Années 1960-1970 : L'astrophysicien, professeur et ufologue américain Allen Hynek accompagné de l'astronome, informaticien et ufologue français Jacques Vallée
Mémoires de l'Ufologie Française - Ufologues dans l'histoire
Le but premier d'Ovni dans l'histoire Tv est de sauvegarder les Mémoires de l'Ufologie Française par le biais de vidéos ou podcast pour que les générations à venir puissent connaître le travail des anciens, des pionniers de l'ufologie et des enquêteurs.
En collaboration avec l'association SCEAU et bien d'autres, cette action qui a débuté en décembre 2011, consiste à interviewer l'ensemble de la communauté ufologique en France et dans les pays limitrophes.
Cette nouvelle saison 6 des Ufologues dans l'Histoire comporte les interviews de feu Guy Loterre, Thibaut Canuti, Bruno Botta et Anne (2 fois), Jacques Scornaux, Rémy Fauchereau, feu Francine Fouéré, Alain Blanchard, Michael Vaillant, Robert Roussel, Chantal D., Didier Gomez, feu Donald Cyr, Eric Zurcher, Thierry Gaulin, Claude Maugé, Jean-Marc Deschamps, Renaud Benoist, Giorgio Pattera et Marco La Rosa, Patrice Galacteros, François Vilbert et Gilles Durand, François Haÿs, feu Jean-Louis Peyraut.
Voir ci-dessous :
épisode 1
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2015), nous recevons feu Guy Loterre.
Il était membre du SCEAU, responsable des repas ufologiques parisiens et d'OVNI PARIS.
Il vous parle de :
- L'association SCEAU
- L'ufologie idéale
- Les veillées
- Les observations d'Ovni à Paris
- Son avis sur odh tv
Nous lui rendons hommage également.
Episode 2
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Thibaut Canuti, historien et conservateur des bibliothèques, est l'auteur de "Un fait maudit : Histoire originale et phénoménologique du fait OVNI", "Histoire de l'Ufologie française, tome 1 : Le temps des soucoupistes" et "Histoire de l'ufologie Française - tome 2 : Le temps des officiels".
(Un entretien réalisé en juillet 2021, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Il vous parle de:
- Le 2ème symposium ufologique de Rennes les Bains
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Bruno Botta, (ufologue, membre du GUI, du SCEAU, d'Ovni Paris et reporter odhtv - Île-de-France) et Anne (ufologue, membre du GUI, du SCEAU, des Repas ufologiques de Paris et reporter odh tv)
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Sommaire de l'interview :
- Le G.U.I
- Les actualités
- Etude Géo'ufo
- Les formes et les dimensions
- Affaire de Madame K
- Les témoins
- Questionnaire d'enquêtes
- Les témoins dans le département de l'Aude
- Le Cas de Rémi
- Collaboration avec l'association Ovni-Languedoc
- Les autres partenariats
- Trop de corrélation
- Les mots de la fin.
Episode 4
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Jacques Scornaux, président de l'association SCEAU. Il démonte 05 mensonges sur l'association.
(Un entretien réalisé en novembre 2021, à Vincennes dans le département du Val-de-Marne.)
Le SCEAU ("Sauvegarde et Conservation des Etudes et Archives Ufologiques") est une association sans but lucratif créée en février 1990.
Son objet est d'assurer la sauvegarde à long terme du patrimoine ufologique sans aucune discrimination ni prise de position quant à la nature du phénomène OVNI.
La démarche du SCEAU vise à rendre ces archives accessibles à tous, aux chercheurs aussi bien qu'au public, en les déposant auprès des centres d'archives nationaux et départementaux et dans des bibliothèques publiques après en avoir dressé un inventaire détaillé.
Ainsi qu'il est défini dans ses statuts, les buts de l'association sont multiples:
- Sauvegarder le patrimoine ufologique privé.
- Archiver cette documentation d'origine publique ou privée.
- Gérer ce fonds documentaire, ouvert à tous, en le protégeant et en l'organisant de façon structurée en liaison directe avec les Archives Nationales et Départementales.
- Instaurer une démarche préventive facilitant une sauvegarde systématique de ce patrimoine culturel.
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Rémy Fauchereau, ufologue.
Membre d'une dizaine d'associations ufologiques en France et en Belgique, Rémy Fauchereau a créé en 1999, l'Association pour L’Étude des Phénomènes Aériens, une association unique dans le département.
Il est également vice-directeur d'honneur d'odhtv, et reporter pour le département de l'Yonne.
(Un entretien réalisé en octobre 2021 dans le département de l'Yonne.)
Il vous parle de :
- Ses actualités
- L'A.E.P.A
- 2020, activité et bilan
- L'ufologie dans sa vie
- L'ifologie en 2021 dans l'Yonne
- Association SPICA
- Les mots de la fin
Episode 6
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons à nouveau Bruno Botta, ufologue, membre du GUI, d'Ovni Paris, du SCEAU et reporter d'odh tv.
avec les interventions d'Anne.
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Sommaire de l'interview :
- Ses actualités
- Le 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude
- Ses pères en ufologie
- La relève
- Son opinion sur les ovnis
- Association Ovni Paris
- L'ufologie idéale
- Actualité autour du cas de RR3 en Seine-et-Marne dans les années 50
- Les mots de la fin
Episode 7
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2022), nous rendons hommage à feu Francine Fouéré (née en 1927 - décédée en 2018), ufologue et membre du GEPA.
Avec les interventions de Thierry Rocher, Gilles Durand, Rémy Fauchereau, Robert Roussel et Bertrand Méheust et Gilles Thomas.
Episode 8
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Alain Blanchard, ufologue et président de l'association Ovni Pyrénées.
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Sommaire de l'interview :
- Ses débuts en ufologie
- Ses observations
- Son parcours en ufologie
- Octobre 2005: Premières rencontres ufologiques européennes de Châlons en Champagne
- Le 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), Anne (reporter odh tv et membre du GUI) interview Michael Vaillant, consultant au GEIPAN.
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Episode 10
[Avertissement]
Bonjour cher ODHnautes, malheureusement des problèmes techniques durant le montage ont affectés certaines images et audios pour cet épisode. Nous sommes désolés pour l'inconvénient.
Merci de votre compréhension.
La modératrice.
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Robert Roussel, journaliste (accrédité "Défense") ,et auteur de nombreux livres en ufologie dont; "OVNI, la fin du secret (1978)", "OVNI, les vérités cachées de l'enquête officielle (1994)", "Ovnis, les oubliés de la science (2016)" et "OVNIS - 1947-2017 - Le choix du déni (2018)". Il a enquêté sur de nombreux cas ovni dont l'affaire de l'Amarante (1982).
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
Il vous parle de :
- Le CIPO - France
- Le 2ème symposium ufologique de Rennes les bains
- Question d'odhnaute 01
- En quête de terrain
- La divulgation américaine
- Question d'odhnaute 02
- Les déclarations d'Alain Juillet (ex DGSE)
- De 2014 à 2021 : ses actualités
- Son avis sur l'association SCEAU
- Les mots de la fin.
Episode 11
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2019), nous recevons Chantal D. (ufologue, ancienne IPN et sympathisante CNEGU et SCEAU).
(Un entretien réalisé en mai 2019 à Vincennes dans le département du Val-de-Marne)
Sommaire de l'interview :
- Ses débuts en ufologie
- Son observation
- Son enquête
- Question d'ODHnaute
- L'ufologie de terrain
- Les mots de la fin
Episode 12
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Didier Gomez, ufologue du département du Tarn.
(Un entretien réalisé le 14 novembre 2021, au XIème congrès ufologique d'Ovni - Languedoc, à Pérols dans le département de l'Hérault.)
Il vous parle de :
- Ses actualités
- Son dernier livre
- Son avis sur le 1er festival du court-métrage ufologique
- Le XIème congrès ufologique de l'association Ovni - Languedoc
Episode 13
[Avertissement]
Bonjour cher ODHnautes, malheureusement des problèmes techniques durant le tournage ont affectés certaines images et audios pour cet épisode.
Nous sommes désolés pour l'inconvénient.
Merci de votre compréhension.
L'administratrice.
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2019), Jean-François Primeau (reporter du Québec) reçoit feu Donald Cyr, ufologue, archiviste Québécois.
(Vidéo réalisée le 30 novembre 2019 à Lévis, QC)
Il vous parle de :
- Sa conférence
- Ses activités
- De l'Hommage au travail de Jean Casault
Episode 14
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (UDH - 2021), nous recevons une nouvelle fois, Eric Zurcher, co-créateur du CRUN (Centre de Recherche Ufologique Niçois), essayiste, auteur des livres:
- « Les Apparitions d’Humanoïdes » (A. Lefeuvre, 1979),
- "Les Rencontres Rapprochées du 3ème type en Italie" (Éditions GARPAN, 2018)
- "Les apparitions mondiales d'humanoïdes" (Édition Le Temps Présent, Septembre 2018) et l'un des contributeurs de l'ouvrage "OVNIs & Conscience".
- "Les apparitions d'humanoïdes - Nos étranges visiteurs vus à travers les rencontres du 3e type" (JMG Editions, Mars 2020)
avec la participation de Bruno Botta (reporter odh tv, membre du SCEAU, Ovni Paris et du GUI) et Anne (membre du SCEAU et du GUI)
(Un entretien réalisé le 15 juillet 2021 à Rennes-les-bains dans le département de l'Aude.)
Il vous parle de :
- Ses actualités
- Ovni et conscience volume I et II
- Un cas marquant de RR3 ?
- RR3 en Argentine
- Le cas d'Évillers dans les années 70 : ufologie ou autre chose ?
- Un cas récent de RR3
- RR3 en Seine et Marne
- La fin de l'ufologie
- En quête de terrain
- Les différences entre un recueil et une enquête
- RR5, les contacté(e)s
- Missing time accéléré
- Les mots de la fin
Episode 15
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons Thierry Gaulin, ufologue et président de l'association Ovni-Languedoc.
(Un entretien réalisé en juillet 2021, au 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude, à Rennes les bains dans le département de l'Aude.)
avec la participation de Bruno Botta (reporter odh tv, membre du GUI, d'Ovni Paris et l'association SCEAU)
Sommaire de l'interview :
- L'association Ovni - Languedoc
- Le 2ème symposium ufologique de la haute-vallée de l'Aude
- Le stand de l'association
- Sa conférence
- Enquêteur de terrain
- Retour sur l'émission "En quête de terrain"
- Sa conférence à Ovni Paris
- Quelques cas marquants
- Un avis sur les 144 cas d'UAP
- Son avis sur l'association SCEAU
- Les mots de la fin
Episode 16
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2019), nous recevons Claude Maugé, enquêteur.
(Un entretien réalisé en juin 2019, à Figeac dans le département du Lot.)
Il vous parle de :
- Ses débuts en ufologie
- Ses observations
- Ses enquêtes
- Son intérêt pour les R.R.4
- Ses autres projets
- Des livres à lire
- La T.R.C (Théorie Réductionniste Composite)
- Retour sur le 1er CAIPAN en juillet 2014
- Son avis sur l'ufologie actuelle
- Les mots de la fin
Episode 17
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), Gilles Durand interview Jean-Marc Deschamps au salon de science-fiction Auxerre Galactics Days le 24 octobre 2021 dans le département de l'Yonne.
Il vous parle de :
- Ses débuts en ufologie
- Sa passion pour les modèles (maquettes)
- L'ufologie actuelle
- Influence de la science-fiction sur l'ufologie (et inversement)
- Jules Verne
- Son avis sur l'association SCEAU
- Les mots de la fin
Episode 18
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2014), nous recevons Renaud Benoist, auteur de nombreux livres dont "'En Quête du Triangle de la Burle".
(Un entretien réalisé le 16 août 2014, à la 5ème édition des journées du livre et de l'étrange, à Rennes le château dans le département de l'Aude.)
Il vous parle de :
- Sa démarche pour écrire le livre
- Les crash d'avions
- Son avis sur le secteur de la Burle
- Des conseils
- L'importance de l'Histoire de l'ufologie
- Son livre "'En Quête du Triangle de la Burle"
- 5ème édition des journées du livre et de l'étrange
- Les mots de la fin
Episode 19
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2015), nous avons rencontré Giorgio Pattera (journaliste et responsable scientifique au C.U.N) et Marco La Rosa (chercheur et auteur) au cours du 4ème meeting national d'ufologie à Torriglia en Italie.
(Un entretien réalisé le 13 septembre 2015, au 4ème meeting national d'ufologie à Torriglia en Italie.)
Ils vous parlent de :
- Les débuts en ufologie
- Leurs spécialités en ufologie
- L'ufologie italienne
- 50 ans de l'ufologie italienne (2015)
- Les ovnis en Italie
- Ovni et failles géologique ?
- Les mots de la fin (le cas de Torriglia)
Episode 20
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2019, 2021, 2022), nous recevons les membres de l'association Ovni Paris dont Patrice Galacteros, Bruno Botta, François Vilbert et Gilles Durand.
avec la participation de Jean-Louis Lagneau et Rémy Fauchereau.
Sommaire
- L'Histoire de l'association Ovni Paris
- L'association
- Les membres de l'association
- Les vidéo-conférences par Zoom
- La chaine YouTube
- Leurs avis
- Les stands du SCEAU et de LDLN
- Les mots de la fin
Episode 21
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2021), nous recevons François Haÿs, ufologue du département de l'Isère.
(Un entretien réalisé le 14 novembre 2021, au XIème congrès ufologique d'Ovni - Languedoc, à Pérols dans le département de l'Hérault.)
Il vous parle de :
- Son avis sur le 1er festival du court-métrage ufologique
- Les courts-métrages ufologique
- Ufologie et science-fiction
- Documentaire
- La série OVNIs
- En quête de terrain
- L'ufologie en France dans 20 ans
- Les mots de la fin
Episode 22
Pour cette nouvelle vidéo des Ufologues dans l'histoire (U.D.H - 2013, 2015 et 2016), nous recevons feu Jean-Louis Peyraut (1948 - 2022).
Il était le 2ème vice-président du SCEAU.
Description de son parcours sur le site de l'association SCEAU :
Des gisements contenant des artefacts humains à Valsequillo, au Mexique, ont été datés à environ 250.000 ans avant le présent par la méthode des traces de fission («fission-trace-dating») de la matière volcanique et d'uranium des os d'un bassin de chameau.
Le dilemme posé par ces dates est clairement indiqué dans la citation suivante, tirée des conclusions de l'article soumis.
" La preuve présentée ici indique toujours que le site Hueyatlaco a environ 250.000 ans.
Nous qui avons travaillé sur les aspects géologiques de la région de Valsequillo sommes douloureusement conscients qu'un si grand âge pose un dilemme archéologique.
Si les datations géologiques sont correctes, des outils de pierre sophistiqués ont été utilisés à Valsequillo longtemps avant les outils analogues qui sont cependant censés avoir été développés en Europe et en Asie ".
Ainsi, notre collègue, Cynthia Irwin-Williams, a critiqué les méthodes de datation que nous avons utilisées, et elle veut que nous insistions sur le fait que l'âge de 250.000 ans est pratiquement impossible ".
( Steen -McIntyre, en Virginie, et al ; . " Preuves géologiques d'âge des dépôts à Hueyatlaco site archéologique, Valsequillo, au Mexique, " Quaternary Research, 16:1, 1981)
Commentaire
L'impasse dessus n'est pas sans rappeler l'insistance de Lord Kelvin disant que la terre a seulement environ 100.000 ans sur la base de ses calculs de capacités productrices d'énergie du soleil.
Les géologues pensaient autrement, qu'il nécessitait environ un milliard d'années pour que la nature sculpte la terre telle qu'ils l'ont vue. Kelvin n'a pas été reconnu sur l'énergie nucléaire, et les géologues ont eu le dernier mot !
Depuis la publication de Thomas Kuhn "La Structure des révolutions scientifiques" (1970), un grand nombre de personnes dans le domaine des sciences et ailleurs ont utilisé sa distinction entre les paradigmes de la science normale et les anomalies à la fois dans la science normale et les révolutions scientifiques pour expliquer l'évolution de la science contemporaine.
Tous les appels de Kuhn n'ont pas été tout aussi éclairants.
Il a parfois semblé que ceux qui sont sur les franges de la science établie crient au « détour de paradigme » pour expliquer pourquoi leur travail ne retient pas l'attention alors qu'en fait, c'est le travail lui-même qui est à blâmer. Vraisemblablement, certains éléments de preuves qui entrent en conflits avec les opinions reçues sont ignorées pour une bonne raison, et d'autres sans une bonne raison. Quand une anomalie apparente est rejetée sans raison valable, alors les scientifiques en question se comportent mal.
Mais se sont-ils comportés en " non scientifiques " ?
Dans cette étude, nous examinons en détail un cas particulier d'un ensemble de preuves anormales reçues et visibles. Dans ce cas, le point de vue reçu est une théorie sur les origines de l'homme dans les Amériques, et l'anomalie est un site du Mexique, dont l'âge est apparemment en conflit avec cette théorie reçue.
Sans essayer de décider si la vue reçue est correcte, ou si la preuve anormale est intéressante à considérer (ce qui est, après tout, une affaire de spécialistes - YH : c'est un point de vue), nous suivrons l'histoire de ce qui s'est passé pour les scientifiques impliqués, et tirerons des conclusions sur ce qui peut et ne peut être attendu de la science en tant qu'une véritable institution humaine.
En particulier, nous soutenons que, dans les périodes d'instabilité dans la science («révolution», si vous voulez), il est dans la nature même de la science de traiter la preuve anormale avec hostilité et suspicion, même quand il y a peu de raisons de soupçonner ça.
II . LE POINT DE VUE REÇU
Le point de vue reçu, accepté par une majorité des anthropologues et des archéologues, c'est que l'humanité n'a pas évolué de façon indépendante dans les Amériques, et doit donc y avoir migré d'ailleurs.
Pour diverses raisons génétiques, il semble que tous les Américains autochtones sont plus étroitement liés les uns aux autres que ne le sont d'autres populations, et sont plus étroitement liés aux peuples de l'Asie que ceux des autres régions du monde. La conclusion raisonnable à tirer de cette preuve est que les premiers Américains ont migré de l'Asie, que ce soit à travers le détroit de Béring ou à travers un pont de terre.
La migration à grande échelle par bateau estpeu probable, même si la traversée est étroite à travers un plan d'eau comme le détroit de Béring, donc l'hypothèse du pont terrestre de Bering est la meilleure hypothèse pour une route migratoire.
Cette séquence de déductions implique un nombre limité de possibilités de migration. Une route de terre était entièrement disponible seulement quand il y avait suffisamment de glaciation du niveau de la mer pour qu'elle diminue d'environ cent cinquante pieds (46 mètres), une telle baisse du niveau des mers est nécessaire pour que le pont de terre de Béring (ou, peut-être plus correctement, la masse terrestre maintenant appelée Béringie) puisse apparaître.
D'autre part, si il y avait une telle glaciation, les voies terrestres en Amérique du Nord étaient impraticables, aucune migration ne pourrait avoir lieu (YH : c'est déjà ici une affirmation douteuse : les Lapons, Inuitset autres prouvent le contraire en y vivant en permanence ! - les hommes actuels seraient en effet incapables de migrer, mais les anciens oui, très probablement !). Ces deux contraintes limitent sévèrement le nombre d'opportunités pour la migration à des périodes spécifiques pendant les périodes glaciaires (YH : limites peut-être imaginaires !)
Le meilleur candidat pour une période de la migration est généralement considérée comme une période au cours de la fin du Pléistocène, il y a environ douze mille ans. Bien que des revendications de migrations antérieures sont parfois publiées à force de découvertes archéologiques, l'idée que les humains sont arrivés relativement récemment semble être assez bien établie (YH : et oui, on établi l'idée et la théorie... jusqu'à ce que la réalité rattrape l'idée ^^).
Donc, c'est en toute confiance que ce point de vue a été jugé et que, en 1962, dans un écrit pour Scientific American, William Haag pouvait dire :
" L' occupation de l'homme du Nouveau Monde peut remonter à plusieurs dizaines de milliers d'années, mais personne ne soutient rationnellement qu'il a été ici, même pour seulement 100000 années. "
Il y a un nombre impressionnant de preuves visibles d'une récente migration, et relativement peu de toute présence humaine plus tôt dans les Amériques. Ce qui semblaient être des traces d'occupations antérieures se sont généralement avérées être trompeuses.
David Meltzer (1993) décrit la situation en ces termes :
Au début des années 1950, il y avait déjà des signes d'une présence humaine beaucoup plus tôt en Amérique. Ces traces deviendraient plus larges au fur et à mesure que les années passaient, jusqu'à aujourd'hui où une multitude de sites soi-disant anciens ont fait leur apparition, certains avec des âges réhaussés estimés de 200.000 ans.
Chaque nouveau candidat à une plus haute antiquité apporte avec lui de nouvelles revendications, mais le résultat reste le même. Les sceptiques posent des questions difficiles. Le débat s'ensuit. La demande est acceptée par les uns, rejetée par les autres, tandis que le reste "attend et voit". Jusqu'à présent, au moins, la barrière Clovis reste intacte. Un avant - 11, 500 B.P. de présence humaine en Amérique n'existe pas aujourd'hui. (YH : C'est maintenant faux au 21ème siècle...)
Il y a au moins trois types impressionnants de preuve pour une migration au Pléistocène supérieur (ou un ensemble de migrations) :
preuve de langues amérindiennes
preuve de la dendrochronologie
preuve de l'ADN mitochondrial 1
Tous les trois types de point de preuve mènent à trois vagues de migration, les premiers au Pléistocène supérieur, comme hypothèse. Les plus anciens sites clairement datables sont très loin de ceux des Clovis et de Folsom, et ils sont au plus tôt de 11.500 BP.
Ajoutez à ces éléments de preuve de l'absence de preuves claires de quoi que ce soit plus tôt, et vous avez un argument puissant pour la vision d'une récente migration, ce qui donne de bonnes raisons de se méfier des découvertes qui sont censées être plus âgées. Considérons les types de preuves à leur tour.
Linguistique amérindiennes
Les centaines de milliers de langues qui ont été parlées sur les continents américains forment une variété déconcertante, mais de nombreux linguistes pensent maintenant qu'elles se répartissent en trois familles :
amerind
Na - Dénés
Eskimo - Aléoutes
Les langues amérindiennes montrent le plus de variété, et sont géographiquement les plus répandues, étant parlées des régions du Canada jusqu'à La Terre de Feu. Ces deux faits plaident en faveur de l'ancienneté relative de la langue commune à partir de laquelle ils tirent tous la leur.
Les langues eskimo-aléoutes sont moins nombreuses et plus semblable à une autre. Elles sont également parlées dans une zone plus petite, autour des régions côtières du nord.
Le groupe Na - Déné est intermédiaire dans la variété et l'étendue. Ces langues sont également parlées dans les régions au sud de la plus grande étendue sud des langues eskimo-aléoutes, mais pas si loin au sud que les langues amérindiennes. Par ailleurs, les groupes linguistiques peuvent être organisés afin de voir des similitudes avec des langues de l'Ancien Monde, avec l'Eskimo- Aléoutes êtant plus, et l'amerindien étant moinscomme les langues parlées en Asie.
Cet agencement des langues avec les points à trois vagues distinctes de migration, avec les ancêtres des parleurs de l'amérindien qui arrivent en premier. Toutefois, ce classement relatif nous donne peu sur une manière de datation absolue pour les migrations. 2
La dendrochronologie
Dans le Hrdlicka 1920 est noté un caractère que toutes les dents amérindiennes possèdent, qui est également caractéristique des dents de la population du nord de l'Asie.
Sur la base de cette caractéristique, une particulière forme en pelle - comme la forme des incisives, appelés Sinodontie, il a conclu que les Amérindiens étaient répartis en trois groupes génétiquement distincts : Eskimos , Athabaskans et Sud-Américains.
Christy Turner (1986) fait une analyse statistique des dents américaines pour vérifier cette classification. En regardant les autres, les même caractéristiques héréditaires des dents, et en catalogant les similitudes et les différences entre neuf mille Américains préhistoriques différents, il a également conclu que les Amérindiens sont répartis en trois groupes génétiquement distincts, mais il a identifié les trois groupes plus directement avec les trois groupes linguistiques de Greenberg.
En plus de soutenir le point de vue des trois migrations, la preuve dentaire peut nous donner une chronologie absolue. Les caractéristiques dentaires qui sont identifiées dans l'étude de Turner sont génétiquement déterminées, l'environnement ayant peu ou pas d'impact.
De cette façon, les preuves fournies par les dents, comme celles fournies par les groupes sanguins, peut nous donner une image claire des relations génétiques entre les populations. Les mutations se produisent de façon régulière, nous pouvons également dire il y a combien de temps deux populations ont divergé par le nombre de gènes qu'ils partagent et combien ils diffèrent.
Quand un gène s'exprime dans une partie visible et facilement préservée d'un animal, comme une dent, alors nous pouvons utiliser les variations de cette partie pour dater l'histoire génétique de l'animal.
Dans le cas des humains en Amérique du Nord, nous pouvons dire par des distributions des caractéristiques de Sinodontie que la population nord-américaine s'est séparée de la population nord-asiatique il y a environ douze mille ans - ce qui confirme le point de vue de la migration au Pléistocène tardif.
L'horloge ADNmt
Les similitudes dans les caractéristiques anatomiques brutes, et même dans une certaine mesure dans le code génétique qui les inspire, peut parfois survenir en raison de pressions environnementales similaires, même si les deux populations ne sont pas étroitement liées.
Il y a des parties du code génétique, cependant, qui ne sont pas exprimés du tout, ou ne s'expriment que dans des caractéristiques neutres. Dans ces gènes, le taux normal de mutation n'est pas affecté par les pressions environnementales. En particulier, l'ADN mitochondrial ( ADNmt) n'est pas soumis à des forces de mélange de fertilisation, puisque l'ADNmt de toute créature vient de sa mère uniquement.
Donc, étant donné une estimation raisonnable de la rapidité et de la régularité des mutations qui se produisent dans l'ADN mitochondrial, nous pouvons assez précisément dater lorsque les populations ont divergé. Par cette mesure, les Américains se sont divisés des Asiatiques du Nord il y a quelques 20.000 ans.
C'est plus tôt que ce que les autres méthodes nous ont donné pour une première migration, mais peut être expliquée par l'estimation du taux de mutation.
La réaction aux anomalies
Compte tenu de ce nombre impressionnant de preuves, il semble tout à fait raisonnable de penser qu'une migration au Pléistocène supérieur est établie.
Même si il y a des trouvailles occasionnelles qui semblent être datables à beaucoup plus tôt, il est plus raisonnable de penser qu'il doit y avoir quelque chose de faux avec les dates de ces sites que d'accepter le prix d'un renversement d'une théorie bien fondée.
L'incapacité d'expliquer pourquoi un site semble être antérieur à la fin du Pléistocène n'est pas un obstacle à l'acceptation de la théorie de la migration tardive, surtout si l'alternative est d'accepter une migration plus tôt, tout en étant incapable d'expliquer l'évidence linguistique, dentaires et génétiques.
Meltzer ( . , 1993, p 21 ) caractérise la position de l'archéologue de cette façon :
Ce problème est aggravé par de trop nombreuses fausses alarmes. Des dizaines de sites ont été annoncés comme possédant une grande antiquité. Mais en y regardant de plus près, chacun a réussi à vivre jusqu'à la faillite de son ancienneté. Caveat emptor.
Les archéologues ont la mémoire longue - cela fait partie de notre expertise, après tout - il n'est donc pas surprenant que, dans ces circonstances, toutes les nouvelles demandes pour une grande antiquité dans les Amériques sont accueillies avec un scepticisme bordant le cynisme. La réponse n'est peut-être pas louable, mais elle est compréhensible .
La plupart des archéologues qui donnent cette réponse compréhensible sont nettement moins conciliants que Meltzer. En fait, la réponse de Haag citée plus haut, qui rejette les allégations d'extrême antiquité de la présence humaine dans les Amériques comme irrationnelles, est la norme plutôt que l'exception.
Les plus anciens sites qui ont résisté à un examen minutieux, et dont le témoignage est sans ambiguïté aucune, sont les Clovis et Folsom, tous datables d'après -12.000 AV JC, et donc complètement compatibles avec la dernière migration du Pléistocène. (YH : Mais notons qu'en octobre 2018, des outils du style pré-clovis ont été trouvés au Texas, USA... et ont été datés de -15.500 ans ! Différentes preuves trouvées en Alaska et Canada semblent bien aussi prouver une arrivée bien plus tôt des hommes en Amérique du nord... alors que des datations de -25.000 ans, voir plus, se multiplient au Brésil...)
III. L'anomalie
Parfois, une découverte archéologique semble contester ce point de vue reçu.
Le projet archéologique spécifique qui est au centre de ce travail était situé à Hueyatlaco, Valsequillo, qui est à quelques kilomètres au sud de Puebla, au Mexique. La région était devenue très connue parmi les archéologues en raison des formes animales éteintes variées.
La fouille initiale a débuté en 1962. Au cours de la poursuite du processus de fouille cinq sites ont été découverts et des coupes stratigraphiques séquencées (Irwin-Williams 1967a).
L'excavation finale à Hueyatlaco été conclue en 1973.
Le travail de terrain s'est poursuivi tout au long du processus excavational par les membres de l'équipe, y compris le Dr Cynthia Irwin-Williams et Dr. Virginia Steen-McIntyre. 3
Les Consultants ultérieurs associés au projet étaient Ronald Fryxell, BJ Szabo, et CW Naeser dans la poursuite des efforts visant à résoudre la controverse entourant la datation des preuves accumulées au cours du processus d'excavation à Valsequillo, Mexique ( Malde et Steen-McIntyre, 1981).
Il n'y a pas eu d'irrégularités dans les méthodes de l'équipe, et le site a été surveillé pour éviter toute falsification ou la destruction accidentelle de preuve ( Irwin -Williams 1967a ).
Le chercheur principal de ce projet, Cynthia Irwin-Williams (1978), a caractérisé le site archéologique comme un domaine qui contenait un "site d'abattage" et les activités indicatives du dépeçage et d'activités de camping de l' "Ancien Homme "
Les artefacts découverts ont établi clairement qu'ils sont d'origine non locale, allant d'un rude objet unifacial de percussion pour des lances ( pointes de projectile ) fabriqué par un groupe moins sophistiqué, jusqu'à des bifaces de découpe, des grattoirs et des arêtes de coupe, des outils bien faits d'un caractère avancé.
Dans son article publié en 1978, Irwin-Williams affirme que l'abondance de la faune maintenant disparues dans la région Valsequillo a attiré les premiers chasseurs.
Il y avait des endroits dans la zone appropriée pour le camping et à proximité se trouvent des sites appropriés pour l'abattage des arbres et des sites qui étaient appropriées pour l'abattage des animaux en raison de la proximité des petits ruisseaux.
Irwin-Williams reconnaît que les estimations modernes concernant la présence de l'homme dans cette localité ont une gamme de 11.000 ans à plus de 30.000 ans. La controverse a commencé en 1967, avant que les fouilles aient été réalisées. Malgré les efforts approfondis et la compétence des membres de l'équipe archéologiques à Hueyatlaco, Jose L. Lorenzo, Directeur de la Préhistoire à l'Instituto Nacional de Antropología e Historia, a lancé plusieurs allégations concernant l'intégrité du projet à Hueyatlaco, El Horno, et Tecacaxco ( communément appelé Valsequillo). :
Un groupe de plus de 200 scientifiques a examiné les recherches sur les ovnis en Alabama.
Du 6 au 8 juin 2025, la Coalition scientifique pour les études sur les PAN (SCU) a tenu sa conférence annuelle à Huntsville, une ville surnommée « Rocket City » en raison de ses liens de longue date avec la recherche aérospatiale.
Des astronomes identifient le premier « bon » candidat pour la controversée Planète Neuf au plus profond de notre système solaire.
Pour rappel, cette possible planète, d'abord surnommée Planète X (ou 10, avant l'enlèvement de Pluton comme 9ème planète de notre système solaire), est recherchée depuis au moins 9 ans par plusieurs astronomes car ce serait la seule explication possible raisonnable pour expliquer les anomalies orbitales de plusieurs mini-planètes dans la ceinture de Kuiper, aux confins de notre système solaire.
Les Scandinaves du Néolithique utilisaient des bateaux en peau d'animaux pour la chasse et les échanges, le transport à longue distance. Une étude récente menée par le Dr Mikael Fauvelle et publiée dans le Journal of Maritime Archaeology suggère que la culture scandinave antique de la céramique piquée (PWC) aurait pu construire des bateaux en utilisant des peaux d'animaux, en particulier des peaux de phoque, pour naviguer, pêcher, chasser et transporter, échanger sur de vastes distances. La PWC a prospéré entre 3500 et 2300 avant J.-C. dans les régions entourant la mer Baltique et la mer du Nord, y compris certaines parties de la Suède, du Danemark et de la Finlande actuels.
Gigès, le mystérieux inventeur de la monnaie métallique
Pièce de Lydie en Electrum
Les plus anciennes pièces de monnaie métallique, marquant peu à peu le changements définitif (pour le monde entier sauf aux Amériques, où les peuples ont continué leur économie spécifique jusqu'à l'arrivée des envahisseurs et culture dévastatrice) de l'économie de l'Humanité, passant de la dernière économie créée (le troc) aux échanges par monnaie de substitution, toujours pratiqués de nos jours, ont été découvertes en Turquie, dans l'ancien Royaume de Lydie (ou Méonie pour Homère). Les Lydiens (aussi connus comme les Lud par les Egyptiens et Assyriens) était un peuple indo-européen descendant de Lydos, fils d'Attis d'après Homère. Quand on sait qu'Attis est en fait un Dieu très connu, d'origine Phrygienne (qui dominaient les Lydiens au début) et que l'on retrouve sous le nom d'Adonischez les Grecs et Romain ou Tammuzchez les Hindoux, on devine que les origines mêmes de ce peuple sont aménagées. Et ce n'est pas mieux pour leur Roi Gigès, qui a régné (d'après la science officielle mais avec une fourchette temporelle) de entre 708 et 687 avant Jésus-Christ, sa mort étant entre 680 et 648 avant Jésus-Christ...
Crésides d'argent, attribuée à Crésus-5ième siècle av JC
Il était appelé Gugu par les Assyriens, et serait à l'origine des traditions bibliques sur Gog, prince de Magog (c'est-à-dire en assyrien mā(t) Gugu : « pays de Gygès »). En fait, on ne sait pas vraiment comment il est arrivé au pouvoir car les sources sont rares (donc à fiabilité resteinte) et divergent complètement... :
Selon Hérodote (né vers 484 avant notre ère et mort vers 420 - donc 250 ans après environ), Gygès était à l'origine le fils d'un des gardes et le confident du tyran Candaule, (ou Sadyate, ou encore Myrsile), roi très légendaire descendant d'Héraclès (Hercule), qui était un roi vantard qui ne cessait de vanter la beauté de sa femme. Ne supportant pas que Gygès puisse douter des charmes de son épouse, Candaule lui donne l'ordre de tout faire pour la voir nue et constater sa vérité. Après avoir refusé car pensant que c'est indigne, Gygès finit par céder et se cache dans la chambre royale au bon moment pour admirer le déshabillage de la Reine. Mais celle-ci le découvre sans le laisser paraître. Elle a compris que le roi ne peut être que l'auteur de cette indignité et décide de se venger de cet outrage. Elle convoque Gigès le lendemain et lui fait le chantage suivant : soit il assassine Candaule, devient son époux et le nouveau Roi, soit il est exécuté... Gigès n'a pas trop le choix, poignarde le Roi et s'empare du trône de Sardes, capitale de la Lydie...Mais selon Platon (né en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. - donc 300 ans après environ), Gygès n'était qu'un simple berger lydien à l'origine, qui faisait paître son troupeau lorsqu'un violent orage fit s'affaisser une colline. Il s'y aventura et découvrit un énorme cheval de bronze dans les flancs duquel étaient pratiquées des portes (Cheval qui rappelle un peu le célèbre Cheval de Troie de part sa description !). Après avoir ouvert ces portes, Gygès aperçut à l'intérieur du cheval le squelette d'un géant portant au doigt un anneau d'or. Il se saisi de cet anneau, se le passa au doigt, et, sans dire un mot de son aventure, il alla rejoindre les autres bergers du voisinage. Par hasard, il remarqua que, à chaque fois qu'il tournait sa bague vers l'intérieur, il devenait invisible de tous, tout en gardant la faculté de voir et d'entendre ce qu'il se passait autour de lui. Dès qu'il retournait la bague en sens inverse, il redevenait visible. Après avoir essayé les pouvoirs de son anneau par plusieurs expériences, il se rendit au palais et séduisit la reine. Il complota avec elle la mort du roi, le tua et s'empara du trône...
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