L'étrange statue égyptienne The Starving of Saqqarah
Au centre de l'immense nécropole de Memphis, qui s'étend sur 20 kilomètres, se trouve le plateau de Saqqarah, où l'on retrouve et recherche encore de nos jours les tombes des rois et nobles des toutes premières dynasties de l'Egypte antique... C'est depuis 1999 en fait qu'une mystérieuse sculpture a été récupérée. Mystérieuse car les archéologues et les historiens de l'art égyptien de l'université de Concordia à Montréal, Canada, qui l'a récupéré, s'interrogent toujours sur son origine. Car comme il est impossible de dater le calcaire dont est fait la statuette, que les restes de peintures présents n'ont pas été analysés par manque de budget débloqué à cause de ces inconnues, les chercheurs n'ont pas encore pu déterminer s'il s'agit bien d'un artefact datant de plusieurs milliers d'années ou d'un faux sans aucune valeur historique...Un autre problème vient encore compliquer les choses : la statuette comporte des inscriptions apparemment très anciennes... mais tellement anciennes qu'elles ne ressemblent à aucune écriture connue...
Sibérie : nouvelles découvertes sur la mystérieuse culture Okunev
Une tombe riche en mobiliers divers d'une femme "noble" a été découverte en République de Khakhassie, Sibérie. Les estimations de datation la fait remonter à entre le néolithique et le début de l'âge du bronze, avec 4500 ans minimum. Il s'agit par comparaison de la mystérieuse Culture Okunev, considérée comme étant celle qui, il y a au moins 12600 ans, aurait utilisé des canoes pour longer le pont de Béring pour atteindre l'Amérique du Nord...
Les objets trouvés dans la grande tombe sont multiples, on dénote entre autres : un brûleur d'encens décorée par des symboles solaires, 1500 perles qui ornaient jadis son costume, et 100 pendentifs en dents d'animaux.
Confirmation des ruines englouties au large de l'Inde
Sous-Titre : Le continent englouti Kumari Kandam
- Le Temple englouti de Swami Rock au Sri Lanka
On s'en souvient, le monstrueux et meurtrier tsunami de décembre 2004 avait désensablé plusieurs ruines sur les plages de l'Inde du sud, et les témoins de la catastrophe avaient également affirmé avoir vu au loin, lors du retrait de l'océan de plusieurs centaines de mètres, avant les vagues meurtrières, une grande ligne de hautes roches, formant un mur et de gros blocs de pierres à apparence géométrique.
plage de Mahabalipuram, les anciens dieux sont déterrés par le tsunami...
Dès 2005, une première étude menée à l'aide de sonars avait été menée, et T. Sathyamurthy, ancien super-intendant archéologue, de l'Archaeological Survey of India Chennai Circle, rapporte, au sujet de cette première étude, que : " nous avions découvert que la rangée de grosses pierres que les gens ont vu juste avant le tsunami, faisait partie d'un mur haut de 2m et long de 70m. Nous avons aussi trouvé les restes de deux temples submergés et un temple dans une grotte à 500 mètres des côtes. "
Cranes allongés et Paracas : de nouvelles analyses ADN
A Paracas skull with its red hair. Credit: Brien Foerster
En 2014, des premières analyses ADN de plusieurs cranes de la tribu des Paracas, une tribu antique ayant précédé les Nasca dans la même région du Pérou, il y a plus de 2800 ans, avaient déclanché une forte controverse. Ces premières analyses avaient pourtant bien été faites et annoncées par un généticien, mais comme on l'a constaté à de nombreuses reprises, les scientifiques n'ont aucun problème quand ils annoncent des découvertes conformes aux dogmes (voir dictats !) établis dont il ne faut guère s'éloigner sous peine de... chasse aux sorcières digne du moyen-âge...
Mais quand le doute est semé et que l'Histoire prouve qu'aucune science ne peut être figée ni définitive, le Temps se charge souvent de remettre "une couche" et de répéter, amplifier les doutes et éléments de preuves (bien qu'une preuve scientifique ne soit pas non plus, on l'a vu plusieurs fois, une donnée définitive, mais bien souvent une preuve provisoire et locale !).
J'ai écris ou traduit déjà plusieurs articles sur le sujet de ces cranes allongés (artificiellement ou non), et même sur des analyses du génome humain disant des choses très surprenantes, et ce nouvel article est en droite ligne des précédents, complétant un peu plus donc cette compilation de données apparues dans nos temps modernes, surtout celui-ci en ce qui concerne les premières analyses ADN de cranes allongés de Paracas :
Vous trouverez tout en bas de cet articles des liens vers les autres données, qu'il est important de connaître pour ceux qui s'intéressent à ce sujet bien sûr très controversé (mais ce sont les sujets les plus intéressants aussi souvent !).
Les découvreurs ne semblent pas vouloir faire référence à la mystérieuse culture de Tartessos, pourtant bien connue en Andalousie, car ce dessin d'enceintes en forme de cercles concentriques n'est pas sans rappeler non plus les correspondances avec la description de la ville D'Atlantis, capitale de l'Atlantide de Platon... mais aussi plusieurs gravures du même type déjà découvertes tout autour de ce que les archéologues supposent être le lieu où se trouvait la civilisation méconnue de Tartessos, c'est à dire le long du fleuve Guadalquivir et de son delta, avec comme principaux points les actuelles villes de Séville, Huelva et Cadix. Je parlerai plus bas de Tartessos, qui reste l'une des plus mystérieuses civilisations de notre planète, pourtant située ici à deux pas, en Espagne...
Les Polynésiens aussi en Californie il y a plus de 1400 ans
Deux autres preuves consolident le fait que des Polynésiens ont bien débarqué aussi en Amérique du nord, plus précisément en Californie du sud, au minimum 1000 ans avant que Christophe Colomb arrive sur la côte est... avec les preuves qui s’amoncellent sur leur probable débarquement en Amérique Latine encore plus tôt qu'en Amérique du Nord...
C'est donc une très vieille idée, qui date du 19ème siècle, qui semble de plus en plus confirmée par de multiples preuves...
La première de ces preuves consiste en la datation au carbone 14 recalibré d'une antique coiffure de cérémonie utilisée par les Indiens Chumash de Californie du Sud. La seconde implique la recherche effectuée par deux scientifiques de Californie qui suggèrent qu'un mot Chumash pour "planche de canot cousu" est dérivé d'un mot polynésien pour le bois, utilisé pour construire exactement le même bateau.
A l'époque (2005) les scientifiques, la linguiste Kathryn A. Klar de UC Berkeley et l'archéologue Terry L. Jones de Cal Poly San Luis Obispo, avaient du mal à obtenir que leur thèse sur des contacts entre les anciens Polynésiens et les Chumash soit publiée dans des revues scientifiques. Les Chumash et leurs voisins, les Gabrielino, étaient les seuls Indiens d'Amérique du Nord à construire des bateaux en planches-cousues, une technique utilisée dans les îles polynésiennes.
OVNIs : ODH Docs Saison 2 - 2014-2015-2016 - MAJ Ep. 28 - 02-08-2016 (FIN SAISON)
ODH Docs Saison 2 - 2014-2015-2016 vous est présentée et est réalisée par Gilles Thomas. Il s'agit de reportages courts permettant de revenir sur les observations historiques d'OVNIs dans les régions visitées, avec quelques reconstitutions graphiques et de visiter. en même temps, beaucoup de lieux d'observations et d'admirer souvent le beau paysage français au passage. Beaucoup de cas peu connus du public néophyte actuel bien sûr puisqu'on remonte jusqu'aux années 50 pour certaines observations. Les quelques cas de Rencontres Rapprochées de différents types sont mentionnés. Très bien réalisé et intéressant.
Une reconstruction de la tombe de Pakal au Museo Nacional de Antropología, Mexique - WikimediaCommons
Les archéologues, sur le site maya de renommée mondiale de Palenque au Mexique, ont fait une découverte surprenante sous le Temple des inscriptions, l'impressionnant monument funéraire construit pour le souverain Maya Pakal : des tunnels d'eau souterraine qui semblent avoir été créés comme un chemin symbolique pour guider Pakal vers la vie après la mort.
L'archéologue Arnoldo González Cruz, chef de projet à Palenque, a annoncé lors d'une conférence de presse que la découverte se compose de neuf canaux d'environ 17 mètres de longueur à travers lesquels circule de l'eau. Le canal est alimenté par une source et " révèle une ingénierie hydraulique complexe ".
Associated Press rapporte que Gonzalez Cruzestime que le tombeau et la pyramide ont été intentionnellement construits au-dessus de la résurgeanceentre 683 et 702 AD, et que les tunnels ont été créés pour diriger l'eau dans la chambre funéraire et guider l'esprit de Pakal dans les " enfers ". La preuve provient de sculptures sur une paire d'ornements en forme d'oreilles en pierre, qui disent qu'un dieu " va guider les morts vers le monde souterrain, en les submergeant dans l'eau de sorte qu'ils y seront reçus ".
Le tunnel a éyé découvert grâce au sonar et a été exploré par des robots. (INAH)
Le journal El Comercio rapporte de son côté que les canaux souterrains ont été découverts suite à l'utilisation d'un géoradar (scanner) dans le Temple des Inscriptions. Le coordonnateur du programme d'archéologie de l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique, Pedro Sánchez Nava, a déclaré que l'une des études a révélé des structures souterraines qui étaient dignes d'une enquête plus approfondie.
" Nous avons décidé d'étudier ces données et nous avons découvert qu'il y avait des canaux hydrauliques complexes sculptés directement dans la roche-mère, juste en dessous de la chambre funéraire de Pakal ", a déclaré Sanchez [via El Comercio].
La grande ville maya de Palenque est encore cachée profondément dans les jungles du Mexique. Connue pour son architecture étonnante, ses temples tentaculaires, ses œuvres d'art et ses trésors, elle a attiré les explorateurs, les pilleurs de tombes et les archéologues ici depuis des siècles. Le Temple des Inscriptions se classe parmi les plus célèbres monuments du monde Maya et est l'une des plus grandes structures pyramidales mésoaméricaines connues. Le Temple a été construit spécifiquement pour être le monument funéraire de K'inich Janaab 'Pakal, souverain de Palenque au 7ème siècle après Jésus-Christ, dont le règne sur la zone a duré près de 70 ans. La construction de ce monument a été commandée par Pakal lui-même dans la dernière décennie de sa vie, et a été achevée par son fils et successeur K'inich Kan B'alam II peu de temps après 683 AD, d'après les reconstitutions historiques.
Le site se compose d'une structure "temple" qui se trouve au sommet d'une pyramide de huit gradins pour un total de neuf niveaux. Au sommet de la pyramide se trouve le temple qui est composé de deux passages divisés par une série de piliers, et couvert par un toit voûté. Tant le temple que la pyramide avaient une épaisse couche de stuc sur eux et qui avaient été peints en rouge, comme c'était courant pour de nombreux bâtiments mayas.
La découverte du sarcophage de Pakal au 20ème siècle a stupéfié le monde, et a été entourée de controverses depuis. L'entrée secrete de sa tombe a été découverte par l'archéologue mexicain Alberto Ruz Lhuillier en 1948 et il a fallu quatre ans pour déblayer les décombres de l'escalier menant à la tombe de Pakal. Ses restes squelettiques étaient encore couchés dans son cercueil, vêtu d'un masque de jade et de colliers de perles. La tombe elle-même est remarquable pour son grand sarcophage, richement sculpté, et les sculptures en stuc décorant les murs, qui représentent les lois de la transition vers la divinité et les figures de la mythologie maya.
Le symbolisme très discuté du couvercle du sarcophage est communément admis pour représenter Pakal sous la forme d'un des dieux du maïs issu du monde souterrain avec le symbole de l'Arbre de vie en arrière-plan. Cependant, tout le monde n'est pas d'accord avec cette interprétation. Une hypothèse plus alternative est que Pakal est représenté en train d'utiliser une sorte de machine ou de véhicule. Lorsqu'il est regardé sur le côté, Pakal semble actionner une série complexe de contrôles...
Le couvercle imposant du sarcophage et sa mystérieuse sculpture, représentant pour certains un "Vimana" actionné par le Seigneur Pakal, pour d'autres un possible char le menant vers le monde souterrain... Asaf Braverman / Flickr
Les canaux d'eaux souterrains nouvellement découverts continuent d'être excavés et on espère que de nouvelles découvertes pourront jeter plus de lumière sur la vie et la mort de ce puissant souverain.
Dans cette petite vidéo (VO), vous pouvez voir certaines images de la progression des robots dans les canaux...
Sources :INAH, Associated Press, El Comercio, http://www.ancient-origins.net/news-history-archaeology/breaking-underground-tunnels-found-beneath-pakal-tomb-maya-site-palenque-020919?nopaging=1, Youtube