma famille ne sommes pas les seuls concernés par cette même escroquerie plus ou moins accompagnée (en fermant les yeux ?) par les administrations de deux communes parisiennes, et par la "justice". Il s'agit d'une résidence de trois tours de 10 et 11 étages (le dernier étage était à l'origine réservé à des séchoirs individuels) et ce grave problème que je dénonce aujourd'hui concerne donc plusieurs centaines de personnes (4 appartements de 3 ou 4 pièces par étage).

C'est une assez longue histoire, et complexe. Il est probable qu'une majorité d'intervenants dans ses différents volets n'ait pas fait l'effort de vraiment la comprendre et de réaliser les origines et manipulations orchestrées dans cette affaire. Je vous demande donc de la patience devant cette longue suite de faits, même devant parfois des détails à priori sans intérêt : c'est un tout et l'ensemble de ce qu'il se passe dans cette petite résidence est, j'en ai bien peur, le reflet de ce qu'il se passe très souvent au niveau de la gestion de ces parcs immobiliers gérés par des entreprises (subventionnées par l'Etat et donc aussi par les mêmes locataires, en plus !) bien souvent liées à des pratiques anti-sociales, voir mafieuses... et qui utilisent de "bonnes" lois et jurisprudences pour faire monter artificiellement (et sans arrêt) le prix du mètre carré...

Voilà donc les faits dans leur intégralité, ils sont le reflet de l'entière vérité, et je ne suis pas le seul à pouvoir en témoigner. Nous avons pu également obtenir un bon nombre de preuves et de documents évidents, qui ont été ignorés par la "justice". Tous ces preuves (avec les noms ou données identitaires cachés pour respecter les droits) sont disponibles et j'en afficherai en cours ou à la fin de cet article (qui n'a pas encore de fin d'ailleurs étant donné que le problème n'est absolument pas résolu), mais le temps pour y enlever les noms propres de gens que je ne peux citer publiquement est long. Ces documents sont en tout cas consultables chez moi (plusieurs quittances de loyers et copies de jugements prouvant mes dires sur la manipulation des juges par l'OGIF et ses défenseurs, preuve de la tentative de corruption par proposition de paiement d'équipement au noir, témoin de manœuvres douteuses et de non augmentations de certains loyers au même endroit, preuves de non mises au normes électriques et au gaz et des dégâts occasionnés par les travaux et sa vétusté dans l'appartement, preuves des accusés de réception de l'OGIF de mes recommandés auxquels ils n'ont jamais répondu... témoin direct aussi de plusieurs évènements : Mr Godron n'était pas de ma famille avant cette année 2013 (mariage cet été avec ma fille) et a été témoin dès 2002 des troubles occasionnés...). Je n'ai personnellement rien à cacher à part une protection minimum de ma vie privée.

Pour retracer l'ensemble de cette affaire, je suis obligé de partir du tout début : mon arrivée au Plessis-Robinson, avec ma femme (à l'époque) et ma fille Delphine (8 ans à l'époque) en août 1992. Contexte : je travaillais depuis 1982, comme employé puis cadre-maison, pour le compte de Thomson-CSF et différentes filiales (Airsys Bagneux, SODETEG), devenue de nos jours Thales, et comme plusieurs dizaines d'employés par an dans ce groupe, j'ai fait appel aux 1% social logements de l'entreprise Sodeteg où je m'étais fait muté en 1990, pour obtenir ce logement. Je précise tout de suite que la tâche de gestion du 1% logement était dévolue à l'époque à la secrétaire principale de notre PDG, Mme L. Le parc immobilier de Thomson-CSF était très important évidemment (énorme entreprise internationale, leader sur plusieurs marchés (armement entre autres)) et j'ai vu des petits pavillons avec jardin partir pour des ingénieurs/cadres avec plus de moyens que ma famille, bien entendu. Mon choix se portait donc sur un assez bel appartement bien clair, situé au 9ème étage d'une de ces trois tours. L'école pour Delphine n'était pas très loin et c'était un plus, ainsi que la meilleure proximité du centre Thomson/Sodeteg où je travaillais à l'époque (Clamart, La Boursidière, et Meudon la Forêt) mais c'est en fait la vue très belle en hauteur sur toute la banlieue sud-est qui a emporté le choix final, l'appartement en question étant tout de même vieux et refait qu'à moitié...

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Notez qu'à l'époque (1992), ce sont des francs et non des euros...

Autre particularité importante et non sans conséquences : la résidence est coupée en deux entre deux communes, Chatenay-Malabry avec une tour et Le Plessis-Robinson avec 2 tours. Une voie privée nommée allée des marronniers, à cause à l'évidence des nombreux arbres de ce type qui en font en grande partie le tour (barrée et accessible uniquement pour aménager/déménager et pour les pompiers) fait le tour de la résidence et ne délivre que ces trois tours et cette résidence, les box. Il n'y a donc que 3 adresses possibles pour l'allée des marronniers, le 1, le 2 et le 4 (à Chatenay-Malabry la dernière).

- Lors de notre première visite, l'appartement n'était pas fini d'être rénové. Trois ou quatre ouvriers s'évertuaient alors à reboucher avec du plâtre une grosse fissure transversale dans le mur de soutien (pourtant en béton armé) de la cuisine/salon. Je m'en inquiétais auprès de Mr R., gardien de l'OGIF à l'époque, et celui-ci me rassurait en affirmant que cela ne se verrait plus et que n'importe comment, il n'y avait pas de séismes à Paris en plaisantant. Plus tard, lors de l'état des lieux, le représentant de l'Immobilière Familiale (pas d'OGIF à l'époque) mentionne bien que plusieurs pièces, tapisseries et peintures sont jugées en bon état malgré les 20 ans passés et non refaites, alors que les refaites sont mentionnées en très bon état. Une fenêtre de la chambre principale ne ferme pas mais Mr R. refuse de la mentionner en affirmant qu'elle devrait fermer en insistant (mais un collant d'emballage empêche son ouverture), que des travaux pour les fenêtres et d'autres sont prévus pour 1998 et qu'il y a une garantie décennale à respecter, etc... il mentionne juste des volets cassés à remplacer (qui ne le seront pas avant longtemps !) et un meuble-sous-évier de cuisine vieux de 20 ans mais en bon état (hum !), bien qu'il y manque des planches et un système de fermeture (qui n'a jamais été fourni)...

Pris par le réaménagement qui dure assez longtemps (assez pris aussi par mon travail à Sodeteg en pleine réorganisation), et dans la mesure où les double-rideaux que nous avions posés devant la fenêtre mal fermée me l'ont faite oublier, nous sommes encore dans quelques cartons en décembre quand il commence à faire un peu frais dans notre chambre et que je tente de fermer cette fenêtre pour de bon. J'enlève donc cette bande de scotch d'emballage endurcie et enroulée sur elle-même pour coincer le supérieur gauche de la fenêtre un peu entrouvert. Et je remarque immédiatement que c'est plutôt le bois de la fenêtre qui s'est tordu sur son pourtour supérieur gauche (infiltration d'eau ?)... et que j'ai beau essayer, il n'y a rien à faire pour refermer la fenêtre correctement... Prévenu, le gardien, Mr R., viendra innocemment vérifier la chose (mais je ne peux que supposer qu'il était au courant, d'où sa manœuvre pour que cela ne soit pas marqué dans l'état des lieux) mais se contentera de me prévenir qu'il faudrait sûrement que je patiente pour les changements de fenêtres car il a déjà prévenu son siège de plusieurs problèmes de fermetures de fenêtres et de volets, que c'était prévu (?) mais sans date précise...

Je ne me souviens plus à quelle date au juste, mais je sais avoir mentionné des choses concernant ces problèmes anormaux dans le livre des réclamations disponible alors à la loge du gardien... sans aucune réponse d'ailleurs avant le changement des fenêtres... en 2003 !... 11 ans donc avec une fenêtre de chambre principale qui ferme mal... que j'ai pu recolmater comme j'ai pu bien sûr, mais je ne peux vraiment pas dire que Mr R. ait été le gardien préféré que j'ai connu dans ma vie...

J'écris et mentionne de nombreuses anomalies dans le livre de réclamations du gardien, dont la loge est située à l'époque au 4 allée des marronniers à Chatenay, dont la grosse fissure vite réapparue et les problèmes aux volets et fenêtre... jamais eu de réponses malgré plusieurs visites au gardien représentant de l'Immobilière Familiale à l'époque... sourd et muet... J'ai téléphoné plusieurs fois à l'époque mais j'ai eu à chaque fois une interlocutrice différente qui affirmait s'en occuper... mais non. Je précise ici tout de suite que j'ai commencé à avoir des problèmes de santé peu après la coupe du monde de football et que des soucis supplémentaires personnels se sont ajoutés.

- Années 1996-1998 : la commune de Chatenay-Malabry est en faillite et les impôts locaux des habitants du 4 allée des marronniers sont augmentés à l'extrême (rediminueront par la suite, MAIS PAS LES LOYERS, pourtant obligatoirement impactés par ces hausses anormales de taxes locales...). L'immobilier enchaine puisque c'est lié et les propriétaires de logements, ainsi que tous bailleurs font monter les prix pour payer leurs propres impôts et taxes qui ont augmenté (au détriment bien sûr de ceux qui n'ont rien à faire monter pour eux à part des dettes...)

http://www.liberation.fr/libe-3-metro/1996/10/07/-_184747

- Année 1999, je suis en procédure de divorce à l'amiable d'avec ma femme et le jugement accorde la séparation : dès 1999 mon ex-femme part donc à son nouveau domicile à B et donne un avis de départ (jugement de domiciliation) au gardien représentant l'Immobilière Familiale (Mr DS à priori) comme nous l'avons toujours fait (loyer, correspondances pour le bailleur), et je reste avec ma fille à garde dans le 4 pièces. Séparation confirmée légalement en 2000.

- Pas très sûr de la date (voir avec facture retrouvée récemment) mais en 1999, nous avons été obligés de changer par nous-mêmes le système complet de fermeture d'une fenêtre d'une chambre : le système, trop vétuste, s'était brisé, et c'était en plus la fenêtre où le système de blocage des volets n'existait plus (ces derniers étaient liés par des ficelles)...

- Divorce définitif en 2001 et là j'avoue n'avoir pas fait attention si un changement de bail avait été fait entre temps ou pas : L'Immobilière Familiale a subitement disparue entre temps et aucun travaux n'a été fait contrairement aux promesses et elle n'a pas changé le bail, le prolongeant tacitement bien que mon ex-épouse ne soit plus là.

- vers 2000-2001, c'est donc l'OGIF qui reprend le relais de l'Immobilière Familiale, alors que l'état de ces immeubles et l'environnement (les grosses résidences en face avec des tours identiques sont devenues HLM...) auraient dû inciter à une destruction ou une réhabilitation vers des logements sociaux du type HLM. Surtout que la population est essentiellement composée d'employés et petits cadres d'entreprises et qu'il n'y a pas de professions libérales ou de "docteurs" implantés dans la résidence... et que le Plessis-Robinson est censé être un modèle en matière de logements sociaux puisque c'est une ville-test !... mais l'OGIF est plutôt incitée par ses intérêts situés à Chatenay-Malabry à priori car elle gère aussi l'ensemble de l'immeuble situé juste à côté, Ave de Robinson et d'autres logements dans cette ville...

A la même période, mes problèmes de santé s'accentuent et, à l'indication d'un ami assez proche (à l'époque), je vois discrètement un professeur en Belgique. Discrètement car je suis en plein divorce, que le travail a une grosse pointe (rachat/fusion d'une grosse société et déménagement !) et que ma fille est dans ses années de bac. Mais c'est une autre histoire personnelle, qui a bien sûr détourné également mon attention, temps et réactions pendant longtemps, mais qui ne concerne pas notre sujet principal.

- 2001 : La ville de Chatenay-Malabry est l'une des plus endettées de France et les choses ne peuvent qu'empirer : elle prend au fil du temps des emprunts très toxiques des banques américaines JP MORGAN, GOLDMAN SACHS et BANK OF AMERICA (entre autres) pour un montant total de 16 864 000 €, avec un surcoût de 15.67% en moyenne, remboursables avant 2026, 2029, etc... ! (2 642 000 € qui augmentent sans arrêt, les taux varient de 8.56% à 23,23% suivant les crédits !)... au même moment, les augmentations d'impôts locaux (rabaissés légèrement suite à ces emprunts) ont entraîné et entraînent toujours des augmentations de loyers par ricochet car les bailleurs et propriétaires répercutent toujours les augmentations de taxes sur les mêmes locataires (augmentations de loyers qui, je le rappelle ici, font par retour réaugmenter les impôts locaux (au bénéfice de la mairie donc et surtout de ses banquiers) puisque la valeur du mètre carré augmente automatiquement avec les loyers... regardez vos quittances d'impôts locaux, le détail indique la valeur de votre logement en mètres carrés, servant comme une base de calcul (qui augmente donc chaque année avec les augmentations automatiques de loyers au 1er janvier...). Et oui, voilà une réalité dont on ne parle surtout pas quand on parle de liberté, d'égalité, de fraternité : quand les pouvoirs affirment décréter une taxe pour tous, les propriétaires de biens et les actionnaires les font en réalité payer à leurs moutons, quand les pouvoirs autorisent les propriétaires et bailleurs à augmenter chaque année les loyers et charges automatiquement d'un côté, non seulement elle ne s'assure pas du tout que les citoyens puissent obtenir cette même augmentation (négociables éventuellement chaque année et par corporations bien séparées), mais en plus elle accorde aux plus pauvres et démunies des aides moindres que ces-mêmes augmentations aux propriétaires et bailleurs... et en plus, ces augmentations de salaires, de loyers et de taxes reviennent de toute façon en grande partie (y compris les "aides" diverses et subventions) dans les caisses de l'Etat via les TVA et taxes diversifiées de plus en plus...

Le Plessis-Robinson, curieusement et alors qu'il ne me semble pas qu'il y ait eut mention d'un besoin urgent d'argent, tombe dans les bras de la peu scrupuleuse banque de GOLDMAN SACHS en... 2001 pour un emprunt de 1 364 000 € remboursable en 2016 avec un surcoût estimé de 83 000 € à l'époque...

Preuves, regardez les emprunts toxiques (encore récemment 2010) de la commune de Chatenay-Malabry, et ceux du Plessis-Robinson en zoomant sur la carte sur la banlieue sud : http://labs.liberation.fr/maps/carte-emprunts-toxiques/#Communes-0071962

http://h16free.com/2012/12/19/19604-prets-toxique-et-incompetence-crasse-des-politiciens

http://sylviedelaune.wordpress.com/2013/02/14/une-explosion-de-la-dette-chtenaisienne-sous-lre-siffredi/

Juste pour info et affirmation : ce genre de bidouilles potico-financières sur le dos du peuple sans distinction est criminel en soit et mène inévitablement à ce qui se multiplie dans une société menée par l'argent : http://www.leparisien.fr/reactions/informations/chatenay-malabry-menace-d-expulsion-il-se-retranche-chez-lui-11-07-2013-0.php

- Fin 2001 : Ma fille Delphine rencontre Mathieu Godron, jeune technicien vivant à l'époque dans les Yvelines et leur affinité fera qu'il finira par passer plus de temps chez moi, pour venir s'y installer définitivement en 2003 suite à des différents avec sa famille à l'époque.

- Mi 2002 : je quitte définitivement le groupe Thalès, en licenciement économique pour refus de mutation en province officiellement, pour tenter de me soigner d'après les indications du spécialiste (qui décède lui-même plus tard dans un accident). Très peu d'IRM et de techniques de haute pointe disponible à mon niveau en Europe, ce qu'on m'indique à Houston au Texas semble adapté à ce que je veux dans tous les cas : détection éventuelle et destruction immédiate si nécessaire, sans soins destructeurs chimiques ou radiatifs. Je ne pourrai aller aux USA et à Houston que plus tard (le 1er février 2003, une date tragique d'ailleurs !), à cause de la logistique financière et du temps d'absence qui ne peut être trop long (ma fille ne peut pas payer de loyer ou signer en mon absence...).

- 2003 : deux ouvriers d'entretien sonnent à la porte, envoyés par l'OGIF et son gardien (pas de nom à l'époque, nous avons juste un "chef des gardiens", Mr L. au niveau OGIF, mais localement, il s'agit déjà de Mr P. et de sa femme). Ils sont venus faire l'entretien courant des joints et robinets (contrairement d'ailleurs à ce qui est marqué dans mon bail) et j'en profite pour signaler une petite fuite provenant du joint du robinet d'eau chaude de la cuisine. Il s'agit d'un jeune apprenti et d'un ouvrier vétéran. Je les laisse quelques minutes car j'ai la visite d'un ami (T. H.) mais quand je reviens les voir, je surprend l'apprenti, à quatre pattes sous l'évier avec une pince monseigneur, en train de resserrer violemment la bague au-dessus du siphon de l'évier. On entend un gros crac mais rien ne se passe et les deux ouvriers s'en vont assez précipitamment... j'essaie aussitôt le robinet en principe réparé mais dès que j'ouvre l'eau au grand, une grosse fuite se déclare juste au-dessus du siphon dont le tuyau vient d'être brisé... et je n'arrive pas à rattraper les ouvriers évidemment... Je me souviens maintenant avoir eu au téléphone Mme P. immédiatement pour qu'elle intervienne. Le plombier remontera me voir, un homme du type maghrebin, qui niera que quiconque ait touché en-dessous du lavabo (me disant même qu'il n'a pas le droit - alors que c'est le contraire légalement !)... ce crime (car il en s'agit bien d'un) a entraîné des conséquences encore existantes en 2013 ! et nous sommes restés de mars à juin 2003 sans évier de cuisine du tout à cause de la mauvaise foi de la part de l'OGIF (aucune réponse à mon recommandé !) et de ses représentants gardiens... ce sera le chef des gardiens, Mr L. à l'époque, qui prendra l'initiative de faire réparer et changer (avec du plastique) une partie de la vieille plomberie en ruine... à cause de mes appels répétés et après une intervention du Maire du Plessis-Robinson auquel j'avais dû écrire pour avoir un petit appui... a ce jour en avril 2013, le meuble en bois qui date de 40 ans n'a pas supporté cette fuite de 2003 et ses pieds s'évasent, vermoulus et le meuble s'écroule (plus de joint possible entre lui et le mur) mais l'OGIF contacté il y a 3 ans refuse de répondre par écrit (toujours) : les gardiens m'ont proposé un partage du coût au noir de leur propre meuble (qui fait parti du bail !) (600€ par moitié) sur un post-it manuscrit avec un autre courrier de l'OGIF, réponse a une demande d'info pour le gaz (preuve donnée aux avocats et aux débats (en principe mais nous n'avons jamais pu voir un écrit de ces débats !) mais ignorée).

- Fin 2003 : les fenêtres sont enfin changées après 11 ans de promesses... mais les fissures s'élargissent un peu partout dans tous les appartements... surtout en hauteur. Ma voisine d'en face à l'époque (le mari travaille chez Bouygues) devient folle à cause des multiples fissures qui émaillent son appartement... ils partiront d'ailleurs avant même les travaux. Important : les volets déroulants sont enfermés dans un gros coffre en plastique (moche) qui fait la largeur des double-fenêtres et 20 cm de largeur : ils ont tous été montés A L'INTERIEUR des logements, enlevant autant de M2 utilisables (mais toujours payés en loyer et impôts locaux depuis !) à chaque logement (7 fenêtres avec ces coffres pour le mien)...

- Autrement dit, la valeur de cet ensemble et de ces logements aurait dû diminuer avec évidence en l'absence de tout travaux et en application de la vétusté et leurs loyers avec... ce qui n'a jamais été le cas bien évidemment... il semble bien que les juges sont toujours prêts à accorder une augmentation des valeurs (même fausse) dans l'immobilier plutôt que l'inverse, sans aucune réalité et en contradiction totale avec les lois de la nature et de la physique... les choses sont laissées à l'abandon et en ruine mais ne diminuent pas de valeur mais par contre, il suffit de mettre une "rustine" à l'immobilier pour qu'il augmente de 50 %... : c'est de l'abus et de l'escroquerie de base, tout simplement, et il y a trop de décisionnaires qui sont à la fois juges et parties... combien de juges et politiques sont locataires ????

- En 2003, le Maire du Plessis-Robinson, Mr Pemezec a adressé un courrier à l’Ogif l’intimant d’effectuer les travaux en retard (en précisant qu’il l’avait déjà réclamé à l’Immobilière Familiale) - j’en ai une copie.

Les travaux principaux n’ont commencé qu’en 2005, avec comme premier objectif pour l’OGIF d’éliminer certains services inclus dans les baux de l’époque : disparition des vides-ordures, non remplacement puis finalement disparition des jeux et jardins pour enfants (le 1er au niveau du « bac à sable » (avec sable non prévu et inchangé) actuel a vu ses jeux disparaître par non remplacement bien avant que l’OGIF ne supprime officiellement les jardins d’enfants. La plupart des marronniers de la cité (qui ont donné son nom à l’allée) ont été enlevés par l’OGIF et non remplacés…j’ai un courrier de l’OGIF, signé du chef des gardiens de l’époque, qui affirme que les disparitions de ces services (inclus dans les loyers et charges), vont engendrer une diminution de charges… personnellement, je n’ai vu qu’une augmentation régulière des charges au niveau de la quittance de loyer et une diminution des ajustements annuels de charges, toujours en ma défaveur…

Octobre 2003 : L’OGIF prévient enfin qu’elle va entamer une partie des travaux (une partie seulement sur tout ce qu’il y a de retard d’après la loi), dans les 6 prochains mois (2004 donc). (pièce 10). Dans ce courrier, il est aussi fait mention de la disparition des vides-ordures, afin de réduire les charges. Ce qui est faux car les charges n’ont pas cessé d’augmenter considérablement (voir les pièces sur les ajustements annuels de charges).

2004 : ravalement, changement (enfin !) des fenêtres et volets. Malgré le ravalement, on constatera après un affaiblissement au niveau du balcon, ainsi que la détérioration de la pierre au-dessus du balcon. (pièce 11).

2005 : travaux de peintures des halls et cages d’escaliers (parties communes - hors appartements).

L’OGIF a enfin procédé (ou fait semblant ?) en 2005-2006 à des travaux d’étanchéité du toit du parking souterrain, derrière le 2 marronniers, qui présentait de larges fuites d’infiltration d’eau et de calcaire sur les voitures y stationnant (y compris la mienne)… Travaux non finis en 2013 ! : il y a encore à l’heure actuelle des fuites d’eau et de calcaire sur les toits de certaines voitures (l’OGIF, suite à plainte à mon assureur a fait poser en 2006, comme à d’autres, des plaques de tôles (en principe provisoires) sur les plafonds au-dessus des voitures, sans procéder à de réelles réparations définitives de ce parking… d’ailleurs l’eau et le calcaire commencent à s’écouler des tôles (j’ai à nouveau quelques tâches blanches sur la peinture arrière de ma voiture) et je pense qu’avec les intempéries qui ne vont pas manquer de venir, ça ne va pas arranger les choses…

- 2005 : je repréviens moi-même (écrit et signé sur une quittance de loyer si ma mémoire est bonne) du fait que je suis divorcé depuis 2001 et que le fiancé de ma fille, Mathieu Godron, vit chez moi à titre gratuit question logement. En 2006, le nom de mon ex-femme est enfin enlevé des quittances de loyers (preuve apportée lors des débats) mais l'OGIF ne propose pas de nouveau bail et feint d'ignorer les choses à ce sujet, et n'a jamais voulu répondre à mon courrier de 2003... (copie apportée lors des débats)...

Pour finir, l’OGIF a accéléré son programme d’augmentation générale des loyers de la résidence sans aucune justification réelle, à part le contexte que voici : La commune de Chatenay-Malabry a été mise en redressement suite à sa faillite il y a quelques années (les habitants de Chatenay pourront me confirmer l’année, que je pense être 1997-1998 - au moment des décisions d'attributions de plans de logements sociaux). Les conséquences ont été rapides pour les habitants de Chatenay-Malabry : augmentations énormes des taxes locales, des loyers et charges… L’OGIF en a donc profité dès 2008 je pense (ou 2005-2006 et les lois Sarkozy citées par l'OGIF qui ont, en quelque sorte, invalidé les protections sociales liées aux 1% patronaux et à mon appartement et des autres ?) pour tenter et réussir par tricheries à aligner les loyers de toute sa résidence (qu’ils appellent « Chatenay », alors qu’il n’y a qu’une tour (celle du gardien et des transmetteurs Bouygues sur son toit) à Chatenay, les deux autres étant au Plessis-Robinson, sur les loyers pratiqués à Chatenay-Malabry.

Contre toute logique (mais il y a des doutes parfaitement exprimés, y compris dans la presse et sur internet, sur l’intégrité de certains juges du Tribunal d’Antony…), l’OGIF a présenté des références de loyers pratiqués essentiellement à Chatenay-Malabry, alors que dans la résidence même, se trouvaient obligatoirement un nombre conséquent de loyers aux même prix que ceux contestés par l’OGIF, et les tribunaux ont tous été en faveur de ce dernier, essentiellement à cause de ces fausses informations, ces tricheries mafieuses, voir des complicités politiques ou d'entreprises liées au bâtiment…

2008 : mise aux normes électriques (très en retard). Un encadrement en carreaux de la baignoire dans la Salle de bains empêche la mise à la terre de la baignoire. Cet encadrement ne m’appartient pas, je ne suis pas demandeur des travaux, ni propriétaire : je dis au travailleur de voir avec l’OGIF (seul maître d’œuvre), mais il déclare avoir des délais et ne pas avoir le temps. Je refuse de signer la fiche qu'il me tend. C'est un très grand personnage et très puissant et il se met presqu'en colère mais part devant ma détermination. Il reviendra plus tard (je n'arrive plus à me souvenir si c'était le même jour ou un autre), accompagné de tous les ouvriers, d'un contrôleur de Véritas et d'un représentant de l'OGIF (le responsable des travaux ?). Grosse pression donc de la part de 7 personnes (de mémoire) qui me demandent de signer et de laisser faire les travaux. Je demande juste à l'assemblée que quelqu'un m'amène un papier signé par l'OGIF autorisant cette destruction pour l'autoriser, mais on me répond que non. Point. Je déclare donc que je ne peux signer ou accepter quoique ce soit au niveau de la baignoire et de son coffrage qui ne m'appartiennent pas puisque en même temps, j'en prendrais la responsabilité, et moi seul... Devant mon refus réitéré, le grand technicien (qui fait le plombier et tous les métiers du bâtiment puisqu'il est d'ailleurs toujours présent dans les divers travaux de la résidence) se met en colère et me met sa fiche dans les mains, un stylo et me crie dessus de signer sa fiche, que la baignoire soit faite ou pas. Devant la menace et l'immobilité du groupe, je prends sa fiche et gribouille une signature sur le mur vertical, et j'ajoute en-dessous le texte  "NON MIS AUX NORMES". Il se met encore plus en colère et froisse le papier que je lui ai tendu. Quelqu'un le calmera je pense et je ne me souviens plus trop de la fin de cette entrevue qui m'a fortement surpris à l'époque. Ils partiront et, malgré mes remarques aux mêmes représentants ou fournisseurs de l'OGIF et aux gardiens, je n'en entendrais plus parler avant que je le fasse (en vain et dans l'indifférence) auprès de mes avocats et de la court civile... Les normes électriques ne sont toujours pas appliquées à ce jour (09-2013) dans la Salle de Bain... je précise qu'on m'a toujours déconseiller de faire mention de cette scène dans la mesure où j'étais absolument seul contre sept "ennemis", mais dans la mesure où les détails ont fini par ce préciser à force de faire appel à ma mémoire et où je suis certain de la vérité, et que j'ose espérer qu'au moins un employé travaillant pour Véritas ne soit pas un "ennemi" avec intérêt (quoique Véritas a intérêt a donner éventuellement de bons contrôles pour être rémunéré...), je ne vois pas de raison de ne pas en parler ici.

- en 2008 et 2009, quelques voisins (dont le mien à gauche, Mr Rt) viennent me voir pour tenter de comparer leurs loyers au mien devant leur réception de nouveaux baux avec augmentations très conséquentes (peu sont augmentés de 50 € par mois question salaire alors que la loi autorise de le faire aux bailleurs (alors qu’ils bénéficient déjà d’augmentations annuelles automatiques sans rien faire - scandaleux) ! C'est d'ailleurs criminel en soi d'autoriser des augmentations supérieures à l'inflation et aux augmentations des minimas sociaux, surtout en période de crises incessantes... point...). Mais il s'agit d'un trois pièces et il ne peut le comparer trop avec notre quatre pièces (bien qu'il soit évident qu'il n'y ait pas plus de 30 à 50 € de plus en loyer pour cette pièces en plus, et que tous les loyers des trois pièces sont identiques, comme tous ceux des quatre pièces, à l'époque...). D'ailleurs, curieusement, nous ne recevons rien du tout de notre côté (ni les 4 pièces apparemment) car d'autres personnes ayant un trois pièces (au 6ième étage *) nous demande également le service de comparer leurs loyers au notre (ce que nous faisons en vain puisqu'ils ont un trois pièces - du même prix que celui de Mr. R.* d'ailleurs, notre voisin, mais il s'est apparemment enfui vers la même époque, laissant ses meubles, devant les augmentations de loyers excessives pour un retraité seul... Nous n'avons plus aucune nouvelle de notre côté de cette histoire, un peu isolés peut-être en haut de la tour... et par les plans machiavéliques de l'OGIF qui "dispatche" discrètement les augmentations de loyers entre les trois tours et les 3 pièces/4 pièces...

* = Nous avons récupéré comme preuve formelle les montants exacts des loyers de ces deux familles habitant dans notre tour des logements identiques (avec d'autres), via les pièces apportées aux débats lors des jugements civils

Début 2009, je préviens les gardiens que le meuble sous-évier, ainsi que l’évier de cuisine et la plomberie liée, sont vétustes et que le meuble s’affaisse  de plus en plus, menaçant d’entraîner le lourd double-évier dans sa chute. J’ai même la représentante de l’OGIF sur la résidence au téléphone à ce sujet, et je lui parle des dégâts occasionnés par l’apprenti, non réparés pour ma part. Elle me dit qu’elle ne connaît pas le chef des gardiens de l’époque qui a réparé (donc reconnu les tords de l'OGIF), qu’il n’y a pas eu plainte à l’époque et que donc pour elle, ça n’a pas existé (Mr le Maire du Plessis-Robinson qui était intervenu, appréciera…). Pour finir, l’OGIF, consciente de sa responsabilité mais ne voulant pas payer le remplacement d'un objet inclus pourtant dans le bail (et restant dans l'appartement) et vétuste de 40 ans, propose un arrangement discret et sans factures par l’entremise des gardiens. (pièce 12).

Autres travaux en 2009 :  suppression du bac à sable et des jeux pour enfants (pour économiser des charges ! pour qui ?). Subite maladie des marronniers (hum) et abattage de la majorité des marronniers et arbres de la résidence (sans remplacement) en face des deux tours situées au Plessis-Robinson (un hasard ?) et le parking du 2. Installation de portes d’entrées d’immeuble avec interphone et clé magnétique (non demandée par les résidents). été 2009 : Installation de barrières aux 2 entrées principales de la résidence : ce matériel a dû coûter très cher… et n’a jamais été mit en fonction jusqu’à présent (+ d'un an : septembre 2010 !). Pour info, je n'arrive plus, ou avec beaucoup de difficultés, à ouvrir cette barrière avec la clé magnétique en juillet. Je ne suis pas le seul car un ouvrier tente de régler l'ouverture de la barrière et c'est lui qui me l'ouvre d'ailleurs : j'en profite donc pour faire changer la pile à une mercerie de Chatenay proche et elle ouvre au quart de tour quand je reviens... mais, la semaine d'avant le 15 août 2013, je suis bloqué un moment devant la barrière par le même ouvrier, en train de creuser au marteau-piqueur devant, Mr P. le gardien à ses côtés... je pense que la barrière est à nouveau en panne, bien qu'avec mon changement de pile, celle-ci s'ouvrait même de loin encore récemment... on m'ouvre... mais à mon retour, ma clé magnétique avec sa pile neuve ne fonctionne plus... ou presque plus : il faut que j’insiste 10 minutes et que je place ma voiture à un seul endroit 'lisible" maintenant pour ouvrir la barrière... je me suis absenté seulement deux jours cet été pour aller voir mon père en province : je pars la semaine d'après le mercredi matin, en mettant encore 10 minutes pour réussir à ouvrir la barrière "automatique" (impossible a manœuvrer à la main), avec de la chance apparemment (pour une fois !)... quand je reviens jeudi soir, plus de barrière du tout ! Celle-ci a été apparemment arrachée ou découpée à raz par des gens voulant rentrer chez eux, mais le gardien a choisi de faire ses travaux de barrière juste avant de s'absenter lui-même...

Du 31/08/2009 au 06/01/2010 : remplacement des 3 ascenseurs des tours : notre tour au 1 marronniers (9 étages) est totalement privée d’ascenseur pendant près de 3 mois ! Aucune déduction des charges n’a été effectuée pour cette période, en infraction avec l’article 1724 du code civil. (que j’ai mentionné en vain lors du 1er jugement).

L’OGIF a enfin commencé à remplacer les vieux gros radiateurs (mais qui fonctionnaient très bien chez moi : il fait + froid maintenant !), après avoir remplacé les chaudières au fuel par des chaudières au gaz de ville. Mais ces remplacements ont curieusement été très étalés dans le temps : la majorité sont fait seulement à l’occasion d’un changement de locataire. Commencés dès 2005 en nombre calculé (11 par an de provisionné seulement - j’ai les chiffres transmis par l’OGIF lors des procès) ces changements de radiateurs duraient encore en 2011 ! L’OGIF m’a envoyé une assignation en mai 2010 car il trouvait mon loyer sous-évalué (c’est un comble quand on pense qu’ils osent comparer ces vieux logements a des logements neufs ou refaits à neuf, alors que le mien, en 1992 quand j’y suis entré, n’a vu que deux de ses pièces repeintes et retapissées (les + petites) et la peinture de la cuisine refaite pour masquer principalement une grande fissure qui traverse un mur porteur (fissure qui est réapparue seulement deux ans après mon entrée !). La plupart de mes voisins à l’époque se sont plaints également de ces fissures récurrentes dans les étages supérieurs des tours, ainsi qu’en extérieur sur le balcon… personnellement, je les ai toujours, y compris sur le balcon (une fissure est réapparue récemment sur un morceau du balcon, réparé lors des derniers travaux, mais l’immeuble n’est pas très récent…). J’ai le mur mitoyen du salon et de la cuisine qui présente une fissure (non pas de la peinture, mais bien du mur), un mur qui se déforme (il gonfle) entre deux chambres et des fissures aux plafonds des chambres.

- en mai 2010 donc, l'OGIF m'envoie un courrier avec un nouveau bail (comportant le nom de mon ex-femme !) et surtout une proposition d'augmentation de loyer assez énorme pour mes pauvres moyens : aucune réelle augmentation du pouvoir d'achat depuis 10 ans mais plutôt une diminution constante, alors qu'à l'inverse, tout doit augmenter selon le cercle destructeur de cette société décadente...

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- En août 2010, les gardiens affolés et "gênés" appellent pour m'informer que mes radiateurs doivent être changés. Estimant ne pouvoir interdire des travaux du bailleur, plusieurs ouvriers sont donc attachés à changer en catastrophe et en une journée l'ensemble de mes radiateurs. Sur ce fait, ils sont d'ailleurs assez brutaux et des trous assez importants sont agrandis entre certaines cloisons (photos) mais les radiateurs sont changés. Je signe donc une réception des radiateurs à l'un des ouvriers, daté d'août 2010 et je remarque que le nom de l'entreprise de la fiche sur laquelle je signe comporte l'adresse du 4 allée des marronniers : l'adresse de l'immeuble de l'appartement du gardien (la loge a elle été déménagée entre-temps dans une résidence attenante à la notre et aussi gérée par l'OGIF (50 Avenue de Robinson) !!

Début septembre 2010, je reçois une convocation officielle à une Commission de Conciliation qui se tient dans une semaine et à l'autre bout du département (Nanterre) ! Je ne suis pas en très bonne forme physique à l'époque (j'ai eu le pied droit en partie écrasé par un accident domestique stupide (comme toujours) et j'ai du mal parfois à rester debout ou marcher) mais je pars donc (un peu juste en temps et après une nuit blanche à ressasser le sujet), et tente, devant la forte circulation de l'A86, de rejoindre Nanterre directement par le sud et l'A14 je pense, qui passe par un tunnel où il y a personne car il est payant... mais c'est complètement immobilisé bien avant et je suis coincé un moment... plus tard, je me retrouve sans trop le savoir sur la route menant au tunnel payant, que je paye donc (comme si j'étais riche : encore des "aides" récupérées automatiquement par l'Etat...) et j'arrive en vue du plateau de Nanterre lorsque je me faits prendre en léger excès de vitesse (- de 10) aux jumelles par un gendarme (et re-pas de chance ou hasard douteux !), alors que je sortais de l'autoroute à 110 km/heure et que j'ai bien freiné en voyant un subit panneau à 90 et 70 plus loin... il a dû me prendre pile sur le panneau ou était mal positionné par rapport à moi (je rappelle que Thomson où j'ai travaillé (Bagneux) fabrique et à fabriqué beaucoup de radars de toutes sortes, y compris pour la police, et que je pourrai en redire sur la fiabilité des radars...dont je n'ai reçu aucune preuve d'ailleurs). Je recevrai donc une petite amende (allez-y, je suis riche...) en plus de cette visite à la Préfecture, un voyage de 1h30... je trouvais difficilement dans ce dédale le parking et, en plus de mon déjà retard, les contrôles intensifs et la queue à l'entrée de la préfecture n'arrangeaient pas les choses : quand je trouvais enfin la bonne salle dans le dédale de la préfecture, la secrétaire de la Commission m'empêchait d'entrer (pourtant il s'agissait bien d'une affaire de l'OGIF qui était aussi conciliée là, je l'ai entendu (d'ailleurs, ce 9 septembre 2010, il y avait plusieurs personnes attaquées par l'OGIF aux commissions) car mon tour était dépassé et que les représentants de l'OGIF pour mon cas étaient déjà repartis... malgré mes protestations et mon dossier avec photos, le fait que mon ex-femme divorcée soit encore sur ce nouveau bail, rien n'y fait et la secrétaire accepte de noter ma présence (donc mon excuse) et me dit que la commission n'a pu dire que l'augmentation de 40% de loyer indiquée au minimum était trop élevée à leur avis... point final.

Vers novembre 2010, de mémoire, quelqu'un sonne à la sonnette de l'appartement, le temps que j'aille ouvrir, personne, l'ascenseur se referme déjà... plus tard, je découvre un pli dans ma boîte aux lettres mentionnant qu'un huissier est venu et a déposé en mon absence (!!) une assignation à aller retirer à l'office des huissiers, à Montrouge ! Avec un coût assorti de 80 € de mémoire (voir sur le document)... la suite est au niveau des "jugements"...

Nous irons tous les trois, ma fille, Mathieu Godron et moi-même dans l'agence de la Matmut à Antony pour convenir d'une assistance juridique, dans la mesure où je cotise à cette aide avec l'assurance de l'appartement et voiture fin 2010 pour obtenir un avocat nommé par la Matmut. Le jugement sera repoussé à la demande de la défense de l'OGIF jusqu'au 15-12-2011.

L’adversaire a été (le 13 octobre 2011) obligé de donner certaines pièces intéressantes pour appuyer sa plaidoirie pour le (1er) jugement du 15 décembre 2011. Ces pièces supplémentaires (des jugements précédents de personnes ayant comme moi refusé cette escroquerie déguisée et qui n’auraient pas dû perdre !) m’ont apporté confirmation de ce que je soupçonnais et avait déjà trouvé : La grande majorité des logements de la résidence (beaucoup de 1% logement d’entreprises) étaient exactement dans les mêmes prix question loyers et charges (qui sont en principe réparties) jusqu’en 2008… jusqu’à ce que l’OGIF, ne respectant pas l’esprit de la loi de 1989 mais son seul intérêt, profite des augmentations de loyers à Chatenay-Malabry (dûes essentiellement à la hausse des taxes locales envers les propriétaires et bailleurs (sic)) pour faire augmenter individuellement les loyers (et en en proposant des plus chers aux nouveaux entrants, que les travaux extérieurs soient finis ou non). L’OGIF a notamment triché en ne proposant comme références comparatives aucun ou peu de loyers comparables de la résidence ou même au Plessis (alors majoritaires !), mais essentiellement des loyers de Chatenay-Malabry (plus chers, on sait pourquoi), dans des logements d’immeubles de 4 étages refaits à neufs ou d'entrées récentes… Il y avait effectivement, dans la résidence de trois tours et pendant ces assignations, des logements parfaitement comparables, y compris en loyers ! - je ne dirai bien sûr pas les noms des personnes concernées, mais j’ai bien trouvé dans les jugements de quelques personnes ayant perdu (injustement) face à l’OGIF et à un tribunal abusé par de fausses informations, des loyers de : 551,23 € aux 1 et 4 allée des marronniers, des loyers de 558,98 € au 1 allée des marronniers et 1 loyer à 550,85 € au 4 allée des marronniers… et grâce au dossier d'un autre voisin, nous en avons encore d' autres... il s'agit bien de plus de 100 appartements (donc familles) qui ont vu leur valeur augmenter complètement artificiellement et sans aucune justification réelle à l'aide de logements cités systématiquement depuis 2008 - et encore en 2013 dans mon jugement avec les mêmes lieux !) comme étant comparables alors que la preuve a été faite qu'ils ne l'étaient pas : moins de 4 étages pour 100% dès logements "comparatifs", tous dans le secteur huppé et classé de la Vallée aux Loups et à + d'un km, refaits à neufs ou ne correspondant pas sur l'ancienneté d'occupation... les textes ne sont pas respectés par les juges dans leur intégralité, bien volontairement...

- Nous avons perdu le premier jugement (alors qu'il a été fait mention d'une erreur de date et donc d'une erreur de procédure flagrante, qui a entraîné à notre connaissance, et exactement pour le même motif, des annulations pures et simples des procédures identiques lors de précédents jugements ou lors de conciliations). Nous avons également apporté les preuves (avec photos datées) et expertises, que les travaux attestés par l'OGIF n'avaient pas été faits dans les temps, ni même finalisés (toujours pas aux normes électriques et de gaz en avril 2013 !), et avaient occasionné des dégâts. Et également que les soi-disant loyers apportés par l'OGIF via l'OLAP (des références mentionnant des logements tous en Bon Etat - il y a plusieurs références suivant les états proposés par l'OLAP et elles ne sont pas toujours comparables légalement, mais les tribunaux n'en tiennent même pas compte !) sont pour la plupart distants de plus d'1,5 km et sans comparaisons visibles et constatées (photos datées, témoins) par rapports aux textes de loi (il n'y a pas que le prix du m² qui compte, surtout quand ce prix a été monté par tricheries ou erreurs/complicités !). Et ce n'est pas parce que un bailleur ou un propriétaire rattrape enfin son retard en travaux OBLIGATOIRES que la valeur d'une habitation doit automatiquement augmenter (alors qu'elle n'a pas diminué avant !)... une défense jeune et complètement laxiste de la part de mon assureur qui n'a même pas défendu les photos et preuves d'une manipulation sur plusieurs logements voisins par rapport à des logements lointains.

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OVNIs : ODH interviews 58

Par Le 05/11/2014

OVNIs : ODH interviews 58

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La 58ème édition d'ODH Interview vous est présentée par Gilles Thomas.

Les invités sont Rémy Fauchereau, Frédéric Lecocq et David T. qui vous parlent des moqueries que reçoivent les ufologues, passionnés d'ufologie venant de leur entourage ou de la société française d'aujourd'hui.

Tout ceci est malheureusement extrêmement vrai et je le rencontre même souvent dans mon entourage... et dans le milieu de la culture aussi... autant l'archéologie mystérieuse, la spiritualité de l'esprit humain et une approche avancée et futuriste des techniques humaines engrangent souvent de la sympathie ou de la curiosité, autant le phénomène OVNI en rebute ou fait sourire, grimacer plus d'un... et pourtant, il y a beaucoup plus de témoignages que n'importe quel fait historique, proche ou lointain... beaucoup plus que n'importe laquelle des affaires policières, résolue ou pas... beaucoup plus que n'importe quel fait religieux rapporté souvent que par des témoins... et pourtant, encore de nos jours, des gens s'entretuent pour ces quelques faits religieux ayant beaucoup moins de témoins que le phénomène OVNI, des gens sont condamnés avec quelques témoignages et on sait que les faits historiques sont bien souvent détournés par les vainqueurs, ou tout simplement par les seuls qui savaient écrire à certaines époques... allez comprendre les humains ! Il n'est peut-être finalement pas très étonnant que ceux qui sont à l'origine de ce phénomène, depuis si longtemps, ne veulent pas trop se faire connaître d'un être humain aussi peu logique dans les faits !

Et il en est presque de même en ce qui concerne d'ailleurs le simple fait d'écrire de la Science-Fiction ou de l'Anticipation en France, un genre littéraire "mis à l'écart" et réservé pour beaucoup d'"adultes" peu évolués mentalement comme relevant de l'enfantillage et les ado... C'est bien pourtant à mon avis LE genre littéraire le plus important de nos jours, le seul qui a prouvé à maintes reprises depuis Jules Verne, qu'il est bien le seul à pouvoir annoncer et prévoir où se dirige la société humaine, vers quel avenir nous mènent la bêtise humaine et les politiques (très "terre à terre" souvent, aussi... Yves Herbo

L'émission est en collaboration avec :

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Yves Herbo Relai-Sciences-F, H-05-11-2014

Dans OVNI/UFO
Ovni 10 2014 mini

OVNIs : Compilation vidéos septembre-octobre 2014

Par Le 04/11/2014

OVNIs : Compilation vidéos septembre-octobre 2014

Ovni 10 2014 miniovni octobre 2014

Suite des compilations de  Janvier à Mars 2014 avril 2014  mai 2014 - juin 2014  -  juillet-août 2014  -  août-septembre 2014  - 

Filmé à Saintes, France, le 26-09-2014

Compilation septembre 2014 (publiée le 02-10-2014 par 007ovni)

UFO. Planète. Sightings Report 25.09. 2014

UFO Fleet.thirdphaseofmoon. Hong Kong.27.09.2014-pendant les émeutes-manifs

ufo.Hong Kong.pendant la manif.27-09-2014

Une compilation de photos d'OVNI 2014 postée début octobre 2014 :

UFO .aux dessus d un bois Oct. 2014

UFO.thirdphaseofmoon. Inde.10. 2014

ufo.tabriz.Iran.10.2014

Paris France UFO October Night 2014

UFO.thirdphaseofmoon. Malibu.10.2014

Charlotte NC, USA, Man Sees A UFO And Has The Video To Prove It, Oct 2014

UFO. Air France Plane .10. 2014

UFO .Live News Broadcaste, Montréal, Canada, 02.10.2014

Multiple UFOs Light UP Kentucky ! Best UFO Sighting Of October 2014

UFO.Crestone 03-10-2014

UFO .Green . Lima Pérou.Plateau volador . 05.10.2014

Un ovni ou une météorite lente le 05-10-2014 au-dessus de la Suisse

UFO . NYC.10.2014

UFO 2014 over Mexico City - OVNI en Forma Cubo En Mexico DF 07th october 2014

Belgique - Mardi 7 Octobre 2014 à 14h33

Que s'est-il passé dans le ciel de Nivelles ce mardi matin ?

Source :
http://www.lanouvellegazette.be/11190...

Contenu de cet article : "J'ai filmé ces images ce mardi matin, entre 7h45 et 8h, à Nivelles, dans le Faubourg de Soignies", nous explique-t-elle. "Une autre maman a été témoin de l'événement, tout comme la fille âgée de 8 ans. Pour moi, c'est une météorite, pas un ovni. Enfin, on ne sait jamais", nous dit-elle avec un grand sourire.

8 octobre 2014 : L'ovni de Nivelles décrypté par un spécialiste: «Pas d'astéroïde mais deux gros avions porteurs» - Source : http://www.lacapitale.be/1120185/arti...

J'ai des doutes ... Un avion , même énorme , laisse échapper de la fumée , et surtout jamais du feu qu'on pourrait voir en plein jour ... Ce "spécialiste " a-t-il été acheté par quelqu'un qui essaie de nous cacher quelque chose ?!?

Un ovni filmé d'un avion d'Air France, 10-10-2014

Deux OVNIS proches d'un hélicoptère (NYC) - 10 Octobre 2014

UFO L.A. usa.étrange ufo Biologique.thirdphaseofmoon.11.10.2014

ufo.Corée.11.10.2014

UFO .et chemtrail.Amsterdam, Hollande.12 .10.2014, 09-36 GMT

UFO .thirdphaseofmoon.Flying Saucer St.Tropez, France .14.10.2014

UFO .Moscou Russie .16.10.2014

UFO . Tokyo-Japon.18.10.2014

Amazing UFO Stalked by Police Helicopter, Disturbing Activity, 18 Oct 2014 - USA

Un hélicoptère de la police suit un mystérieux engin qui vole au raz des toits puis accélère...

ufo.mexique.Guadalupe, 25 .10. 2014

Nasa Attempts To Hide UFO! UFO Sightings -Red- UFO Visits SpaceX Dragon! 2014

Selon certaines informations fuitées de la NASA, une sphère rouge aurait visité SpaceX et l'ISS et SpaceX aurait tenté d'en prendre de multiples photos... (les flashs à la fin de la vidéo)...

UFO . Mexico City 27.10. 2014

UFO Caught Landing in Milan Italy☻OVNI Bajando en Milan Italia 27102014

UFO-01-11.2014

Beaucoup d'observations en ce mois d'octobre 2014 (ces quelques vidéos n'en sont qu'un petit aperçu, juste le sommet de l'iceberg...)

Ovni 10 2014ovni-octobre 2014 - extrait vidéo

Comme toujours, je vous invite à apprécier par vous même la valeur de ces vidéos, compte tenu de vos propres réflexions et sensibilités, à la lumières des événements historiques actuels également mais de l'augmentation mondiale de ces observations aussi. A vous de décider comme toujours.

YH-Sciences, F, H, 04-11-2014

Comet 67p churyumov gerasimenko medium

Les Rapports de Naar-Loor, l'Observateur-5651

Par Le 03/11/2014

Les Rapports de Naar-Loor, l'Observateur-5651

Astreapproche

 

Naar-Loor, rapport 5651, Secteur Sol

 

- Année terrestre  1758 après JC

L’arrivée des Yakhova dans le secteur Sol fait donc suite à ma demande et à mes premières interventions directes dans la société bourgeoise européenne, dès la fin du 17ième siècle. Plus précisément, j’ai pu influencer directement, grâce à quelques implants psychotropes et mes études de l’Histoire des Yakhova, les Confréries de Métiers les plus prometteuses, en Ecosse et en Angleterre. Mes précédents élèves, Euclide en Egypte, qui a été en quelque sorte le premier diffuseur, jusqu’à Pythagore pour l’Europe et reste du monde civilisé, avaient pu ensemencer et entretenir les bases d’une spiritualité « modérée » et « ouverte », tolérante et pas trop sectaire, bien que secrète en ce qui concerne ses connaissances sur les Métiers et sa Spiritualité profonde. Ces confréries, devenues assez fermées et assez intolérantes avec le temps et les guerres, se sont donc enfin ouvertes à « l’étranger », avec pour but de répandre plus largement ses connaissances des Métiers et spiritualité, mais aussi d’en apprendre d’autres, de confréries et hommes différents, ne possédant pas obligatoirement l’initiation du « Métier », mais l’imagination, la curiosité et approches nécessaires au bouleversement escompté. Mes implants firent merveille dans la diaspora intellectuelle mi-bourgeoise, mi-aristocrate britannique, qui se cherchait déjà naturellement d’autres concepts et renouveau devant une royauté divisée et ruinée par ses interminables guerres inter-dynasties et religieuses. Les Ecossais, notamment, étaient « à point » devant les affronts subits face à un pouvoir (y compris religieux) qui reniait sa culture particulière et son passé glorieux.

Mes hommes ont infiltré donc, assez nombreux, les quelques confréries écossaises et anglaises, commençant assez rapidement à faire évoluer les règles maçonniques locales, les « Anciens Devoirs », issus de Pythagore, et toujours appliqués. Tout commence réellement en 1717, lorsque, grâce à l’influence devenue majoritaire de mes « troupes » implantées, quatre loges maçonniques fusionnent et qu’il est créé, à Londres, la Grande Loge de Londres et Westminster. L’un de mes aides inconscients (mais ravis de leur existence) est le Huguenot français Jean-Théophile Désaguliers qui, à l’aide de fidèles de Newton et de la Royale Society, commence à théoriser les premières constitutions et nouvelles Règles des Loges, qui seront écrites par la plume du Pasteur James Anderson, Ecossais et influant. Discrètement, c’est bien le français qui créé l’appellation « free-mason – franc-maçon » à l’époque. L’une des principales nouvelles règles (qui seront publiées dès 1723) permet un fort démarquage d’avec la religion locale, permettant ce qu’on appelle « la liberté de conscience ». En effet, jusqu’à présent, les Maçons étaient astreints à épouser les religions locales où ils se trouvaient. Ces nouvelles règles leur permettaient tout simplement d’adopter individuellement le choix d’une religion selon sa propre opinion : « aujourd’hui il a été considéré plus commode de les astreindre seulement à cette religion sur laquelle tous les hommes sont d’accord, laissant à chacun ses propres opinions, c’est-à-dire d’être des hommes de bien et loyaux ou des hommes d’honneur et de probité ».

A partir de 1723, le nombre des loges augmente dans toute la Grande-Bretagne, jusqu’à ce que la Grande Loge d’Ecosse soit créée en 1736 et même qu’une deuxième Grande Loge concurrente soit créée en Angleterre en 1751, celle « des Anciens ». Elles sont toutes sous influence de mes troupes implantées et les premières théories libérales, anti-royales mais mettant l’accent sur l’Initiation Rituelle sont émises.

Parallèlement, mes premiers envoyés britanniques en France ont commencé à créer des loges maçonniques dans ce pays, dès 1725, essentiellement dans la couche aristocratique, fortement dominée sous la Régence anglophone du jeune roi Louis 15. Parallèlement, le franc-maçon caché Law, dès 1719, avait créé la Compagnie d’Occident qui, liée à l’État et à la Banque, contrôle l’ensemble du système fiscal et du commerce extérieur français (par la mise en valeur de la Louisiane, dans le Nouveau Monde, surtout), puis a prit le contrôle des compagnies françaises du commerce extérieur et des Colonies, ainsi que des monnaies, des fermes générales, etc… Il sera contrôleur général des finances de France début 1720. L’un de ses principaux objectifs (inconscient) sera la déstabilisation économique du régime royal français, voir sa faillite, en prémisse notamment des tentatives britanniques (profitant ainsi de son influence sur le gouvernement français) sur le Nouveau Monde où la France est un peu trop implantée à son avis… tout ceci prépare déjà la prochaine création des premières loges maçonniques en Amérique du Nord, indispensables pour la prochaine distribution de nouvelles cartes d’influences dans le jeu économique mondial futur (et déjà prévu)… Il y réussira en partie, historiquement…

John law dessin caricatural 1720

Caricature économique sur Law (1720)

En France, les nouvelles Grandes Loges, dispersées, centralisent néanmoins le droit de patentes aux nouveaux ateliers des Métiers, se créant petit à petit ainsi plusieurs « loges-filles ». Les premiers Grands-Maîtres sont écossais et anglais, jusqu’à 1738 (l’année où le Pape réagit aux nouvelles règles Maçonniques et tente d’excommunier tous les francs-maçons, à coups de bulles papales, en vain d’ailleurs car les parlements ne les votent pas, et nombre de religieux sont déjà dans les rangs francs-maçons. Malgré quelques autres tentatives pour assimiler les francs-maçons aux Jansénistes hérétiques, l’Ordre se répand dans toute la France en 1740 et en 1743, le comte de Clermont, est élu Grand-Maître, sans trop intervenir dans la gestion de l’Ordre, c’est avant tout un protecteur de haut-rang nécessaire, et il le demeurera jusqu’à sa mort en 1770 d’ailleurs. Pour augmenter l’influence de l’Ordre et recruter, une partie de ses « secrets » et de ses cérémonies sont dévoilées au public et même publiées. Même les petites villes se créent à l’époque leur petite loge maçonnique, où la bourgeoisie, le commerçant et l’artisan célèbrent « la vertu et l’égalité » conviviales.

Lorsque le vaisseau des Yakhova arrive, en 1758, la première Grand Loge des Maîtres de l’Orient de Paris, dite de France et tenue par les « Vénérables » est née, mais n’arrivera jamais à imposer une unité aux Loges françaises, à cause de divisions internes et de luttes de pouvoirs constantes (cela a été souvent le propre des loges françaises, dans la continuité selon certains des tribus gauloises en perpétuelles batailles… jusqu’à leurs propres défaites et trahisons devant les romains…). Le premier travail d’influence des Yakhova sera donc en France, car le caractère particulièrement difficile des français, qui a toujours été un peuple difficile à gouverner globalement, préférant souvent des influences et dirigeants locaux (même en vain et au prix de la ruine, destruction) pas toujours inspirés d’ailleurs, est un challenge intéressant, et même attrayant pour eux. La première Grande Loge française ratera son objectif d’unification des loges françaises et abandonnera même en 1766, mais, à partir de 1773, leurs implants particulièrement efficaces, ainsi que plusieurs enlèvements de personnalités et de séances poussées dans leur propre vaisseau réussiront au-delà de toute espérance (je n’aurai pu arriver à un tel résultat en aussi peu de temps moi-même).

Toutes les loges provinciales sont convoquées à Paris et, après 17 séances plénières et officielles et autant de non officielles mais toutes autant influentes, Le Grand Orient de France est créé. Sous la tutelle du Grand Maître, le Duc de Chartres, et sous la réelle autorité de l’Administrateur Général, le Duc de Montmorency-Luxembourg, la Grande Loge est gérée par trois chambres où siègent les représentants élus des différentes loges. Comme l’affirme une circulaire de 1788 : « le fonctionnement du Grand Orient est essentiellement démocratique ». La quasi totalité des loges françaises se rallient à cette nouvelle structure, juste à temps pour influencer fortement la Révolution Française de 1789 et ses importants enjeux économiques, car les dirigeants y sont des nobles libéraux et des bourgeois intelligents mais influençables…

Entre-temps, l’énorme vaisseau et sa propre influence gravifique avait provoqué volontairement une certaine déstabilisation climatique et, surtout, tectonique… l’explosion subite d’un volcan islandais avait recouvert beaucoup de contrées de cendres, fait se refroidir le climat pour quelques années, entraînant à l’époque famine et épidémies, qui allaient accentuer les sentiments de révoltes des peuples européens déjà exacerbés par des problèmes économiques difficiles… en plus de l’émission d’influences sonores non détectables à l’ouïe humaine mais accentuant la colère d’un côté, la manipulation de masse de l’autre… techniques d’ailleurs maintenant connues de certains services secrets (et organismes terroristes ) des terriens…

Attention, à ce passage, je dois prévenir les Terriens que les Yakhova ont bel et bien non seulement envisagé toutes les possibilités sur l’avenir de la Terre mais sont allés y voir, ont ramené des preuves « filmées » selon vos normes de ces différentes probabilités de futurs suivant les événements qui se sont déjà produits : leurs actions sont certes contraignantes et mortelles pour certains humains et animaux, végétaux et roches-vives, mais ce sont les actions les moins coûteuses en vies locales et provisoires qui ont été choisies, avec un objectif atteint avec sécurité dans les siècles suivants… n’oubliez pas que la situation économique mise en place par les Dimonons sur la Terre mène inéluctablement par une domination totale de leur race sur la vôtre, rendue inconsciemment en esclavage total et éternel dans vos multiples plans d’existences locales… et de vous libérer de leur influence en vous laissant la seule direction des choses ne mène qu’à votre propre auto-destruction, ainsi que celle de la planète, ce que nous ne pouvons permettre de toute façon…

La suite historique de l’influence des Yakhova, en lutte contre les Dimonons, avec les Guilgaa, ainsi que la description de la civilisation et de l’économie des Yakhova dans un prochain rapport, en cours de transmission…

© Yves Herbo

Regroupement des rapports de Naar-Loor également ici :  https://www.sciences-faits-histoires.com/pages/ecrits/les-rapports-de-naar-loor-l-observateur.html

 

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